Un premier tome réussi pour le début de cette nouvelle duologie dystopique signée Marie Lu !

Bien qu'imparfait, ce tome entame avec maîtrise une intrigue très prenante, aux enjeux bien décrits et à l'action omniprésente. Car malgré quelques facilités scénaristiques

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(la porte de service des laboratoires prétendument importants de la Fédération simplement gardée par deux soldats et un code à six chiffres dont Red se souvient plutôt aisément, le grand secret pour vaincre l'ennemi facilement trouvé dans le sang de celui-ci après seulement quelques tests laborantins peu décrits, le fait que Red (encore lui) soit comme par hasard le jeune soldat qui a épargné Talin et sa mère des années plus tôt...)[/spoiler], il est très facile d'entrer dans l'univers imaginé par Marie Lu (qui commence à s'y connaître en futur dystopiques peu engageants !). L'ambiance y est parfaitement décrite et se ressent facilement tout au long de la lecture, si bien qu'on se plonge rapidement dans l'histoire.

En ce qui concerne les personnages principaux, j'ai trouvé très rafraîchissant qu'ils aient tous une importance plutôt égale dans le déroulement de l'intrigue : en effet, bien que le récit soit narré du point de vue de Talin, ses amis possèdent tous les trois une place dans l'intrigue similaires à celle de l'héroïne et, clairement, plusieurs événements n'auraient jamais pu se faire/réussir sans eux.

Pour finir, l'univers imaginé par Marie Lu me paraît crédible et intrigant mais souffre de quelques (mini) points d'incompréhension selon moi : par exemple, [spoiler]pourquoi la capitale de la Fédération, Cardinia, ne se trouve-t-elle pas à Karenza ? Aussi, pourquoi le Sénat de Mara refuse-t-il que les immigrés qu'il accueille s'engagent dans l'armée des abatteurs alors que, logiquement, s'il les estime si peu, il devrait être le premier à proposer de les envoyer au front afin qu'ils se rendent utiles ? Ces quelques points m'ont parfois fait lever un sourcil au cours de ma lecture mais, facilement contournables, ne m'ont cependant pas empêcher de l'apprécier grandement.

En résumé, Skyhunter est un bon premier tome d'une duologie prometteuse, et malgré ses quelques défauts négligeables, donne envie de lire la suite.

Je viens tout juste de terminer ce roman, et je vais profiter de mes souvenirs encore chauds pour émettre une critique que j'espère constructive.

Je ressors plutôt mitigée de cette lecture. Bien que non dénuée d'intérêt, je dois avouer que certains défauts m'ont empêchée de pleinement apprécier ce roman.

Avant d'y entrer, je tiens à préciser que je dissocie la plume d'Elle Cosimano de la traduction et de la correction de DeSaxus, toutes deux absolument catastrophiques dans cet ouvrage en particulier à mon sens. En effet, j'ai plusieurs fois durant ma lecture été capable de "retraduire" les phrases qui s'étalaient devant mes yeux, autrement dit de deviner les mots originaux choisis par l'auteure au moment de leur écriture (en langue anglaise donc). Or, quand on lit un livre traduit, la traduction doit être suffisamment naturelle et peu littérale pour qu'on puisse se plonger pleinement dans le texte et oublier qu'il n'a au départ pas été écrit dans notre langue. Ce fait ajouté aux innombrables coquilles présentes dans le livre me laissent extrêmement déçue du travail éditorial fourni par la maison DeSaxus, qui ferait mieux de se concentrer d'avantage sur l'intérieur de leurs romans (à plus de vingt euros le livre relié, il serait temps).

Concernant l'histoire en elle-même, j'ai trouvé qu'elle souffrait d'un défaut de chronologie, dans le sens où en commençant les premières pages, j'ai eu l'impression qu'il me manquait plusieurs chapitres pour bien comprendre les enjeux qui nous étaient déjà exposés. Ce sentiment d'incompréhension lors des premières pages n'est en règle générale pas pour me déplaire, car souvent l'auteur maîtrise suffisamment son sujet et le monde créé pour nous donner toutes les clefs de compréhension au moment le plus opportun et ainsi nous embraquer pleinement dans son histoire. Or ici, ce sentiment a perduré tout au long de la lecture. C'était un peu comme si l'auteure nous disait "Voici les personnages ; voici comment fonctionne le monde. C'est pas bien, il faut corriger ça, voici le plan pour y parvenir" mais en quelques paragraphes seulement, placés en tout début d'histoire. Pour corriger ceci, il aurait été plus pertinent pour l'auteure de s'étaler un peu plus en début de roman sur la vie à l'Observatoire et la compétition des Saisons, voire même sur le début de vie des personnages principaux en tant que Saisons. Ainsi, le lecteur aurait pu mieux saisir la gravité des événements cités et être plus impliqué dans l'intrigue.

