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Le furet et la loutre,

Jean Castet, de retour dans le Béarn, ne résiste pas à la tentation d'acheter une propriété en ruine…

Musicien, il se remémore sa vie dans cette maison, son amour pour Lorina, vingt ans plus tôt…

.. Lorsqu'il avait alors quarante ans, avait quitté son emploi dans une banque pour réaliser son rêve de devenir musicien, son mariage alors en phase finale, n'éprouvant plus d'amour pour son épouse qui lui reproche d'être à la charge de la propriété agricole de son père.

C'est là qu'il rencontre Lorina, une kinésithérapeute qui soulage ses douleurs après une chute de moto.

Un coup de foudre, un emménagement rapide dans cette nouvelle famille avec le père et la tante de Lorina, qu'il surnomme sa loutre, et elle son furet ! Un peu naïf pour des personnes de 40 et 35 ans !

Mais tout n'est pas rose dans ce roman.

Hélas, je n'ai pu m'attacher aux personnages, trop survolés (la maison est plus décrite que les caractères !) ; une histoire d'amour à laquelle je n'ai pas cru du tout. D'ailleurs, sa déclaration d'amour est plus centré sur lui que sur l'autre !

Jean, cet enfant gâté, qui lâche son boulot à 40 ans (alors que ses enfants sont encore jeunes…); sans apparemment en parler à son épouse, m'a paru immature, égoïste, n'aimant que sa moto et la musique et son amante.

Les souvenirs et le secret de famille sont assez classiques même si la fin m'a surprise, tellement improbable !

Le style est trop sec, pour moi, les paysages du Béarn méritaient mieux !

Une déception, alors que ce roman m'avait été conseillé par une blogueuse spécialiste des auteurs indépendants...

Jean nous fait partager son histoire d’amour brève mais intense avec Lorina.

C’est un homme coincé dans un mariage sans avenir avec un beau-père exécrable, ses 2 enfants ne sont plus l’excuse pour supporter tout ça.

Sa rencontre avec Lorina ; jeune femme au caractère bien trempé, vivant avec son père et sa tante ; va faire renaître en lui des sentiments qu’il n’avait pas ressenti depuis longtemps.

J’ai trouvé Lorina assez déstabilisante par son aplomb. Elle prend beaucoup de place face à un personnage masculin qui semble parfois effacé. Jean est effectivement plus en retenu mais il est tout aussi déterminé à se révéler comme l’homme qu’il souhaite être enfin.

Mais il n’est pas aisé de construire une relation quand les secrets et les mystères s’enlisent dans des rancœurs.

Lorina et sa famille sont des personnages attachants et courageux, se battant pour leurs convictions.

Il y a des temps forts qui ne nous laissent pas de marbre.

C’est une belle histoire d’amour harmonisée à la fois par la passion et la pudeur, d’une tendresse émouvante. C’est un amour qui se met en place avec simplicité mais dans un contexte difficile et douloureux. Un contraste qui fait régner autour de ces deux amants une atmosphère un peu mystérieuse, entretenue tout au long du récit….une fin inattendue….Une agréable lecture….

Quand la vie nous rattrape.

Jean et Lorina ont vécu une belle et grande histoire. 20 ans plus tard Jean retourne là où tout a commencé, dans ce village qui a abrité leurs plus beaux moments et les plus terribles. Revenir en ce lieu va raviver les souvenirs de Jean et nous permettre de découvrir son histoire belle et tragique à la fois.

Ayant déjà lu des romans de Philippe Saimbert j'avais hâte de découvrir celui ci qui semblait assez différent des autres. Et après lecture je peux vous dire que bien qu'il soit différent sur le ton il est similaire aux autres romans de Philippe Saimbert sur un point , il nous montre l'être humain tel qu'il est , dans ce qu'il a de plus bon mais aussi de plus cruel.

