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Extrait ajouté par debodebie 2018-03-14T15:31:47+01:00

- J'ai une étagère Livres à lire en cas d'insomnie, une autre Livre à lire quand je suis malade, Livres que je n'ai jamais fini, Livres qui font pleurer, Livres dont on pourrait supprimer un passage, Livres avec un héros qu'on a envie de baffer...

- Et si un livre rentre dans plusieurs catégories?

- Je le rachète!

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Extrait ajouté par MissBibli 2017-12-16T17:07:08+01:00

- Et toi, c'était bien ta soirée ?

- Normale. Émilie , tu ne vas pas croire que tout est fini entre vous parce qu'il ne t'a pas envoyé de texto dans la minute ?

- Ça fait plus de quatre heures, remarqua Émilie ?

- Louise a raison, tu as 14 ans, en fait ?

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Extrait ajouté par Lady_maud 2015-03-03T22:30:24+01:00

Samuel déposa les livres et le journal sur le comptoir de la cuisine et mit la cafetière en route. Cette Mme Vanderhelde (Émilie, rectifia-t-il) était vraiment charmante. Elle était belle, avec des yeux d’un vert très lumineux comme il n’en avait jamais vu auparavant, et une incroyable chevelure qui semblait animée d’une vie propre et dans laquelle tout homme normalement constitué n’avait qu’une envie, enfouir ses mains et son visage. En plus de cela, il la trouvait fort attirante ; elle s’exprimait d’une façon vive et enthousiaste. On sentait qu’elle se contrôlait pour ne pas parler avec les mains, comme une Méridionale, et ses efforts n’étaient pas toujours couronnés de succès, ce qui l’amusait. Il trouvait sa façon de rougir chaque fois qu’il lui faisait un compliment absolument adorable et il se demanda si elle rougissait de partout.

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Extrait ajouté par Saph 2015-02-16T00:58:10+01:00

« La tempélatule est de 87 deglés Falenheit », glapissait le réveil, avec un accent asiatique prononcé. « Il est 21 heure eules 18. »

– 21 h 18 ? répéta Louise, qui s’était arrêtée dans l’encadrement de la porte. Déjà ou c’est tout ?

– Je ne comprends rien à ce réveil, se plaignit Émilie en appuyant simultanément sur tous les boutons. Ma sœur me l’a rapporté de Chine et je n’ai jamais réussi à lire la notice. Il se met parfois en route tout seul, et il ne sonne jamais quand je veux.

« La tempélatule est de 77 deglés Falenheit. »

– Par les couilles de Zeus ! s’écria Émilie.

– On a perdu dix degrés d’un coup, c’est inquiétant, commenta Louise. Tu peux m’expliquer pourquoi tu n’achètes pas un autre réveil ?

– Mais parce qu’il est trop mignon, regarde, il est jaune et en forme de fraise, répondit Émilie.

– Et dire que je croyais que le pire avait été atteint avec les pendules qui ne donnent pas l’heure, glissa Louise en tournant les talons.

– J’ai très bien entendu, va ! s’exclama Émilie.

« Il est 21 heure eules 19. La tempélatule est de 80 deglés Falenheit. »

La journée va être longue, pensa la jeune femme en dissimulant le réveil sous l’oreiller. Au moins, là, on ne l’entendrait plus. »

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Extrait ajouté par Saph 2015-02-16T00:57:52+01:00

« – Où est Clara ? demanda soudain Elizabeth, peu préoccupée par les réponses monosyllabiques et les traits tirés de sa mère.

Émilie jeta un coup d’œil à la pendule au-dessus de l’évier, qui affichait l’heure de toutes les grandes capitales du monde, sauf celle de Paris.

– Vu l’heure qu’il est à Montréal, je suppose qu’elle est encore à la librairie.

– Maman, pourquoi on n’a pas une horloge normale qui donne l’heure de chez nous ?

Émilie songea qu’on pouvait toujours compter sur les enfants pour poser les questions qui fâchent, du genre « qu’est-ce qu’on mange ce soir ? » ou « pourquoi papa et toi avez divorcé ? ». Celle de la pendule était un autre classique, spécifique à leur foyer.

– Parce que, ma chérie, il est important de savoir faire rapidement des additions et des soustractions et de s’ouvrir au monde qui nous entoure.

– Euh, ce n’est pas plutôt parce que tu ne l’as toujours pas fait réparer ?

