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Commentaires de livres faits par Lisouille31

Extraits de livres par Lisouille31

Commentaires de livres appréciés par Lisouille31

Extraits de livres appréciés par Lisouille31

date : 14-08-2014
Il comprends aussi que la peur et la colère auraient pu le dévorer, là, dans ce bus. Et qu'il n'avait pas d'autre possibilités que de les projeter hors de lui.
Ses oreilles ont cessé de siffler. des sirènes de police prennent le relais et lui scient les tympans. Ne pas attirer l'attention sur lui Surtout, ne pas attirer l'attention.
Kaleb quitte le bus sans que quiconque cherche à le retenir. Il est intouchable, souverain parmi les fous.
Comme le diable au milieux des enfers.
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date : 14-08-2014
[Extrait du Journal de James C.Clarke pour SENTINEL]

SENTINEL ne doit plus se contenter d'observer et de sermoner.
SENTINEL doit agir et punir, comme au commencement.
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Hélène entendit un bruit sourd.
- Bon sang, c'est moi ! chuchota Hector, furieux.
Hélène le vit alors, caché dans la pénombre, en train de secouer sa main douloureuse.
- Qu'est ce que tu fais là ? siffla-t-elle.
Il contourna une masse sombre sur le sol et s'approcha. Hélène reconnut son duvet - celui qu'elle gardait dans le coffre en bois.
- D'après toi ? rétorqua-t-il, maussade, tout en continuant à agiter la main.
- Du camping ? s'exclama-t-elle, moqueuse.
[...]
- Tu passes toutes les nuit ici ?
- Pas toutes, mais un d'entre nous est toujours là pour te surveiller
[...]
- Et ça ne vous dérange pas de nous espionner ? s'enquit-elle, furieuse.
Hector réprima un rire.
- C'est sûr. Je comprends que tu veuilles garder privées toutes ces conversations sur la politique ou le base-ball. C'est tellement intime, rétorqua-t-il en levant les yeux au ciel.
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Hélène reste silencieuse, accablée par le nombre de Demi-Dieux qui voulaient sa mort. C'était son existence seule qui les empêchait d'accéder à l'immortalité, son existence seule qui empêchait les Dieux de revenir sur Terre et d'initier une énième guerre mondiale. Elle comprenait pourquoi la famille Délos s'était donné comme mission de la protéger, même au péril de leur vie. Et elle osait refuser d'apprendre à se battre...Pas étonnant qu'Hector la déteste !
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Haven et Miles sont déjà là au moment où j'arrive à notre table habituelle. Mais, en voyant Damen assis avec eux, j'hésite à repartir en courant.
- Tu peux rester si tu veux, s'esclaffe Miles, à condition que tu cesse de dévisager le nouveau de cette façon. On ne t'as jamais dit que c'était très impoli ?
Je lève les yeux au ciel et m'installe à côté de Damen, pour leur prouver que sa présence me laisse indifférente.
- Que voulez-vous, j'ai été élevée par des loups, dis-je en déballant mon sandwich avec une nonchalance feinte.
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- [Ever] Exactement, tu as tout compris, je suis un boulet, une catastrophe ambulante en puissance. Mais je suis tout sauf une menace. Parce que je ne suis pas intéressée. Vous aurez du mal à le croire, tellement il est trop beau, trop sexy, trop magnifique, trop sublime ou trop ce que vous voulez, mais je n'aime pas ce Damen Auguste. C'est la vérité, un point c'est tout.
- Euh ... je crois que tu n'as pas besoin d'en rajouter, marmonne Haven, le visage blême, les yeux rivés devant elle.
Je suis son regard et aperçois Damen, avec ses cheveux noirs et soyeux, ses yeux de braise, son corps superbe, son sourire entendu. Mon cœur a des ratés quand il me tient la porte.
- Salut, Ever. Après toi.
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Miles éclate de rire.
- ça, pour le voir, elle l'a vu ! J'ai même cru devoir appeler les pompiers, tellement elle était scotchée.
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Enfin, je crois qu'on n'a pas besoin d'être extralucide pour savoir que, quand les gens veulent un enfant, ils rêvent d'une petit chose gazouillante en layette pastel, et non pas d'une ado blonde télépathe de 1,65 m aux yeux bleus, qui trimbale un bagage émotionnel d'un tonne sur les épaules.
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Page 25 - Ever voit Damen pour la première fois :

