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L'homme qui mit fin à l'histoire



Description ajoutée par Miney 2016-08-18T20:58:55+02:00

Résumé

Imaginez un procédé scientifique révolutionnaire permettant de retourner dans le passé. Une seule et unique fois par période visitée. Par une seule et unique personne. Sans aucune possibilité pour l'observateur d'interférer avec l'objet de son observation. Un procédé qui ouvre les portes de la connaissance, de la vérité, sur les périodes les plus obscures de l'histoire humaine. Plus de mensonges. Plus de secrets d'Etat. Avez-vous déjà entendu parler de l'Unité 731 ? Créée en 1932 sous mandat impérial japonais, dirigée par le lieutenant-général Shirö Shii, cette unité militaire de recherche bactériologique se livra à l'expérimentation humaine à grande échelle dans la province chinoise du Mandchoukouo, entre 1936 et 1945, provoquant la mort de près d'un demi million de personnes… Cette invention révolutionnaire va enfin permettre de savoir la vérité sur ces terribles événements, à peine reconnus en 2002 par le gouvernement japonais, et couverts pendant des années par le gouvernement américain. Quitte à mettre fin à l'Histoire…

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Classement en biblio - 187 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Laurien 2017-02-10T19:45:01+01:00

Trop longtemps, nous tous, historiens compris, avons agi en exploiteurs des morts. Mais le passé n'est pas mort. Il est avec nous. [...] Il nous faut témoigner ; il nous faut parler pur ceux qui ne le peuvent pas.

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Commentaire le plus apprécié

Diamant

Dévoré en à peine quelques heures de lecture, je pense que je vais avoir du mal à structurer mon propos pour cet avis tant ce petit livre est riche et d'une finesse hallucinante.

Mon premier livre de cet auteur sino-américain qui frise le génie ici !

Je découvre le format documentaire dans le genre SF, rien que ça, j'ai trouvé l'idée originale et vraiment innovante pour ce que j'en connais. Envie de découvrir d'autres documentaires teintés de SF d'ailleurs parce qu'une fois terminé, il y a comme un goût de trop peu !

Je ne connais que peu cette période historique et l'histoire de l'annexion de la Mandchourie par le Japon, j'avais lu quelques romans à propos des "femmes de confort" mais l'unité 731 n'était inconnue avant ce livre !

Au même titre que bien des horreurs perpétrées par l'humanité, ce "détail" de l'Histoire mériterait de toucher le plus grand nombre ! La vérité dérange c'est certain mais elle est nécessaire. Intéressant, documenté et captivant cet enchaînement d'interviews, d'intervention, de témoignages sur ces crimes contre l'humanité posent et laissent le lecteur réfléchir sur toutes ces questions philosophiques : L Histoire, les témoignages, la notion de vérité(s) et d'interprétation(s), l'éthique, la médiatisation, l'objectivité, l'opinion publique, le négationnisme.

En bref, j'ai été scotchée par ce très court ouvrage où seul le voyage spatio-temporel apporte la touche de science-fiction qui paraît presque réel au vu du contexte dans lequel il est mis en scène, le reste des faits évoqués étant issu de recherches historiques poussées. Comme une envie de découvrir d'autres livres du même genre, du même auteur, d'aller me documenter sur cette période (hélas trop méconnue) pour découvrir les controverses relatées par l'auteur.

Un réel coup de cœur pour cet ouvrage d'anticipation mémoriel. Un vrai trait de génie dans l'univers SF contemporain.

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Commentaires récents

Diamant

Quelle lecture intense que cette courte novella de Ken Liu, où la science-fiction est mise au service de la mémoire historique.

J'ai été très surpris par la forme même du récit. On n'est pas sur un roman classique, mais plutôt sur quelque chose qui prend la forme d'un documentaire. La nouvelle se compose de témoignages, d'articles et d'autres documents, mais aussi de descriptions qui nous plongent dans les conditions d'un reportage.

Commençons par l'aspect science-fiction. le coeur scientifique de l'intrigue repose sur le procédé Bohm-Kirino, une technologie qui exploite l'intrication quantique des protons. Ce n'est pas particulièrement complexe en soi, et la présentation de ce concept est rapidement expédiée. Ce qui compte, c'est que ce procédé permet de revivre des événements historiques, autrement dit, de voyager dans le passé — mais de façon sensorielle et non physique.