Tant de perspicacité sous une jolie frange, pas de doute, c’est ma fille, pensa Émilie. »

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Extrait ajouté par Saph 2015-02-16T00:57:34+01:00

« Émilie hésita à finir les deux malheureux makis laissés par sa fille. Au point où elle en était, ce n’étaient pas quelques grains de riz supplémentaires qui changeraient quoi que ce soit au chiffre indiqué par Salopa, sa balance. »

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Extrait ajouté par Saph 2015-02-16T00:56:05+01:00

« Joignant le geste à la parole, elle s’extirpa de l’enchevêtrement de couettes (encore un dommage collatéral du célibat ; elle avait froid en permanence et elle était persuadée que le taux de divorce en Ile-de-France faisait le bonheur des fabricants de bouillottes et de couvertures en laine polaire). Elle se dirigea d’un pas mal assuré vers la salle de bains. Là, un rapide coup d’œil au miroir lui apprit que le manque de sommeil passé 35 ans faisait plus de ravages que la petite vérole dans un bordel. Comme de toute façon les dommages étaient trop grands et que le temps lui était compté, elle se contenta d’une douche et d’un maquillage rapide. Ce n’était pas non plus comme si Ryan Gosling l’attendait dans la cuisine, se rassura-t-elle en séchant rapidement ce qui lui tenait lieu de chevelure.

– Maman, tu ressembles à une gorgone électrocutée, fit remarquer Elizabeth, qui relisait le tome 5 de Percy Jackson pour la douzième fois, assise à la table de la cuisine.

Définitivement pas Ryan Gosling. »

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Extrait ajouté par Saph 2015-02-16T00:55:01+01:00

« – C’était un rabbit violet avec qui j’ai eu une relation aussi intense que passionnée. Il a fini par rendre l’âme mais, je ne sais pas pourquoi, son successeur ne lui arrive pas à la cheville.

– Peter ? demanda Louise.

– Ben oui, Peter Rabbit, expliqua Maria.

– …

– Ne me dites pas que je suis la seule à donner un nom à mes godes !

– En tout cas, pas le nom d’un lapin, dit Louise.

– Un personnage de littérature jeunesse en plus, commenta Émilie. C’est limite pervers.

– J’en ai un qui s’appelle Rocco, expliqua Louise.

– Ah, voilà, ça c’est du nom de gode ! renchérit Émilie.

– Ce n’est pas un gode, c’est un canard vibrant.

– Tu as donné ce nom-là à un canard ?

– C’est toujours mieux que Donald, non ? »

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Extrait ajouté par Saph 2015-02-16T00:53:10+01:00

« – Mmm, ce risotto est juste sublime, je me retiens pour ne pas gémir de plaisir, là.

Samuel la dévisagea intensément et Émilie, soudain consciente du sens que pouvait prendre sa remarque, devint aussi écarlate que le vin qu’elle avait dans le verre. Samuel découpa un morceau d’osso buco.

– Je suis ravi de l’effet que vous fait ma cuisine, répondit-il, un sourire en coin. »

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Extrait ajouté par Saph 2015-02-16T00:52:47+01:00

« L’arrivée du serveur dispensa Louise de répondre.

– Tu vas me faire le plaisir de coucher avec ce Samuel, poursuivit-elle sans tenir compte de la présence du jeune homme qui déposait leurs boissons devant elles. Et s’il est aussi bon au pieu que ce que son baiser augurait, tu vas t’éclater et nous faire un compte rendu détaillé. T’es épilée au moins ?

– Oui, chef, bien, chef. Et évidemment que je suis épilée, ce n’est pas parce que je n’ai personne dans ma vie que je fais concurrence au yeti. C’est une obsession chez toi, les poils.

– Ce n’est pas une obsession, c’est juste que, comme la plupart des femmes, en hiver, tu oublies que tu as une esthéticienne. Tu y es allée quand ?

– Jeudi dernier.

– Tu y étais pas allée depuis quand ?

Émilie baissa les yeux sur son verre.

– Blabembre, marmonna-t-elle dans sa paille.

– Excuse-moi mais j’ai subitement perdu l’usage de l’ouïe. Tu disais ?

– Septembre.

– Tu vois ! Ce Samuel est une oasis dans ton désert sexuel, qui va en plus te sauver de la malédiction poilesque. Que demander de plus ? »

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