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Liberté d'expression



Description ajoutée par Aime-4 2019-03-07T10:42:00+01:00

Résumé

Exposé : Étude thématique du recueil de poèmes d’Aimé Badjam intitulé Liberté d’expression.

Introduction

L’œuvre d’Aimé Badjam intitulée Liberté d’expression est un recueil de 52 poèmes et 90 pages parue en 2017 aux éditions Edilivre, Paris. Elle est subdivisée en quatre parties. La première est intitulée Créer c’est résister, comportant dix poèmes ; la deuxième partie est intitulée Nos mots disent des maux et comporte 31 poèmes ; la troisième partie titrée Nos mots chantent les exploits des héros et innovent avec 8 poèmes, et la dernière partie est titrée Nos mots, nos repentirs renferme trois poèmes. L’œuvre aborde plusieurs thèmes notamment la liberté d’expression le thème principal, et les thèmes secondaires sont : le féminisme, l’immigration clandestine, la censure politique, la guerre et le désespoir, etc. Le développement de ces thèmes fera l’objet de notre présente étude.

I. Biobibliographie

Aimé Badjam de son nom de naissance BADJAM YAN-TCHAMSI Aimé est né le 29 mai 1993 au Tchad. Après l’obtention de son baccalauréat à Sarh, Aimé Badjam arrive à Abéché où il s’inscrit à l’université Adam Barka d’Abéché (UNABA) au département de Lettres Modernes. De 2013 à 2016, il sort détenteur d’une Licence Ès Lettres avant de continuer le cycle Master en Sciences du langage à l’université de Maroua au Cameroun en 2016. Liberté d’expression est sa première publication.

II. Étude thématique

1- Liberté d’expression

Comme nous débutons cette étude par le thème liberté d’expression, Aimé Badjam commence sa rédaction avec le poème intitulé Créer c’est résister, qui tire son nom de l’intitulé de la première partie. Le terme Créer c’est résister l’auteur l’a emprunté de l’écrivain français Stéphane Hessel. En évoquant les notions de la création et de la résistance de la part des écrivains, ce texte traite de l’engagement. Par création, nous percevons l’art comme la créativité et comme moyen d’expression, d’instruction et d’information de façon générale. Et la résistance, comme un moyen de surmonter la répression ou la persécution de la part des « possesseurs des grands tribunaux » (Badjam, 2017 :14) et des autres ennemis de liberté d’expression. C’est dans ce sens que dans les premiers vers de ce recueil de poèmes, l’auteur appelle les créateurs (artistes) à la résistance dans l’exercice de leur passion en ces termes : « Si le créateur savait que créer, c’est résister, / Il allait à tout prix résister pour créer. » (2017 :13) En utilisant le mot créateur, le poète Badjam divinise le poète, le musicien, le peintre, le journaliste, etc. et sacralise la création et les créatures de ces créateurs. Ceci revient à dire que devant la persécution, une production sacrée ne doit pas s’estomper.

En affirmant « Ils n’allaient plus jamais s’évertuer à nous faire taire, / S’ils savaient que nous sommes le sel de la terre. » (2017 : 13), Badjam appelle les ennemis de la liberté d’expression à prendre conscience du rôle capital de l’écrivain dans la société. Dans la même veine l’auteur souligne l’importance des mots dans le deuxième poème du recueil en ces termes : « Alors à quoi servent les mots Si ce n’est pour défendre les couleurs du drapeau, / Pour pester contre les maux et assumer ses propos / Puis pour démasquer la misère du ghetto. » (P. 14) compte tenu de l’importance des mots qui autorise au poète de « créer un monde nouveau » (p. 16) Badjam clame à ce dernier que : « Tu es la voix des sans voix, / Qui ne doit jamais renoncer à sa foi. » pour l’auteur, renoncer à assumer son rôle ferait du poète un lâche.

Dans le quatrième poème intitulé Écrivain engagé (p. 16), il est encore question du rôle de l’écrivain dans la société. Pour Badjam, celui-ci doit lutter au côté des opprimés qui n’ont pas de voix au péril de sa vie. L’auteur dit dans la troisième strophe de ce poème que : « le couteau ne peut que trancher / ta gorge mais nullement tes idées. » (P. 16) Cela veut dire que même si l’écrivain meurt dans sa lutte, ses œuvres témoigneront noblement son passage sur la terre.