Pour moi, cela a vraiment été le défaut majeur qui a fait que je ne me sentais pas spécialement concernée par l'intrigue. Malgré cela, je peux comprendre que ce roman plaise et je réfléchirai à l'éventualité de lire la suite.

Bon bon bon.
Après quatre jours d'une lecture qui s'est avérée excessivement longue, j'ai terminé ce roman. Et je dois dire que je suis incroyablement déçue. Déçue car cela fait plusieurs années que je le gardais dans un coin de mon esprit, étant donné qu'il s'agit d'un roman fantastique extrêmement apprécié et qui plus est écrit par une auteure française. En plus, une amie m'a gentiment prêtée la trilogie. Jusque-là, ce livre avait donc tout pour me plaire.

Que nenni.

Plusieurs points m'ont fortement dérangée et agacée durant ma lecture :

- Cassiopée. Pour faire simple, c'est une héroïne insupportable et immature (alors que les divers événements douloureux qu'elle a connus dans sa courte existence auraient dû renforcer sa personnalité et la rendre sérieuse et réfléchie, au moins un minimum).
Par ailleurs, elle est plusieurs fois explicitement décrite comme étant intelligente, mais à aucun moment cette information n'est corroborée par des actes ou des paroles. Elle est incapable d'additionner 2 + 2 quand absolument TOUS les indices lui sont présentés sur un plateau d'argent, alors que le lecteur a deviné les grandes révélations au moins cinq pages plus tôt.

- En parlant des révélations, je crois que je n'ai jamais lu un tel concentré de clichés de toute ma vie.

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Entre la surpuissance apparemment rarissime de Cassiopée (elLe EsT UnIQuE), le fait qu'elle se pense moche quand tout les individus de sexe masculin qu'elle rencontre tombent amoureux d'elle, le pseudo bad boy qui est uniquement décrit par son physique "hypeeeersexy" les 3/4 du bouquin (fait qui pardonne sa personnalité digne de celle des plus grands manches à balais), le brun contre le blond, l'amnésie, le papa qui est le méchant... et j'en passe ! [/spoiler]Alors d'accord, un cliché par-ci par-là n'est pas nécessairement synonyme de mal, surtout s'ils sont bien écrits, mais ici, on finit par en vomir.

- L'écriture, parlons-en ! Je ne cherche pas à insulter qui que ce soit en disant cela mais... elle est médiocre. Manque cruel de vocabulaire, mots qui se répètent dans les mêmes phrases, dialogue pauvres, puériles et redondants, tics d'écriture ("Bref."), prise à partie du lecteur mal exploitée, humour lourd, ponctuation fluctuante (où sont les virgules ???)... Je n'ai vraiment pas accroché. Et, d'accord, je veux bien que la romancière avait 20 ans en écrivant ce premier livre, mais j'ai moi-même 19 ans et j'ai parfois eu l'impression de retrouver des phrases que j'aurais pu écrire collège...

- Concernant l'univers, je l'ai trouvé bancal. Bien sûr, comme dans beaucoup de romans young adult l'idée originelle est bonne, mais la mise en oeuvre laisse franchement à désirer. Tout manque de profondeur.

- Enfin, la relation Cassipoée-Gabriel. Comment dire ? Ce livre contient presque 700 pages de déjà-vu. Sauf qu'en plus, tout va beaucoup trop vite. [spoiler]Au début, seule une tension sexuelle stéréotypée vient nourrir cette relation, puis précipitamment elle se transforme en un amour qui sort de nulle part. Sans rire, ils n'ont que très peu de conversations sérieuses pour approfondir leur connaissance de l'autre... et honnêtement j'ai d'autres choses à dire mais cela ne servirait à rien d'épiloguer sur du vide.

En conclusion, je crois que j'ai attendu trop longtemps avant de lire ce livre (peut-être qu'il m'aurait plus plu si j'avais eu douze ans) qui, en soi, n'est pas fondamentalement mauvais, mais qui correspond vraiment à une tranche d'âge. D'ailleurs, je ne sais pas si j'aurais le courage de venir à bout de cette trilogie, quand j'ai eu autant de mal à atteindre la fin de ce tome.
Par contre, je lirai certainement un roman plus récent de l'auteur, pour voir si sa plume a évolué depuis.

