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Commentaires de livres appréciés par livredargent

Extraits de livres appréciés par livredargent

date : 06-07-2020
Mélyssa et son cousin Akhil, vont découvrir malgré eux les origines lointaines de leur famille, qu’une très ancienne civilisation protège. Lorsque Mélyssa se fait enlever, une course intergalactique contre la montre s’engage qui va décider de l’avenir des jeunes gens et du sort de l’humanité entière.
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"- Apparemment on a oublié de te dire que les cinglées n'étaient pas admises dans ce lycée. Alors, tu ferais mieux de retourner dans ton asile.
Ma gorge se noue. Je me dis de laisser tomber, de ne pas aggraver la situation... mais au final, je craque. Autant en finir tout de suite et leur faire comprendre que je ne suis pas du genre à me laisse marcher sur les pieds. Mon silence ne ferait que les inciter à me harceler jusqu'au bac.
Bien que toute ma vie on m'ait répété de rester discrète, dans ce cas précis, c'est déjà raté. On m'a repérée, isolée de la foule, alors ça ne sert à rien de jouer les soumises.
- Les cinglées ne sont pas admises, vraiment ? je lâche en les fusillant tour à tour du regard avant de fixer la meneuse et de faire un pas vers elle. Dans ce cas, qu'est-ce-que tu fiches là ? Ils ont fait une entorse au règlement rien que pour toi ?
Elle me dévisage, les yeux exorbités, les joues rouges de rage. Ses copines, elles, restent muettes, trop choquées pour réagir, tout au moins dans l'immédiat.
Elle s'avance sous mon nez en grimaçant d'un air féroce, mais je ne bouge pas d'un orteil et je continue de la toiser en gardant mon calme.
Elle n'a pas idée de qui je suis. Ni ce dont je suis capable ou de la magie que j’exerce depuis que j'ai accompli ma quête de vision. C'est rien, une insulte, elle s'en tire bien.
Son visage est si près du mien, à quelques centimètres à peine, que je peux distinguer le petit cercle de peau rose encore à vif qui entoure son piercing Marilyn, à gauche au-dessus de sa lèvre supérieure ; elle essaie de m'attraper par l'épaule, sans doute pour me secouer un bon coup et déclencher une bagarre perdue d'avance, car je ne me laisserai pas faire, quand brusquement IL débarque, interprétant une fois de plus son rôle fétiche de noble chevalier blanc envoyé à ma rescousse.
- Ces filles t'embêtent ? s'enquiert-il.
Il empêche l'autre d'aller plus loin en la prenant fermement par les épaules pour l'attirer contre lui, geste qui la réduit instantanément au silence.
Il me fixe d'un œil attentif en ajoutant :
- A moins que ce soit toi qui les embêtes ?
Renversant la tête en arrière, il s'esclaffe d'un rire aussi charmant que charmeur, si bien que les filles m'oublient complètement et reportent toutes leur attention sur lui.
- Désolé pour cette entrée en matière un peu brutale, sourit-il en me tendant la main. Peut-être que je peux encore rattraper ça. On s'est déjà croisés plusieurs fois, je sais, mais jamais présentés officiellement, alors c'est maintenant l'occasion. Je m'appelle Cade. Cade Richter.
Sa main reste en suspens devant moi, mais je ne bronche pas, n'esquisse aucun geste pour la saisir.
- Je sais très bien qui tu es, je réplique, non sans remarquer son petit rictus de plaisir tandis qu'on se fixe d'un air entendu.
On se comprend à l'insu de tous, alors je ne me cache plus.
C'est moi contre lui.
Santos contre Ritcher.
Chasseurs contre Coyotes.
Le match peut commencer."

Chapitre Vingt-quatre, page 228-229.
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Note de l'auteur

