Commentaires de livres faits par Lolo22
Extraits de livres par Lolo22
Commentaires de livres appréciés par Lolo22
Extraits de livres appréciés par Lolo22
Très loin du paradis, un diable proposant une affaire.
Descend, fils, dit mon Satan avec un sourire.
Viens avec moi et nous serons Sinner’s Gin. »
- Gin et Démoniaque (extrait des chansons du groupe à chaque début de chapitre)
- N’importe quoi, répliqua Démétrius. Tu n’aimes que toi.
- C’est pour ça que c’était un amour si blessant. Je suis difficile à contenter.
Pratchett éclata de rire et frappa Sebastian sur le dos. »
- Mais nous ne somme pas dedans, rétorqua celui-ci, l’alcool qu’il avait consommé avec les plats chinois qu’ils avaient finalement commandés pour diner batifolant joyeusement dans ses veines. »
Le sourire d’Eiji s’élargit de manière incroyable.
- Je ne sais pas ce que cela signifie.
Alec éclata de rire.
- Je vous jure qu’à partir de demain, une fois que tout sera terminé, je vous ferai tous regarder certains de ces foutus films.
Eiji se mit à rire, mais regarda Cronin, puis revint vers Alec.
- Je suis pratiquement certain que tu n’auras pas le temps de regarder des films, mon ami. »
Cronin eut un petit rire.
- Je vois que c’est une qualité dans laquelle tu es passé maître en juste vingt-neuf années.
Alec leva les yeux au et soupira. »
McCoy grogna, méfiant.
- Quoi ?
- Répétez plusieurs fois à toute vitesse : Tony le tigre au Texas. Je suis sûr que…
- Ca suffit, Grady ! N’aggravez pas votre cas ! »
Ty désigna la porte de l’écurie – derrière laquelle se tenait Harrison.
- Non ! Je refuse dapprocher ce canasson !
Zane se frappa la cuisse de sa corde.
- Ty, tu as contre les chevaux un a priori ridicule. Ils ne cherchent pas à te tuer, je t’assure.
Sceptique, Ty croisa les bras et secoua la tête.
- J’ai bien vu que cette sale bête me jetait un regard vicieux. Et elle m’a parlé… sauf que je n’ai rien compris.
Zane lui jeta un regard inquiet.
- Bon, tu divagues. C’est sans doute le soleil qui t’a tapé sur la tête.
Harrison ne put retenir plus longtemps un gloussement. »
- Oui.
- Je vérifiais juste. Je t'en pris continue."
On lui mit un verre entre les mains, mais comme il restait inerte, on finit par le presser contre ses lèvres. Machinalement, il ouvrit la bouche et sentit le liquide brûlant glisser sur ses lèvres, puis au fond de sa gorge.
Il le recracha presque aussitôt.
"Mon meilleur brandy ! pesta le vieil homme en ingurgitant une gorgée avant de refermer la bouteille.
- Encore ! réclama le professeur, comme le policier allait lui retirer son verre, et il but d'une traite. Encore ! exigea-t-il en s'adressant au retraité.
- Il me plaît de plus en plus, ton copain", jubila le senior en obtempérant."
Mais la détresse le submergea aussitôt. Ces trois petits mots, qu'il avait tellement espéré entendre, avaient été prononcés à l'imparfait. Et il songea avec amertume que ce temps de conjugaison si français méritait bien son nom..."
Sloane plissa les yeux.
- Tu veux frapper des chiots ?
- Je ne frapperais jamais un chiot. Qu'est-ce qui ne va pas chez toi ? Mais Dex, je le frapperais."
Il tourna les yeux vers lui.
- N’est-ce pas ?
- En effet, ça l’est, dit Nick en riant cette fois.
- Pourquoi tu rigoles ?
- Oh….
Nick haussa les épaules en expliquant :
- Je repensais à une blague qu’on avait l’habitude de dire quand on était à l’université.
Timidement, il se tourna vers Logan et demanda :
- Combien de psychologues faut-il pour changer une ampoule ?
- Je ne sais pas, pourquoi ? demanda Logan, en inclinant la tête, un air presque soupçonneux sur le visage.
- Un seul. Mais encore faut-il que l’ampoule ait envie d’être changée…
- Hein ? dit Logan les sourcils froncés.
- C’est ce qu’on dit à nos patients. Ils ne peuvent changer que s’ils en ont vraiment envie. Ce n’est pas de la magie, juste du travail de forçat. »
- Une seule nuit, ça ne va pas nous tuer, murmura Logan en retour.
- Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort.
- Quoi ? répondit la voix ensommeillée de Logan.
- Nietzsche, expliqua Nick, brièvement.
- A tes souhaits.
Nick se mit à rire en silence.
- Dors ! lui intima Logan. »
- Euh… OK.
- Je pense que Jared et moi avons peut-être des goûts similaires après tout. J’aime le genre mignonnes, elles ont généralement tendance à être gentilles.
Connor cilla tandis que les mots de Ben étaient progressivement assimilés.
- Es-tu… Es-tu en train de dire que tu penses que je suis mignon ?
Ben écarquilla les yeux et frappa sa main sur son visage pour les couvrir.