Je sens que je vais me faire de nombreux ennemis, mais tant pis : j'ai détesté ma lecture.
À l'animosité qui m'anime quand je pense à ce roman s'ajoute la déception de l'avoir si longtemps attendu. En effet, cela fait plusieurs années que je le vois constamment passer dans la sphère littéraire anglophone et dans les librairies de Londres, si bien que je voulais vraiment le lire pour me faire mon propre avis. J'ai même failli l'acheter en anglais juste avant que Rageot n'annonce sa parution française. Finalement, je crois que j'ai bien fait de le lire en français, autrement ma lecture aurait été encore plus laborieuse.
La plume d'Holly Black n'a absolument rien d'exceptionnel, je la trouve même plutôt médiocre compte tenu du fait qu'il s'agisse d'un roman de fantasy. L'univers créé ne m'a pas paru si bien monté que ce que j'ai pu lire dans divers avis, et ce n'est pas la carte ajoutée en début de roman qui va y changer quoi que ce soit.
Concernant les personnages, ils sont tous détestables, sans exception. Jude et Cardan sont aussi exécrables l'un que l'autre, et les personnages secondaires fortement agaçants (au minimum). Mais je crois que le pire du roman reste encore les relations qui les lient, qui sont toutes tellement malsaines ! Entre Jude qui admet aimer comme son père l'assassin de ses parents et Cardan qui tombe soit disant amoureux d'elle alors qu'il essaie constamment de la tuer, la logique et l'affection pure règnent en maîtres dans ce roman.
En conclusion, je crois que je n'ai pas besoin de préciser que je ne lirai pas la suite.

J'ai détesté ce livre. Enfin, cette chose (que je peine à qualifier de tel car ce serait insultant pour les vrais livres). A vrai dire, cela fait bien longtemps que je n'avais pas autant détesté une lecture. Les personnages sont des clichés ambulants doublés de gros abrutis (que ce soient les principaux comme les secondaires), l'intrigue est sans intérêt voire inexistante, l'écriture est médiocre et tout en vulgarité... et j'en passe.
Je pense que je n'arriverai jamais à comprendre le succès de cette saga. Et quand je pense que des milliers, que dis-je ? des centaines de milliers de perles littéraires demeurent dans l'ombre de romans (aïe ça fait mal) dans le même style... eh bien j'ai envie de me taper la tête contre un mur.
J'ai depuis longtemps perdu foi en l'humanité mais alors là, grâce à ce beau désastre (oui, je sais, elle était facile celle-là), tout espoir pour moi de la retrouver un jour a été réduit à un néant similaire à celui du scénario de cette chose.
Heureusement que je l'ai acheté d'occasion, car cela aurait été douloureux de payer le prix plein pour ces 400 et quelques pages de vide.
Une chose est sûr, ce n'est pas demain la veille que je retenterai le coup avec le genre New Adult.

Alors là, je ne comprends pas ce qui s'est passé. Pire : je ne SAIS pas ce qui s'est passé. Comment Kiera Cass a-t-elle fait pour nous pondre un nullité pareille ? Cette question constitue un mystère des plus obscurs.
Moi qui avait tellement adoré La Sélection étant plus jeune, et qui avait de nouveau passé un agréable moment lors de ma récente relecture de cette saga, je tombe des nues avec La Fiancée. Et pas dans le bon sens de l'expression.
Au départ je ne pensais pas lire ce nouveau roman mais l'ayant reçu en cadeau pour mon anniversaire, j'ai tenté... et je me suis rétamée.
A vrai dire j'ai du mal à trouver un point positif à ce livre tant ses défauts sont nombreux (et je vous épargne un commentaire approfondi sur cette couverture française sans aucune originalité qui ressemble plus à un Photoshop raté qu'à autre chose) ; en un mot comme en cent, rien n'est épargné : les personnages sont plats et l'intrigue incohérente, et le monde imaginé par l'auteure ne possède pas de réel contexte. Les événements (pas si nombreux que ça, ce qui n'aurait pas forcément été un mal si les points soulignés plus haut n'avaient pas eu lieu d'être) s'enchaînent trop vite pour qu'on puisse réellement les assimiler, et c'est particulièrement le cas avec le retournement de situation survenant à la fin du livre, qui tombe comme un cheveux sur la soupe, sans explication réelle. A ce niveau de l'histoire, j'étais si peu intéressée par les personnages et leur pseudo-évolution qu'il m'a d'ailleurs totalement laissée de marbre, alors que je devine qu'il constitue un élément important dans cette intrigue (très bancale).
En ce qui concerne la narration, j'ai trouvé qu'elle manquait cruellement de descriptions, tant sur le physique des personnages que sur les décors dans lesquels ils louvoient (j'ai remarqué que c'était également un peu le cas dans La Sélection mais divers éléments (notamment mon intérêt pour son intrigue et ses personnages tellement supérieurs à ceux de La Fiancée) ont fait que cela m'a moins dérangée qu'ici). En outre, peut-être est-ce dû à la traduction mais plusieurs tournures syntaxiques et répliques ne m'ont pas parues adaptées au contexte aristocratique mis en place, ce que j'ai trouvé fortement regrettable car un laquage plus châtié aurait sûrement pu rendre cette lecture moins fade.
En conclusion, même si je n'avais pas d'attente particulière en commençant ma lecture, je suis tout de même déçue de ce livre qui n'a aucun intérêt selon moi.

