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Commentaires de livres faits par Lizziecls

Extraits de livres par Lizziecls

Commentaires de livres appréciés par Lizziecls

Extraits de livres appréciés par Lizziecls

date : 07-02-2018
Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l'éprouver si pareil à moi, si fraternel, enfin, j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore. Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine.
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date : 07-02-2018
<>
Je m'éveillai dans le noir, en sueur, la main sur la bouche pour contenir un cri, ce qui me fait dire que non, ça ne me plaisait pas beaucoup.
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Puis l'ambulance s'éloigna, emportant à son bord
Spoiler(cliquez pour révéler)
Margaux Carré[/spoiler], empaquetée dans une couverture de survie dorée, et Sauveur songea à ce que lui avait dit [spoiler]Blandine
: Mon père c'est le roi Midas. Tout ce qu'il se touche, il en fait de l'or. Mais l'or c'est MORT.
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date : 07-02-2018
Aurait-il fallut qu'ils s'aiment plus fort que la mort ? Plus fort que les autres haïssent, avec la même folie, la même intolérence ? Si puissament qu'ils auraient pu aller jusqu'à mourir pour ça ?
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date : 07-02-2018
Mais le diable était avec son projet, sans doute. Le diable était partout comme chez lui ce matin.
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date : 07-02-2018
Dans le noir du tunnel, il lut des graffitis sur les murs - inscrits par des types qui se laissent enfermer la nuit dans les stations, qui pensent qu'il suffit d'écrire sur les murs pour qu'ils nous appartiennent. écrire sur la nuit, dans les ténèbres.
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date : 18-04-2017
Ma main se crispa sur le crayon et je baissai les yeux, admirant mon jean. Je sentais le regard de Jason sur moi, alors qu'il me jaugeait pour voir quelle serait ma réaction.
Il espérait peut-être que je me rebelle, que je réplique, que je lui déballe une remarque qui la ferait devenir rouge de honte.
Mais je n'osais pas. J'étais timide. De toute façon, je n'avais rien qui me venait en tête. Peut-être que ce soir, dans mon lit, lorsque j'y repenserais, je trouverais une bonne réplique bien cinglante.
Mon cerveau était juste trop lent.
Il finit par se désintéresser de moi et continua de parler avec la princesse parce que, au fond, il était fait pour ça. Les populaires ne se mélangeaient pas aux autres. Je savais que c'était probablement le plus gros cliché des films hollywoodiens, mais on pouvait facilement l'appliquer aux lycées américains. Il y avait ces gens, typiquement banals, qui n'attiraient aucun regard et formaient le troupeau de fourmis. Puis une petite poignée d'adolescents possédaient une particularité qui faisait d'eux des personnes reconnues dans les couloirs. Un charisme fou, un talent artistique ou encore un compte en banque faramineux...
C'était un petit monde où un basketteur finirait par épouser une ancienne cheerleader. Ils auraient des dizaines de mouflets tous aussi beaux qu'eux qui finiraient par polluer le même lycée et par avoir la même popularité que leur parents. Que disait-je déjà ? Les moules de la société.
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La découverte d'une tête sur le campus aura donné l'occasion à toute l'administration de se mettre au travail avant dix heures du matin, en dépit du blizzard qui s'annonce. Même Phillip Allington, le président de l'université, est là, assis à côté du nouvel entraîneur en chef de l'équipe de basket, Steven Andrews. Celui-ci affiche une mine inquiète. On le comprend : l'équipe universitaire au complet – pour ne pas mentionner le groupe de pom-pom girls – est logée Fischer Hall, du fait de la proximité de la résidence avec Winer Complex, le centre sportif de l'université.
Après la mort de deux étudiantes au cours du premier semestre (qui a vallu à Fischer Hall le surnom de ''Dortoir de la mort''), tous ceux qui y travaillent, entraîneurs sportifs compris, sont un peu nerveux. Surtout le président Allington. Conserver son poste n'a pas été chose aisée. Nul n'est mieux placé que moi, directrice adjointe du Dortoir de la mort, pour le savoir.
Or on dirait bien que la situation a considérablement empiré, pas seulement pour le président, mais aussi pour le boss de mon boss, le docteur Jessup. Ce dernier accuse le coup. La pochette qui dépasse de sa poche de poitrine est froissée, comme si quelqu'un – faisant appel à ma remarquable faculté de déduction, je présume que ce quelqu'un n'est autre que lui-même – s'en est servi. Le fait qu'il soit vautré depuis une demi-heure sur une chaise devant une table poisseuse n'a pas non plus arrangé la tenue de son costume.
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Je fixe mon téléphone des yeux, incrédule. Deux semaines que j'ai officiellement intégré UCLA et, déjà, je reçois un message de sa part. Même si il n'est pas signé, je sais qu'il vient de lui. Il ne m'a pas oubliée. Tremblante, je relis le texte plusieurs fois.
Peu importe où tu te trouveras, prends soin de te retourner car je ne serai jamais loin. Je finirai toujours pas te retrouver.
Un violent frisson me parcourt et, inconsciemment, je relève la tête et commence à regarder dans tous les sens en tournant sur moi-même. Où est-il ? Est-il à Los Angeles ou ici à Manhattan Beach ? Non, ça ne peut pas être possible ! Je bouillonne, tous mes sens sont en alerte. Je dois savoir si ce message est une menace ou une promesse.
Je me relève alors et manque de tomber.
- Lili, m'appelle Evan. Tu vas où ?
- J... je... j'arrive, je bégaie.
- Tu es sûre que ça va ? Tu es toute blanche, c'est ta tête qui te fait mal ?
- Non, je dois juste... appeler quelqu'un.
Evan me regarde m'éloigner, l'air suspicieux. Je dois être l'une des pires menteuses que l'on peut rencontrer sur cette planète. Au moindre mensonge que je raconte, même le plus petit qui soit, je ne peux pas m'empêcher de bafouiller et de rougir, signes qui me trahissent rapidement. Mais là c'est bien la dernière chose que j'ai en tête.
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date : 06-04-2017
Je sors dans la fraicheur du soir au moment où le parachute me tombe du ciel. Je m'empresse de défaire le paquet, espérant un vrai médicament pour la jambe de Peeta. Au lieu de quoi je découvre un pot de bouillon bien chaud. Haymitch ne pouvait m'adresser de message plus clair. Un baiser égal un pot de bouillon.
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