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Le prince Muichkine arrive à Saint-Pétersbourg. Idiot de naissance parce qu'incapable d'agir, il est infiniment bon. Projeté dans un monde cupide, arriviste et passionnel, il l'illumine de son regard. Par sa générosité, tel le Christ, Léon Nicolaïevitch révélera le meilleur enfoui en chacun. La trop belle Anastasia, achetée cent mille roubles, retrouve la pureté, Gania Yvolguine le sens de l'honneur, et le sanglant Rogojine goûte, un instant, la fraternité. Dostoïevski voulait représenter l'homme positivement bon. Mais que peut-il face aux vices de la société, face à la passion ? Récit admirablement composé, riche en rebondissements extraordinaires, L'Idiot est à l'image de la Sainte Russie, vibrant et démesuré. Manifeste politique et credo de l'auteur, son oeuvre a été et restera un livre phare, car son héros est l'homme tendu vers le bien mais harcelé par le mal.Edition commentée par Louis Martinez.
- Je sais pas, peut-être que c'est ça que je pense.
- Comment, tu sais pas ?
- Comme ça, je sais pas, c'est pas à ça que je pense, pour le moment.
- Et à quoi tu penses donc ?
- Quand tu te lèves, quand tu passes devant moi, moi, je te regarde, je te suis des yeux ; ta robe, elle froufroute, moi, j'en ai le cœur qui se fige, tu sors de la chambre, moi, je repense au moindre mot que tu as dit, et à la voix que tu avais quand tu l'as dit ; toute cette nuit, là, j'ai pensé à rien, j'écoutais, simplement, comment tu respirais quand tu dormais, comment tu as bougé, deux fois...
Un livre dérangeant, un anti héros qui semble subir sa vie comme beaucoup d'entre nous. Dostoïevski nous emmène a travers l'âme humaine et nous fait nous poser des questions sur nous même avec un thème d'une simplicité désarmante
Extravagant, fabuleux. Le maitre Dostoyevsky, c'est juste pas possible d'écrire des histoires aussi géniales, jubilantes, dures, effroyables et de révéler aussi bien l'ambivalence des âmes.
Tout d'abord ça m'étonne de voir si peu de critiques sur ce livre honnêtement.
Je pense que si on partait voir sur des livres de Musso par exemple il y aurait une multitude de retour en plus, c'est regrettable mais bon..
Ce livre raconte l'histoire d'un jeune prince Russe, de retour dans son pays natal après s'être fait soigné en Suisse.
Le prince Muichkine (l'idiot) est un personnage pur, dépourvu de mauvaises intentions, qui fera son entré dans le monde superficiel de la bourgeoisie Russe.
On suivra à travers plusieurs parties, comment ce personnage va influer sur la vie des personnes qu'il va côtoyer, et comment ceux-ci vont déteindre sur lui.
En ce qui concerne mon avis personnel, j'aurais d'abord un conseil à dire : accrochez vous !
Il y a plus de 900 pages, une multitude de personnages (qui en plus de ça possède au moins 3 appellations chacun en moyenne). À ce sujet, vérifiez si dans votre livre il n'y aurait pas un tableau récapitulatif des personnages de l'histoire (ça m'a vraiment beaucoup aidé, sinon on se perd facilement).
Sinon l'écriture de Dostoeivski est prenante. L'histoire, sans être un livre à grand suspens, se laisse lire. Il y a parfois des longueurs (l'écrivain vivait du nombres de pages qu'il sortait, d'où sa nécessité de rallonger l'histoire).
J'ai encore en tête plusieurs dialogues ou réflexions qui m'ont plus (une réflexion sur la peine de mort, le suicide etc...).
Les personnages sont nombreux et pour ne rien arranger, l’auteur prend un malin plaisir à les nommer tantôt par leurs patronymes, tantôt par leurs noms de famille, tantôt par leurs surnoms. Aussi, afin de saisir toute l’intrigue, s’il y en a une, conseillerais-je au lecteur de se concocter, dès les premières pages, un genre d’arbre familial, un petit glossaire nominatif qui lui permettra de suivre ainsi, avec une relative facilité et sérénité, l’histoire.