Alors là, je ne comprends pas ce qui s'est passé. Pire : je ne SAIS pas ce qui s'est passé. Comment Kiera Cass a-t-elle fait pour nous pondre un nullité pareille ? Cette question constitue un mystère des plus obscurs.
Moi qui avait tellement adoré La Sélection étant plus jeune, et qui avait de nouveau passé un agréable moment lors de ma récente relecture de cette saga, je tombe des nues avec La Fiancée. Et pas dans le bon sens de l'expression.
Au départ je ne pensais pas lire ce nouveau roman mais l'ayant reçu en cadeau pour mon anniversaire, j'ai tenté... et je me suis rétamée.
A vrai dire j'ai du mal à trouver un point positif à ce livre tant ses défauts sont nombreux (et je vous épargne un commentaire approfondi sur cette couverture française sans aucune originalité qui ressemble plus à un Photoshop raté qu'à autre chose) ; en un mot comme en cent, rien n'est épargné : les personnages sont plats et l'intrigue incohérente, et le monde imaginé par l'auteure ne possède pas de réel contexte. Les événements (pas si nombreux que ça, ce qui n'aurait pas forcément été un mal si les points soulignés plus haut n'avaient pas eu lieu d'être) s'enchaînent trop vite pour qu'on puisse réellement les assimiler, et c'est particulièrement le cas avec le retournement de situation survenant à la fin du livre, qui tombe comme un cheveux sur la soupe, sans explication réelle. A ce niveau de l'histoire, j'étais si peu intéressée par les personnages et leur pseudo-évolution qu'il m'a d'ailleurs totalement laissée de marbre, alors que je devine qu'il constitue un élément important dans cette intrigue (très bancale).
En ce qui concerne la narration, j'ai trouvé qu'elle manquait cruellement de descriptions, tant sur le physique des personnages que sur les décors dans lesquels ils louvoient (j'ai remarqué que c'était également un peu le cas dans La Sélection mais divers éléments (notamment mon intérêt pour son intrigue et ses personnages tellement plus supérieurs que ceux de La Fiancée) ont fait que cela m'a moins dérangée qu'ici). En outre, peut-être est-ce dû à la traduction mais plusieurs tournures syntaxiques et répliques ne m'ont pas parues adaptées au contexte aristocratique mis en place, ce que j'ai trouvé fortement regrettable car un laquage plus châtié aurait sûrement pu rendre cette lecture moins fade.
En conclusion, même si je n'avais pas d'attente particulière en commençant ma lecture, je suis tout de même déçue de ce livre qui n'a aucun intérêt selon moi.

Honnêtement, ce premier tome des Prodiges de l'Empire, pourtant prometteur, m'a globalement déçue.
Bien que je doive admettre que l'histoire est bel et bien prenante, je n'ai pas compris certains des choix de l'auteur, comme par exemple