Une fois ce concept établi, le coeur de la novella devient bien cette remontée dans le temps. Attention, il ne s'agit pas d'un voyage temporel comme dans les récits classiques de science-fiction. Ici, les individus ne se déplacent pas physiquement dans le passé, mais revivent les événements,ils voient, entendent et ressentent tout, comme s'ils étaient eux-mêmes sur place, mais sans jamais pouvoir interagir avec le monde qu'ils observent.

Le seul problème de ce procédé, c'est qu'une fois qu'un événement est revécu, il disparaît pour toujours. En quelque sorte, il est consommé par l'observation et devient inaccessible à quiconque voudrait le revisiter par la suite. C'est là que le titre prend tout son sens : L'homme qui mit fin à l'histoire, je l'ai trouvé parfaitement adapté.

Le procédé Bohm-Kirino devient une métaphore puissante de l'acte de mémoire. Il symbolise le dilemme de la préservation du passé : vouloir préserver l'histoire, c'est aussi risquer de la détruire en l'observant. Chaque observation d'un événement le rend inaccessible pour d'autres explorations futures.L'auteur illustre ici un conflit fondamental entre la quête de vérité historique et les dangers d'une appropriation du passé, car les événements revisités sont ensuite rapportés sous forme de témoignages humains, qui deviennent sujets à critique. Ils ne peuvent être vérifiés directement, ce qui ouvre la porte aux contestations de ceux qui cherchent à nier les faits.

Dans la novella, le lecteur est amené à revivre des passages particulièrement durs. L'époque traitée dans ces remontées dans le temps concerne les crimes de guerre perpétrés par l'Unité 731, une division de l'armée japonaise responsable d'expérimentations médicales inhumaines durant la Seconde Guerre mondiale.

Cette unité est comparée aux expérimentations nazies, tant par l'immoralité des pratiques que par leur cruauté. Tortures, vivisections, tests biologiques sur des prisonniers civils, ect

Les atrocités commises par cette unité sont méconnues dans notre culture occidentale anthropocentrée, pourtant elles sont tout aussi effroyables que la Shoah.

J'ai vérifié : tout cela a bien existé… Horrible !

Ce volet historique est, à lui seul, l'atout majeur de la novella. Apprendre l'histoire, même la plus sombre, est toujours nécessaire. le devoir de mémoire est fondamental, car il permet d'éviter que les mêmes erreurs se reproduisent. Effacer le passé ou refuser de le reconnaître — qui est le thème principal de la novella — est non seulement dramatique, mais aussi profondément irrespectueux envers les véritables victimes et leurs descendants.

Cette lecture m'a profondément marqué. Elle m'a appris des choses que j'ignorais sur l'histoire asiatique tout en m'offrant une réflexion puissante sur la mémoire et la justice.

Sans aucun doute, c'est mon premier coup de coeur de l'année

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Commentaire ajouté par mehdi-1799 2024-11-06T16:19:39+01:00
Argent

Je ne m'attendais pas à ce que cette histoire soit racontée de cette façon, le format documentaire était vraiment intéressant. J'ai aussi aimé que l'idée que les pays se disputent l'autorité sur le temps et que l'histoire en tant que discipline soit mise à mal.

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Or

Critique|

Fortement censuré, surtout en Chine. La science permet de voyager dans le passé, mais une seule fois par expédition, via un système de télescopes.

On suit les aventures du professeur Kirino, et de multiples autres personnages, tous introduits façon théâtre.

« Nos meilleurs télescopes voient 13 milliards d’années en arrière. »

Comme on le sait, le temps que la lumière met à nous parvenir, c’est du temps qui s’est écoulé. Si tu couple ça à la vitesse d’une fusée. Tu obtient la machine à remonter le temps… Si imparfaite soit-elle.

« (…) Se situer à des trillions de kilomètres, donc à des décennies dans le passé »

J’en apprend plus sur le passé Asiatique, « l’Auschwitz d’Asie » où des Japonais massacrèrent des Chinois, expliquant ainsi la haine entre les deux peuples.

Seulement le problème avec ces données de voyages dans le temps. C’est qu’il faut une grande puissance pour les stocker/les traiter. Et ceux qui tirent les ficelles sont pressés.

Alors, pourquoi pas le cerveau humain?