Dans Couloir du trépas, le cinquième du recueil, le poète fait l’éloge des journalistes tomber micro et ou Caméra à la main pendant la couverture médiatique des évènements. Badjam trouve ce métier bon et mauvais quant à ses risques. C’est ainsi qu’il déclare : « c’est un métier noble mais je l’aperçois ignoble. » (P. 17)

2- Le féminisme

Dans le douzième poème (Une mère) de son recueil, Badjam fait preuve d’un féminisme démesuré en plaçant une mère comme la première créature divine la plus noble : « Une mère n’a ni la valeur d’un père / Ni celle d’une sœur ni celle d’un frère / Elle n’a non plus celle d’une épouse ou d’un époux Mais après le Ciel, c’est elle avant tout » (p. 27) mais le paradoxe c’est que par essence, le féminisme consiste à promouvoir et à défendre le droit de la femme sur le plan social, politique, philosophique. Mais quel est ce féminisme qui ne célèbre que la mère mais pas l’épouse, ni la sœur, ni la fille ? Badjam recommande un peu plus loin aux filles et fils d’obéir aux mères et de s’occuper d’elles normalement malgré tout ce qu’elles sont : « Même si elle déconne à un certain âge / Tu dois la prendre aussi en charge / Adore ta très chère maman » (P. 27)

Dans Un père (p. 28), Aimé Badjam dénonce l’irresponsabilité de certains pères de famille sous le charme de la vie de débauche comme le souligne l’auteur, qu’un père : « Il peut être débile et alcoolique / Et rentre tard et sème de polémique » (p. 28) et il continue en disant : « Il y a ceux qui sont aussi très conscients / Et refusent de s’adonner à la vie de débauche » p. 28

Dans le quatorzième poème Femmes et violences, l’auteur défend cette fois-ci toutes les femmes de la phallocratie mais aussi en condamnant la violence faite aux femmes : « La femme n’est pas faite pour être bastonnée,» (P. 29) et il fait leur éloge : « Femme, mère de l’humanité / Château de beauté / Toi, la matrice de vie » (p. 29) et un peu loin il dit : « malgré ta gratitude, par pure ingratitude, / Tu es marginalisée et injuriée, / Minimisée ensuite défiée. En disant, femme seulement / Et est confisqué ton contentement. » (P. 29) dans ces vers, il met en évidence l’ingratitude des hommes à l’égard des femmes.

En racontant l’histoire d’une fille intelligente dans le quinzième poème, Fille audacieuse (P. 31), Aimé Badjam invite impérativement toutes les filles d’Afrique et du monde à ne pas quitter les études à cause d’une grossesse non désirée et précoce, quand il déclare : « Tu n’as que dix-sept ans, / Tu fais la fierté de tes enseignants, … Hélas ! Tu as perdu l’élan / Lorsque tu as eu un amant. » (P. 31) Mais après avoir engrossé l’héroïne du texte, l’amant a renié sa paternité « Et lorsqu’il t’a engrossée, / Il a renié cette paternité. / Tes proches à leur tour t’ont répudiée. » (P. 31) mais après tout, l’héroïne quitte les études pour se prendre en charge, ainsi nous dit l’auteur : « Pour t’assumer, tu as dû abandonner les études / Pendant un laps de temps. » (P. 31) et il conclut en louant le courage de cette fille-mère qui a repris le chemin de l’école en ces termes : « Face aux chahuteurs événements, / Tu as repris avec les études plus tard. … Ton rêve, tu as pu le concrétiser / En franchissant tant de complexités. / Tu es une fille-mère audacieuse, / Une fille-mère révérencieuse / Qui connait le fruit de l’exaspération, » (P. 31)

La femme du lion raconte aussi l’ingratitude des hommes à l’égard des femmes qui ont souffert avec eux pendant qu’ils étaient sans emploi, et par la suite, elles sont répudiées quand ceux-ci trouvent un emploi ; simplement parce qu’elles sont des villageoises, analphabètes ou laides. Le texte nous montre cela à travers le comportement du lion qui représente les hommes dans les vers suivants : « Le lion a brisé son foyer conjugal / Du fait que sa femme est noire, / Qu’elle lui a fait des enfants noirs / Et parce qu’elle est paysanne,» (P. 38) Il dénonce aussi la misère de la femme africaine dans ce 19ème poème La femme du lion : « La femme du lion n’a rien pour s’alimenter / Par le lion, elle est répudiée et sabotée /À l’aube, avec son nourrisson au dos, / Elle se présente au puits pour chercher de l’eau. » (P. 38) cette femme dont il s’agit ici est marginalisée par son mari, après qu’il est devenu une personnalité. Or ils avaient souffert ensemble quand il ne travaillait pas encore.