Je ne peux pas me défiler indéfiniment ... Je respire à fond et j'obéis.
Et je reste pétrifiée, sans voix.
Miles s'agite, me fais les gros yeux... Bref, il m'envoie tous les signaux possibles et imaginables pour me signifier d'abandonner la mission et de rentrer à la base. Je ne peux pas. C'est-à-dire, j'aimerais bien, parce que je suis consciente d'avoir l'air de la folle que tout le monde croit que je suis, mais c'est impossible. Damen est effectivement très beau avec ses cheveux noirs et brillants qui lui arrivent aux épaules, soulignant ses pommettes saillantes. Quand il soulève ses lunettes de soleil, ses yeux en amande, sombres, profonds, bordés de cils si longs qu'on les dirait faux, me semblent curieusement familiers. Et sa bouche ! Pleine, pulpeuse, la lèvre inférieure un peu boudeuse. Avec un corps délié, musclé, et tout de noir vêtu !
- Euh, Ever . Tu peux te réveiller, maintenant, s'il te plait ? dit Miles avant de se tourner vers Damen. Il faut excuser ma copine, d'habitude elle a sa capuche, précise t-il avec un petit rire nerveux.
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(Kenji à Juliette, p 155)

- Arrêtes-tes conneries, lâche-t-il dans un petit rire sec et rageur. Tu passes ton temps assise à réfléchir à tes sentiments. T'as des problèmes. Bou-hou... Pauvre petite ! Tes parents te détestent, et c'est trop dur, mais tu dois porter des gants pour le restant de tes jours parce que tu tues les gens quand tu les touches. Qu'est-ce qu'on en a à battre ? Tu manges à ta faim et t'as des vêtements sur le dos, que je sache, et un endroit pour aller pisser quand t'en a envie. Tout ça, c'est pas des problèmes. ça s'appelle vivre comme une princesse. Et j'apprécierais que tu grandisse un peu et que t'arrêtes de te trimbaler partout comme si le monde t'en voulait. Parce que c'est nul ! dit-il en contrôlant à peine sa colère. C'est nul et c'est ingrat. T'as pas la moindre idée de ce te tous les autres endurent en ce moment dans le monde. T'en as pas idée, Juliette. Et t'as pas l'air de t'en inquiéter non plus, d'ailleurs.
Alors j'essaie, reprend-t-il, de t'offrir la possibilité de réparer tout ça. Je n'arrêtes pas de te donner l'occasion d'agir différemment. D'aller au-delà de la petite fille triste que tu étais - de la petite fille triste à laquelle tu t'accroches - et de te défendre. Cesse de pleurnicher. Cesse de rester assise dans le noir à te lamenter sur ta tristesse et ta solitude. Réveille-toi ! T'es pas la seule personne à avoir des problèmes de relation avec ton père et un ADN carrément destroy. Tu peux devenir qui tu veux, maintenant. T'es plus avec te parents merdiques. T'es plus dans cet asile merdique, et t'es plus coincée dans le rôle de cobaye merdique de ce foutu Warner. Alors fais un choix, déclare Kenji. Fais un choix et arrête de faire perdre du temps à tout le monde. Arrête de perdre ton temps. OK ?
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J'encoche une flèche, pour parer à toute éventualité. Mais celui qui se faisait tirer s'écroule sans force sur la sable. L'autre, qui le trainait, donne un coup rageur dans le sable, puis, peut-être pour calmer ses nerfs, se retourne et fait tomber le troisième.
Le viage de Finnick s'illumine.
- Johanna ! appelle-t-il avant de se lancer à la rencontre du trio.
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Finnick, ruisselant, magnifique se tientà quelques mètres, un trident à la main. Un filet oscille dans son autre main. I sourit, mais les muscles du haut de son corps restent bandés, prêts à l'action.
- Tu nages drôlement bien, s'émerveille t-il. Où as-tu appris ça, au district Douze ?
- Nous possédont une immense baignoire, dis-je.
- J'imagine.
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[ Johanna à Katniss]
- Ma tenue est affreuse, non ? ma styliste est sans doute la mopins créative de tout le capitole. Nos tributs sont déguisés en arbre depuis 40 ans grâce à elle. J'aurais bien voulu avoir Cinna. Tu as une allure fantastique.
- Oui, il m'a beaucoup aidé à developper ma propre collection de vêtement. Tu devrais voir ce qu'il fait avec du velour.
- J'ai vu. Pendant votre tournée. La robe bleu sans bretelles que tu portais dans le district Deux, la bleu foncé, avec les diamants... Magnifique. J'avais envie de tendre les mains à travers l'écran et de te l'arracher, déclare Johanna.
" Je veux bien le croire, me dis-je, avec quelques lambeaux de chair au passage. "
Pendant que nous attendons les ascenseurs, johanna dégraphe le reste de son arbre, le laisse glisser par terre, et l'écarte d'un coup de pied avec dégoût. Hormis ses mûles verts forêt, elle n'a plus rien sur elle.
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J'entends un bruit de mastication avant même de sentir sa précence à côté de moi, et quand je tourne la tête, je me retrouve à quelques centimètres de Finnick Odair et de ses célèbres yeux verts. il jette un deuxième sucre dans sa bouche avant de s'appuyer contre mon cheval.
- Salut Katniss, me lance t-il comme si nous nous connaissions depuis des années.
- Salut, Finnick, dis-je sur le même ton, malgré la gêne que j'épprouve à me tenir si près de lui, surtout qu'il est pratiquement nu.
- Tu veux un morceau de sucre, me propose t-il en me montrant sa paume qui en contient tout une pile. En principe ils sont destinés aux chevaux, mais quelle importance ? Ils ont la vie devant eux pour croquer du sucre, alors que toit et moi... eh bien, si nous voyons quelque chose qui nous tente, mieux vaut en profiter tout de suite.
[...]
- Non merci, dis-je en parlant du sucre. J'aimerais t'emprunter ton costume, à l'occasion, par contre.
Il est drapé dans un filet doré, noué de manière stratégique à l'endroit du bas ventre, si bien qu'il n'est pas nu à proprement parler, mais c'est tout comme.
[...]
- Comment peut-on s'offir le plaisir de ta compagnie ?
- Avec des secrets, repond-t-il d'une voix douce. Qu'en dis-tu, fille du feu ? Aurais-tu des secrets qui puissent m'interesser ?
- Non, je suis un livre ouvert, dis-je dans un souffle. Tout le monde connait mes secrets, parfois même avant moi.
- J'ai bien peur que ce ne soit vrai. Voilà Peeta qui arrive. Dommage que vous n'ayez du annuler votre mariage. je suis sûr que ça t'as brisé le coeur.
Il enfourne un autre sucre dans sa bouche puis s'éloigne avec nonchalance.