« Le combat pour la maitrise du passé »

« Et pourtant le paulownia est le seul arbre sur lequel un phénix se posera »

« À l’Ouest, on aime le Japon, beaucoup moins la Chine. »

Je ne pensais pas que les méfaits de l’Unité 731 prendraient une telle ampleur dans l’histoire. Pas très SF, pour le coup…

« Il se passe toujours des horreurs durant les guerres »

Qui sait ce qu’il se passe dans le monde, dans d’autres nations, ou même la notre, on peut l’ignorer. La guerre et la méchanceté de ceux qui aboient les plus forts nous conduisent toujours vers l’atrocité.

« Ce serait une erreur de notre part que de devenir les esclaves de l’histoire et de placer le présent sous la tutelle du passé. »

Avis|

Je sors carrément de ma zone de confort, la SF n’étant pas vraiment mon dada.

Science-Fiction et pourtant très « historique » l’histoire alternant prodiges scientifiques et lourd passé historique nippon.

Gardez l’estomac bien accroché. On va très loin dans l’horreur des camps de prisonniers.

Une histoire qui va pas vous faire aimer les Japonais.

Et en même temps c’est profond, c’est une grande leçon de vie, je suis content de l’avoir lu.

Une histoire de culpabilité un peu pénible qui s’étire…

Finalement on oublie complétement ou presque l’aspect science-fiction et le pitch est le suivant : les Japonais doivent s’excuser d’avoir menés des tortures de guerres sur les Chinois. Tout simplement. Mais pour certains, ça paraît plus compliqué!

Un devoir de mémoire et aussi un devoir de « prise de parole » vis à vis de ceux et celles qui ne le peuvent pas.

Phoenix

++

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Lu aussi

C’est très bien, c’est aussi très dur, ça parle d’un lieu réel en Chine où le Japon a commis des crimes de guerre durant la seconde guerre mondiale. Je conseille pour le rapport à l’histoire et le style documentaire, mais pas en tant que premier test à la SF chinoise.

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Commentaire ajouté par Cellophane 2023-06-19T13:45:45+02:00
Lu aussi

En soi, c’est sûrement très bien.

D’ailleurs, la présentation, la narration, cette façon de raconter comme si c’était un reportage est intéressante.

Mais j’ai eu beaucoup de mal à accrocher à cette narration, trop pleine de didactique historique qui me dépassait et ne m’intéressait pas.

J’aime suivre une histoire, qu’elle m’emmène et là, j’ai eu l’impression de suivre un cours d’Histoire et, comme en cours d’Histoire, j’ai décroché régulièrement et la lecture a été fastidieuse malgré la qualité des idées…

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Commentaire ajouté par Iludhara 2023-03-31T17:58:48+02:00
Argent

L'Homme qui mit fin à l'histoire frôle entre la SF et le réalisme le plus absolu : l'invention de ce voyage dans le temps est prétexte à remettre en lumière une des sombres et terribles pages de l'occupation Japonaise en Chine et sert à avoir une discussion sérieuse et nuancée sur des thèmes compliqués. Qu'est-ce que l'Histoire et quelle distinction faire avec les histoires ? A qui appartien(nen)t-elle(s) ? Qui est habilité à participer à son excavation ? Quelle est la place de l'empathie et des émotions en général dans des domaines scientifique et universitaires ?

Autant de réflexions auxquelles se prête l'auteur, autant de réponses personnelles qu'il livre et autant de questions qu'il a réussi à éveiller en seulement une centaine de pages.

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Commentaire ajouté par moontee_reads 2023-03-09T00:03:57+01:00
Or

Tellement intéressant et puissant, impressionnant !

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Commentaire ajouté par NicolaK 2022-09-03T19:47:08+02:00
Pas apprécié

J'ai enfin terminé L'homme qui mit fin à l'Histoire.

Pour commencer, j'ai du mal à faire correspondre le titre avec ce que j'ai lu. En effet, je pensais à un quelconque rebondissement qui le justifierait, mais je suis peut-être passée à côté, à moins qu'il ne soit fait référence aux pans de passé qui s'effacent dès lors qu'ils sont observés par un "voyageur".

Le point positif de ce "roman", on va dire documentaire, n'est-ce pas, parce que ce n'est pas un roman, est que j'ai découvert des événements dont je n'avais absolument pas connaissance.

Le livre se présente donc sous forme de documentaire, entre interviews et témoignages, et j'ai avancé dans la nébulosité la plus complète jusqu'à presque la moitié du "récit", entre ce que je ne comprenais pas et ce qui ne m'intéressait pas vraiment. La physique et moi, on n'est pas potes.