Ici nous suivons l'histoire de Jean et Lorina. Ils n'étaient pas destinés à se rencontrer et pourtant quand leurs chemins vont se croiser ils ne vont plus se quitter. Entre eux il y a comme une évidence. Mais ils vont devoir faire face à certains obstacles, notamment la haine que voue le beau père de Jean à la famille de Lorina. Une haine féroce, nourrie de secrets et de lourdes rancoeurs. Les deux familles vont s'affronter, chacune défendant ses convictions et sa manière de vivre, quitte pour certains à faire preuve de méchanceté crasse.

On se passionne pour l'histoire de Lorina et Jean, on est émeut de voir leurs sentiments naître et grandir à mesure qu'ils apprennent à se connaître. Mais tout au long de notre lecture on ne peut s'empêcher de s'inquiéter, de craindre que cela se termine mal .

Je ne peux en dire plus si ce n'est que cette histoire sera faite de hauts et de bas et que les personnages ne seront pas épargnés, loin de là.

Ce roman nous rappelle combien tout peut basculer d'un moment à l'autre, comment une rencontre inopinée peut changer un destin et conduire sur une autre voie . Jean en est le parfait exemple, lui qui menait une vie bien morne auprès d'une famille qui ne l'aimait que peu a changé du tout au tout grâce à sa rencontre avec Lorina , il a enfin pu devenir celui qu'il voulait être même si cela lui a valu des sacrifices importants.

Ce roman nous montre aussi combien une action, un secret bien enfouis ou des faux semblants peuvent ronger des vies, les mettre à mal , voire même les détruire. Quand on laisse les rancoeurs prendre le pas sur le reste cela a forcément des conséquences, qu'on le veuille ou non.

Philippe Saimbert signe ici un roman profondément humain , fait de beaux moments et de terribles instants.

L'humain est faillible, il fait des erreurs , des mauvais choix mais c'est justement cela qui le rend humain.

Un roman intense qui comme la vie nous entraîne d'une émotion à l'autre.

Je tiens tout d'abord à remercier Philippe Saimbert de m'avoir accordé sa confiance pour ce service presse. Avant de commencer, je dois dire que je trouve la couverture superbe avec ses tons chauds et qu’elle invite clairement le lecteur à se plonger les yeux fermés dans cette lecture sans en savoir plus : un peu comme cela a été le cas pour moi. Je trouve cela grisant de partir à l’aveuglette, sans savoir ce que cela va donner, car bien souvent (enfin pour moi) cela révèle de très belles surprises. Et ce fut le cas avec « Loin des fauves » : une très belle surprise. Les personnages sont attachants, chacun à leur manière. Ils ont des défauts et des qualités, mais c'est cela qui les rends d'autant plus vrais et entiers. Cependant, j'ai eu du mal avec le beau-père de Jean qui m'a été, dès le départ, antipathique. En revanche, j'ai été énormément touchée par l'amour que se portent Jean et Lorina. Lire ce livre, c'est comme plonger au cœur de l'amour, de la famille, de la vie, mais aussi des rêves, des secrets, des remises en question et beaucoup d'autres choses que je vous laisse le soin de découvrir. Je ne voudrais pas vous en dire trop et vous couper l'envie de découvrir cette magnifique romance. Dès que vous vous plongerez dans ce roman, vous ne voudrez plus la lâcher et vous tournerez les pages avec avidité, tant vous aurez envie d'avoir le fin mot de l'histoire. Je dois cependant vous dire qu’en lisant ce livre, il vous poussera à voir votre vie sous un angle différent et à tout faire pour changer la routine qui s’est installée dans votre quotidien sans forcément que vous vous en soyez rendu compte. La plume de Philippe Saimbert est sensible, fluide, pleine d’émotion, belle et très agréable à lire. Une lecture coup de cœur, touchante, vibrante et toute en émotion. Une très belle découverte que je vous recommande sincèrement. N’hésitez pas à lui laisser sa chance, car ce roman vaut vraiment le coup d’être lu ! À lire !

