En commençant ce livre, je me rends compte qu éjectas pars sur un sujet, où je ne me sens pas trop a l'aise... la spiritualité.

Je me dis : "Reste cool, ce n'est qu'un livre".
Oui, mais, Stephane s'est quand même inspiré de pièces à conviction d'une enquête qui se situe entre 2003 et 2018.

Mais après avoir discuté 2-3 mots avec lui, en lui disant que les esprits et moi ça fait deux. Je me suis sentie rassurée, de savoir que pour lui aussi, c'est compliqué.

A savoir lequel de nous deux est le plus sadique dans l'histoire? lol

Bon, après avoir dépassée ma crainte et terminé ma lecture, je vous annonce "Qu'un signe d'elle" est mon premier coup de coeur 2024.

Vous l'aurez compris, dans cette lecture nous jonglons entre le normal et le paranormal.
Et je dois avouer que j'ai assez kiffé. Surtout que les personnages sont très attachants. Même si je me suis sentie, à certains moments témoin direct des événements et de leurs tourments.

L'écriture est dynamique.
On enchaine les rebondissements , mais sans révéler.
C'est très addictif, car l'envie de connaitre le fin mot de cette histoire est omniprésente.

Stephane manipule parfaitement son lecteur en jouant avec (mes) nos peurs et le psychologique .

Un thriller, où les codes du genre littéraire sont réunis. Un auteur qui vous manipule. Une lecture addictive.

Êtes-vous prêt à découvrir si Stella à tenue sa promesse?

Lorsque je commence un livre, j'ai pour habitude de ne pas lire la 4éme de couverture. J'ai donc commencé celui-ci sans aucune attente, aucun désir...

Ah si, celui de découvrir la plume de Vincent.

Et quel fut ma surprise, quand après dix pages, je me suis retrouvé engloutie dans la vie ou plutôt dans l'esprit de Victor.
Impossible pour moi de lâcher ce livre.

Il faut dire qu cela lecture est facile, pas de fioritures, de phrases répétitives. L'auteur va à l'essentiel en toute simplicité, cela en est d'autant plus addictif et pour dire vrai, un peu perturbant.
Car Vincent jongle magnifiquement bien entre la psychologie Freudienne et l'aspect malsain, voir malaisant de celle-ci. Jusqu'à en pousser les vices à son paroxysme.

C'est bien simple, je n'ai pas lâché ma lecture avant d'avoir fini.Il est vrai que ce roman n'est pas grand, mais c'est parfait. Tous est dit, dans ces 200 pages.

Et pour terminer, je ne peux as donner mon avis, sans souligner que l'auteur est très jeune et que sa plume est d'une grande maturité.

NB: Enorme coup de coeur pour la couverture

Comme il est doux de revenir a Saint Malo et de retrouver notre trio d'enquêtrices en herbe.

En entamant ce troisième tome, j'espérais découvrir la raison de la disparition de Constant.

Et après un moment de déception ( car mon cote curieuse n'est pas satisfaite à 100%), je suis très heureux e de savoir que nous allons retrouver notre trio pour d'autres aventures.

Dans ce tome, nous allons un peu plus dans la vie Maggie. Nous creusons et avons quelques éléments sur le drame de sa vie.
Bien entendu, sa bonne humeur en prend un coup. Et nous la découvrons plus sensible, en doute avec son avenir, plus émouvante aussi.

Quand a sa descendance, elles suivent le mood de la matriarche.

Même si ce troisième opus est un peu moins "peps", il est essentiel dans la suite des événements. Et ce que j'adore, c'est qu'elles ne restent pas coincées dans leur enquête .
Elles évoluent.

Nous n'avion pas des enquêtes élucidées par trois femmes, mais bien, trois femmes qui vivent et qui enquêtent .
Et ça change tout!

Tellement hâte de retrouver la plume de Mo Malo et de savoir jusqu'où il va les emmener .

Quel joli titre, plein de tendresse.