Puis, un sursaut et la lumière fut : par un système de connexion de neurones trop complexes pour que je puisse en expliquer la cause, quelques lueurs de compréhension sont parvenues jusqu'à moi... trop fugaces pour que ça dure et l'auteur m'a vite à nouveau perdue, ou inversement.

Je ne sais que dire sur ce récit, sinon qu'il est à la fois génial et pas fait pour moi.

Je voulais le relire, en espérant qu'à la lumière de ma première lecture complète, la première moitié serait plus compréhensible, mais j'ai eu tellement de mal avec le dernier tiers que je n'en ai pas le courage.

Le texte est trop saccadé, je n'ai éprouvé aucune empathie ou presque, alors que les faits étaient plus qu'horribles, mais la narration et tellement froide et distante que pour arriver à s'immerger, du moins moi, c'était mission impossible.

Voilà, je suis désolée et je vous invite à lire les retours des lecteurs et lectrices qui l'ont compris et aimé.

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Commentaire ajouté par LilyMoon 2022-02-11T21:57:41+01:00
Or

Un roman très court, et passionnant, mais difficile à lire : pas par la difficulté réelle, Ken Liu étant toujours fluide à lire, mais dans les thèmes abordés. Sachant que ça aborde un pan de l'Histoire réelle, qui m'était complètement inconnue, ce livre est à la fois nécessaire pour faire connaitre cette histoire (et éviter qu'elle ne soit oubliée, comme ce qui est craint dans le roman, très subtil dans son idée de visiter le passé), mais aussi difficile à supporter, car évidemment on se prend toutes ces horreurs réelles en pleine tête. J'en suis ressortie bouleversée et l'impression qu'il laisse reste très longtemps (ce qui est le but). Mais attention, je ne regrette pas cette lecture, et je la recommande. Il vaut juste mieux savoir un peu où on met les pieds.

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Commentaire ajouté par Talou61 2022-02-11T19:56:41+01:00
Lu aussi

Un mois de février très gris en lecture…

Ce livre, conseillé par mon libraire a été une déception…

Nous parlions de voyage dans le temps dans les romans et il m'a tout de suite parler de ce roman.

"Deux scientifiques mettent au point un procédé révolutionnaire permettant de retourner dans le passé. Une seule et unique fois par période visitée, pour une seule et unique personne, et sans aucune possibilité pour l'observateur d'interférer avec l'objet de son observation."

Le côté "science-fiction" s'arrête là.

Les candidats au voyage dans le temps visitent l'Unité 731 : créée entre 1932 et 1933 par mandat impérial, c'était une unité militaire de recherche bactériologique de l'Armée impériale japonaise. Officiellement, cette unité, dirigée par Shirō Ishii, se consacrait « à la prévention des épidémies et la purification de l'eau », mais, en réalité, elle effectuait des expérimentations sur des cobayes humains comme des vivisections sans anesthésie ou des recherches sur diverses maladies comme la peste, le typhus et le choléra en vue de les utiliser comme armes bactériologiques. Les expérimentations bactériologiques pratiquées au Mandchoukouo, notamment par largage aérien, ont fait entre 300 000 et 480 000 victimes.

Le livre est un prétexte pour décrire les horreurs et dénoncer un crime contre l'humanité.

Ces faits furent une découverte pour moi : c'est atroce, visuel.

Le roman est rédigé comme un documentaire : chaque visiteur raconte son expérience lors d'interviews.

Ce livre ne m'a pas particulièrement emportée, touchée (bien sûr c'est horrible), mais le style narratif m'a profondément ennuyée.

Résilience, crimes, mutilations, génocide, passé, falsification de l'histoire, travail des Etats et des historiens, déni sont les thèmes abordés.

Mais par le style journalistique, ce livre ne fait pas honneur aux hommes et et aux femmes assassinés.

Surtout qu'après la guerre, les membres de l'Unité 731 ont négocié avec le général Douglas MacArthur et les autorités américaines un pacte les soustrayant aux poursuites intentées par le Tribunal de Tokyo. En échange, les États-Unis ont reçu de Shirō Ishii l'ensemble des résultats des tests menés à l'unité 731, résultats qu'il avait conservés dans sa fuite ; il a ainsi bénéficié d'une totale impunité.

Dans l'atroce, le sordide l'humain est le plus vil des animaux.

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Date de sortie

L'homme qui mit fin à l'histoire

  • France : 2016-08-25 (Français)

Activité récente

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Commentaires 47
extraits 25
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Note globale 8.02 / 10