J'ai eu du mal à m'habituer aux dessins, mais une fois ce cap franchi, j'ai su apprécier l'histoire. L'attention que Maillard porte envers Péricourt est touchante, c'est un beau récit émouvant.

Une pièce courte et accessible : lecture agréable mais sans plus.... Car l'intrigue reste assez simple. L'originalité d'inverser la hiérarchie entre maître et valet constitue une fine manière de dénoncer les abus de pouvoir de la noblesse sur les membres du personnel.

J'ai lu ce roman car j'ai suivi l'engouement général.
Je ne peux pas dire que c'est de la grande littérature, non pas à cause du sujet abordé mais plutôt à cause de l'écriture. Paradoxalement, c'est grâce à cela que le bouquin se lit vite,sans difficulté. J'ai senti à plusieurs moments que l'auteur cherchait tant bien que mal à rendre certains passages plus réels en l'agrémentant de prétextes inutiles, qui sonnent faux, et dont le lecteur se fiche. Les scènes de sexe sont ce qu'elles sont, peu romantiques, mais c'est ce qui constitue la marque de fabrique du livre.
Malgré tout les reproches que je fais à ce premier tome, j'ai tout de même envie de lire la suite.

Ce livre m'a profondément marquée. L'écriture est magnifique malgré certains passages assez longs, et certaines réflexions philosophiques des personnages sont tellement belles et profondes ! Ce roman nous laisse aussi accéder aux mœurs d'une époque, ce qui est instructif (exception faites aux considérations misogynes de Henry !)
L'admiration sans limite de Basile pour la beauté de Dorian laisse penser à de l'homosexualité.
La progressive et inévitable transformation de Dorian ainsi que la fin du roman ont quelque chose d'effroyable et de monstrueux, monstruosité qui fait paradoxalement toute la beauté de ce récit.

J'ai eu cette bande dessinée après avoir lu le roman d'Oscar Wilde. Les dessins sont magnifiques et le scénario ainsi que certaines réflexions sublimes des personnages sont bien retranscrits.
Même si je n'imaginais pas Dorian Gray comme ça, la touche d'originalité qui fait de cette bande dessinée un très bel ouvrage est le portrait qui est modifié à chaque chapitre.

Ce livre a été une lecture agréable. On ne se perd pas dans l'univers, les noms des différentes régions sont assez faciles à retenir. Le personnage de Katsa est intéressant, mais pourrait être encore mieux développé : en tant que lectrice, le fait que ses pensées soient peu formulées m'a empêché d'avoir beaucoup d'empathie pour elle. Le plus gros bémol de ce roman concerne ses incohérences scénaristiques

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(exemple : comment fait Bitterblue pour avoir un langage aussi développé à 10 ans ? Pourquoi l'auteur ne parle que de l'ascension du col de Grella et pas de sa descente alors qu'elle doit être aussi compliquée physiquement pour Katsa et Bitterblue? )[/spoiler], mais aussi certains moments que j'ai jugé un peu 'bateau'. Le fait que Katsa soit invincible, intouchable, peut être dérangeant parfois, et on se demande à quoi bon continuer la lecture si rien ne peut lui arriver.
Malgré cela, des passages du roman ont rattrapé le coup et m'ont réellement surprise [spoiler]La présence du roi Leck à Lienid, la cécité de Po.... J'ai envie de lire la suite de la saga.

L'originalité de ce roman réside principalement dans sa forme, c'est à dire son écriture en vers libres, rendant sa lecture originale, rythmée et poétique. La construction du récit avec ses retours en arrière rend la compréhension de la relation des personnages plus énigmatique et donc plus captivant. L'histoire d'amour entre Eugène et Tatiana est absolument poignante.

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Je reste déçue par cette fin, qui ne nous suggère pas assez explicitement si les deux protagonistes finissent ensemble .
Ce roman est frais, clair, et agréable à lire, avec un léger bémol sur le fond.

Une bande dessinée touchante et plutôt originale dans sa façon d'aborder le sujet des relations à distance. L'auteur nous fait découvrir la culture vietnamienne : pour ma part, les recherches qu'effectue Maxime autour de sa famille ne sont qu'un prétexte scénaristique afin développer la romance entre le personnage principal et Akiko, ce que je trouve dommage. Même si elle paraissait inévitable,

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la fin reste déchirante, preuve de mon attachement pour les personnages.

Dans cette pièce aux personnages marqués et intéressants à analyser, le style de Racine est fin en plus d'être agréable.

Un conte que j'ai lu sur le tard, cela ne m'a pas empêché de l'apprécier. J'ai lu une version améliorée de Béroult. Le récit est prenant et fluide, il est sans longueur.

Ce comics possède de belles planches, le scénario est plutôt sympa, sans être extraordinaire non plus. Une BD qui se lit plutôt bien.

Ce livre est tout simplement extraordinaire, il m'a profondément marquée. Griffin a fait preuve d'un courage hors norme pour se lancer dans une telle expérience. Son témoignage nous fait réaliser qu'il n'était pas facile d'être un noir aux Etats Unis, surtout dans les Etats du Sud.