#Virginie

Philippe Saimbert n’en est pas à son premier roman, mais peut-être est-ce celui qui aborde une histoire plus mélodramatique. Plus versé dans les BD’s, les récits pour enfants ou plus humoristiques, l’auteur se lance ici dans une romance contemporaine qui traite à la fois d’un amour profond et de la cause animale.

L’histoire débute avec Jean, soixante ans, qui revient dans un village qui parait beaucoup le troubler. Il souhaite visiter une vieille maison abandonnée, insalubre même, et se lance dans une visite douloureuse qui ravive des souvenirs. Cette bâtisse est un déclencheur, nous conduisant dans la mémoire de Jean, vingt-ans plus tôt, alors qu’il était marié, père de deux enfants, pour nous raconter leur l’histoire : celle qu’il a vécue avec Lorina.

Lorina, une trentenaire à la vocation de guérisseuse, très concernée par le bien-être animal et celui de sa famille : son père, Anselme, et sa tante, Appoline. Une femme aux multiples facettes, mais dont l’altruisme est indéniable, couplé à un courage et une hargne farouche pour se dresser contre les énormes industriels de la région. Tantôt généreuse, tantôt mordante ; terre à terre, puis idéaliste et croyante. Lorina est un paradoxe.

Face à Jean, plus tempéré et timide, c’est une tempête qui bouleverse son existence. Le quadragénaire dépérit dans son quotidien, mal-aimé de sa famille, méprisé, en proie à la haine de son beau-père et de l’indifférence de ses propres enfants… son épouse ne lui accorde plus d’intérêt. Jean ne ressent plus ; il survit et subit. Sa rencontre avec Lorina est une bourrasque qui remet tout en question, qui le chamboule suffisamment pour soulever de multiples interrogations.

Loin des Fauves, c’est l’histoire d’une rencontre, d’une renaissance et d’un drame.

Philippe Saimbert s’attarde sur l’introspection de son personnage, Jean. Le texte se consacre à ses interprétations, ses compréhensions et ses questions. C’est la parole de l’âme avant celle de la raison ou du tell.

C’est un récit qui se concentre sur l’humain, ses dérives et ses bons côtés. C’est un appel à la tolérance et une ode à l’amour entier. À la compréhension de l’autre, mais aussi à notre capacité à nous remettre en question pour se diriger vers le meilleur de nous-mêmes… ou vers le pire, pour ceux qui ne sont pas assez à l’écoute.

Jean démontre une grande force : malgré les a priori des uns et des autres, dont ceux de sa propre belle-famille, sous ses airs fatalistes et dépendants, il a assez de courage pour s’extirper du carcan que la société souhaitait lui imposer pour vivre sa passion, la musique. Il faut plus de courage encore pour subir, jour après jour, sur plusieurs années, la haine et le mépris des siens, et savoir encore se tenir le dos droit. Davantage de bravoure pour s’opposer à ceux qui l’ont tourmenté si longtemps pour un nouvel amour qu’il sait puissant. Jean est aussi un personnage qui traite de la thématique de la vie, de l’homme et de ses doutes, de ses aspirations, passé la quarantaine.

Pas de clichés ou de stéréotypes ; si l’on parle d’un coup de foudre, et que l’on a l’impression que tout est acté, rien n’est si simple. La confiance se gagne et se mérite. Aimer soudain l’autre ne construit pas une relation, le temps oui, la communication aussi ; apprendre à se connaître.

Lorina et Jean sont complémentaires. Les deux faces d’une même pièce. L’héroïne n’est pas [...]

