En observant le cadavre de son père, Sarah Geringën est saisie d’épouvante. Et quand le médecin légiste lui tend la clé retrouvée au fond de son estomac, l’effroi la paralyse.
Et si son père n’était pas l’homme qu’il prétendait être ?
Des forêts obscures de Norvège aux plaines glaciales de Sibérie, l’ex-inspectrice des forces spéciales s’apprête à affronter un secret de famille terrifiant.
Que découvrira-t-elle dans ce vieux manoir perdu dans les bois ? Osera-t-elle se rendre jusqu’à l’île du Diable ?
Après Le cri et Complot, Nicolas Beuglet nous livre un thriller glaçant, exhumant des profondeurs de l’histoire un événement aussi effrayant que méconnu. Il nous confronte à une question vertigineuse : quelle part de nos ancêtres vit en nous, pour le meilleur et pour le pire ?
-Personne ne va mieux après avoir pardonné ! Personne ! Et vous savez pourquoi ? Parce que ce n’est pas dans notre nature profonde. Le pardon n’existe pas en nous. C’est un pur concept intellectuel déconnecté de ce qu’est réellement l’humain. La vengeance est euphorisante, source de puissance, de vie. Le pardon, c’est l’enterrement de notre amour-propre, c’est la soumission. Et aucun humain sain ne veux vivre soumis.
Je découvre l'auteur au travers de ce roman. J'ai commencé par le dernier tome de la série, mais cela n'empêche nullement la compréhension et je lirais probablement les deux premiers. Très bonne intrigue. J'ai passé un agréable moment de lecture.
Dernier roman d'une trilogie avec l'inspectrice norvégienne Sarah Geringën. Dans "Le cri" l'enquête s'enfonce dans les méandres de la folie à l’hôpital psychiatrique de Gaustad à Oslo. En poursuivant avec "Complot", où dans sa vie personnel la sérénité d'un couple se forme, elle sera appelée sur le crime de la première ministre du pays. Les enquêtes se poursuivent, pour elle, se sera l'incarcération…
On la retrouve à sa sortie de prison, son père vient d'être assassiné! L'enquête sera pour elle officieuse, mais sa ténacité à toutes épreuves ne s'épuisera pas. L'ex-inspectrice, malgré l'éprouvante tragédie, naviguera entre la Norvège et la Sibérie pour découvrir quelques secrets enfouis, qui était son père?!
L'auteur nous entraine avec avidité dans cette intrigue, c'est toujours avec beaucoup de passion que je m'imprègne de ses histoires, il sait tenir le lecteur en haleine. Les lieux, l'environnement aussi font que l'on se blottit dans le récit avec ce paysage froid mais des personnages chocs. Nicolas Beuglet est indéniablement un grand auteur de thrillers policiers et c'est toujours avec un immense plaisir que j'ouvre un de ses romans. Ce sont des histoires qui même lues il y a quelques mois me restent en mémoire, donc une belle réussite dans sa façon de nous harponner…
Voici le dernier tome, tout aussi captivant que les 2 premiers. Un roman plus court, qui se lit très rapidement. Comme Sarah l'héroïne, on a les réponses à toutes les questions que l'on se posait depuis le début, mais la fin ouverte laisse le champ libre à tous les possibles...Une histoire de vengeance, qui trouve sa source dans le passé, passé glauque et peu reluisant du régime soviétique. L'auteur s'est appuyé sur des faits réels, qui font froid dans le dos, mais qui donnent à réfléchir.
Effectivement il est différent des deux premiers. Moins étoffé peut-être je ne saurai dire exactement. J’ai quand même beaucoup aimé, j’en arrive à regretter qu’il soit le dernier de la trilogie mais ça semble logique. Pour préserver la vie des personnages il ne peut y avoir de quatrième opus. L’histoire laisse toujours son empreinte et les références données par l’auteur pour enrichir nos connaissances sont citées à la fin. Nous apprenons au fur et à mesure, malheureusement, les horreurs perpétrées dans le passé. J’adore ça, il n’est pas le seul à faire ça mais j’avoue que lorsque je referme le livre ma culture générale avance encore et encore. Merci Mr Beuglet de remplir un peu plus mon petit cerveau.
Un tome 3 qui s'avère être bien plus décevant que les deux autres. Je ne sais pas trop quoi en pensée. J'ai un petit goût inachevé en lisant ce tome la. Un sentiment d'histoire bâclée, que l'on à vite voulut terminée ou les fils conducteurs sont manquant ou les personnages ont perdu de leur splendeur.
Mon premier Nicolas Beuglet et je n'ai aucun regret ; même si L'Ile du Diable spoil un peu la vie personnelle de Sarah, j'ai adoré cette enquête et les plots twists qu'elle propose !
Ici on suit Sarah dans une enquête bien particulière puisqu'elle va chercher a débusquer le meurtrier de son père qu'elle n'a jamais vraiment connu ; il était assez discret avec ses filles et même sa femme. Sarah va suivre les traces de son père et j'ai adoré découvrir qui était cet homme et son histoire. Et même si le plot twist pouvait se deviner, c'est toujours aussi surprenant de le lire !
J'adore l'inspectrice son rôle est parfait. Nicolas Beuglet nous plonge a chaque fois dans les travers de l'histoire. D'un pays, d'un complot .. J'adore cet auteur et attends ses sorties littéraire avec impatience
Résumé
La vengeance est affaire de mémoire
Le corps recouvert d’une étrange poudre blanche…
Des extrémités gangrenées…
Un visage figé dans un rictus de douleur…
En observant le cadavre de son père, Sarah Geringën est saisie d’épouvante. Et quand le médecin légiste lui tend la clé retrouvée au fond de son estomac, l’effroi la paralyse.
Et si son père n’était pas l’homme qu’il prétendait être ?
Des forêts obscures de Norvège aux plaines glaciales de Sibérie, l’ex-inspectrice des forces spéciales s’apprête à affronter un secret de famille terrifiant.
Que découvrira-t-elle dans ce vieux manoir perdu dans les bois ? Osera-t-elle se rendre jusqu’à l’île du Diable ?
Après Le cri et Complot, Nicolas Beuglet nous livre un thriller glaçant, exhumant des profondeurs de l’histoire un événement aussi effrayant que méconnu. Il nous confronte à une question vertigineuse : quelle part de nos ancêtres vit en nous, pour le meilleur et pour le pire ?
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