Le onzième poème intitulé Femme veuve retrace les souffrances que subissent les femmes au nom de la tradition pendant leur vie de veuvage. Les beaux-parents sans retenu, traitent ces veuves de meurtrières, de transgresseurs et de sorcières, ainsi nous dit l’auteur : « Tu es traitée de meurtrière, / De transgresseur et sorcière ». (P. 25) Le poète dénonce aussi le fait d’hériter la femme comme un bien matériel après la mort de son époux par ses beaux-frères polygames et irresponsables : « Comme exige la tradition,/ On veut te léguer à un polygame/ Incapable de satisfaire ses femmes /Un campagnard, un analphabète » (P. 25) le poète tente de donner aussi courage à ces femmes qui ont été dépossédées de tout après la disparition de leur époux de continuer le combat pour gagner une vie stable un jour ; nous constatons cela dans les vers où il dit : « essuie les larmes de tes yeux, / Il y aura pour toi un soleil joyeux. » (P. 26)

L’auteur modère son féminisme dans son dix-septième poème intitulé L’enfer conjugal. Dans ce poème, l’auteur appelle la mariée à être respectueuse et soumise même si son époux est fauché financièrement : « lorsque tu es au chômage, / Elle te révèle son cruel visage ». La femme dont il s’agit dans ce texte est « Une pestiférée de femme, / Une femme infâme » (p. 35) qui ne respecte plus son époux après qu’il ait perdu son emploi. Et n’assume plus son devoir de mère mais l’époux n’a ni brisé le silence ni brisé le mariage : « Elle n’assume plus son devoir de mère / Et toi, en aucun cas, tu es tenté par l’adultère. » (P. 35) en plus de cela, celle-ci est une femme infidèle « son infidélité a souillé votre foyer. »

Nuit de noces mentionne le mensonge des femmes avant et pendant leur vie de coupable. Cet acte est visible dans ce passage : « Hélas ! Je suis désolé, nos noces ont dévoilé / Que tu t’es juste payé verbalement une virginité / Tu m’as dupé, tu m’as menti / Tu m’as causé tant d’ennuis au lit » (P. 37)

3- L’immigration clandestine

Dans ce recueil, Badjam n’a pas perdu de vue l’immigration clandestine qui domine l’actualité de ce siècle. Au niveau de la deuxième strophe du poème Au chant du coq il présente une des causes de l’immigration clandestine en disant : « Tu franchiras le Sahara / Pour le coq Gaulois, / Espérant que ton soleil paraîtra, / Pour que tu construises enfin ton toit. » (P. 43) cette cause est la croyance ferme et aveugle à l’existence d’un eldorado loin de chez soi. Dans De retour, le seizième poème du recueil, Aimé Badjam dénonce les conséquences de l’immigration clandestine sur la vie sentimentale : « Mais me voici de retour / Soumis au compte à rebours / Avec une maladie incurable, / Maladie sexuellement transmissible / Et pour te contaminer dans ton innocence / Pour te contaminer dans ton innocence. » (P. 33) Ces vers relatent combien de fois il est dangereux pour un père de famille de quitter sa famille pour un avenir douteux et incertain. Partir à la recherche de son avenir revient à exposer son épouse à l’infidélité et aux maladies sexuellement transmissibles comme il est question ici dans le texte. Mais dans le vingt-et-deuxième poème, l’auteur souligne que l’immigration clandestine est généralement accompagnée de nostalgie et de la dépression : « Tu assistes à une recrudescence / De moroses, de soucis, de nostalgie » (p. 42) mais aussi accompagnée de la misère : « Tu n’as rien à mettre sous les dents. / Pour la thérapie, tu es dénué d’argent. » la solitude : « Je flâne n’importe où, / Afin d’exister dans ce monde. / Sous-jacent sollicitude et solitude / Avec un visage imbibé de détresse, / Qui me détrône de l’allégresse / Et m’inhume dans l’inquiétude » (p. 44) mais aussi dans Chemin du monde lorsqu’il déclare : « Ni une photo de ma famille, / ni celle de mes amis, / pour me délivrer de cette torpeur » (P. 45) dans Au chant du coq quand il dit : « car, ailleurs, elle est vilaine la vie. / Et tu débarqueras pour ton pays. » (P. 43)

Badjam condamne toujours à la fin de ces poèmes l’immigration clandestine et la qualifie d’illusion : « Ce rêve qui tend à s’adapter à l’irréalité / Est l’œuvre de mon propre dessein. / Me voici sur le chemin du monde, / Crever par le fardeau de la vie, / Hélas, je reste inonder d’envies, / Et toujours debout dans ce monde. » (P. 44)