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la mort soudaine et inutile de Daw, l'un des personnages principaux que je commençais tout juste à bien apprécier : en effet, j'ai trouvé qu'elle tombait un peu comme un cheveu sur la soupe, notamment à cause du fait qu'elle survient très soudainement (en l'espace d'à peine un paragraphe et quelques répliques l'histoire est pliée). L'auteur ne s'attarde pas du tout dessus, ce que je trouve un peu étrange étant donné que (je le répète), il s'agissait d'un des personnages PRINCIPAUX du roman.[/spoiler] Même maintenant, alors que j'ai fini le livre, je ne comprends toujours pas l'intérêt de ce choix. Alors certes, la 4ème de couverture nous indique bien une ambiance macabre et la possibilité que la mort frappe souvent, mais tout de même.
En outre, j'ai détesté le personnage de Nancy : [spoiler]la jeune fille use (et abuse) de son pouvoir pour tuer (selon moi) de manière très arbitraire et gratuite quiconque a le malheur de se trouver sur son chemin, et elle se sert un peu trop de ses origines modestes pour excuser et justifier ses actes. Puis survient le moment où la culpabilité la surprend, sauf que la page d'après elle recommence à l'identique, au lieu de partir ou d'essayer de réparer ses erreurs. J'ai trouvé cela très horripilant tout au long de ma lecture.
Enfin, j'ai l'impression que ce roman est constitué à 70% de descriptions sanglantes (et sacrément redondantes), au détriment de l'intrigue, ce qui est très regrettable au vu de son potentiel initial. De mon point de vu, un peu plus de subtilité n'aurait pas fait de mal.
Pour conclure, ce premier tome des Prodiges de l'Empire manquait cruellement de subtilité -- tout était prétexte à tuer et à mourir sans états d'âmes, ce que je n'ai pas trouvé forcément très réaliste. Enfin, je pense que l'auteur, qui je dois l'avouer écrit agréablement malgré quelques répétitions, est passé à côté du potentiel de son histoire.

J’avais très envie de lire une romance se déroulant dans une cadre universitaire quand j’ai débuté ma lecture, mais finalement je suis plutôt déçue (même si je ne m’attendais pas spécialement à un coup de cœur).

J’ai trouvé que Penny était une fille qui ne manquait pas d’originalité mais qui était parfois très énervante ou exaspérante dans ses reactions et ses pensées, j’ai donc eu beaucoup de mal à éprouver de la compassion pour ce personnage. Heureusement, Sam était là pour équilibrer et apporter un peu de positif à mon avis sur ce duo ! C’est un garçon touchant et agréable que j’ai apprécié, contrairement à Penny j’ai beaucoup compati à sa situation et il constitue selon moi le gros point fort de ce livre.
En ce qui concerne les personnages secondaires, aucun ne m’a marquée ou attendrie, ce que je trouve bien dommage puisque cela aurait pu rendre cette lecture un peu plus profonde.
En fait, ce livre est pratiquement uniquement centré sur ses personnages mais malheureusement la grande majorité d’entre eux n’est pas à la hauteur du rôle qui leur est attribué.

En outre, la fin est plutôt bâclée : les toutes dernières pages arrivent beaucoup trop vite, c’est-à-dire que pendant 300 et quelques pages on suit la relation des deux personnages principaux qui reste la même pendant un moment pour qu’à la dernière minute, pouf un nouveau tournent ! (qui d’ailleurs n’en est pas tellement un au vu de l’intrigue super prévisible dès le début du roman).

Enfin, les personnages s’inventent un (faux) problème qui aurait pu être réglé en trois répliques toutes simples mais non, on est en Amérique alors prenons-nous la tête pour un rien ! Ainsi ce « problème » ne rend pas l’intrigue principale très plausible.

En contrepartie, la plume de l’auteur est très simple (voire trop simple) mais se lit facilement et rapidement.

En bref, je suis déçue de cette « romance 3.0 » qui aurait pu être beaucoup mieux « conduite » ou pensée selon moi.

Un peu déçue par ma lecture, je m’attendais vraiment à quelque chose de plus poignant, à un environnement qui me fasse ressentir des émotions fortes.
En ce qui concerne les personnages d’Alex et Jenny, je les ai trouvés très plats, leurs personnalités ne sont pas suffisamment développées et manquent cruellement d’originalité. Malheureusement je suis restée totalement indifférente face à leur relation, moi qui suis pourtant une grande romantique. De plus j’ai trouvé leurs réactions après certains événements ou révélations importantes parfois irréalistes ou peu naturelles.
En outre, on a pas mal de clichés qui rendent parfois l’intrigue un peu lourde.
Malgré tout, j’ai quand même lu ce livre d’une traite grâce à l'écriture simple et fluide de l’auteur.
En somme, je ne sais pas si je lirais le prochain tome, d’autant plus que certains avis que j’ai pu lire dessus me laissent perplexe.

