Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 654
Membres
1 013 292

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par Lison50

Extraits de livres par Lison50

Commentaires de livres appréciés par Lison50

Extraits de livres appréciés par Lison50

date : 09-06-2017
Contrairement à ce que pourrait laisser supposer le titre, cet ouvrage n'est pas une autobiographie (à ne pas confondre avec "Cavanna raconte Cavanna"). Il s'agit ici d'une compilation de textes parus dans Hara-Kiri.
Pourquoi ce titre alors ? L'ouvrage est paru initialement en 1968 dans la collection « Humour secret » chez Julliard qui était une collection d'anthologies et les bouquins portaient obligatoirement en titre le nom de l'auteur.
Il y a un peu de tout là-dedans : des dessins, des tests, des chroniques, des tableaux comparatifs, des proverbes, des conseils, des fiches biographiques… Tout ça à la manière Cavanna, un Cavanna écrivant dans Hara-Kiri : subversif, iconoclaste, prenant le contre-pied de ses idées et poussant l'argumentaire jusqu'à l'absurde…

Quelques titres :
Test : Êtes-vous un con ?
Bouseux ! Les Parisiennes arrivent !
Tableau comparatif : couples légitimes / couples illégitimes
Le pape existe-t-il ? Toute la lumière sur le mythe le plus fantastique de tous les temps.
Fête des mères : madame, êtes-vous digne de recevoir l'hommage ému de vos enfants…

Et encore, en ne mettant que les titres, j'édulcore ! Vous l'aurez compris, cette anthologie est le genre d'ouvrage à ne pas faire l'unanimité. Aucun risque cependant que vous l'achetiez par étourderie, elle n'est plus éditée depuis longtemps.
Si vous n'êtes pas de ceux à qui Cavanna et surtout Hara-Kiri sont insupportables (mais je parle d'un temps que les moins de vingt ans...), ce bouquin tient encore la route : c'est drôle et pour qui sait lire à travers les textes provocateurs et délirants, se profile bien sûr une certaine satire sociale.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
Le début du roman m'a fait penser au «Bûcher des vanités» : les deux personnages incarnent la réussite américaine et voient leur vie basculer à la suite d'un «accident». Tandis que nous assistons à la chute du héros de Tom Wolfe dans un roman très réaliste, Douglas Kennedy nous embarque dans un récit rocambolesque où son personnage choisit la fuite et saisit l'opportunité de réaliser son rêve, non sans des renoncements cruels.
On aurait pu rester dubitatif devant cette histoire de changement d'identité où il faut bien reconnaître que les circonstances servent admirablement les desseins de Ben Bradford. Mais non, ça marche : Douglas Kennedy nous livre un récit passionnant auquel j'ai tout à fait adhéré grâce peut-être à une certaine simplicité dans la narration, sans procédés faciles, ni effets trop appuyés.
Ce roman n'est sans doute pas de la «grande littérature», mais peu importe : ce qui compte, c'est le plaisir passé en sa compagnie.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
«Le Hun blond» est le premier épisode d'une série de six qui nous entraîne à l'époque mérovingienne, une période de grands bouleversements où les Romains, les Goths, les Francs, les Burgondes… se partageaient le territoire tandis que les terribles Huns déferlaient sur l'Europe.
C'est dans cette série que j'ai découvert avec amusement que l'auteur de «Lettre ouverte aux culs-bénits» possédait de solides connaissances en matière d'histoire des religions, ce qui, finalement, n'est guère surprenant de la part de ce touche-à-tout de génie. Si Cavanna y parle beaucoup de religion, et notamment de celle qui s'impose peu à peu, celle du «dieu cadavre», ainsi que la nomment les barbares, c'est qu'il est important de comprendre comment un roi franc, renonçant aux dieux du Walhalla, en viendra à choisir la voie catholique romaine, accomplissant ainsi un acte fondateur de notre Histoire. Pour l'heure, dans ce premier épisode, ce petit barbare astucieux n'est pas encore né et l'action se situe au temps de Mérovée, son grand-père et de Childéric, son père.
Mais pour autant, ne comptez pas sur l'auteur pour relayer les légendes et miracles qui traînent encore dans les livres d'Histoire : si Geneviève «inspirée par Dieu» prédit qu'Attila épargnerait Lutèce, c'est que son réseau d'informateurs fonctionnait parfaitement bien…
Et bien sûr, les personnages créés par l'auteur, Loup, le hun blond, enfant métis d'un guerrier hun et d'une Franque, et son compère Otto n'ont ni dieux ni maître… Sortes d'humanistes tolérants, pas sexistes, n'aimant pas trop se battre mais redoutables quand ils y sont contraints, ils sont un tantinet en avance sur leur temps.
Voilà une lecture ludique et instructive, le fond historique étant parfaitement documenté. La plume de Cavanna, puissante, colorée, sert admirablement le récit d'un pan de notre Histoire particulièrement violent. Les petites touches malicieuses, la présence de héros imaginaires interférant dans l'Histoire en rendent la lecture tout à fait plaisante.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 16-05-2017
Il est assez rare, dans les romans d'anticipation écrits au siècle dernier et décrivant un futur devenu notre présent, que l'auteur ait vu "juste" en ce qui concerne les progrès technologiques ou les faits de société. Bien évidemment, ce n'était ni le but, ni un gage de qualité mais je suis déçue quand le héros entre dans une cabine téléphonique ou cherche à se procurer des microfilms…
Dans Running man, il est question de télévision et plus précisément de téléréalité. Qu'en était-il de ce concept quand l'auteur a écrit son bouquin ? Au mieux, à ses balbutiements, je suppose. Or, même si, à ma connaissance, une chasse à l'homme avec mise à mort n'est pas à l'ordre du jour, les jeux cruels du Libertel, la télé du régime totalitaire décrit par King, ne sont pas sans similitude avec certains programmes actuels d'une télévision dévoyée. En tout cas, l'esprit est le même.
Je ne suis certes pas la première à le dire mais je pense qu'il faut vraiment souligner l'incroyable créativité de Stephen King, auteur qu'il serait injuste de balayer d'un revers méprisant.
Voilà donc un roman en quelque sorte visionnaire qui nous raconte comment, par désespoir, Ben Richards s'engage dans un jeu télévisé, "La grande traque". Les spectateurs suivent avec avidité ce jeu mortel tout en étant invités à la délation et on se doute bien que Ben va donner du fil à retordre aux chasseurs lancés à sa poursuite... Évidemment, quelques passages à la limite du supportable nous rappellent que même si c'est signé Bachman, nous sommes bien chez King : attention à la fin du bouquin aux projections de dents ou à ne pas vous prendre les pieds dans les intestins répandus au sol…
Mais globalement, un roman simple et efficace avec en prime une scène finale elle aussi prémonitoire, clôturant l'histoire de façon apocalyptique.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
Vous aimez les créatures monstrueuses tapies dans la brume et prêtes à dévorer tout imprudent s’y aventurant ? Les enfants qui s’arrachent les yeux ? Les veines jugulaires qui explosent ? Alors, précipitez-vous sur ce bouquin dans lequel Stephen King s’adonne avec délice à son genre favori.