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[ Simon et Jace ]
P 165

- Tu n'as qu'à te considérer comme le rejeton de deux pères pendant quelque temps.
- On ne peut pas avoir deux pères.
- Bien sûr que si. Qui a décrété le contraire ? Il faudrait t'acheter un de ces livres destinés aux jeunes enfants. Tom a deux papas. Bon, je crois pas qu'il en existe un qui soit intitulé Tom a deux papas et l'un d'eux est le mal incarnés. Pour cet aspect-là de l'histoire, tu devras te débrouiller tout seul.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
[ Jace à Clary ]
P 57.

- Alec n'arrête pas de m'envoyer des photos agaçantes avec des légendes du type : " Dommage que vous ne soyez pas là... Non, je plaisante."
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
[Alec] - J'aurais du dû deviner que tu étais la sœur de Jace. Vous avez le même don artistique.
Étonnée, Clary s'arrêta, la pied posé sur la première marche :
- Jace sait dessiner ?
Quand Alec sourit, ses yeux bleus s'éclairèrent, et Clary compris pourquoi Magnus l'avait trouvé aussi séduisant.
- Non, je rigolais ! Il est incapable de tracer une ligne droite.
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- Le thé est servi. Ne restez plantés là comme des imbéciles. Venez au petit salon.
- Il y a un "petit" salon ? s'étonna Clary
- Bien sûr. Où suis-je censée recevoir mes visiteurs ?
- Je vais de ce pas confier mon couvre-chef au majordome, dit Jace.
La voyant lui jeta un regard assassin :
- Si tu étais aussi drôle que tu le penses, mon garçon, tu serais encore deux fois plus drôle que tu ne l'est en réalité.
Elle disparut derrière le rideau avec un gros soupir de mépris. Jace fronça les sourcils :
- Je ne suis pas certains d'avoir compris ce qu'elle entendait pas là.
- Ah bon? répondit Clary. Moi, je vois tout à fait ce qu'elle veut dire.
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- Tiens-toi à l'écart de mes couteaux. Ne touches pas à mes armes sans ma permission.
- Dommage ! Moi qui voulais les vendre sur Ebay... marmona Clary.
- Sur quoi ?
Clary lui adressa un sourire mielleux :
- Un endroit mythique doté d'un immense pouvoir magique.
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Elle se tourna vers Jace :
- En parlant de thé, tu en veux un, jeune homme ?
- Quoi? demanda Jace d'un air distrait.
- Du thé. C'est excellent pour l'estomac et la concentration.
- Moi, j'en veux bien, dis Clary, se rappelant soudain qu'elle n'avait rien mangé ni bu depuis une éternité.
Elle avait l'impression de marcher uniquement à l'adrénaline depuis son réveil.
- Va pour moi aussi, se décida Jace. A condition que ce ne soit pas du Earl Grey, précisa-t-il en plissant son nez fin. Je déteste la bergamote.
[...]
Clary leva un sourcil :
- Tu n'aimes pas la bergamote ?
Jace s'approcha de la petite étagère pour en examiner le contenu :
- Ça te pose un problème ?
- Tu es le seul type de mon âge, à ma connaissance, qui sache ce qu'est la bergamote, sans parler du Earl Grey.
- Oui et alors ? dit Jace d'un air hautain. Je ne suis pas comme les autres types. Et puis, ajouta-t-il en prenant un livre sus l'étagère, à l'Institut, nous suivons des cours de base sur les propriétés médicinales des plantes. C'est obligatoire.
- Je pensais que tu n'étudiais que des matières du genre "sciences du massacre" et "décapitation, premier niveau".
- Très drôle, Fray ! rétorqua Jace en feuilletant le livre.