4- La satire politique

La satire politique fait partie des thèmes phares de cette œuvre, car en luttant pour la liberté d’expression, l’auteur dénonce la mauvaise gouvernance de nos États qui poussent les écrivains à dénoncer et aux journalistes d’investiguer. Hélas, qu’ils soient incarcérés par la suite. Dans son 31ème poème, Badjam passe en revue les cinquante années d’indépendance du continent noir. « On m’a dit que l’Afrique est un continent d’avenir, / Mais, 50 ans après, je me demande si c’est l’avenir des coups d’États. / En Côte-d’Ivoire, on me parle de la réconciliation nationale, / Mais, 50 ans après, je me demande pourquoi pas d’abord la réconciliation entre GBAGBO et OUATTARA. » (P. 54) l’auteur continue à s’interroger sur l’avenir de l’Afrique : « On m’a dit que l’Afrique est un continent indépendant, / Mais, 50 ans après, je me demande si c’est l’indépendance dans la dépendance. / On m’a dit que l’Afrique est un continent libre, / Mais, 50 ans après, je me demande si c’est la liberté de la souffrance sous France. » (P. 54)

Hommes généreux dénonce la mauvaise gouvernance de certains chefs d’État, qui limogent les membres du gouvernement sans aucune raison bien fondée. À cet effet, l’auteur du poème nous montre à travers le passage qui dit : « quand on veut se disjoindre de son Ministre, / on le traite de profane et de traitre. » (P. 19) ou encore quand il note : « certes, quand on veut noyer son chien, / on l’accuse souvent de rage, hein. » (P. 19)

Dans le quarantième poème du recueil, La sainte jungle, en l’image du lion, l’auteur par des chefs d’État qui modifient la constitution pour s’éterniser au pouvoir. « Les éléphants se battent sans lassitude /Depuis que le lion a renoncé à son habitude /Et décide soudainement de ramper. /Les herbes, quant à elles, on les voit peiner. » (P. 66) et le désordre s’installe complètement et le peuple souffre. Nous pouvons le constater « La forêt s’est métamorphosée /En une jungle ensanglantée /Où la loi de la jungle est imposée / Et qu’aucune bête ne peut en être épargnée. » (P. 66)

5- La guerre et le désespoir

Marre de la vie relate le désespoir d’un monde déchiré quotidiennement par la guerre, le conflit tribunal, ethnique et religieux. Dans ce poème, l’auteur rêve d’un monde où au nom de la paix, les soldats de la guerre déposent les armes. Nous pouvons le constater dans les vers qui suivent : « On s’en irait où la raison ne laisserait pas de place à la trahison / Où musulmans et chrétiens / Seraient des frangins /On s’en irait où Israël et Palestine / Décideraient qu’ils ne s’assassineraient / Plus dans la bande de Gaza / On s’en irait là où Anti-balaka et Séléka / Pour la paix iraient se donner / Afin de pointer leur cruauté. » (P. 48)

Les âmes mal nées et Sommeil de l’étudiant marquent la condition humaine très difficile. Dans Les âmes mal nées, l’auteur met particulièrement l’accent sur les orphelins et les bouviers, quand il dit : « à toi orphelin, / et à toi bouvier, / ce texte vous est dédié » (P. 49) et dans Sommeil de l’étudiant, Aimé Badjam retrace la misère estudiantine. Cette misère qui se matérialise généralement par la faim et cette faim plonge l’étudiant dans un sommeil qui le fait regretter son parcours académique.

Pays de Toumai parle des diplômés sans emploi. Nous pouvons le constater quand l’auteur martèle que : « je vis des jeunes cent pour cent jeunes, tenant chacun un diplôme à la main ; des jeunes que le chômage avait engouffrés dans le chagrin. » (P. 50)

Conclusion

Au terme de notre réflexion, il est important que nous rappelons qu’il ’était question de faire un décryptage des thèmes présents dans le recueil de poèmes du poète tchadien Aimé Badjam intitulé Liberté d’expression. Il en ressort de cette étude que ce recueil traite plusieurs thèmes, mais nous avons passé en revue cinq thèmes, notamment : liberté d’expression, le féminisme, l’immigration clandestine, la satire politique et la guerre et le désespoir.

Références bibliographiques

Aimé, BADJAM, Liberté d’expression, édilivre, Paris, 2017.

Webiogragraphie https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27%C3%A9crivains_africains https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27%C3%A9crivains_de_langue_fran%C3%A7aise_par_ordre_alphab%C3%A9tique https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27%C3%A9crivains_de_langue_fran%C3%A7aise_par_ordre_chronologique https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_du_Tchad

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Classement en biblio - 2 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Aime-4 2019-03-07T10:56:10+01:00

S’ils savaient que nous sommes le sel de la terre.

Si le créateur savait que créer, c’est résister,

Il allait à tout prix résister pour créer.

Ils n’allaient plus jamais s’évertuer à nous faire taire,

S’ils savaient que nous sommes le sel de la terre.

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