L'instinct de mort
Auteur
- Jacques Mesrine (Écrivain)
Classement en biblio - 75 lecteurs
extrait
Maison d'arrêt de la Santé. La nuit vient d'étendre son voile sur les souffrances du monde carcéral. Il fait froid, c'est l'hiver. Les lumières se sont éteintes. L'ombre des barreaux se reflète sur les murs délavés des cellules comme pour y emprisonner la seule évasion que représente le rêve.
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un livre auto-biographique de l ennemi public n 1.
un homme hors norme complétement en dehors de la marge. hallucinant, brutal, lucide, un témoignage impressionnant...!
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Personnalité hors du commun, d'une extravagance extrême, soucieux de son image. Mais comme il le dit lui même, d'une violence croissante pour arriver à son extrême.. Une impassibilité inhumaine lors de règlements de compte. Un sang froid indescriptible lors d'attaques à main armé.
Il déjoue les rouages de la police, des prisons et des tribunaux avec une facilité déconcertante.. Etre intelligent à l'extrême, déterminé. Terriblement et horriblement déterminé....
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Mon chéri est un grand fan de Jacques Mesrine depuis toujours et il collectionne ce qu'il peut trouver sur lui. Ce livre lui appartient et je me suis dis que j'aller le lire malgré que j'ai vu les films qu'on a fait sur sa vie avec Vincent Cassel que j'adore. Mais ce livre écrit de sa mains c'est vraiment une pépite, de savoir tout les détails de sa vie marginale c'était une grande aventure. Malgré qu'il soit hors la loi c'était un grand homme comme on en fait plus, avec une sacré paires de co...... 💪🏻💜.
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J'avais envie d'en apprendre un peu plus sur ce personnage emblématique qui a marqué son temps . Quelle époque !
J'ai beaucoup aimé ce livre.
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Étant une grande fan du film et de l'histoire de Mesrine qui était un personnage extraordinaire, je n'ai pas été déçue en lisant son livre. C'était un grand Monsieur même si il était l'ennemi public n°1, je le trouve fascinant. Il faut dire qu'il à quand même bien ridiculisé les forces de l'ordre et la justice. Une figure emblématique du milieu qui perdure par son histoire depuis des années.
Mesrine, le gentil méchant qui montrait du doigt la dureté et les conditions inhumaines des QHS.
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ce livre je l'ai lu peu après la mort de Mesrine, j'avais une vingtaine d'années, et, une révolte sourde envers cette société qui avait assassiné mon héros. Un superbe livre que je relis parfois avec toujours autant de plaisir mais de manière plus sage même si je n'accepte toujours pas qu'on l'ait tué comme un chien ou une bête sauvage
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On en sait un peu plus sur lui , franchement même si ça été réel j'ai adorer son livre , j'étais vraiment dedans comme hypnotiser !!!
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Je n'ai pas réussit à finir ce livre.
Néanmoins, je le trouve passionnant.
Le point de vue de Mesrine, ce grand criminel aux multiples facettes.
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Intéressant d'avoir le point de vue de Mesrine.. maintenant, qui n'en rajoute pas lorsqu'il conte son propre récit? Cela fait partie du personnage, ce côté grande gueule.. qu'il ait ou non grossi ses histoires, ce livre est et reste son point de vue. J'ai aimé son style, il écrit pas mal du tout. Un livre à conseiller si le personnage vous intrigue.. Personnellement j'ai beaucoup aimé..
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tous ce ki est dit dans livre est vrai et il n'y a pas tout car il a ecrit en prison donc voila le grand jacques est parti trop vite
ABATU COMME UNE BETE
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Date de sortie
L'instinct de mort
- France : 2009-11-05 - Poche (Français)
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- 262ème Les livres adaptés sur grand et/ou petit écran (184 participants)
Editeurs
Résumé
Jacques Mesrine enchaîne cambriolages, braquages, enlèvement, et évasions. Il devient "Ennemi public n° 1 " dans les années 70. Il est arrêté en 1973. Emprisonné dans les quartiers de haute sécurité (QHS) de la Santé et de Fleury-Mérogis, il rédige son autobiographie - L'Instinct de mort - dans laquelle, avant même d'être jugé, il assume l'ensemble de sa "carrière". Le 8 mai 1978, Mesrine s'évade du QHS de la prison de la Santé en compagnie de François Besse - une évasion spectaculaire.
Il entame une cavale ponctuée de braquages. L'un de ses objectifs est aussi, par ses actions, de lutter pour la suppression des QHS. Le 2 novembre 1979, Mesrine, "le Grand" comme l'ont surnommé les membres de la brigade de recherche et d'intervention (BRI), est tué par l'antigang, au volant de sa BMW, porte de Clignancourt à Paris. Depuis cette mort, Jacques Mesrine est considéré comme une légende dans notre pays, et une idole chez les jeunes.
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