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Même si nous ne partagions pas du tout de sang, je t'appellerais toujours ma sœur et je combattrais quiconque essaiera de dire que ce n’est pas vrai. Tu es ma famille.
Donnez à dix enfants un coffre à jouets, et laissez-les y piocher dix jouets différents, sans se soucier de leur genre, de leur religion ou des attentes de leurs parents. Les enfants ont des préférences. Comme pour tous les humains, le danger survient lorsqu’on leur refuse trop longtemps de suivre ces préférences.
La lune s’inquiète. Nous ne savons pas forcément comment nous le savons, mais nous le savons quand même : que la lune surveille, que la lune s’inquiète, que la lune nous aimera toujours, quoi qu’il advienne.
On ne perçoit pas même l’amour, pas vraiment. En observant un enfant de l’extérieur, il est facile de se dire qu’il s’agit d’un objet, d’une poupée conçue et programmée par ses parents pour se comporter d’une façon particulière, en se conformant à un ensemble de règles. Il est courant, depuis les berges hautaines de l’âge adulte, d’oublier que chacun d’entre nous a jadis été un enfant, avec ses propres opinions et ses propres ambitions.
En bref, il est fréquent d’oublier que les enfants sont des humains, et que les humains se comporteront toujours en humains, sans se soucier des conséquences.
Je crois que les règles étaient différentes, là-bas. Tout était question de science, mais la science était magique. Elle ne se souciait pas de savoir si une chose était réalisable, se demandant seulement s’il fallait le faire. Et la réponse était toujours, toujours oui.
— JACK WOLCOTT
Les gens sont des êtres à multiples facettes, Dax, et savoir qu’une partie de toi vient d’un certain endroit ne te définit pas complètement. Ce qui te caractérise réellement, ce sont tes actes.
Eh bien, nous allons recommencer. Vous savez, c’est souvent un long chemin pour sortir de cela, de l’emprise. Mais ça vaut le coup, vous ne croyez pas ? Ne serait-ce que pour toutes celles qui n’ont pas le courage de pousser cette porte.
Voici treize ans que je suis sage-femme et je souffre de notre attitude, à nous les femmes, devant celles qui avortent. Nous ne sommes pas généreuses, ni bonnes, entre nous. Les hommes, médecins et autres, devant l’avortement, ne nous comprennent pas, ne nous aiment pas. Et pourtant, nous créons à deux !
Ça me répugnait d’aller voir un docteur pour la contraception, mais je me suis décidée : il m’a regardée comme si j’étais une prostituée ! Je me suis levée et je l’ai quitté en lui disant ce que j’en pensais.
Alors je prends la pilule sans ordonnance, je demande au pharmacien avec une telle assurance qu’il est convaincu que j’en ai déjà pris. Mais je ne fais aucun contrôle médical. Plus jamais je n’irai trouver un médecin français pour de tels problèmes…
Oui, pourquoi les femmes ne profiteraient-elles pas de ce formidable élan de vie pour prendre enfin leur place dans une société en pleine mue ?
C’est le moment, s’était dit Menie.
Mères, elles le sont, assurément. Mais, contrairement à leurs propres génitrices qui se mouraient d’ennui au foyer, elles travaillent. Et continuent de faire tourner la maison. Qui parle de cela, aujourd’hui ? Qui s’adresse à ces femmes soumises à des journées à rallonge, à des bonshommes qui ne fichent pas grand-chose à la maison et auxquels il faut bien servir à souper lorsqu’ils rentrent à peine plus tard qu’elles le soir ? Qui les écoute, qui les comprend ? Personne !
Je ne veux pas vous manquer de respect, monsieur et madame Barton, mais je ne pense pas qu’on puisse trancher aussi facilement sur la question du racisme. Les gens présentent toujours les choses en disant : « Untel est raciste, untel ne l’est pas, et voilà. C’est réglé. » Mais ce n’est pas aussi simple, vous ne croyez pas ? Quand on a grandi dans un environnement où on traite les gens différemment selon la couleur de leur peau, il y a des idées qu’on assimile, qu’on le veuille ou non. Je pense que la peur d’être catalogué comme des « racistes » peut entraîner certaines personnes à avoir des comportements encore pires, à stigmatiser encore plus les personnes de couleur.
Vous n’avez pas à être le premier à voir quelque chose pour que ça compte. Si vous parvenez à voir les choses différemment, ou à faire en sorte que d’autres gens les voient différemment, si vous arrivez à laisser votre marque et à faire changer les choses en bien, alors ça compte aussi.
Par exemple quand on se comporte de façon vraiment bizarre sans pouvoir s’en empêcher et que le docteur annonce qu’il s’agit du syndrome de La Tourette. C’est plus qu’une simple étiquette ou que de simples mots. C’est une révélation, une explication et un plan de bataille. Les étiquettes de ce genre peuvent vous soulager du poids que vous avez sur les épaules.
Quand on se laisse apprivoiser, on prend le risque de pleurer. il a raison. On pleure un peu. Chaque fois que quelqu'un s'en va, on pleure un peu. L'amour, ça fait mal, quelquefois. Quelque fois, ça fait pleurer