En commençant ce livre, nous faisons connaissance de Sebastien, jeune papa d'une magnifique petite fille Léa.
Il avait tout pour être heureux, sauf que sa compagne, son amie, son âme soeur, la maman de Léa a disparu le jour de l'accouchement.

Voilé donc trois ans que Sebastien vit entre le bonheur de sa fille et la recherche inlassable de sa compagne.
Jusqu'au jour où un indice lui ouvre la voie.....

S'ensuit alors une course à la vérité, où trahison et incompréhension serant le quotidien de ce jeune papa.

Et pour mieux comprendre, l'auteur, nous balade entre le passé et le présent.

Malgré une lecture agréable, j'avoue être mitigée.
L'écriture est fluide et le rythme est soutenu. Mais j'ai eu du mal avec les personnages.

Bien qu'au début, ils m'ont touchés. Sur la fin, j'avais du mal à les comprendre, les plaindre ( sans doute, le coeur de maman qui parle).

Néanmoins, j'ai passé un excellent moment et je suis curieuse de découvrir les autres romans de Bruno.

Un manoir abandonné,
Des lumières étranges ,
une petite fille curieuse et téméraire.

Nous voilà au coeur de Bruxelles.

J'avais acheté ce livre pour ma fille (la belle excuse ;) ).
En réalité, j'avais envie de découvrir l'autre facette de Salvator.

Et quelle belle surprise !!!

Je me suis faite happer par cette histoire frissonnante et attachante.
Il faut dire que le prologue donne envie de connaitre la suite. Un manoir qui raconte son histoire, quelle belle idée .

S'ensuit la rencontre avec les protagonistes . Et impossible de ne pas succomber au charme de Lisa et au caractère protecteur de son grand frère Luca.

En dehors des frissons, ( oui oui, il y a des frissons dans cette histoire), Salvatore aborde des thèmes très humains, comme l'entraide, le partage et l'empathie.
Le tout, sous une plume légère , dynamique et tendre.

Jolie découverte jeunesse

En fermant ce livre, une seule réflexion me vient à l'esprit : mon dieu, que ce type à du talent!!

Aussi bien, il m'a fallut du temps pour digérer "Le cas Victor Sommer", que celui-ci me poursuit plusieurs jours après avoir tourné la dernière page.

Dans ce flashback, nous découvrons Françoise, la mère tentaculaire de Victor, au début de sa vie.

Et quelle vie!!!

La pauvre n'a pas été épargnée .
Entre violence physique et psychologique, inceste, abandons. Il y a de quoi garder des blessures profondes.

Elle m'a émue, bouleversée, mais aussi dérangée, énervée , voir, mis mal à l'aise.

Avec son deuxième roman, Vincent parvient magnifiquement bien à nous immerger dans chaque personnage . Par leurs constructions, leurs rôles et leurs états psychologique .
Tout est juste et maîtrisé.

Il arrive à nous rendre acteur de notre lecture et à susciter beaucoup d'émotions (du moins pour ma part).

Il m'est difficile d'avoir les mots assez fort pour décrire à quel point ce livre m'a bouleversée.

Mais malgré une lecture immorale et sombre, ce livre m'a enflammé le coeur.

Ce livre est complètement timbré!
(jeu de mot oblige)

Premier roman de cet auteur, que je lis, et certainement pas le dernier. Je découvre avec joie (et des hauts-le-coeur) la plume très percutante de Nicolas Feuz.

Dans ce roman noir (très noir), Nicolas nous entraine dans un décor enneigé de carte postale .
Entre la Suisse romande de Genève, en passant part Lausanne, Crusier et l'Orbre, il nous fait voyager. Tout comme il nous fait voyager entre le passé et le présent.

Il ne nous laisse pas de répit. Au bord de l'infarctus, j'ai enchaîné les chapitres .
Impossible de m'arrêter tant l'écriture est dynamique et addictive.
Quand à l'intrigue, elle est parfaite.
Même si j'avoue avoir compris une grosse partie assez vite. Je me suis faite avoir avec ce final.

En dehors de cet aspect très noir, l'auteur aborde des thèmes sensibles et touchants. Ainsi que tous les traumatismes qui en découlent .