Wow.
Mais alors là, juste... WOW.
Voilà, visiblement c’est la seule pensée plutôt sensée que mon pauvre petit cerveau soit capable de ressortir alors que je viens tout juste de refermer Cress. Parce que... hum... comment vous dire ? CE LIVRE EST ABSOLUMENT GÉNIAL. Voilà, c’est peut-être un peu plus clair comme ça. (Désolée, j’ai toujours un peu d’en mal à ordonner des idées qui soient cohérentes quand je termine un livre comme celui-ci ^.^’)

Alors, par où commencer ? Ok, je vais procéder par étapes. Ce tome est encore mieux que les précédents parce que :

1) je ne me suis JAMAIS ennuyée. Mais quand je dis JAMAIS c’est vraiment JAMAIS. Les événements se succèdent, les retournements de situations laissent parfois la place aux révélations inattendues et c’est absolument délicieux parce que même si parfois je me retenais de grogner de frustration, même si parfois j’avais juste envie de serrer les personnages dans mes bras très très fort, même si parfois je voulais juste pouvoir lever la tête, fermer le livre, poser le livre et crier dans un coussin, et bien je n’y arrivais pas ; j’étais incapable de le lâcher ce fichu bouquin ! Sérieusement, j’ai essayé de faire durer le plaisir, mais je l’ai quand même lu en deux jours ^.^’ Je veux dire : ce livre fait quand même plus de 650 pages et pourtant je ne les ai pas vues passer ; je dirais même que c’était trop court ! Honnêtement, je ne sais pas comment Marissa Meyer fait, mais elle m’a rendue accro à son histoire, à cet univers fascinant mêlant science-fiction et fantastique de la manière la plus plaisante qui soit.

2) les personnages sont vraiment intéressants et/ou attanchants :

– Cinder : elle est beaucoup plus présente dans ce tome que dans le tome précédent et s’affirme beaucoup plus selon moi. Elle finit par prendre des décisions qui marquent (je dirais même bouleversent) l’intrigue, ce qui la rend encore plus appréciable qu’avant !

– Kai : malheureusement il est un peu placé au second plan dans ce tome, mais à chaque fois que je lisais son point de vu j’avais toujours envie de le prendre dans mes bras et de lui alléger un peu son fardeau. Et puis, la fin... han !

– Scarlet et Loup : contrairement à Cinder, ils sont beeeeeaucoup moins présents dans ce tome, cependant comme ils ne sont pas des personnages sur lesquels j’ai particulièrement craqué (contrairement à beaucoup), ça ne m’a pas plus dérangée que ça, bien qu'évidemment je n’ai pas pu m’empêcher de ressentir de la peine pour eux (j’ai quand même un cœur !).

– Cress : aaaaaalors ! Mon opinion sur ce personnage a pas mal évolué tout au long de l’oeuvre, mais toujours dans un sens de plus en plus positif : en effet, au début je la trouvais peut-être un peu trop naïve et innocente (bon en même temps vu le contexte dans lequel elle a grandit, je ne peux pas trop lui en vouloir), voire parfois un peu agaçante. Mais au fur et à mesure que les pages défilaient, elle finit par s’affirmer et s'avère très attanchante :)

– Thorne : quand je l’ai découvert dans le tome 2, il ne m’avait fait ni chaud ni froid. Mais dans ce tome, je dois dire qu’il m’a pour le moins épatée ! Et ça, c’est grâce à Cress : effectivement, je trouve que tous les deux forment une paire absolument parfaite et attachante, et j’ai vraiment hâte de les revoir dans Winter ! :D

– Dr. Erland : j’ai un avis très mitigé sur ce personnage, même si je dois avouer que la fin m’a quand même étonnée.

– Levana : que dire à part qu’elle est toujours aussi détestable ?

– Sybil : je la hais presque autant que Levana. Presque.

– Jacin : dès le début je n’ai pas réussi à apprécier ce personnage, et je reste sceptique quant à son rôle pour la suite.

— Winter : pour le moment, on ne sait pas grand chose de ce personnage, juste qu’elle est un peu folle ; et je ne vais pas vous mentir, je ne suis pas sûre de beaucoup l’aimer ni de vouloir plus la connaître pour l’instant. Espérons que mon avis changera dans le prochain tome :)

– Iko : c’etai vraiment sympa de la retrouver pleinement dans ce tome, elle ajoute une petite touche de fraîcheur qui fait du bien !