Une bande dessinée sans grand intérêt assez drôle, mais pas à mourir de rire non plus : autant lire du Titeuf ! Les dessins ne sont pas super beaux.

Une leçon de vie très émouvante, alliant avec subtilité tragédie et humour. Impossible de rester de marbre face à la palette d'émotions que nous procure ce roman. Je me suis beaucoup attachée à Gus qui est un personnage vraiment drôle. On ne peut pas considérer ce livre comme de la littérature pour ados attardé, car il peut toucher bien plus de monde. Le style de John Green est fluide, c'est très agréable à lire.

J'ai lu cette tragédie maintes fois, et à chaque fois, je ressens la même chose : les poils qui se dressent, le sentiment d'horreur mêlé à celui du dégoût. De mon point de vue, il faut avoir lu cette pièce incroyable et intemporelle.

Un huit-clos for sympathique qui nous raconte avec subtilité et finesse la façon dont un couple brisé se ré-apprivoise à nouveau. Une lecture facile et sans prise de tête.

Ce tome est émouvant. Il est construit sur un flash-back, où l'on comprend comment Minato a réussi à sceller Kyubi en son fils. J'ai aimé ce tome car on apprend à connaître les parents de Naruto. Minato est un personnage génial de part son sang froid et son courage.

Quelle histoire touchante ! L'histoire d'une ado qui se découvre, se cherche, se perd, ne s'admet pas telle qu'elle est, puis s'accepte. Ce récit m'a littéralement boulversée, m'a émue. Je l'ai lu d'une traite tant il m'a plu. Une magnifique leçon de vie.

J'ai trouvé cette BD par hasard dans une librairie, et c'est la beauté de la couverture qui m'a frappée. Cette lecture m'a fascinée, d'une part par ces dessins sublimes et d'autre part par la manière dont la jeune Jbara nous dévoile sa vie. Sans tabou, elle confesse ses erreurs qu'elle assume, par amour pour son dieu. Jbara est l'icone de la femme qui ne pouvait tomber plus bas. L'espoir d'avoir un jour une vie meilleure l'a fait aller de l'avant.
Une très belle BD.

J'ai étudié ce roman pendant mon année de première. Si j'avais dû lire ce livre seule, je n'aurais sans doute pas su apprécier la subtilité de cette lecture. J'ai bien aimé le style de Giono, mélange d'écriture oralisée par endroits et de prose poétique par d'autres (je pense ici à la description du hêtre). Une histoire sombre pour illustrer une réflexion sur l'ennui et le divertissement.

J'ai dû lire ce roman pour le lycée. Une histoire où l'auteur analyse minutieusement les sentiments de ses personnages, qui se doivent de les intérioriser pour ne pas les dévoiler au monde de la Cour. Je me suis perdue entre les rois par-ci, les ducs par là. Le scénario n'a pour moi rien qui ne puisse me faire dire que j'ai aimé cette oeuvre.

J'ai dû lire ce livre pour le lycée. J'aime la poésie, là n'est pas le problème, le problème est que je ne comprenais pas grand chose à ce que je lisais... Des paysages, encore des paysages, toujours des paysages... Fatiguant. Le seul poème que j'ai aimé est "Le pré de mai". Ce livre n'est pas prenant. Lecture horrible ! Je n'ai pas assez de maturité pour savoir apprécier ce genre de lecture.

J'ai lu ce recueil dans le cadre du lycée. Il est vraiment très beau, chaque poème est unique. Baudelaire y dépeint Paris de son époque, mais ne décrit pas que le beau le riche, il décrit aussi le laid, le misérable. J'ai beaucoup aimé par exemple "Les yeux des pauvres". Mais mon préféré reste "Un hémisphère dans une chevelure", blason de la chevelure d'une Réunionnaise. Comme quoi, les rimes et les vers ne sont pas indispensables pour écrire de la très belle poésie.

J'ai dû lire "Le malentendu" pour le lycée. Une petite tragédie qui se lit rapidement et facilement. Une histoire qui, avec du recul, souligne les jalousies qui peuvent exister entre fratries.

Ce drame romantique qui expose son intrigue à Florence au XVIème, réalise en fait une véritable critique du pouvoir de la cité à savoir du duc de Médicis commandé par Charle Quint. Cette pièce est complexe car elle contient une multitude de lieux et personnages, mais n'en reste pas moins déplaisante. Il est intéressant de suivre les évolutions du personnage ambigu de Lorenzo, personnage protéiforme cherchant reconnaissance auprès de républicains en assassinant son cousin le duc Alexandre. J'ai du lire cette pièce par deux fois pour bien la comprendre, je me suis perdue entre tous ces personnages ! Au final, j'ai bien aimé cette pièce, étudiée en première.

Ce conte philosophique, frère aîné de Candide, rend compte grâce au personnage de Scarmentado des travers des religions dans chaque coin du monde , des guerres que celles-ci peuvent engendrer. Un conte qui se lit facilement et qui expose une réflexion sur les religions du XVIIème, mais aussi sur les religions d'aujourd'hui.