- Oh mon Dieu ! C’est la conversation la plus gay que j’ai jamais eue de ma vie. »
- Sans blague, grommela Dex. Ma facture de pressing a triplé le mois dernier.
- Vous êtes le seul inspecteur que je connaisse qui vient travailler en ayant l’air de sortir d’un putain de magazine de mode masculine. C’est quoi ce truc dans vos cheveux ?
Dex toucha instinctivement ses cheveux ébouriffés.
- Du gel de modelage.
McGrier se pencha en avant et renifla.
- Et c’est quoi cette odeur ?
- Agrumes et menthe, marmonna Dex en se penchant loin de lui. Pour votre information, c’est un peu louche.
- Pour votre information, vous réalisez que vous êtes inspecteur aux homicides, pas vrai ?
- Qu’essayez-vous de dire ?
Ce n’était pas parce qu’il avait l’impression d’être une merde qu’il devait en avoir l’air. A en juger par l’état du bureau de son capitaine, il pouvait parier sans se tromper que McGrier n’était pas d’accord. C’était comme si l’homme avait une aversion pour la propreté. Chaque fois que McGrier l’appelait, Dex réussissait toujours à rester près de la porte sans avoir à mettre un pied à l’intérieur du Repaire du Chaos. C’était le pire cauchemar d’un maniaque de la propreté. Le pire cauchemar de /Dex/.
Les feuilles de la fausse fougère en pot au-dessus de l’armoire métallique de rangement cabossée croulaient sous l’épaisse couche de poussière. Il y avait des piles de dossiers – de dossiers empilés de travers avec des feuilles qui dépassaient dans tous les sens sur toutes les surfaces disponibles. Sur des boites d’archives le long du mur de la pièce. Sur le bureau de McGrier sous trois tasses de café – dont l’une d’elles ne méritait rien de moins qu’une incinération, bien que les résidus de ce qui ressemblait à du goudron et qui avait dû un jour être une fine couche de café puisse la faire exploser. Comment travaillait-il là-dedans ? L’endroit entier avait besoin d’une équipe de décontamination.
- Vous mangez des Cheesy Doodles à votre bureau, l’informa McGrier.
Comment étaient-ils passés du gel pour cheveux aux chips soufflées au fromage ?
- Eh, ne critiquez pas les bienfaits des croustilles au fromage. Vous êtes toujours en train de manger des pistaches – ce qui, soit dit en passant est plus salissant – et vous ne m’entendez pas en dire du mal.
Dex hocha la tête vers la zone de guerre composée de minuscules coquilles sur le bureau devant McGrier.
- Les enfants mangent des Cheesy Doodles. Les hommes adultes mangent des noix.
Dex haussa un sourcil et ouvrit la bouche seulement pour se retrouver avec le doigt de McGrier pointé vers lui.
- N’y pensez même pas, petit malin.
- J’allais seulement dire que les hommes adultes mangent aussi des Cheesy Doodles. C’est pour ça qu’ils mettent extrême sur les emballages. Et des explosions. Qu’y a-t-il de plus viril que des explosions ? »
Il y avait un rectangle bordé d’une mince ligne bleue sur le coin inférieur gauche de la surface brillante du bureau.
- Ouais.
- Pose ta main dessus.
Essuyant sa main sur son pantalon, Dex la plaça là où Tony le lui avait demandé, couinant comme une écolière quand la surface du bureau prit vie.
- Oui, voilà ! C’est exactement de ça que je parlais ! C’est du matos à la Star Trek qu’on a là.
Il était si excité qu’il pouvait à peine se contenir. Il adorait avoir de nouveaux jouets.
- Ouais, d’accord. Vas-y doucement, Solo.
- Je vais faire comme si tu n’avais pas dit ça. Sérieusement, mec. Tu as élevé deux gamins et tu ne peux toujours pas faire la différence entre Star Wars et Star Trek ?
- Les deux se déroulent dans l’espace avec des mecs habillés bizarrement. C’est tout ce que j’ai à savoir là-dessus.
Dex laissa pendre sa tête de honte.
- Je pleure pour toi. »
- J’avais besoin de réfléchir.
Il parlait tout bas, mais Eli l’entendit clairement dans le silence de plomb de la pièce.
- A quel sujet ?
Lui aussi parla tout bas, mais sa voix était légèrement pressante. Will remarqua qu’il serra les poings sur les côtés.
- Au sujet de beaucoup de choses… toi, moi, la couche d’ozone, s’il y a de la vie sur d’autres planètes…
Il s’appuya contre la porte fermée et baissa le regard.
- Qu’en as-tu conclu ?
Eli fit un pas incertain vers lui.
- Je pense qu’on est complètement foutus, pour la couche d’ozone, et qu’il y a de la vie sur les autres planètes, pas que j’en ai croisée pour autant.
Will se força à sourire faiblement.
- Et toi et moi ? »
Il me sourit légèrement et demande :
- Vous êtes bien monsieur Sam XXX ?
Bon, si j’avais encore un doute c’est réglé : il connaît bien mon nom. Le XXX, c’est juste pour vous, je tiens pas à ce que vous débarquiez aussi chez moi, désolé… »