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Blade fit le tour de la pièce telle une créature à l’affût, les mains jointes dans son dos. Lynch lui-même se crispa légèrement quand il passa près de lui

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Sentant son regard peser sur elle, elle se retourna vers lui et un sourire se dessina lentement sur ses lèvres.

— Je ne t’ai jamais vu aussi stupéfait…

— Je ne suis pas stupéfait, répliqua-t-il en la guidant vers les marches de marbre qui menaient à l’opéra.

— Tu as à peine ouvert la bouche depuis qu’on est montés dans le fiacre. J’espère que je ne t’ai pas volé ton sens de la repartie. Garrett se pencha vers elle pour lui murmurer à l’oreille :

— Continue comme ça et tu risques de me voler autre chose. Elle afficha un air méfiant. Elle n’avait pas l’habitude de flirter ; en particulier avec Garrett.

— Si je voulais voler ton coeur, murmura-t-elle, je l’ôterais de ta poitrine avec mon couteau.

— Je préférerais quelque chose de plus subtil… Les lèvres rouges de Perry affichèrent un sourire sincère tandis qu’elle continuait à fouiller l’assemblée des yeux.

— Concentre-toi.

— Je suis concentré. Il coula un nouveau regard sur le léger gonflement de sa poitrine – une poitrine à laquelle il n’avait jusque-là jamais accordé d’attention. Une montée de désir lui comprima les tripes.

— Sur la raison de notre présence ici, je veux dire, reprit Perry.

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— J’ai été pickpocket, et un bon, en plus de ça. Le seul à m’avoir un jour démasqué, c’était Lynch. Trois objets glissèrent de sa manche, avec lesquels il se mit à jongler sous les yeux de Perry. Bouche bée, elle récupéra un petit morceau doré dans l’air.

— C’est ma bague ! (Elle s’empara d’un autre objet.) Et ma montre. À la seconde où elle vit le dernier objet qu’il tenait dans ses mains, son visage perdit ses couleurs.

— Rends-moi ça ! Il eut le temps d’apercevoir une petite pièce ronde estampillée d’une tête de faucon, comme l’un des sceaux qu’utilisait l’Échelon. Il la serra dans son poing et leva le bras.

— Qu’y a-t-il ? C’est quelque chose de personnel ? Elle le saisit par le bras, le fit pivoter contre le mur d’une ruelle et le lui tordit dans le dos. Il la sentit enfoncer un genou dans ses reins, lui rendant tout mouvement impossible. Mais il n’avait pas envie de bouger. Le corps entier de Perry était pressé contre le sien et il sentait son souffle sur son oreille.

— Rends-le-moi. Elle écarta ses doigts par la force mais l’objet avait disparu. Elle procéda de la même façon sur son autre main et grogna de frustration.

— Où est-ce que tu l’as mis ? Un dernier tour de passe-passe pendant qu’elle le malmenait…

— Tu es un Engoulevent, dit-il en déglutissant, tandis qu’il baissait le bras et posait la main sur le mur de brique rugueux. Pourquoi tu ne le trouves pas ? Un défi. Le silence était presque assourdissant. Elle inséra une de ses cuisses entre les siennes et lui écarta les jambes. Une sensation de brûlure envahit aussitôt Garrett et il tourna le visage sur le côté quand elle passa ses doigts minces sur ses côtes. Ils plongèrent dans ses poches et en ressortirent vides. Des mains rêches lui palpaient les hanches. Les flancs.

— Ça te plaît, grogna-t-elle, frustrée et impétueuse.

— Bien sûr que oui. Un homme paierait plus de cinq livres pour se faire palper comme ça à d’autres endroits. Il perçut le moment précis où elle réalisa ce qu’elle faisait. Elle posa légèrement sa paume sur sa hanche, presque négligemment. Le martèlement soudain de son coeur résonna dans les oreilles de Garrett. Son corps vibrait de tension et il savait qu’elle le sentait aussi. Comment aurait-elle pu ne pas le percevoir ? Tous ses muscles étaient contractés de désir. Bon sang. Vas-y. La pression de sa main sur sa hanche augmenta, un contact languide qui se transforma presque en caresse. Comme si une décision avait été prise. Garrett faillit en avoir le souffle coupé ; son cerveau ralentit à mesure que ses membres lui paraissaient fondre. Ses doigts furent agités d’un tremblement qui se répercuta à travers lui.

— Tu vas me devoir plus que cinq livres alors, répondit Perry d’une voix soudain grave. Son côté rationnel essayait de lutter. Mais il l’avait enfin retrouvée, celle qui se cachait sous la fichue façade qu’elle avait érigée contre le reste du monde. Et elle ne lui inspirait que sexe, péché et séduction. La main de Perry qui glissait sur ses fesses le fit tressauter. Son sexe durcit instantanément, presque douloureusement, et il dut le presser contre le mur de brique. Chaque contact était une véritable torture. Une caresse mesurée à l’intérieur de ses cuisses et il se crispa.

— Perry, siffla-t-il entre ses lèvres, tandis que ses doigts fermes caressaient ses mollets et le haut de ses bottes. Voilà qui était plus qu’éloquent. Disparus, son sens de la séduction et son discernement. Tout comme son intellect, qui semblait dirigé plus au sud. Il serra les dents en sentant Perry remonter sa main.

— Il n’est pas caché là, murmura-t-elle en caressant l’extérieur de ses cuisses.

— Non, visiblement, parvint-il à répondre. Elle glissa sur ses fesses puis sur le cuir qui moulait l’arrière de ses cuisses, ce qui l’ébranla au plus profond de lui. Il émit un petit bruit guttural, plus de l’ordre de l’expiration que de la parole. Diable. Elle savait s’y prendre. Elle faisait basculer son monde. Comment pouvait-il garder les idées claires ? Sa vue commença à s’obscurcir, ce qui constituait un avertissement dont il aurait dû tenir compte, mais il s’en fichait. Il était aveuglé par la passion. Tout ce qui l’intéressait, c’étaient ces mains sournoises et leurs mouvements.

— Tu es peut-être capable de me voler mes affaires, mais j’adore quand, moi, j’arrive à te voler tes mots, murmura Perry à son oreille tout en se pressant contre son corps. Elle passa ses bras autour de lui, éprouva la fermeté de son ventre et de sa poitrine. Intense comme le péché qui s’insinuait sous sa peau. Chacune de ses caresses se répercutait dans son érection comme s’il pouvait sentir ses doigts autour. Il fut submergé par une vague de chaleur. Quelqu’un, quelque part, avait gratté une allumette et mis le feu à une ligne de poudre à canon. Le plus déstabilisant, c’était qu’il s’agissait de Perry. Il aurait dû l’arrêter. Les choses allaient trop loin. Mais sa nature la plus masculine l’en empêchait. À quoi bon la stopper ? Jusqu’où irait-elle exactement? Les mots moururent avant de franchir ses lèvres. Arrête. Dis-lui d’arrêter. Mais les mains continuaient leurs ravages, attisant les ténèbres au fond de lui, la soif…

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- Votre nom a du m'échapper sur la liste des invités, murmura le prince Moncrieff. Il me semble que seules les sangs bleus de noble naissance ont été invités à cette journée d'inauguration.

- Il suffit d'avoir la tète de l'emploi. En, plus, qu'est ce que la noblesse, si ce n'est ce sentiment d'impunité qui vous permet de faire tout se que vous voulez?

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