Je suis génial.
Sérieusement. Je suis le type le plus génial que vous ayez jamais croisé dans un livre. Ou que vous y croiserez jamais. Personne ne m'arrive à la cheville. Je suis Alcatraz Smedry, l'incroyable, l'hallucinant.
Si vous avez lu les deux premiers volumes de mon autobiographie (et j'espère que oui, sinon je me moquerai de vous plus tard), vous serez sans doute surpris de me voir si positif. J'ai déployer des efforts surhumains dans ces bouquins pour vous amener à me haïr. Dans le tome 1, je vous ai annoncé sans détour que je n'était pas quelqu'un de bien. Dans le tome 2, je vous ai montré que j'était un menteur.
J'avais tort. Je suis en réalité un gars vraiment super, totalement fantastique. Je suis peut-être un poil perso parfois, mais je n'en reste pas moins plutôt prodigieux dans l'ensemble. Je voulais juste que vous le sachiez.
Vous vous souvenez peut-être, après avoir parcouru les deux premiers livres de l'histoire de ma vie (à supposer que mon génie éblouissant ne vous ai pas distrait de ce genre d'information) , que cette série sort simultanément dans les Royaumes Libres et au Chutland. Mes lecteurs des Royaumes Libres (Mokia, Nalhalla et j'en passe) tiennent entre les mains un ouvrage autobiographique dévoilant la vérité sur ma fulgurante ascension vers la gloire. Au Chutland (dans les endroits comme les Etats-Unis, le Mxique, Le Canada ou l'Europe), le tout est publié comme un roman Fantasy afin de déjouer la surveillance des agents Bibliothécaires.
Les uns comme les autres ont besoins de ce livre. Ils ont besoins de savoir que je ne suis pas un héros. Et j'ai finalement décidé que la meilleure façon de vous le prouvez, c'était de vous le répéter, encore et encore, à quel point je suis un être merveilleux, génial, mirifique.
Vous finirez par comprendre.
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Chapitre 1

Et donc j'était là, suspendu la tête en bas sous un énorme oiseau de verre, filant à une vitesse hallucinante au-dessus de l'océan et pas en danger du tout.
Vous avez bien lu. Je n'était absolument pas en danger. Je n'avais même jamais été autant en sécurité de toute ma vie, et ce malgré le vide vertigineux qui s'étendait sous moi. (Ou plutôt au-dessus de moi, vu que je me tenais à l'envers.)
J'avançai avec précaution. J'avais enfilé de gros godillots translucides équipés de semelles spéciales en Verre Grappin, qui me permettait d'adhérer à toutes sortes de parois de verre et m'empêchaient de tomber la tête la première (littéralement) vers une mort certaine.
Si vous m'aviez vu alors, vous vous seriez sans doute dit que, entre le hurlement du vent et les remous inquiétants de la mer, ma position était particulièrement périlleuse. Mais tout est relatif. Vous comprenez j'avais passé toute mon enfance dans une foultitude de famille d'accueil du Chutland, c'est-à-dire en territoire ennemi. Depuis ma naissance, les Bibliothécaires m'avait minutieusement surveillé, dans l'attente du jour ou mon père me ferait parvenir un sac de sable très spécial.
J'avais reçu ledit sac. Ils l'ont volé. Je l'avais récupéré. Et maintenant, je me retrouvais les pieds collés au ventre d'un oiseau de verre géant. Simple, vraiment. Si ce n'est pas clair, permettez-moi de vous conseiller de toujours commencer une série par les tomes 1 puis 2, au lieu de vous lancer directement dans le troisième volume.
Hélas je sais bien que certains Chutlandais ont du mal à compter jusqu'à trois. (Dans les écoles sous contrôle des bibliothécaire, on ne veut pas que vous soyer capables d'effectuer des opérations complexes.) Voilà pourquoi je vous ai préparé ce petit guide, aussi bref qu'utile.
Définition de "Tome 1" : l'endroit idéal pour démarrer une série. Vous reconnaîtrez le "Tome 1" au petit chiffre 1 inscrit sur son dos. Les Smedry dansent de joie quand vous commencez par le tome 1. L'entropie, elle, vous fait les gros yeux pour avoir eu l'intelligence d'avoir organiser le monde.
Définition de "Tome 2" : Le livre à lire APRES le tome 1. Si vous attaquez par le tome 2, je me moquerai de vous. (Bon, d'accord, je me moquerai de vous dans tout les cas. Mais franchement, vous tenez tant que ça à me tendre des perches ?)
Définition de "Tome 3" : Le pire point de départ possible (pour l'instant). Si vous commencez ici, je vous balancerai des trucs à la figure.
Définition de "Tome 4" : et... comment espérez-vous lire celui-ci en prem's, hein ? Je ne l'ai même pas encore écrit. (Vous avez inventé une machine à voyager dans le temps ? Fourbes que vous êtes.)
Or donc, si vous avez zappé ALCATRAZ CONTRE LES OSSEMENTS DU SCRIBE, vous avez loupé plusieurs épisodes capitaux. Notamment : une visite à la légendaire bibliothèque d’Alexandrie, une gadoue au vague goût de banane, des conservateurs spectraux qui rêvent de vous bouffer l'âme, des dragons de verres géants, le tombeau d'Alcatraz Premier et (c'est le plus important) un débat conséquent qu'on retrouve parfois tapies au creux de son nombril. En ne lisant pas ce deuxième opus, vous venez aussi d'obligez un paquet de gens à perdre une minute de leur vie, minute qu'il auraient pu consacrer à autre chose qu'à se coltiner ce résumé. J'espère que vous êtes contents de vous.