Bien que très rationnelle, je ne dédaigne pas quelques plongées littéraires dans le monde du fantastique et de l’horreur (enfin, euh… en fait, j’aime ça…). Mais, attention, je ne me laisse pas embarquer facilement ! Il me faut un ancrage bien solide dans le réel, un dosage subtil. Or, Stephen King sort encore une fois l’artillerie lourde et du coup, j’ai souvent décroché : au lieu de frémir de terreur, mon esprit a dérivé et mon attention s’est portée sur les gros rouages de la machinerie de l’horreur. Effet raté. L’auteur m’a perdue en route et je suis la première à le regretter car je reconnais d’indéniables qualités littéraires chez cet écrivain : bien sûr son imagination hors norme mais aussi sa capacité à mettre en place des situations attachantes et à camper des personnages bien vivants, ce qui est loin d’être donné à tout le monde.

Je poursuis cependant mes lectures-relectures des œuvres de Stephen King car ma foi, il arrive assez souvent que le plaisir soit au rendez-vous.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
Dans un seul bouquin, vous aurez non pas un, non pas deux, mais bien trois crimes aux circonstances mystérieuses et défiant la raison à soumettre à votre perspicacité. Bien entendu, vous échouerez à résoudre ces énigmes et c'est l'inénarrable reporter Rouletabille, tête à claques de génie, qui, après bien des tergiversations, vous apportera la lumière.
Un ton ampoulé, un univers qui rappelle celui de Fantômas, un roman policier qui a beaucoup vieilli mais un classique que tout lecteur se doit de lire un jour.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
En ces temps reculés, lorsqu’un roi mourait, selon la loi franque, le territoire était partagé entre ses enfants mâles… ce qui ne favorisait guère l’amour fraternel, chacun des fils ayant pour but de reconstituer le royaume de papa. Pour cela, un seul moyen : assassiner ses frères, voire ses neveux. Le voilà, le sang de Clovis, versé dans les luttes fratricides de sa descendance.

