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Hugo Cabret est orphelin. Son oncle l'héberge dans les combles de la gare dont il est chargé de régler les horloges. Or, le garçon a une obsession : achever de réparer l'automate sur lequel son père travaillait avant de mourir dans l'incendie du musée où il était employé. Hugo est persuadé que cet automate a un important message à lui délivrer... Une fillette amoureuse des livres, un vieux marchand de jouets, hargneux, une clé volée, un dessin mystérieux, un précieux carnet de croquis forment les rouages de cette fascinante énigme.
Brian Selznick, à la fois conteur, dessinateur et concepteur de livres, mêle l'illustration, le roman en images et le cinéma pour créer une forme de récit inédite, et offrir au lecteur une expérience unique. L'invention de Hugo Cabret a reçu la médaille Caldecott 2008, le prix le plus prestigieux aux États-Unis dans la catégorie livre illustré. Il a également été adapté au cinéma par Martin Scorsese en 2011.
Je m’imagine que le monde est une machine géante. Tu sais, dans les machines, il n’y a pas de pièces en trop. Elles ont exactement le nombre et le type de pièces qui leur sont nécessaires. Alors, je me dis que, si l’univers entier est une machine, il y a bien une raison pour que je sois là. Et toi aussi tu as une raison d’exister.
Une histoire très agréable un livre qui change de d'habitude.
Il est très bien, quoi qu'un peu rapide à lire (j'ai pas occupé mes 8h de train avec quoi !)
Pour ceux qui ont du mal à lire des livres longs, n'hésitez pas, la moitié est composé d'images sous forme de film et les pages écrites sont très rarement remplies.
C'est d'abord l'histoire de deux enfants : Hugo livré à lui-même après le décès de son père et la disparition de son oncle, et Isabelle qui est élevée par ses grands-parents. Même s'ils s'entendent comme chien et chat au début, une simple clé autour du cou de la jeune fille va les amener à découvrir un secret extraordinaire. C'est là que l'hommage à un des pionniers du cinéma commence, avec pour cadre le charme du Paris des années 30. Après une époque où la Grande Guerre a bouleversé beaucoup de destins.
Un livre qui se lit et qui se regarde, comme un film muet.. Nous découvrons Georges Melies, sa vie, son œuvre, son génie, à travers les yeux d’un jeune orphelin dont la vie va être profondément chamboulée.
Je pense qu'on peut facilement avoir des à priori sur la littérature jeunesse quand on est adulte, et se dire qu'on est trop vieux pour ça. Rajoutez à ça un livre à l'aspect énorme, de 500 pages, et on a à première vue aucune envie de lire L'Invention de Hugo Cabret.
Grave erreur.
Pour commencer, les dessins. Ils sont magnifiques. L'auteur a fait ses illustrations et les a pensées comme si c'étaient les images d'un film, ce qui va avec le thème de ce livre. Et ça marche.
Ensuite, l'histoire en elle-même. L'auteur s'intéresse au cinéma français, notamment à Spoiler(cliquez pour révéler)Georges Méliès avec poésie, tout en abordant la thématique des automates, des rêves, du passé. Rajoutons à ça des personnages incroyables, et nous avons ce petit bijou. A lire.
Quelle oeuvre, quelle beauté ! On se délecte de la couverture, des illustrations et des courts chapitres. Malheureusement j'aurais préféré le lire avant de voir l'adaptation cinématographique mais remarquez si je n'avais pas vu le film je n'aurais pas eu connaissance de cette oeuvre aux frontières de la science fiction et de ce monde enchanteur fascinant.
J'apprécie l'idée de mélanger textes et dessins. Les dessins sont magnifiques et apportent une valeur ajoutée à l'histoire, ils ne sont pas là en simple décoration. Les personnages sont aussi bien travaillés que les dessins. Cela apporte un véritable équilibre dans la lecture. J'ai beaucoup apprécié.
Résumé
Hugo Cabret est orphelin. Son oncle l'héberge dans les combles de la gare dont il est chargé de régler les horloges. Or, le garçon a une obsession : achever de réparer l'automate sur lequel son père travaillait avant de mourir dans l'incendie du musée où il était employé. Hugo est persuadé que cet automate a un important message à lui délivrer... Une fillette amoureuse des livres, un vieux marchand de jouets, hargneux, une clé volée, un dessin mystérieux, un précieux carnet de croquis forment les rouages de cette fascinante énigme.
Brian Selznick, à la fois conteur, dessinateur et concepteur de livres, mêle l'illustration, le roman en images et le cinéma pour créer une forme de récit inédite, et offrir au lecteur une expérience unique. L'invention de Hugo Cabret a reçu la médaille Caldecott 2008, le prix le plus prestigieux aux États-Unis dans la catégorie livre illustré. Il a également été adapté au cinéma par Martin Scorsese en 2011.
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