De la page 11 à 13. (Version poche).
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"Carole eu soudain une idée qui lui parut lumineuse.
- Dites, vos ne croyez pas qu'il pourrait y avoir un lien entre ce gardien et les profanateurs ?... Enfin, c'est vrai quoi, il a les clés, des informations sur ce que renferment les tombes puisqu’il a accès à touts les documents officiels, et en plus..., il ne m'inspire pas.
- Eh! eh! comme tu y vas! D'accord, l'hypothèse est tentante, mais il faut être honnête! C'est justement parce qu'il connaît bien que je ne voit pas ce qu'il trafiquerait avec ses salopards. Lui, il a les moyens de savoir où se trouvent les tombes intéressantes. Je te rappelle qu'on ne s'est encore attaqué qu'as des familles modestes, pour ne pas dire franchement démunies-entre nous, c'est à n'y rien comprendre! Pourquoi il prendrait le risque de perdre sa place pour des clopinettes ?"

Chapitre 6, p.65.
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date : 03-08-2016
"Puis il fit passer des documents à Jonah. C'étaient des photocopies de fragments de papyrus couverts de symboles hiéroglyphiques. La plupart des signes étaient à peine visibles. Des taches les recouvraient ou le temps les avait effacés. Cependant, Jonah en identifia quelques-uns et compris ce qu'il regardait.
- C'est un message chiffré avec une scytale. Une simple transposition de matrices.
Patch fronça les sourcils.
- Une simple quoi ?
- Une façon de mélanger des caractères, de fabriquer un code.
- Et qu'est-ce qu'une scytale ? questionna Connie.
- C'est un cylindre en bois d'un diamètre défini. Les Grecs, Les Égyptiens s'en servaient pour transmettre des messages chiffrés. Tu prends une bande de papyrus que tu enroules Autour de la scytale en spirales parallèles. Puis tu places le cylindre à l'horizontale et tu rédiges le texte transversalement, en inscrivant un caractère sur chaque spire.
- Et si tu n'as plus de place au bout du cylindre ?
- Tu crées une nouvelle rangée de caractères en dessous de la première et ainsi de suite. Quand tu as fini, tu déroules la bande de papyrus et le message devient alors incohérent. Jusqu'à ce que la personne à qui tu l'as transmis l'enroule autour d'une scytale d'un diamètre identique afin de pouvoir le décrypter.
Il décrocha un regard narquois à Coldhardt.
- Vous auriez pu apprendre tous ça en consultant un livre. Vous n'aviez pas besoin de mon aide.
Cette fois, Coldhardt ne lui rendit pas son sourire.
- Les fragments font partis d'un message chiffré, élaboré par des militaires de Sparte, et dont la date remonte au IVe siècle avant Jésus-Christ. J'aimerais que tu le décryptes.
-Vous avez un scytale sous la main et le reste du papyrus ? Un cours intensif de grec ancien me semble également nécessaire.
- Je crois que tu ne me prends pas au sérieux. Et sincèrement, tu le devrais.
Coldhardt fit un geste vers l'ordinateur.
- Ça, c'est ton seul outil de travail. Dis-moi ce que contient le message.
Alors c'était ça, le test inévitable.
- Et en échange, qu'est-ce que je gagne ?
- Un nouveau départ. Une vie de rêve pour la plupart des jeunes de ton âge.
Jonah baissa les yeux vers les fragments de papyrus. Il avait perdu tellement de temps en prison : pas d'ordinateur, pas de défi à relever. Et là, soudain, il se trouvait dans un monde totalement différent où on lui ordonnait de faire quoi ? Ce qu'il aimait.
Que pouvait-il être écrit qui fût si important ?
Il se rendit compte qu'il mourait d'envie de le découvrir.
Sans un mot, il se le va et se dirigea vers le bureau. Quand Coldhardt s'effaça pour le laisser passer, il sentit un parfum subtil émaner de lui. Jonah étudia l'ordinateur, repéra une icône Internet sur l'écran et cliqua deux fois dessus. Aussitôt, l'ordinateur lui demanda le mot de passe. Jonah pensa à questionner Coldhardt puis se ravisa. Autant faire preuve d’initiative.
En quelques secondes, il pénétra dans le compte de l'utilisateur. Il réamorça le gestionnaire et supprima tous les mots de passe des utilisateurs. Il redémarra l'ordinateur en mode "sans échec", puis créa un nouveau compte Windows pour lui-même. Un compte qui lui autorisait l'accès à tous le système. Il vérifia la connexion Internet. Comme il s'en doutait, celle-ci était sécurisée, le trafic des données était crypté.
Jonah n'avait que des fragments du texte pour travailler, mais la difficulté le stimulait. Une scytale permettait d'établir un code relativement simple. En employant une méthode de vérification par regroupements, il finirait par décrypter le message. Un an plus tôt, il avait crée un répertoire sur un serveur local, un dossier caché dont il était le seul à connaitre son emplacement. Le dossier contenait des logiciels de décodage et des algorithmes qu'il avait acquis ou conçus au cours des années, et pouvait être téléchargé quand il en avait besoin. Ce qu'il s'empressa de faire.
Bien sûr, il y avait des obstacles. Bien qu'il puisse remplacer la scytale par une grille, il n'avait pas de moyens de connaître la longueur du message et donc, la taille de la grille mais si c'était un message militaire, c'était probablement un ordre bref ne contenant pas plus d'une centaine de caractères.
Il y a longtemps, Jonah avait créé un code qui pouvait calculer diverses permutations. Mais il lui fallait se connecter à un logiciel de traduction capable de repérer des mots de grec ancien mêlés à un charabia. Avec ses talents et un peu d'intuition, il y arriverait...
Peu à peu, Jonah se laissa absorber entièrement par son travail. Au cours de sa vie, n'importe où et en n'importe quelle circonstance, il s'était toujours senti chez lui face à un ordinateur. Celui de Coldhardt était plus puissant que tous ceux dont il s'était servi jusqu'ici. A une vitesse inouïe, le logiciel vérifiait par recoupements des milliers de tailles et de matrices en les comparants à des millions des substitutions de caractères, essayant de décrypter le code.
Mais à mesure que les minutes s'écoulaient, Jonah devina qu'il y avait un os quelque part. Et naturellement, le logiciel lui annonça qu'il n'y avait aucune combinaison possible. Soit le logiciel de traduction était défectueux, soit la technique de déchiffrement du mystérieux messages'avérait plus complexe que prévu.
Sur le bureau, Jonah remarqua l'ombre de Coldhardt. Il chassa ses doutes. Il fallait qu'il décode le message et il y parviendrait. S'agissait-il d'une substitution de colonnes ? Probablement pas. L'expéditeur du message aurait été obligé de recopier les caractères inscrits sur la scytale sur une grille, puis de changer l'ordre des colonnes avant de retranscrire le texte sur une nouvelle bande de papyrus. Son destinataire aurait été contraint de procéder de la même façon, mais à l'envers. Trop compliqué.
Mais peut-être que l'importance du message justifiait de telles précautions, et donc, un système cryptographique complexe.
Il agrandit la taille des grilles possibles, se connecta à un nouveau logiciel pour vérifier sa théorie. Allez, allez...
Bingo !
Le logiciel afficha une poignée de mots. C'était loin d'être l'explication de l'origine de l'univers, constata Jonah avec ironie.
- Ça y est, j'ai trouvé, déclara-t-il.
Connie haussa un sourcil épaté.
- Au bout de vingt minutes ?
- C'est mieux codé que tous ce que j'ai pu voir de cette époque. Mais ce sont des mots isolés et ça manque de sens.
- Je t'écoute, l'encouragea Coldhardt d'une voix douce."

Chapitre quatre, p. 49 à 53.
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"Prenez garde ! chuchota le fantôme d'une voix rauque. Méfiez-vous de cet opéra maléfique ! Il veut être le Roi des Morts !"
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"Emily dépassa la haie, et la chose sortit de l'ombre. La gorge sèche, Kévin la vit se volatiliser à l'instant même où elle surgissait au soleil, aussi transparente qu'une bulle de savon. Emily continua de marcher.
Kévin, lui, eut du mal à retrouver son souffle car, juste avant qu'elle disparaisse, il lui avait bien sembler voir de longues pattes velues et un corps rond et luisant.
On aurait dit une araignée de la taille d'un petit chat."
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"- Je piocherai dans ton repas, répondit Roni en haussant les épaules.
- Euh... il faut que je te dise, ma chérie, commença Marcus en clignant des yeux, je ne partage pas ma nourriture. Vraiment, insista-t-il en la voyant lever les yeux au ciel, manifestement sceptique. Je ne partage jamais ma bouffe.
- Tu ne me donnerais même pas quelques frites ? insista-elle, amusée malgré tout par sa réaction.
- Non.
- Même pas une rondelle d'oignon ?
- Non."

Chapitre 5.
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"-C'est un choix, de faire la gueule, ou une fatalité ? lui demanda-t-elle.
Comme elle l'avait espéré, il fut si décontenancé par cette question qu'il baissa la garde, l'espace d'une fraction de seconde. Ses yeux sombres se firent plus ronds, et ses lèvres se tordirent.
- Non, parce que ça ne me pose pas de problème en soi, renchérit Taryn. Mais j'était juste curieuse : est-ce que tu es venu au monde avec une tronche de six pieds de long ou est-ce que ce petit genre lugubre est plutôt un style que tu te donnes ?
Lorsqu'il vit le coin de la bouche de Ryan se soulever, d'un micron à peine mais tout de même, Trey fut estomaqué."

Chapitre 4
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"Visiblement, il trouvait ça très amusant de voir l'autre Alpha essayer de respirer.
- Laisse tomber, reprit-elle, ce n'est qu'un gros tas de poil inutile."

Chapitre 3.
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C’est un menteur et un être humain horrible, horrible, horrible, et j’ignore si ça me touche parce qu’il a raison ou parce qu’il a tellement tort, ou parce que j’en crève, d’un semblant de reconnaissance dans ce monde. Personne ne m’a jamais dit des trucs pareils.Ça me donne envie de me regarder dans le miroir.
– Toi et moi ne sommes pas aussi différents que tu pourrais l’espérer.Son sourire est si arrogant que j’ai envie de le déformer d’un coup de poing.
– Toi et moi ne sommes pas aussi semblables que tu pourrais l’espérer.Il rayonne tellement que je ne sais pas trop comment réagir.
– J’en ai 19, au fait.
– Pardon ?
– J’ai 19 ans, clarifie-t-il. Je suis un spécimen drôlement impressionnant pour mon âge, je sais.

Page 106-107
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Adèle avait arqué les sourcils, soupçonneuse.
Tels des éclairs, des souvenirs de Rachel surgissaient parfois dans ma tête. Je la voyais se coller contre le mur de l'école, comme pour disparaître. Ou alors, elle traversait en courant une enfilade de jardins.
Si je n'aimais pas Rachel, c'était surtout pace qu'elle le provoquait en racontant des mensonges sur mon compte.

Chapitre 1, p.14
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-D'accord, dit-il enfin, après avoir émis un long soupir. Roni, tu vas venir avec nous. C'est Eli qui restera. C'est une bonne chose, que tu fasses équipe avec Marcus. Il est aussi rusé que toi.
-On a beau être l'alpha de sa meute, on finit toujours par se faire avoir par sa propre famille ! lança Trey en lui adressant un sourire de compassion.
-Ravi de voir que ça t'amuse, matelot ! grommela Nick.
-Tu ne lui a pas dit ? tonna Trey en s'adressant à Taryn après avoir pris quelques secondes pour assimiler ce qu'il venait d'entendre.
-Bien sûr que non, répondit-elle en riant nerveusement. Je l'ai dit à Shaya, ajouta-t-elle dans un murmure.
Pendant que les autres membres de la meute luttaient désespérément pour refouler un éclat de rire, Dante se laissait aller à s'esclaffer.
-Matelot, hé ? Je n'aurais jamais imaginé que tu étais amateur de jeux de rôle !
-Ça te fait rire pompier de mes deux ? rétorqua Trey, l'air furieux.
-Tu lui a dit ? hurla Dante, qui avait aussitôt cessé de rire.

Chapitre 2
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Mais au lieu de ça, une grande main surgit de nulle part pour s'en emparer et un bras me retint en même temps par la taille d'une poigne de fer, m'évitant de tomber. Tout ça, en une fraction de seconde. Pourtant, j'aurais juré qu'il n'y avait personne alentour.
-   Tout va bien ? demanda une voix masculine.
-    Euh... je... oui, bafouillai-je, un peu désorientée.
Il relâcha doucement son étreinte et m'aida à me redresser.

Première rencontre entre Hanna et Leith.
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date : 05-02-2016
"Même sans un entrainement conséquent, on pouvait facilement toucher sa cible à une distance de dix mètres."
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"Seize lunes, seize années,
Seize de tes pires peurs,
Seize songes de mes pleurs,
Tombent, tombent les années..."
p17
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