3) l’univers de Marissa Meyer est toujours aussi captivant, voire même plus en y réfléchissant bien : j’ai vraiment aimé découvrir différents de ses aspects, c’est-à-dire qu’on voyage en même temps que les personnages, ce qui n’a pas été pour me déplaire ^.^

4) les points de vu se mêlent et s’entremêlent ce qui est vraiment agréable. Alors d’accord parfois ça peut être très frustrant pour nous les lecteurs, mais en même temps tout coïncide, il n’y a vraiment aucune incohérence et ça fait vraiment plaisir de voir que le texte est réfléchi et que rien n’est laissé au hasard !

Mention spéciale à la couverture que je trouve absolument sublime ! (Est-ce que c’est possible de tomber amoureuse d’une image ?)

Voilà, tout ça pour dire que j’ai adoré ce tome, c’est même un coup de cœur :D Une chose est sûre, je vais maintenant me jeter sur Winter et voir si il est à la hauteur de Cress ! J’ai tellement hâte !

Quand j'ai commencé la série Lux, on ne peut pas dire que j'ai été transportée, cependant je trouvais le concept d'extraterrestres original et j'appréciais l'ambiance, ainsi j'ai décidée de lire la suite. Néanmoins, j'ai commencé à me lasser à partir du 4ème tome et j'ai sérieusement fini par m'énerver pour ce dernier tome pour une simple raison : je ne supporte plus Kat et Deamon ! Le fait qu'ils veuillent tout le temps se sauter dessus, et même à des moments vraiment déplacés, qu'il soient désolés par les horreurs qu'ils voient sans vraiment se rendre compte que ce sont eux-mêmes qui les ont provoquées, certains de leurs dialogues tellement... argh ! Tout ceci m'a exaspérée tout au long de ma lecture, et m'a vraiment donnée envie de finir le livre au plus vite. Donc pour le coup, je ne garde vraiment pas une très bonne opinion de ce livre.

Bon... je n'ai pas l'habitude de donner un avis sur chacun des livres que je lis, mais là, un commentaire s'impose.
Lorsque j'ai terminé le premier tome de Phobos, une seule pensée m'a traversée l'esprit : "il me FAUT le suivant". C'est donc pleine de la fébrilité, de l'angoisse et de la tension qui règnent dans le Cupido à la fin du tome 1 que je me suis précipitée le lendemain (c'est-à-dire trois jours avant que je n'écrive ce commentaire) pour acheter ce tome 2... Et quel tome 2 !
Selon moi, Victor Dixen a réussi à surpasser Phobos 1 : tout au long du livre, les révélations s'enchaînent, la tension et (par opposition) l'amitié montent d'un niveau au sein de nos douze astronautes préférés, les rebondissements se succèdent... jusqu'à la fin. Jusqu'à CETTE fin. o_o
Clairement, j'ai hésité entre pleurer, crier et me jeter sur le troisième tome lorsque j'ai fini Phobos 2, cette nuit à deux heures du matin (tellement j'étais incapable de le poser ; ça montre bien à quel point cette série est addictive ^^).
Parce que aucun auteur ne devrait avoir le droit de nous laisser comme ça. Parce que aucun auteur ne devrait pouvoir nous faire apprécier un personnage, nous faire aimer un personnage, nous faire tomber amoureux d'un personnage pour finir avec... ça. Ceux qui ont lui le livre comprendront sûrement du quel je veux parler, et de Léonor ou de moi, je ne sais pas qui a le cœur le plus brisé. Comme c'est écrit dans le livre et sur la couverture, il est maintenant trop tard pour oublier.
En fait, vous savez quoi ? Lisez ce tome 2 et... vous comprendrez.
Bon, moi, je vous laisse, il faut que j'aille dévorer Phobos 3 ;)

Personnellement, j'ai trouvé ce tome 2 des Mystères de Larispem meilleur que le premier (je sais, d'habitude c'est l'inverse !) pour deux raisons :

• Tout d'abord, les trois personnages principaux se rencontrent tous enfin, ce qui crée pour le moins quelques étincelles ;)

• Ensuite, le rythme du texte est beaucoup plus rapide et soutenu que dans le premier tome, grâce aux scènes d'actions et de révélations, qui nous plongent vraiment dans le cœur de l'intrigue, et qui m'ont semblées quelque peu manquantes dans le premier livre.

En fait, à la fin de ce tome, j'ai plus perçu le premier roman comme un gros texte introductif – ce qui est, c'est vrai, le but d'un premier texte de saga, cependant celui-ci en particulier m'a semblé plus plat que sa suite.

Enfin bref, il me tarde de connaître la suite !