Si vous ajoutez à cela l’âme slave et ses circonvolutions ( je t’aime, je t’aime plus, je te déteste, mais si je t’aime…), « L’idiot », c’est LE cocktail qui déboussolera à coup sûr le plus féru et le plus motivé des lecteurs.
Même si l’aspect alimentaire y est pour beaucoup ( le livre étant d’abord paru sous forme de feuilleton et Dostoïevski étant payé à l’épisode), on ne peut que s’extasier sur l’inspiration de ce dernier qui réussit à écrire mille pages sur une intrigue réduite aux aventures du Prince Muichkine, être bon, humble et naîf, incapable de vivre et de se défendre en société.
« Pavé » ou « Monument », c’est selon ! Mais nul ne restera insensible à ce livre !
pur délir dans le but de manipuler les lecteurs; on sait pas si on compatit avec le prince muichkine miserable simple d'esprit ou si on le plaint ; il parle bien mais il est sous estimé ou le maudire d'etre a ce point bete
Après quelques mois de lecture au rythme effréné de 2 pages par jour, c'est ce matin que s'est terminé le sprint final des 30 dernières pages ! J'ai trouvé que cette histoire n'est pas atemporelle car je n'ai pas réussi à palper une émotion ni vraiment entrer dans l'intrigue avant ces 30 dernières pages. Ou peut-être faut-il faire partie d'une certaine catégorie sociale où les convenances du 19eme siècle sont encore de rigueur pour comprendre l'ironie de l'auteur ou son sens critique ? Toutefois, il est intéressant de voir apparaître justement ce genre de considération dans l'ouvrage: un prince charmé par un monde dont il ne maîtrise pas les règles mais apparemment habité par des personnes pleines d'énergie positive qui le fascinent. A juste titre ?
J’ai du m’accrocher pour venir à bout de ce pavé de 900 pages, mais le plaisir l’a emporté sur l’ennui et j’ai fini par être captivée par ce texte verbeux certes, avec des longueurs, mais dont la beauté de l’écriture et les rebondissements inattendus interdisent de sauter une ligne et incitent à poursuivre la lecture jusqu’au bout. Tel l’agneau parmi les loups, l’innocent prince Muichkine, irradiant de beauté intérieure, ressortira-t-il indemne de son immersion dans la société mondaine corrompue de St Petersbourg ? Entre rire et larmes, Dostoïevski emmène le lecteur dans les méandres complexes de l’âme slave où se mêlent passions, intrigues, conformisme, flagornerie, compassion, calculs et candeur, pureté et noirceur. Un peu déçue cependant par la fin.
Je crois sincèrement qu'il s'agit d'un grand roman mais hélas je ne l'ai pas lu au bon moment : ce livre ne m'a pas touché personnellement. Cependant, j'ai été impressionnée par l'écriture et la puissance des personnages. Il y a des passages à rire à gorge déployée, d'autres qui nous interloquent, et d'autres qui nous plongent dans le désarroi. Voilà un roman qui nous bouleverse, nous éconduit et finit par nous perdre totalement dans un univers de références et de pensées à la fois exotiques et singulières. Je recommande cette grande oeuvre, mais attendez-vous à lutter contre vos habitudes confortables de lecture.
Résumé
Présentation de l'éditeur
Le prince Muichkine arrive à Saint-Pétersbourg. Idiot de naissance parce qu'incapable d'agir, il est infiniment bon. Projeté dans un monde cupide, arriviste et passionnel, il l'illumine de son regard. Par sa générosité, tel le Christ, Léon Nicolaïevitch révélera le meilleur enfoui en chacun. La trop belle Anastasia, achetée cent mille roubles, retrouve la pureté, Gania Yvolguine le sens de l'honneur, et le sanglant Rogojine goûte, un instant, la fraternité. Dostoïevski voulait représenter l'homme positivement bon. Mais que peut-il face aux vices de la société, face à la passion ? Récit admirablement composé, riche en rebondissements extraordinaires, L'Idiot est à l'image de la Sainte Russie, vibrant et démesuré. Manifeste politique et credo de l'auteur, son oeuvre a été et restera un livre phare, car son héros est l'homme tendu vers le bien mais harcelé par le mal.Edition commentée par Louis Martinez.
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