Un thriller coup de coeur, que je vous conseille.

Entre coup de coeur et coup au coeur, ce livre m'a transpercé de part en part.

En vrai, je me suis prise une claque monumentale!!!

Il m'est difficile de mettre des mots après une telle lecture, tout comme il m'a été difficile de lire ce livre d'une traite.
J'ai du faire des pauses, pour pouvoir respirer, j'ai du faire des pauses pour accompagner chaque personnage.

Vous l'aurez compris, les sujets sont difficiles et poignants. Mutilation, viol, génocide, violence, meurtre, rien n'est épargné, pas même mes émotions.

J'ai voyagé entre le Congo et Bruxelles. Et à chaque fois, je ne voulais pas quitter les protagonistes.

Je ne peux pas en écrire plus, Clarence Pitz m'a touchée en plein coeur.

Un récit poignant et envoûtant à lire de toute urgence.

Entre enquête policière et thriller psychologique, le mélange des deux styles de nos autrices, nous donne un roman qui se déguste sans modération.

Nous jonglons entre le passé et le présent, suivant Mathias et son frère Augustin.

Quand ce premier devient l'unique suspect du meurtre de sa femme, Augustin décide de prendre les choses en mains malgré les années de séparation, il fera tout son possible pour reprendre sa place au sein de la famille.

Dans ce roman, où mensonge, trahison et manipulation ce bouscule, nous voguons sur fond d'art aborigène et vignoble bordelais.

Magali Collet et Isabelle Vilain ont réussi à mélanger leurs univers pour nous embrouiller le cerveau avec brio.
Une lecture fluide, percutante et homogène qui ne m'a pas lâché jusqu'au dernier mot.
Un rythme tellement soutenu, qu'on en redemande.

Et pour celleux qui n'ont aucune idée à quoi ressemble les tableaux (comme moi :) ), n'hésitez pas à tourner les pages jusqu'au bout pour scanner les QR code.

Je viens de refermer le couvercle de la boîte......
Et putain que c'était bon!!!

Au début, je pensais suivre une enquête policière, je m'étais armée pour accompagner Jeff dans son enquête, ses doutes et son désarroi.
C'était sans penser que l'histoire allait prendre un virage à 180° et que nous allions nous enfermer dans un chalet ardennais pour un huis clos anxiogène et malsain.

Dans ce chalet, huit inspecteurs de police, tous munis d'une boite contenant des indices sur une de leur enquête "la ronde des boîtes".

L'intrigue est placée, je n'ai plus qu'a me laissée porter. Mais c'set sans compter sur l'auteur qui ne cesse de me retourner le cerveau. Impossible de s'arrêter, à chaque page il donne envie de continuer, à chaque page il nous baigne de plus en plus dans la noirceur humaine. et quand on arrive à la fin, quand on pense que tout est fini, il nous surprend avec ce twist final.

J'ai adoré ce page turner, j'ai adoré la plume atypique, j'ai adore les histoires dans l'histoire, j'ai adoré ces touches d'humour noir à la belge.

Frederic Ernotte, virtuose des mots et des sensations.

Pour peu, ce roman à frôlé le coup de coeur.
La plume de l'auteur nous transporte à travers le temps dans une histoire de rencontres, d'amitié, d'amour.

Tant d'émotions évoqué lors de cette lecture, que j'ai eus le sentiment de rentrer dans l'intimité de l'auteur.

Les personnages sont très attachants et tellement réalistes, que s'en est même perturbant.

Une lecture douce et facile à lire. Des chapitres qui se succèdent en toute facilité, malgré le faite que nous voyageons dans trois époques (mais je vous rassure, aucun risque de s'y perdre).

Si vous voulez un moment d'infini tendresse, de sentiments véritable et de douceur, je vous conseille vivement ce livre.

Ouvrir un livre de Dominique Van Cotthem, c'est comme ouvrir un pan de son passé.
Je me suis tellement sentie touchée, concernée par cette histoire que j'avais l'impression d'avoir ce besoin de connaitre la fin, pour me connaitre moi même.