Honnêtement je ne m'attendais pas à autant aimer ce premier roman de Lady Helen !
Quand je l'ai acheté, je me suis dis "pourquoi pas" et lorsque je l'ai fini trois jours plus tard j'étais plutôt dans un esprit "mon dieu ce livre est génial !".

• Je ne connaissais pas du tout Alison Goldman mais quelle jolie découverte ! J'ai beaucoup aimé son style d'écriture, fluide avec de belles phrases et des descriptions détaillées mais pas trop assommantes comme c'est souvent le cas, qui nous transporte facilement deux siècles plus tôt dans une époque que je ne connaissais que très peu, voire pas du tout. J'ai été ravie de découvrir et comprendre ce Londres de 1812 avec ses us et coutumes parfois incompréhensibles pour la mentalité du XXIè siècle mais qui m'ont semblé parfaitement mises en place dans le texte grâce au point de vue des personnages.

• En parlant des personnages, bien que certains m'aient tapés sur le système (comme Lady Margaret, Andrew, ou encore – étrangement – le duc de Selburn), je me suis beaucoup attachée à Lady Helen, le fait qu'elle ne corresponde que moyennement à la femme type de la haute société de l'époque, de part sont intelligence et sa curiosité trop développées et malheureusement qu'elle se sent obligée de "cacher". C'est un personnage entier qui ne manque pas de charme !
En ce qui concerne le personnage principal masculin, j'ai également beaucoup apprécié lord Carlston, et je ne saurais vraiment dire pourquoi. Peut-être est-ce à cause du mystère qui plane sur lui et son passé ? Ou bien de ses réactions qui m'ont parfois un peu désarçonnée ? Dans tous les cas, j'ai hâte d'en apprendre plus sur lui dans le deuxième tome !

• Aussi, le monde fantastique qu'a créé l'auteur m'a semblé très rafraîchissant, car il n'est ni question de vampire, ni de loup-garou, ou encore de fantôme, que des sujets vus et revus à toutes les sauces dont je commençais à me lasser... non, là, rien de tout ça ! Les créatures dont il est question dans ce livre sont très originales, et se mêlent parfaitement à l'ambiance du XIXè selon moi. Là encore, j'espère mieux les connaître dans le deuxième tome !

• Enfin, certains dirons que l'intrigue met trop de temps à se mettre en place et que les 200 premières pages sont trop lourdes. Personnellement, je ne l'ai pas du tout ressenti comme ça : c'est vrai que l'intrigue met un certain temps à arriver, mais cela ne m'a pas paru spécialement long, et pour moi ces 200 pages m'ont semblé nécessaire pour comprendre le monde dans lequel vont évoluer les personnages, après ce n'est que mon avis ;)

Pour conclure, j'ai vraiment adoré Lady Helen et le Club des Mauvais Jours, et surtout la romance qui se met gentiment en place, presque trop gentiment à mon goût, étant une grande romantique :)
Cependant, je ne m'inquiète pas trop car le deuxième tome promet de belles choses, que je suis impatiente de découvrir !

(Et mension spéciale pour la couverture française du livre que je trouve absolument sublime !)

J'ai lu ce livre il y a quelques années maintenant et je me souviens que je l'avais dévoré en quelques jours ; c'était la première fois que cela m'arrivait et après ça je suis tombée amoureuse de la lecture ! Donc c'est un peu grâce aux Colombes du Roi-Soleil que j'adore lire, et je conseil cette série à tous les amoureux du XVIIè siècle et à tous ceux qui cherchent un premier roman pour commencer à remplir une étagère :)

J'ai acheté La Conspiration après avoir vu que sur sa quatrième de couverture l'éditeur comparait ce livre à La Selection, qui constitue l'une de mes sagas littéraires préférées... après l'avoir lu, je peux définitivement affirmer qu'il est bien en-dessous.

Je n'ai pas aimé ce premier tome pour plusieurs raisons : le sujet même du livre manque considérablement d'originalité, certaines scènes manquent quant à elles de crédibilité, les personnages principaux sont totalement platoniques, même l'écriture de l'auteur n'est pas transcendante.

Alors j'avoue que je me suis laissée aveugler par l'apparition du titre de La Selection sur la quatrième de couverture, mais en conclusion je peux dire que La Conspiration est l'une de mes plus grosses déceptions littéraires.

Je ne sais pas si je lirai la suite, peut-être car j'ai lu que le tome deux était apparemment bien meilleur, en tous cas je l'espère :)