Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 593
Membres
1 013 136

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode


Extrait

Extrait ajouté par Ynim 2014-03-04T09:18:41+01:00

Pourquoi sans argent?

L'argent c'est un peu comme l'amour. Nous passons toute notre vie à lui courir après, mais peu d'entre nous savent réellement ce que c'est. Disons qu'à ses débuts, c'était une idée formidable.

Il était une fois, une époque où, pour effectuer des transactions, au lieu d'utiliser l'argent on pratiquait le troc. Les jours de marché, les gens se promenaient avec les fruits de leur production: les boulangers apportaient leurs miches de pain, les potiers leurs poteries, les brasseurs leurs tonneaux de bière et les menuisiers leur cuillère en bois et leur chaise. Ils négociaient, avec ceux qui, espéraient-ils, aveint envie de quelques chose qui pouvaient les intéresser. C'était une manière agréable de passer des moments ensemble, mais ce n'était pas aussi efficace que cela aurait pu l'être.

Si Monsieur Boulanger voulait de la bière, il allait voir M Brasseur. Après avoir demandé des nouvelles de la famille, M. Boulanger offrait ses miches de pain en échange de la délicieuse bière de M. Brasseur. La plupart du temps, cela se passait très bien et les deux parties parvenaient à un accord qui leur convenaient. pourtant - et c'est ici que les problèmes commencèrent à apparaître-, parfois Mme. Brasseur ne voulait pas de pain ou trouvait que l'offre de son voisin n'était pas équitable. Mais M. Boulanger n'avait rien d'autre à offrir.

[...]

Mais un jour, un homme élégant coiffé d'un exquis chapeau haut de forme et habillé d'un costume rayé sur mesure que personne n'avait jamais vu se présenta dans la petite ville. Ce nouveau venu - qui disait se nommer M. Banque- se rendit au marché et, en assistant au tohu-bohu et au va-et-vient chaotique des habitant qui faisaient leur courses hebdomadaires, il partit d'un énorme rire. Comme Mme Fermier n'arrivait pas à échanger ses légumes cintre quelques pommes, M. Banque la prit à part et :ui demanda de réunir tous les habitants dans la salle des fête le soir même car, lui dit-il, il connaissait un moyen de rendre leur vie bien plus faciles.

Ce soir là, la ville toute entière se bousculait à l'entrée de la salle des fêtes, tous étaient éxités et intrigués par ce que ce charismatique étranger pouvait bien avoir à leur dire.

M. Banque leur montra dix mille Cauris sur lequel était imprimé sa signature. Il en donna cent à chacun et leur dit qu'au lieu de transporter des tonneaux de bière, des miches de pain, des pots et des tabourets, il pourraient utiliser ces coquillages pour échanger leur biens. Tout ce qu'ils avaient à faire, c'était de décider combien de coquillage valait chacun des produits et d'utiliser les cauris pour l'échange? " C'est très malins, se dirent les gens, voilà qui résout nos problème!"

M. Banque leur dit qu'il reviendrait dans un an. Pour le remercier de leur avoir facilité la vient il demandait que chacun des habitants lui rapporte dix coquillage de plus.

[...] voilà une allégorie qui raconte comment l'argent vint à exister. Ce qu'il est devenu est à mille lieus de ces timides débuts.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode