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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Oligo9 2016-06-10T20:43:39+02:00

Un merveilleux roman que j'ai dévoré du début à la fin ! L'histoire est extrêmement bien écrite et délicieuse à lire ! Les descriptions sont si détaillées qu'elles permettant de s'imaginer le paysage avec précision. Les personnages sont très intéressants et ont tous une personnalité complexe (surtout les 3 personnages principaux) ce qui renforce le réalisme du roman. Bref, une histoire d'amour très agréable qui permet de passer un bon moment !

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Commentaire ajouté par zazou022 2016-06-05T16:03:37+02:00
Argent

Très intéressant. J'ai apprécié cette histoire même si certains passages sont plutôt longs.

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Commentaire ajouté par Mimi60800 2016-06-01T16:40:32+02:00
Or

http://wave-dream.blogspot.fr/2016/06/loin-de-la-foule-dechainee.html

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Commentaire ajouté par Mimi60800 2016-05-29T00:05:11+02:00
Or

Une très agréable découverte, pour le premier roman que je lis de cet auteur !

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Bronze

Désireuse de lire l’œuvre qui a inspirée le film du même nom, je me suis lancée dans cette lecture.

Cette histoire n'est pas une fresque romanesque à la Jane Austen, loin de là. (Par contre, j'y ai trouvé quelques similitudes avec "Nord et Sud" d'Elizabeth Gaskell.)

Une atmosphère tendue règne en permanence sur le récit, les personnages sont enchaînés dans un quotidien de dur labeur et luttent chacun à leur manière contre les vices et les tourments de la nature humaine.

Bathsheba est une femme courtisée par trois hommes, venant de trois classes sociales différentes, avec pour toile de fond la campagne anglaise du XIXème siècle.

C'est une femme en avance sur son temps, qui veut jouir pleinement de sa liberté et dotée d'un sacré tempérament.

Un personnage qui évolue beaucoup, et dont les épreuves adouciront le caractère et lui permettront de voir ce qui est invisible à l’œil : le cœur.

La plume de l'auteur a été maintes fois décriées, tellement elle est atypique. Le narrateur du récit est l'auteur lui-même, il est absolument omniscient pendant toute l'histoire. Il se moque et critique ouvertement ses personnages et quelque fois raconte un grand ensemble pour finalement se concentrer que sur un détail.

Finalement, même si j'ai pris plaisir à ma lecture, l'histoire me laisse un petit goût doux-amer.

Spoiler(cliquez pour révéler)La fin étant ombragée par la tragédie de trois morts.

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Commentaire ajouté par Tara99 2016-05-16T22:04:59+02:00
Diamant

Roman lu en version originale ce qui d’une part m’a apparemment évité les désagréments d’une mauvaise traduction (selon les commentaires des autres lecteurs qui l’ont lu en français) et, d’autre part, m’a permis d’apprécier pleinement ce formidable chef-d’œuvre de la littérature britannique, pour ne pas dire un monument.

L’histoire semble simple de prime abord : une femme de tête courtisée par trois hommes différents dans la campagne du XIXème siècle. On imagine tout de suite le déroulement très austenien du récit, avec le héros qui épouse l’héroïne. Or, malgré les apparences (car certaines couvertures sont trompeuses, notamment celle que je possède où Troy en tenue d’officier embrasse Bathsheba en robe longue) et malgré les analyses des autres booknautes, je persiste et signe en disant que ce roman n’a rien d’austenien ou presque. D’abord, il règne une atmosphère de tension dans tout le roman, qu’Hardy arrive à instaurer grâce aux conditions météorologiques qu’il décrit avec minutie mais aussi grâce aux portraits des personnages qu’il dresse, et leurs actions : Troy apparaît comme menaçant dès son apparition ( qui a d’ailleurs lieu la nuit), Boldwood sombre lentement dans la folie de son amour pour Bathsheba, qui ne nous est montrée complètement qu’à la fin, quand des vêtements et des bijoux portant le nom de « Bathsheba Boldwood » sont retrouvés dans sa demeure. Tout nous mène à la tragédie de la soirée de Noël. Trouve-t-on aucune trace de tragique dans Jane Austen ? Non pas. De plus, Bathsheba ne ressemble en rien à une Elizabeth Bennet, perdue dans ses romans (bien que Miss Everdeene ait une bibliothèque bien fournie grâce aux livres légués par son oncle) et ses problèmes d’amour. Bathsheba dirige une ferme, d’une grande dimension et exerce de hautes fonctions en tant que maîtresse de la propriété: elle se charge du salaire de ses gens, qu’elle doit payer en temps et en heure, peu importe le cours du blé au marché du coin, elle est responsable de ses bêtes (d’où son angoisse lors de l’épidémie qui touche les moutons) et elle doit se comporter de manière respectable. Cependant, elle n’hésite pas à se salir les mains lorsque l’on a besoin de plus de paysans, notamment pour nettoyer et tondre les moutons. Et puis Bathsheba est hautaine, froide et sûre d’elle, les deux premiers qualificatifs ne pouvant pas s’appliquer à Lizzie. Elle est magnifique, alors qu’aucune héroïne austenienne n’est spécialement belle. Enfin chez Austen, deux hommes suffisent pour faire la trame du récit (Darcy et Wickham pour Pride and Prejudice, Willoughby et Brandon pour Sense and Sensibility, etc) alors qu’ici ils sont trois, dont le statut social diffère du tout au tout : Troy est un militaire sans le sou, Gabriel un berger sans beaucoup d’argent non plus et enfin Boldwood un riche propriétaire terrien. On pourrait qualifier la fin de facile puisque deux des prétendants sont éliminés en même temps et le dernier en lice gagne Bathsheba. En outre, pour continuer la comparaison avec Austen, la protagoniste se marie à la fin du roman alors que Bathsheba se marie en plein milieu, et pas avec le bon mari ! Le seul point où cela rejoint Jane Austen est peut être le personnage de Troy, un officier encore plus détestable et vicieux que George Wickham.

J’ai beaucoup aimé les références bibliques nombreuses.

Malgré le romantisme latent, le roman a aussi beaucoup à offrir du côté réaliste, que ce soit par le parler typique des Jan Cogan et Joseph Poorgrass (il faut par conséquent bien se concentrer sur ce qu’ils disent, car beaucoup de mots sont coupés ou changés par rapport à l’anglais « normal », avec des fautes de grammaires fréquentes comme « She were », leurs habitudes ( se retrouver pour boire après une journée de labeur), la description des activités de la ferme ( la récolte, qui peut être mise en péril à n’importe quel moment à cause de l’orage, le travail de berger, surtout décrit dans les premiers chapitres concernant Gabriel Oak).

Thomas Hardy, c’est un peu un mélange de E.M Forster, Elizabeth Gaskell et Anthony Trollope, trois auteurs qui attachent beaucoup d’importance à l’introspection de leurs personnages. Hardy est cynique : il fait certes apparaître Bathsheba comme une déesse descendue du ciel sur son char ailé mais les autres personnages découvrent rapidement ses nombreux défauts. Ici, il existe une opposition à Jane Austen puisque dans Orgueil et Préjugés, Darcy est d’abord mal jugé puis reconsidéré par Eliza.

Thomas Hardy punit son héroïne à plusieurs moments : d’abord en lui montrant que l’amour non partagé est difficile à vivre, et que la jalousie consume tout. Elle a décidé de refuser Boldwood. Maintenant, c’est au tour de Frank de la répudier pour Fanny Robin. Attardons-nous un peu sur ce personnage : Fanny, c’est une jolie blonde qui évoque la légèreté (d’où son nom d’oiseau. Robin = rouge-gorge). Selon moi, elle permet surtout à l’auteur de comparer deux types de femmes complètement différentes : Fanny c’est la jeune paysanne heureuse de vivre, simple alors que Bathsheba est une femme forte, complexe qui sait ce qu’elle veut, sauf en amour. Certains passages sont très forts, notamment lorsque Fanny marche, seule dans le froid pour retrouver Troy. Malgré sa détermination, l’hiver aura raison d’elle.

Frank Troy n’est pas qu’un vaurien. Preuve en est le soin et la hâte qu’il met à choisir une tombe pour Fanny, et le soin qu’il prend à arranger toutes variétés de fleurs, qui seront détruites et emportées par le mauvais temps. Troy est téméraire, aventureux, opportuniste et irresponsable. Il appartient à cette espèce d’homme qui s’en sortira toujours : on le croit mort par un curieux coup de pouce du hasard ? Très bien, il en prend son parti, même cela l’arrange et il part à l’étranger et crée son numéro de cirque. Même si la comparaison peut paraître étrange, il m’a fait penser à Valmont dans Les Liaisons Dangereuses car les deux sont des séducteurs invétérés qui tombent, malgré eux amoureux d’une femme, et une femme « faible » : Madame de Tourvel pour l’un et Fanny Robin pour l’autre. Le regain d’intérêt qu’il a pour Bathsheba quand il l’entraperçoit à la foire autorise Hardy à faire constater au lecteur qu’il éprouve une admiration pour Bathsheba, une admiration qui le fascine au point que sa jalousie reflue contre Boldwood, qui fait une cour assidue à sa femme. Il se dégage de Troy une envie de posséder le monde, et il faut qu’il ait Bathsheba. Il l’a déjà eu, mais il est mauvais perdant et gros joueur : il veut absolument la regagner, d’où la décision de se pointer à la fête chez Boldwood. Cette fascination, il la partage justement avec ce dernier. Il me semble qu’une des questions qu’Hardy pose dans ce roman est : peut-on être fasciné et aimer en même temps ? Sa réponse est claire : non. Troy et Boldwood disparaîtront du paysage et Gabriel, le seul qui fût assez clairvoyant pour évaluer les défauts et les qualités de notre héroïne, l’épousera et gagnera le droit de passer sa vie avec elle. Egalement sans doute par la constance de son amour ( rappelons qu’il est le premier à tenter une demande en mariage, qui lui sera refusée car Bathsheba veut garder sa liberté) : si l’on prend Boldwood, il n’a pas grand-chose à faire de Bathsheba quand elle vient vendre son blé au plus offrant, et la fulgurance de son amour à quelque chose d’irréel. Il en vient donc à aimer Bathsheba plusieurs mois après leur première rencontre. Troy, c’est l’opposé : il est séduit par Bathsheba au départ, puis la mort de Fanny le dégoûte d’elle. Gabriel lui ne cessera de l’aimer, et il en est récompensé. Troy ressemble beaucoup à Bathsheba tant au niveau physique (ils partagent une physionomie particulièrement plaisante) que morale (tous deux sont insouciants). Gabriel est tout l’opposé. Ne dit-on pas que les contraires s’attirent ?

Gabriel Oak est un protagoniste très intéressant puisqu’il ne parle pas beaucoup, et toujours pour dire quelque chose d’utile. Cela est d’ailleurs bien rendu par la performance de Schoenarts dans le film de 2015. Tout passe par le regard. Au début du roman, où un chapitre est consacré à sa description, le lecteur comprend que c’est un homme très pratique, qui va au plus simple : c’est sans doute pour cela que lui et Bathsheba sont « the perfect match for each other ». Ce qui est fascinant, c’est que sans être au centre du roman, il est omniprésent : c’est selon moi le génie d’Hardy, qui nous fait sentir la présence d’un personnage sans que celui-ci soit trop souvent mentionné. Il perçoit facilement tous les désirs et pensées des gens autour de qui il travaille.

Boldwood est quant à lui un homme de bon sens, qui le perd après avoir reçu la note de Saint Valentin envoyé par Bathsheba pour rire et que je recopie ci-dessous car je la trouve très légère : « The rose is red, the violet blue, Carnation’s sweet and so are you ». C’est là que réside la différence entre lui et Bathsheba : après avoir essuyé son refus, Gabriel restera en bons termes avec elle et se permettra de lui dire franchement ce qu’il pense de son attitude quand elle lui demandera et ce qui d’ailleurs à Hardy de souligner la mauvaise foi de Bathsheba qui lui en voudra d’avoir parler sans retenue et lui reprochera son honnêteté vis-à-vis d’elle. Tandis que Boldwood ne supportera pas ce refus, continuera à ne voir en elle que des qualités et la pressera par tous les moyens possibles de répondre à sa demande positivement.

Bathsheba est un prénom biblique. En faisant des recherches, j’ai trouvé qu’elle fût l’épouse du roi David et la mère de Salomon. Sur les tableaux la représentant, elle a de longs cheveux bruns et est très belle. Ainsi la Bathsheba d’Hardy peut se revendiquer de la Bathsheba biblique, au port altier.

Elle peut paraître superficielle de prime abord, mais Hardy entre vite dans l’introspection, et on comprend qu’elle est d’une nature gentille : elle triomphera de sa jalousie et s’occupera de mettre Fanny et son enfant dans une bière. La vie n’est pas facile pour une jeune personne, loin de la société mondaine (est-ce là ce qu’Hardy a voulu dire par « Loin de la foule déchaînée » ?), et la seule distraction qu’elle peut avoir, c’est s’amuser des hommes qui la courtisent. D’où son côté enfantin, mais le lecteur doit se rappeler qu’elle a à peine 20 ans ! De plus, elle n’a aucune véritable compagnie, à part Lydie qui, d’un rang social moins élevé, ne partage pas du tout les mêmes intérêts et ne comprend pas toujours sa maîtresse. Cependant, elle lui reste fidèle et sait quand lui apporter soutien et réconfort, ce qui lui sera utile quand elle aura passé la nuit dehors après le départ et le rejet de Troy : sans trop poser de questions, elle lui montrera sa compassion et sera compréhensive. Bathsheba apparaît limitée dans son jugement et change souvent d’avis : elle se rend à Bath pour rompre son engagement envers Troy mais finit par l’épouser. Troy est le personnage qui permet de souligner la faiblesse de Bathsheba. D’ailleurs Hardy ne dit-il pas lui-même “Love is a possible strength in an actual weakness.” ? Bathsheba ne supporte pas qu’on lui dicte sa conduite, d’où le renvoi de Gabriel après que celui-ci a essayé de lui faire comprendre que sa conduite envers Boldwood était impolie et méchante. Elle le regrettera rapidement, et ira jusqu’à le faire chercher pour qu’il soigne ses moutons, car il est le seul à avoir les talents et l’expertise nécessaires. Je pense que c’est à ce chapitre qu’elle réalise combien elle a besoin de lui et qu’elle lui est redevable pour tout son travail.