Pour lire toute la chronique, rendez-vous ici : http://marmiteauxplumes.com/loin-des-fauves-de-philippe-saimbert/

Jean subit son existence plus qu'il ne vit par et pour lui-même. Entre son mariage qui ne fonctionne plus et son beau-père qui ne lui adresse que des reproches, il n'a que peu de moments de répit. Mais voilà qu'un jour, une nouvelle rencontre bouleverse sa vie. Pour Lorina, il est prêt à tenir tête à son beau-père et à tout abandonner pour vivre comme il l'entend. Tout semble beau de premier abord, mais aurait-il su l'issue d'avance, aurait-il agi de même ?

Le récit débute vingt ans après les événements, avec Jean qui retourne sur les lieux de son amour maudit. Les souvenirs lui reviennent, il raconte, nous laissant des indices abstraits. Je me posais de plus en plus de questions, que s'était-il donc passé ? J'ai imaginé toutes sortes de choses, mais je n'ai compris qu'au dernier moment, quand le doute n'était plus possible. J'ai envie de dire que c'est une belle histoire d'amour, mais en fait je pense qu'elle est adoucie par la plume de l'auteur et embellie par le point de vue de Jean. Il s'adresse avec son cœur, il y met beaucoup de sentiments et d'émotions, comme si toutes ces années précédentes, il avait bloqué tout cela pour résister, ne pas craquer, et que désormais, déclenché par sa rencontre avec la belle Lorina, il libérait toutes ces émotions, il les laissait se déverser en lui et décidait de ne vivre plus que par elles. C'est vrai que c'est beau. On se dit qu'il le mérite enfin, ça me faisait vraiment de la peine d'entendre son beau-père lui parler comme un chien, sans aucun respect, assister à ces scènes sans pouvoir agir. J'ai vraiment beaucoup apprécié le protagoniste.

Bon mais voilà, je n'ai pas vraiment apprécié Lorina. Ce qui m'a déplu chez elle est l'élément qui a pourtant remporté les suffrages de Jean : ses changements d'humeur. En un instant, elle peut passer de la gentillesse à la colère. Son sourire disparaît d'un coup et sa bouche se tord sous les grimaces de l'énervement. C'est très déstabilisant. Au final, on ne sait pas vraiment qui elle est. Et l'événement nous le prouve. Pour autant, je ne l'ai pas jugée, ni le protagoniste d'ailleurs dans le dénouement. Je suis restée neutre. En général, on ne peut pas s'empêcher d'avoir un avis, c'est comme ça, mais là vraiment je n'ai émis aucune critique. Je n'ai même pas cherché à creuser, c'était peut-être plus prudent de rester à l'écart, après tout on n'est pas à la place des autres. Bien sûr, j'ai été touchée par l'événement lui-même, mais ce n'est pas allé au-delà.

J'ai trouvé que c'était bien écrit. L'auteur joue pas mal sur les mots, il jongle même. Il nous offre de belles phrases. C'est très orienté sentiments, vous l'avez compris, quelques scènes sensuelles illustrent l'amour des deux amants, très joliment décrites. On ne le comprend peut-être pas avant d'avoir lu le roman, mais le titre fait sens.

Une romance atypique ! Je ne savais pas où j'allais mettre les pieds et j'en ressors pensive.

Il est des livres qu’on ne lirait pas forcément, soit parce que la couverture ne nous interpelle pas, soit parce que le résumé ne nous parle pas. Et souvent, c’est comme ça qu’on passe à côté de certaines découvertes qui valent le coup d’être lues. Je ne vais pas mentir, j’aurais vu ce livre en librairie, je serais sûrement passée à côté sans trop y prêter attention, et j’aurais raté quelque chose. Car finalement, j’ai dévoré ce livre. Il se lit avec facilité et plaisir, et on se plonge dedans sans aucun problème.

Ce livre nous offre une belle histoire d’amour. On ne retrouve pas l’émoi des jeunes gens, de l’amour naissant, des premiers béguins. On est loin des passions sulfureuses que l’on trouve dans la romance actuelle. Ici, nous sommes témoins de la rencontres de deux âmes, de deux êtres qui sont attirés l’un vers l’autre par quelque chose de très profond.