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Il était minuit, mais le ciel était en feu. Les hautes flammes l'illuminaient, vomissant des torrents de fumée qui avalaient tout sur leur passage. Même la lune. La terre était devenue marécage. Un sol de cendre qu'avaient detrempé les pluies ayant précédé l'incendie. Si seulement il avait plu aujourd'hui ! Genevieve toussa sous l'effet des fumées qui brûlaient sa gorge, au point de rendre sa respiration douloureuse. De la boue s'accrochait à l'ourlet de sa robe, et elle trébuchait à chaque pas sur les plis de tissus épais. Malgrès tout, elle se força à avancer.
C'était la fin du monde. La fin de son monde.
Elle entendait des hurlements mêlés à des coups de feu et aux rugissements acharnés des flammes. Elle entendait les soldats brailler leurs ordres assassins. "Calcinez-moi ces maisons ! Que les rebelles sentent le poid de la défaite ! Qu'il ne reste rien !"
Les hommes de l'union avaient, l'une après l'autre, embrasé les vastes demeures des plantations à l'aide de draps et de tentures imbibées de kérosène. Genevieve avait regardé, l'une après l'autre, les propriétés de ses voisins, de ses amis, de sa famille succomber aux flammes. Dans le pire des cas, nombreux avaient été ceux qui, parmis ses amis et ses parents, avaient également péri, brûlés vifs dans les maisons qui les avaient vus naître.
Voilà pourquoi elle courait, au millieu des tourbillons de fumée, vers l'incendit, droit dans la geule du monstre. Il fallait qu'elle parvienne à Greenbrier avant les soldats. Il ne lui restait guère de temps. Les troupes étaient méthodiques, elles suivaient le cours de la Santee et carbonissaient les habitations au fur et à mesure. Elles avaient déjà réduit en cendres Blackwell. Dove's Crossing serait la suivante, puis Greenbrier et Ravenwood. Le général Sherman et ses armées avaient commencé à mettre le feu aux campagnes des kilomètres en amont de Gatlin. Ils avaient anéanti Columbia et continuaient leur marche vers l'est, détruisant tout ce qu'ils trouvaient sur leur chemin. Lorsqu'ils avaient atteint les abors de Gatlin, le drapeau Confédéré y battait encore. Il n'en avait pas fallu plus pour ranimer leurs ardeurs.
Ce fut l'odeur qui l'imforma qu'elle arrivait trop tard. L'odeur âcre des citrons mélangés aux cendres. Ils brûlaient le verger.
La mère de genevieve avait adoré les citronniers. Aussi, lors de sa visite d'une plantation en Georgie, son père lui en avait rapporté deux plants. Genevieve était enfant, à l'époque. Tout le monde s'était accordé à dire que les arbres ne pousseraient pas, que les froides nuits hivernales de Caroline du Sud les tueraient. Sa mère n'avait pas écouté. Elle avait installé ses arbres juste devant le champs de coton, avait veillé en personne sur eux. Durant les fameuses nuits d'hiver, elle les avaient protégés avec des couvertures en laine qu'elle avait maintenues en place avec la terre afin d'éviter l'humidité. Les citronniers avaient grandi. Si bien d'ailleurs que, au fil des ans, le père de Genevieve en avait acheté vingt-huit de plus. D'autres dames de la ville avaient demandé à leur époux qu'ils leur en offrent aussi, quelques-unes avaient même réussit à en optenir un ou deux. Mais aucune n'avaient su comment les garder en vie. Les citronniers n'avaient paru prospérer qu'a Greenbrier, grâce aux soins de sa mère.
Rien n'avait été en mesure de les anéantir. Jusqu'à aujourd'hui.

(Page 94-95-96)
Début de l'histoire de Genevieve
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