Durant cette lecture, nous suivons Adele, cette jeune femme tendre, passionnée, soumise et ô combien attachante.
Cette femme que la vie ne va pas épargner. Elle nous emmène dans son histoire, mais aussi dans ses pensées et dans toutes ses rencontres qui vont faire d'elle, qui elle est.

Ce livre est terriblement addictif, tant son contenu est dense et son histoire riche en rebondissements.
Du prologue à l'épilogue, rien n'est mit au hasard. Et malgré la pluie poétique, fine, fluide et riche en vocabulaire, Dominique aborde des sujets délicats et des conditions de vie très percutants.

Je me suis laissée emporter dans ces vignes, dans cette demeure, dans la vie d'Adele, que cela m'a énormément bouleversée.

Résilience, amour et volonté sont les maitres mots de cette pépite littéraire.

Après avoir lu "meurs mon ange", j'avoue que j'avais envie de connaitre, un peu plus, cet inspecteur Karel Jacobs et de découvrir sa naissance au bout de la plume de Clarence.

Une fois n'est pas coutume, je fût conquise par ce thriller noir, percutant et addictif.

Il faut dire que Clarence s'est inspirée de faits divers survenus à Bruxelles, avec des fresques pornographiques, et en fait un excellent roman, où ces fresques sont reliés à des meurtres plus sordides les uns que les autres.

Aves ces chapitres courts, l'auteure maintient le suspens jusqu'au bout.
Elle nous plonge dans uns histoire glauque, mais avec des personnes tellement attachants.
Sans oublier, ces belgicismes, qui donne un côté plus réaliste, pour la belge que je suis; Verdomme!

J'avoue que cela faisait un moment que je n'avais plus ressenti cette adrénaline en tournant les pages et cette envie de savoir la fin, tout en évitant de le terminer.

Merci Clarence

A la base ce livre était pour ma fille, mais j'avoue avoir été intriguée par la 4ème de couverture.

Rien qu'en lisant le résumé, j'y ai senti de la douceur, de la bienveillance, de l'amour et de la résilience.
Et je n'ai pas été déçue.

Tout un condensé d'émotions dans une plume douce et légère.
Eva Binamé nous transmets son amour pour deux régions du monde, Fontvieille en France et Pamparomas au Pérou. Ells nous entraine dans un voyage aux milles ressentis.

Lors de la lecture, j'ai aimé découvrir Esteban, Luz, Louis, et tous les autres personnages qui font, qu'il faut toujours garder espoir en l'humain.

Les chapitres sont courts et le changement de personnage met une dynamique à la lecture.

Un livre que je conseille vivement pour adultes et pour ados.

Quand l'histoire est basée sur des faits reels, cela apporte quelque chose de concret et de réalisme à la lecture.
C'est exactement ce que nous retrouvons dans ce genre de roman.

Laurent Philipparie, criminologue et capitaine de police est bien placé pour nous faire vivre cette histoire de l'intérieur.

Je pensais avoir affaire à un huit clos lors d'une prise d'otages dans un commissariat. mais c'était sans compter sur Germain, ce flic de l'ombre. Qui au-delà de son geste héroïque, va nous emmener dans une enquête qui va bien plus loin de toute attente.

Entre sorcellerie, corruption, manipulation, meurtres, on y retrouve la solidarité, l'entraide et le lien fraternel de la police.
Le tout mené par l'écriture percutante, incisive, addictive de l'auteur qui ne nous laisse pas de répit.

Un premier roman que j'ai ressenti assez intimiste et qui tient ses promesses.

Coup de coeur.

Absolution (religion):
Effacement d'une faute par le pardon.

Absolution ne pourrait être qu'un titre, mais c'est bien plus que ça.
L'envie et l'idée du "pardon" nous suit durant toute cette lecture.

L'intrigue se déroule à Ciney, petite ville belge charmante et rustique. Enfin, c'est comme ça que je l'a connaissais avant de lire ce livre ;).

Dans ce roman nous suivons Michel, l'archétype m^me du flic accro au boulot, qui n'a pas vu que son couple partait à la dérive. Jusqu'au jour de rupture.
Essayant de survivre à cet échec, il va devoir mener de front, une enquête sur une série de meurtres, à la mise en scène plutôt étrange, qui se déroule dans sa ville.

De là, nous allons suivre l'enquête, mais aussi suivre ce détraqué en parallèle.

J'ai très vite compris où cela allait me mener et qui tirait les ficelles. J'attendais avec impatience le moment où il y aurait "ce plus" qui me manquait et je n'ai pas été déçue en arrivant à la fin.

L'écriture est dynamique et fluide.
Assez détaillée pour imaginer certaines scènes. J'aurais voulu que ce vice soit un peu plus poussé, histoire de bien traumatisé.
Les chapitres sont courts et ils commencent toujours par quelques phrases du célèbre groupe Muse, qui donnent le ton.

Je ne me suis pas ennuyée, mais quelques pages supplémentaires ne m'aurait pas dérangé.

Tout commence par cette vieille dame condamnée à une mort programmée.

Cette vieille dame sera notre narratrice. Il ne lui reste qu'une nuit pour nous parler d'elle, de son village, de ses amis, de ses rencontres avec des inconnus, mais surtout avec des célébrités avant que son bourreau, Philippe, mette fin à sa longue vie.

Dans ce roman, nous voyageons entre le passé et le présent, entre deux époques.
Nous partageons les joies, mais aussi les peines de cette dame et de cette famille qui l'accompagne durant toute sa vie.
Nous accompagnons Philippe dans ses doutes et son envie de changer.

Il m'est difficile d'en parler, sans trop dévoiler. Car ce roman ne se lit pas, il se vit.

Et je vous assure que j'ai partagé un repas avec Maupassant, que j'ai écouté Jules Massenet créer sur le piano son fameux Clair de lune.
Que j'ai versé une larme pour certains disparus.
Et que je suis restée sous le choc par cette fin.

Car il faut avouer que Ludovic à l'art et la manière de vous envouter et vous plonger dans son écriture remplie d'élégance, de poétesse, de respect et de passion.

Quel plaisir de retrouver ce trio de choc !
Il m'était impossible d'attendre une autre rencontre avec l'auteur pour découvrir son deuxième opus.

J'ai retrouvé les rochers, les plages et cette ambiance cosy mystery à l'odeur bretonne.

Après avoir élucidé un meurtre au sein de leur hôtel, dans le premier tome.
Ce trio de femmes intergénérationnelles se lance dans une enquête où le maire de la ville est visé.

Elles ne nous épargnent pas les situations cocasses, les dialogues très animés (merci Maggie) et l'humour que l'on retrouve au fil des pages. Elles se livrent, un peu plus, sur leurs passé, leurs envies. Ce coté plus "intimiste" des personnages m'a vraiment plu.

Mo Malo signe, encore une fois, une cosy mystery digne de ce nom, que j'ai pris plaisir de dévorer. Un tome deux qui tient ses promesses, mais qui me fait languir du prochain.

Cela faisait un p'tit moment que j'étais intriguée par les livres de Nadine Monfils.
Il faut dire que les couvertures sont assez attrayantes. Et j'avoue, qu'avoir le prénom de ma grand-mère dessus, me plaisait beaucoup.

En découvrant les premiers chapitres, une seule phrase me vient en tête "Mais pourquoi avoir attendu si longtemps ? Nom d'une pipe ;)

Qui peut avoir l'idée de mettre le célèbre René Magritte et sa femme Georgette en situation de détective privé, tout en respectant le peintre?

J'ai trouvé cela tellement décalé et réaliste.

Oui, oui, le grand Magritte en détective privé. Apres avoir eu la vision d'une jeune femme blonde, avec une robe à fleurs, attendant le tram, debout à coté de son corps, il décide de l'immortalisé dans une de ses oeuvres. et qu'elle ne fût pas sa surprise , quelques jours plus tard, quand Georgette lui montra un article dans le journal, où l'on voit cette même femme blonde assassinée.

Il n'en faut pas plus au couple, pour ce lancer dans une enquête.
Avec le flegme et le culot de René, et la sagesse de Georgette. Ils découvrent certains indices délaissés par la police.
Et c'est ainsi que débute les folles enquêtes de ce duo de choc.

Hormis l'intrigue, ce qui m'a énormément plis, c'est l'incursion des oeuvres de Magritte dans ce roman, avec
le titre ( ce qui m'a donné envie de découvrir toutes ses oeuvres). Mais aussi les références à sa vie. Et si l'auteure ajoute de la fiction, cela est bien stipulé en bas de page.

Quel bel hommage, Nadine Monfils rend à notre patrie. On y retrouve nos villes, ma ville ( Namur et son église Saint Loup);
On y retrouve nos plats, nos artistes, comme Brel, un de mes chanteurs préférés. On y retrouve aussi, ce côté festif et amical.

Bref, chapeau (boule) Madame Monfils pour ce cosy mystery à la sauce belge.

Avez-vous déjà voulu être Benjamin Gates ou Indiana Jones?
Etre un aventurier à la recherche d'indices?

C'est exactement comme ça que je me suis sentie en découvrant les premières pages.

J.S Piers sait vous accrocher dés le début, vous faire réfléchir. Mais jamais vous pouvez imaginer ce qui lie nos six protagonistes de l'histoire.

Entre suspens, fantastique et contes pour enfants, la frontière est mince. Ce qui m'a un peu perturbée pour être franche.

L'auteur à une connaissance incroyable sur l'histoire, la géographie, ...
Il est indéniable que les recherches en amont sont importantes.
L'écriture est fluide, prenante, détaillée.

Un premier roman très prometteur.

Entre le réel et l'imaginaire, seriez-vous faire la différence?

Drogue, sexe, viol, meurtre, torture, espoir, voilà dans quoi je suis rentrée en ouvrant ce livre.

La quatrième de couverture ne laisse pas de doute, cette lecture sera dure.

Et ce fut le cas. J'ai fais un plongeon dans la noirceur humaine, celle qui dérange, qui vous écoeure, qui vous fait souffrir.

Je pourrais vous parler de l'histoire, des personnages, comme Kimy, l'héroïne de ce livre (qui m'a plus que touchée).

Mais je préfère mettre en avant l'écriture de l'auteur. Une écriture choc, celle qui ne tourne pas autour du pot. M'attisas ne mâche pas ses mots, les scènes sont très bien détaillées (même si ce n'est pas toujours facile quand on vit le livre comme un film).
Un l'écriture assez soutenue, qui ne laisse pas de répit, malgré certaines scènes un peu top longue à mon goût.

L'auteur a l'art de manier la noirceur, mais aussi vous faire croire à l'espoir, à un lendemain un peu plus clair.

Mais malgré toute cette horreur........
J'ai adoré!

C'est cru, c'est dur, c'est très noir...
mais tellement addictif.

Mattias Köping, un grand maître dans le thriller noir.

Entre manipulation, trahison, mensonge, vengeance et "Suspicion",
Ophélie nous offre, encore, un roman qui vous attrape aux tripes, vous retourne le cerveau et vous brise le coeur.
Une histoire à quatre voix, où nous nous attachons à chaque personnage, mais les détestons aussi.

J'ai eus la chance de découvrir la plume d'Ophélie avec son premier roman "Héloïse ". Je savais quand entamant celui-ci, je rentrerais dans une spirale psychologique. L'auteure à ce talent fou de décortiquer chaque personnage, de donner l'impression qu'ils sont vivants.

Un souffle de vie dans cette histoire poignante, bouleversante et très noir.

Dans ce roman, l'auteure nous entraîne dans l'arrière du décor d'une enquête policière, d'une enquête d'attouchement sur mineur, d'un delta charroi delta. Nous met en lumière la part de responsabilités de chaque personne dans une affaire ou la suspicion fait loi.