J’ai apprécié ce livre, qui se présente comme une sorte de confession, de voyage dans les souvenirs du héros. Au début, on peut penser que son amour pour Lorina est une sorte de crise de la quarantaine, une volonté de se sortir d’une vie qui l’a englué dans une existence qui l’étouffe.

J’ai vécu cette histoire comme une sorte de voyage initiatique. Finalement, ce que le héros a vécu lui a permis de se découvrir, de réaliser ce qu’il était vraiment au fond de lui.

Cette romance est aussi l’occasion de mettre en avant un sujet de plus en plus d’actualité : la protection de l’environnement. On peut penser que la vision de Lorina est assez utopique d’un premier abord, mais c’est une sorte d’appel au secours. J’ai perçu Lorina comme la dernière barrière avant que le monde ne sombre, le dernier rempart pour défendre la nature. Elle est simple, sans chichi, à l’image de ce que la nature devrait être. En opposition, le personnage de Martial, détestable à souhait, symbolise cette volonté de production à excès, quitte à détruire la nature qui nous entoure.

La plume est légère pour un sujet fort, le thème est maîtrisé avec élégance. C’est une lecture qui nous marque, qui nous touche et qui ne peut nous laisser indifférent.

Une romance tout à fait originale. On comprend facilement avec l'histoire que le titre est une très belle métaphore .

Jean est un homme marié et père de deux enfants qui vit avec son beau père. Seulement voilà, celui-ci le méprise, il lui voue une véritable haine.  Ensuite on découvre Lorina jeune femme guérisseuse, qui va rentrer dans la vie de Jean suite à un accident de moto.  Malheureusement avec le père qu'elle a, elle n'est pas aidé non plus. Quand le père et le beau père se mettent en scène, un drame et pas des moindre, va être un gros obstacle à cette histoire.

La plume de l'auteur est fluide, pleine d'émotion. Ce livre est un appel à la vie. Il respire l'humanité. C'est un travail sur soi même. Il est une belle remise en question de la vie. Il nous montre qu'elles sont les choses importantes et qui vaut la peine qu'on se batte pour elles.  L'auteur arrive à nous faire ressentir les émotions de ses personnages, c'est vraiment une lecture très agréable.

Merci  beaucoup à l'auteur de m'avoir confié son ouvrage, j'ai fait une très belle découverte. 

Que faire quand les souvenirs vous tenaillent? Que faire quand tout un pan de votre passé ressurgit des années plus tard? Fuir ou faire face? Se taire ou raconter? Un récit à la première personne qui nous rend témoins de cette histoire. Le hasard de la vie. Une rencontre et la vie bascule. A jamais. Une histoire toute en délicatesse. Toute en beauté. Toute en pudeur. Des personnages forts. Aussi bien dans la tendresse que la méchanceté. Des personnages d'une grande timidité. D'une grande tendresse. D'une grande candeur. Des personnages d'une haine débordante. D'une misérable haine capable de bouleverser les vies environnantes.

Loin des fauves est l'histoire d'êtres humains. D'un humain. Un homme qui révèle des sentiments. Des vies. Un homme qui se révèle aux autres. A lui-même. Un homme qui retrouve une raison de vivre. Un homme qui retrouve sa vie. Qui retrouve une sensation de vivre. Un homme qui se retrouve. Tout simplement.

Les pages et les chapitres défilent doucement. Fortement. Rapidement. Ils recèlent une force tendre. Douce. Chaque mot est une référence à la vie. Une référence aux gens de la campagne. Aux gens de la nature. Avec des secrets. Comme tout le monde. Nous nous laissons emporter par le récit. Nous ressentons les mêmes émotions que les personnages. Un voyage dans le temps. Un voyage dans l'espace. Un voyage au bout de soi. Un voyage épique. Romantique. Rustique. Juste une grande escapade dans un monde terriblement humain. Un monde qui sent si bon la vie.