Poursuivant l’épopée mérovingienne, Cavanna nous fait faire un bond dans le temps et nous transporte à l’époque des petits-fils de Clovis. C’est une époque d’une grande âpreté où meurtres, enlèvements, machinations, trahisons, séquestrations, rivalité et haine entre les deux reines, faits historiques avérés, forment une trame propice à un roman d’aventures captivant auquel Cavanna ajoute des détails de son cru, comblant les vides, redonnant vie aux personnages historiques, créant des héros imaginaires interférant dans l’Histoire, le tout avec des touches d’humour et même de tendresse humanisant un peu l’épopée sanglante et cruelle des Mérovingiens.
L'écriture de Cavanna, puissante, imagée, sert admirablement ce roman historique.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 25-04-2017
Séduite, intriguée par ce roman-puzzle, je me suis laissé porter en attendant que des liens se nouent entre des tranches de vie apparemment sans rapport. J'étais sous le charme, lorsque … le soufflé est retombé : une fois le jeu de faux-semblants à peu près éclairci, les liens entre les différents protagonistes établis, je me suis un peu ennuyée, jugeant l'intrigue tirée par les cheveux et les personnages peu crédibles et peu attachants, à moins qu'ils ne se situent dans une sphère poétique à laquelle j'ai été insensible. J'ai refermé le livre avec une impression de «tout ça pour ça», d'une mise en scène bien trop pompeuse pour une histoire plutôt fumeuse.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 24-04-2017
Peu convaincue au début du roman, je suis finalement tombée sous le charme de ce récit atypique et poétique, très profond sous les mots simples. J’ai été touchée par ce père – pas si fou – qui tente de transmettre l’essentiel à son fils. Un très beau moment de lecture.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 24-04-2017
Si je n'ai pas été insensible à la beauté et à la poésie de ce récit atypique, j'ai toutefois regretté que l'auteur n'ait pas jugé bon de nous en donner toutes les clés : le mystère des non-dits m'a laissé un sentiment de frustration et d'inachevé.
Avez vous apprécié ce commentaire ? +1
date : 24-04-2017
Ce roman autobiographique, lu une première fois il y a bien longtemps, m'a profondément marquée.
J'y ai découvert une nouvelle façon d'assembler les mots, un style très personnel à forte puissance évocatrice. J'ai découvert un grand écrivain.
Cavanna a su faire ressurgir son enfance avec une justesse sidérante. La retranscription de l'accent italien est absolument jubilatoire... et attendrissante. Oui, beaucoup de tendresse dans cette autobiographie et surtout un hymne d'amour à son père dont il reparlera encore et toujours...
Je considère cette lecture comme une rencontre avec un auteur, et plus encore, une personnalité, et le début d'une grande aventure littéraire.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 24-04-2017
L'auteur a du talent et je ne doute pas que la beauté picturale de son roman séduira de nombreux lecteurs. Seulement voilà : je n'ai pas été touchée par cette histoire d'amour et je suis restée à grande distance de l'univers de l'auteur. Peut-être la recherche esthétique ne laisse-t-elle pas suffisamment de place à l'émotion, à la passion, au réalisme ? Le style narratif où l'imparfait domine, l'utilisation un peu abusive d'un vocabulaire spécialisé ont achevé de rendre pour moi cette lecture rébarbative.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 23-04-2017
Pearl Buck nous entraîne dans la vie rude et austère d'une paysanne chinoise avec son lot de petits bonheurs et de gros chagrins.
L'écriture, épurée, convient merveilleusement à l'évocation de cette mère courage. Un récit admirable et bouleversant.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 22-04-2017
Décidément, que j’aime Pagnol !
L’histoire de Manon des Sources lui a été racontée quand il avait treize ans par un paysan des collines. Le formidable conteur en a fait un chef-d’œuvre.
Une dramaturgie parfaite, une intrigue passionnante et la magnifique écriture de Pagnol, si souvent louée, émotion, tendresse et humour mêlés. Et les personnages ! Comme il les aime et comme il sait nous les faire aimer, même les plus scélérats… Combien d’auteurs seraient tombés dans le piège du manichéisme et vous auraient fabriqué un Ugolin parfaitement détestable. Pas de ça chez Pagnol : son Ugolin est un personnage nuancé : fripouille, âpre au gain, mais aussi sincère dans ses remords et sa compassion pour ce pauvre Jean de Florette qui se tue à la tâche. D’ailleurs, sans l’influence de cette canaille de Papet, on sent bien qu’il aurait fini par lui « dire » la source… Et tiens, même le Papet on ne peut pas le détester, quand on sait ô combien son châtiment sera à la hauteur de son forfait.
Une œuvre en état de grâce, un classique de notre patrimoine littéraire.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
Après un premier chapitre laborieux, j'ai découvert un roman profond, pétri de charme, riche en thèmes et une histoire d'amour bouleversante, rappelant le mythe de Roméo et Juliette. Une jolie découverte.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 21-04-2017
S'il m'a traversé une ou deux fois l'esprit que les problèmes existentiels de cette petite bourgeoise privilégiée étaient un peu oiseux, je n'en ai pas moins apprécié ce récit élégant et son mode narratif original. Mon premier Simone de Beauvoir !
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0
date : 21-04-2017
Ce roman, au demeurant assez intéressant, souffre selon moi d’une mise en page trop compacte qui rend parfois la lecture un peu ennuyeuse et d’un dénouement parfaitement invraisemblable. Par ailleurs, le narrateur, en se plaçant en retrait, à grand renfort de dialogues indirects et de formules du genre «je suppose que…», «on m’a raconté que…», m’a laissée moi-même à distance du récit et de ses personnages dont les contours sont restés mal définis. En bref, à l’instar du narrateur, je suis restée à la porte de cette villa des femmes.
Avez vous apprécié ce commentaire ? 0


Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode