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Le communicateur d’Eve bipa.
— Excuse-moi. Dallas !
— Dites-moi que vous m’aimez.
— Impossible. Mon mari est à mes côtés. Il pourrait avoir des soupçons.
— Il comprendra, assura Peabody.
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Afficher en entier— Je peux effectuer un diagnostic du système ici, essayer de déceler la dérivation.
Eve se tourna vers Connors et secoua la tête.
— La DDE s’en chargera.
— Dans ce cas, je m’en vais. Lieutenant, un mot, fit-il avant d’ajouter : Bonne chance, Peabody.
— À demain.
— Quel jour serons-nous demain ? s’enquit Eve tandis que Connors l’attirait à l’écart.
— Samedi.
— Déjà ? Comment est-ce possible ?
— C’est la faute de vendredi.
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Afficher en entier( début du premier chapitre, p.9 )
La route était meurtrière, à peine plus large qu'un ruisseau, et aussi sinueuse qu'un cobra entre des buissons croulant sous d'étranges fleurs évoquant des gouttes de sang.
Elle dut se rappeler que l'idée de ce voyage venait d'elle - ah ! l'amour, un autre meurtrier -, mais comment aurait-elle pu deviner que parcourir l'ouest de l'Irlande signifiait mettre sa vie en péril à chaque virage ?
« L'Irlande rurale » songea-t-elle en retenant son souffle tandis qu'ils abordaient un nouveau tournant du Voyage de la Mort. Un paysage parsemé de villes minuscules où les vaches étaient sûrement plus nombreuses que les habitants. Et les moutons plus nombreux que les vaches.
Afficher en entier-Ta femme connait ton cœur et cela fait de toi un homme riche
Afficher en entier-Tu es le battement de mon cœur,le souffle de mon corps, la lumière de mon âme.
Afficher en entier— Pour l’heure, ils ont de l’avance, mais ils commencent à laisser un sacré paquet de miettes de cookies dans leur sillage.
Connors esquissa un sourire en lui caressant les cheveux.
— De miettes de pain, rectifia-t-il.
— Je préfère les cookies.
Afficher en entierLe lit grinça.
— Qu’est-ce que c’est que ça ? s’écria-t-elle. Tu as entendu ? Il y a un mouton dans le placard ?
— Je suis presque sûr qu’ils sont tous dehors. Non, c’est le lit.
Il lui ôta son chemisier en le faisant passer par-dessus sa tête. Eve s’arqua, se laissa retomber.
— Pour l’amour du ciel ! Nous ne pouvons pas faire ça sur un lit parlant ! Tout le monde va savoir ce qui se passe dans cette pièce.
Amusé, Connors lui mordilla le lobe de l’oreille.
— Ils doivent se douter que nous avons des relations sexuelles.
— Oui mais de là à coucher dans un lit qui hurle « Youpi ! »…
Afficher en entier— Bravo, lieutenant. Bon travail pour une pute provisoire.
— Voilà qui en dit long venant d’un nullard parvenu et ambitieux.
— Nous nous complétons à merveille, murmura-t-il en lui prenant la main.
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Afficher en entierElle marcha d’un bon pas vers le nord jusqu’au carrefour suivant, bifurqua, maintint son rythme sur une centaine de mètres. Feeney ouvrit la porte arrière du sous-marin. Elle y monta, se débarrassa de ses escarpins.
— Alors ? Que dites-vous de ma performance ?
— Si j’étais marié avec toi, je serais divorcé.
Connors lui prit la main, l’embrassa.
— Cette femme est une garce, mais c’est la mienne.
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Afficher en entierLorsqu’ils descendirent, un quart d’heure plus tard, Summerset les accueillit, vêtu comme à son habitude de son impeccable costume noir. Eve se demanda s’il se couchait avec, tel un vampire dans un cercueil, mais se retint de tout commentaire, car il tenait un plateau chargé de deux tasses de café à emporter et d’un sachet de bagels à la cannelle.
— Peut-être un jour vous déciderez-vous à vivre ici, tous les deux, observa-t-il.
— Dans ce bouge ? rétorqua Eve en s’emparant d’une tasse.
Connors se servit à son tour et saisit le sac de viennoiseries.
— Merci. Si vous pouviez contacter Caro. Qu’elle s’occupe de la réunion holographique de 8 heures. Je l’appellerai si je dois modifier mon emploi du temps.
— Entendu, répondit Summerset. Peut-être devrais-je lui suggérer d’ajouter la mention « assistant de la police » à votre biographie officielle ?
— Vous êtes méchant.
Affichant un grand sourire, Eve franchit le seuil de la maison, puis jeta un coup d’œil à Summerset et au chat à ses pieds.
— Merci, lança-t-elle.
Sans surprise, son véhicule l’attendait au bas du perron. Comment faisait-il ? s’interrogea-t-elle.
— Au fond, c’est peut-être d’un Summerset que j’ai besoin. Mon Dieu, ai-je vraiment dit ça ?
— J’hésite à te signaler que tu as déjà un Summerset, fit remarquer Connors. Il vient de nous fournir du café et des bagels.
— Je préfère ne pas y penser.
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