Je n'ai pas vraiment accroché à cette BD, j'avais du mal à différencier les différentes protagonistes, l'histoire ne m'a pas emballée.

Encore un roman que je prends au pif à la bibliothèque, juste parce que j'ai été très intriguée par la 4e de couverture... Eh bien, je n'ai pas été déçue!
D'abord, un thème qui aurait pu être dramatique mais qui est super drôle au final: comment un homme tout ce qu'il y a de plus commun va-t-il pouvoir sans sortir après avoir subi un changement de sexe qu'il n'a pas demandé? Cette question est la porte ouverte à tout un tas de blagues et de situations abracadabrantes certes. Mais ce qui est intéressant, c'est qu'on a là l'opinion d'un homme sur le fait d'être une femme, ce que ça demande de différent par rapport au référentiel masculin (dans plusieurs domaines d'ailleurs: vie professionnelle, intimité, mode de vie, etc.). La réponse envisagée par l'auteur tend à être caricaturale par moments, mais c'est celle d'un homme qui s'adapte à la condition de femme. Les "vraies" femmes de l'histoire viennent nuancer le propos... On sent que l'auteur a fait beaucoup de recherches et cela donne un livre plaisant, facile à lire, drôle et bien plus féministe que je n'aurais pu l'imaginer au premier abord. Chapeau, Monsieur Thomas!

Très déçue de ce livre bourré de stéréotypes. Un éloge aux femmes, au courage et à l'amitié mais teinté de remarques machistes.

Je vais aller à l'encontre des autres commentaires parce que j'ai eu du mal à finir ce livre. J'ai trouvé le rythme lent, cette vilaine fille absolument impossible, on peut avoir une enfance difficile sans devenir aussi peste qu'elle.
Le personnage principal était plat, les personnages autour pas follement plus intéressants.
Pour moi, ça ne sera pas un livre dont je me souviendrai et que j'ai eu plaisir à lire.
Une histoire d'amour difficile c'est beau, l'histoire d'un chien et de sa maîtresse, ça ne l'est pas.

Drôle, rapide à lire mais pas la meilleure pièce que j'ai lu. Dommage car je m'en faisais une bonne idée.

Très bonne lecture classique lu dans le cadre d'un projet scolaire mais apprécié tout de même. Les nombreuses métaphores placées sont précise et assez explicite je trouve. Rien à dire.

Mon dieu, ce livre est tellement triste ! Je crois qu'il restera à jamais gravé dans mon esprit...

J'ai été ravie de retrouver Justine Lévy dans ce livre. J'avais déjà lu rien de grave et j'aime le côté frais de l'auteur. On n'a pas l'impression de lire un roman mais plutôt de prendre des nouvelles d'une amie. On s'inquiète pour elle, on se réjouit de ses joies et de la savoir enfin heureuse. C'est un roman tendre et émouvant...

Malgré un style correct, je n'ai pu terminer ce livre.
Trop angoissant, trop négatif.
Une lecture éprouvante.
Les traumatismes de l'enfance montrent bien que la vie d'adulte en sera marquée à jamais.
Pourtant c'est avec beaucoup de courage que Justine se livre sans fioritures.

Un texte magnifique et bouleversant d'amour.
Ce récit m'a bouleversée et fait couler bien de larmes.

Très bel hommage d'une maman à sa fille disparue brutalement après 4 jours de fièvre. Sujet qui me touche profondément .

Très beau texte d'une mère à sa fille et très belle écriture

Pour l'avoir découvert après Rosie Carpe, je n'ai pas été trop prise de court par l'énonciation très particulière du recueil, et qui est peut-être d'ailleurs la « marque de fabrique » de l'écriture de Marie NDiaye. La difficulté à suivre le cheminement de pensée des personnages principaux peut effectivement étonner, voire rebuter et décourager certain·e·s lecteur·ice·s. Les questionnements, doutes, hésitations, souvenirs, etc... ne sont pas présentés de manière linéaire et ordonnée (parce qu'elle l'est peut-être, notre pensée, linéaire et ordonnée ?), ce qui nous amène à progresser dans le texte et la psyché de ses personnages comme par à-coups. Une fois familiarisé·e avec ce mode de voyage, il est difficile de ne pas reconnaître le talent de déconstruction-reconstruction de l'autrice, et cette façon diablement efficace qu'ont ses récits de nous entraîner et nous enfermer dans l'univers bancal, déphasé, parfois malsain, de ses personnages. Je me souviens de Rosie Carpe, et Trois femmes puissantes confirme mon impression : Marie NDiaye semble avoir un don pour créer des personnages qui suscitent un certain malaise. Qu'ils·elles aient eu une enfance malheureuse, qu'ils·elles aient été confronté·e·s à la violence ou qu'ils·elles manquent simplement de ce brin de lucidité et de volonté propre qui caractérise généralement les héro·ïne·s capables d'introspection et d'agir sur leur propre destinée, les personnages que NDiaye développe dans Trois femmes puissantes ont cette particularité de sembler vivre en marge de la vie. Même s'ils·elles ne manquent en rien d'épaisseur et de réalisme, et peut-être à cause de cette même raison, Norah, Rudy et Khady Demba, les personnages centraux de chacun des trois textes, ne sont pas exactement « attachants », et pourtant, on suit leur progression le ventre noué, craignant souvent le pire pour elles·eux. La tension qui anime ces trois récits, distincts mais reliés entre eux par une relation lointaine qui unit chaque personnage aux autres histoires, en rend la lecture prenante, mais aussi parfois étouffante.
Par cette lecture, je me suis sentie comme conviée à partager un moment le fardeau des personnages, et l'intensité de la violence de ce qu'ils·elles vivent et endurent allant s'aggravant jusqu'au dernier texte, j'en suis ressortie pour le moins remuée, voire bouleversée, et convaincue du talent de Marie NDiaye et de l'intelligence de son style. J'ai la chance de n'avoir pour l'instant lu que deux de ces romans, et d'en avoir encore un certain nombre à découvrir !
Avis à celles et ceux qui envisageraient la lecture de Trois femmes puissantes, cela dit : le troisième texte contient des passages plus ou moins explicites qui peuvent être particulièrement durs à lire pour certain·e·s personnes (violences à caractère sexuel).