Ce roman, je pourrais le relire de nombreuses fois, ne serait-ce pour les phrases quasiment philosophiques et très vraies qu’Hardy nous laisse à lire sur le genre humain, et qui commencent généralement par « It is a truth universally acknowledge ».

Ou peut être que « Far from the madding crowd » (meilleur titre en anglais puisqu’il autorise une allitération) c’est aussi un certain retour à un côté primitif, très primaire, la terre nourricière, les mâles se battant pour la femelle (oui, oui je vous assure). Ce qui est compliqué devient claire comme de l’eau de roche à la fin : Bathsheba est comme purifiée par la nature qui l’entoure (et un peu aussi par Gabriel, qui joue un rôle non négligeable dans sa transformation en femme simple).

Ci-dessous les liens concernant le Wessex fictif de Thomas Hardy (car la région où se passe le roman est inventée, bien qu’elle présente de nombreuses similitudes avec certains comtés britanniques, certainement parce que ‘Hardy croyait pouvoir prendre plus de liberté en ancrant son roman dans un terreau irréel. But go and see for yourself!) https://en.wikipedia.org/wiki/Thomas_Hardy%27s_Wessex

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Commentaire ajouté par Gwen33 2016-03-21T13:29:25+01:00
Bronze

L'adaptation cinématographique avec Carey Mulligan m'a donné envie de découvrir d'abord le roman.

L'histoire est celle de Bathsheba, une jeune femme indépendante malgré les convenances de l'époque et qui devient la propriétaire d'une ferme. Fière, elle aime faire ce qui lui plait mais sa beauté parfaite attire la tentation et elle doit faire face à plusieurs prétendants. Son arrogance la poussera à faire des erreurs qui lui coûteront beaucoup.

Son personnage est intéressant même si elle m'a assez vite rendu lasse de son caractère trop changeant et contradictoire surtout envers M. Oak qui ne mérite pas son arrogance.

Concernant le style de Hardy. Il y a beaucoup de descriptions de paysages qui alourdissent le fil de l'histoire. Ensuite l'écriture est difficile à suivre. Est-ce dû à la traduction française, je l'espère mais ma lecture a été longue. Parfois il passe d'un sujet à l'autre sans raison première puis quelques pages après il nous explique son récit, mais cette façon de faire est perturbante.

Malgré ces petits détails j'ai apprécié ma lecture. Hardy dépeint parfaitement la société anglaise à la campagne et avec beaucoup d'ironie qui selon allège l'histoire ou la rend pénible lorsque ça devient rébarbatif et trop appuyé.

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Commentaire ajouté par mavie95 2016-03-01T14:09:54+01:00
Bronze

C'est un livre que j'ai dû étudier pour les cours, et j'ai adoré l'étudier. Malheureusement, le charme s'est rompu quand j'ai lu l'oeuvre intégralement en français (car je n'ai pas un niveau suffisant pour le lire en anglais). J'ai trouvé me style très lourd mais c'est à cause de la traduction. Car an anglais, l'histoire est absolument géniale et cela m'a donné envie de découvrir d'autres œuvres de l'auteur. Il est préférable à mon avis de le découvrir en anglais, par petits bouts (en plus les chapitres sont assez court). Mais ce n'est pas pour les débutants en anglais, il est assez compliqué.

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Commentaire ajouté par camicase 2015-12-07T23:02:15+01:00
Or

Touchant, émouvant, on est pris entre deux feux et on vit au rythme de ces amours et ces réflexion !

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Commentaire ajouté par CamilleV51 2015-08-14T18:37:28+02:00
Diamant

J'ai bien souvent pensé à Jane Austen au cours de ma lecture, pour l'ambiance et certains personnages. Pourtant ce roman est bien particulier et je l'ai adoré! C'est un vrai chef d'oeuvre ! Comment peut on aussi bien d'écrire la nature humaine, les sentiments, et la personnalité féminine ? Avec autant de poésie ! Cette lecture est un vrai plaisir et l'histoire est incroyablement romantique ! Je suis contente d'avoir lu le livre avant de voir l'adaptation cinématographique.

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