Comme vous l'aurez compris, ce livre m'a marqué, par l'histoire, trop souvent vue lors d'une séparation. Par la plume d'Ophélie, celle qui dés les premiers mots vous envoute, vous rend addictif. Par son talent de rendre les personnages tellement vivants.

Bref, à lire de toute urgence!

Quel bel hommage, l'auteur rend à ses ancêtres bretons.

Mo Malo nous fait découvrir Saint Malo, ses plages, ses rochers, ses rues.
Je me suis laissée embarquer pour un aller simple où J’ai rencontré le clan Corrigan.
Ces trois drôles de dames, aux caractères bien trempés, liés pat les liens du sang.

Alors que l'ex amant, de la doyenne du groupe, est retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel. Elles décident de mener leurs petite enquête.

Un cosy mystère tout en légèreté et en humour, où l'auteur manie parfaitement l'art de nous inclure dans son roman.

J'ai tout aimé, les personnages ( même si cela m'aurait plus d'en savoir un peu plus sur Louise), l'enquête, le décor et l'histoire de Saint Malo.

Ma seule déception.....
Ne pas avoir le deuxième tome sous la main.

Si je pensais passer un moment entre amis, à ce rappeler le bon vieux temps, il n'en est rien.
Les non-dits d'une amitié trop longue, le besoin de se valoriser. Nous découvrons bien vite que ces "amis" ne sont pas aussi soudés et qu'il n'y à que secrets et mensonges.

Durant ce week-end, l'ambiance est pesante et malsaine. au fur et à mesure que les heures passent, Nathalie nous plonge dans la psychologie de chaque personnage. Pas un est épargné.

J'ai adoré ce thriller qui ne m'a pas lâché.`
La lecture est dynamique, pas le temps de se poser, tout s'enchaine pour mon plus grand bonheur.
Quelques pages supplémentaires ne m'aurait pas déplu, histoire de torturer, un peu plus, ces six protagonistes.

Week-end entre amis, un livre à déguster avec un bon verre de vin.

Après l'émouvant "La vraie vie" et le dérangé "Kérosène".

Adeline nous livre un roman qui sort de l'ordinaire. Un roman qui peut à la fois, déranger et émouvoir. Un roman qui bouscule et qui apaise.

Avec "RESTE", nous rentrons dans l'intimité d'un couple, d'un couple dit interdit, d'un amour pur.

C'est une lettre ouverte d'une maitresse à une épouse . Une lettre où je me suis sentie , par moment, un peu curieuse, honteuse de rentrer dans leurs intimités. Mais aussi, à ma place, afin d'accompagner S. dans ce voyage de deuil.

Adeline nous offre un roman plus intimiste, un roman où je suis sûre que tout le monde peut s'identifier à un moment ou un autre.
Elle nous offre une ode à l'amour.

Je n'ai pas su lire ce roman d'une traite.
Il m'a fallut des pauses, afin de respirer.
Il m'a fallut des pauses, pour sécher mes larmes.
Il m'a fallut des pauses, afin d'accompagner au mieux, les personnages.

J'ai adoré ce roman.
Il ne m'a pas touché en plein coeur.
Il s'y est gravé.

"Comme un météore en passant,
Car, même si tout est éphémère
On s'en souvient pendant longtemps."
(les feux d'artifice de Calogero)

Voilà mon ressenti en fermant ce livre.

Salvatore est à son troisième roman........ et quel roman!!!

Dés les premières pages, j'ai été touchée par le sujet: la souffrance/la mort d'un enfant et la culpabilité d'un parent.

Cela pourrait faire penser à une romance contemporaine, mais c'était sans compter sur l'esprit tordu de l'auteur. Car, il installe très vite une sensation oppressante, lugubre et malsaine.
Il manie la psychologie et les traumatismes de chaque personnage d'une main de maître. Avec ses chapitres courts, il ne nous laisse pas respirer.
Et j'adore ça !!!

Sa plume a prit plus d'assurance, de maturité.
Il est moins prévisible. C'est bien simple, je n'ai pas cherché à comprendre, je me suis juste laissée embarquée jusqu'a cet épilogue choc.

MERCI Salvatore pour cette pépite.