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Mais tout cela est fini et bien fini, et je dis méfiez-vous... Car les joies d'un pirate sont celles d'un enfant et malheur à qui ne saurait grandir en ce siècle de raison.
Afficher en entierLes loups sont à bord, je le sais. Le trésor de Guyanacapac a attiré sur ce navire plus de pirates que de mouches sur la charogne !
Afficher en entierTu es un fidèle compagnon La murène, mais la poésie n'est vraiment pas ton fort...
Tâche donc de profiter de l'instant au lieu de t'imaginer des choses.
Cette petite bruine, ce ronflement de la houle... C'est le moment que je préfère...
Respire cet air, la Murène, sens le bien ! Ce n'est pas le souffle de la mer...
C'est le souffle de la liberté.
Afficher en entierLe maître est celui qui prend le risque de la mort à son compte.
L'esclave est celui qui ne songe qu'à survivre survivre.
Afficher en entierPeu importe d'amasser ou de ménager, ils ne comptent que sur le jour présent et jamais sur celui qu'ils auront à vivre...
Afficher en entierTu as tout perdu, Long John de tes gueux...de toi...il ne restera rien.
Afficher en entierVingt-cinquième jour de mer. nous avons parcouru plus de mille lieues et atteint les alizés. Les jours se ressemblent, avec une effrayante répétition. Chaque heure apporte son lot de faim, de froid et de douleur.
Des planches qui craquent et sément leurs échardes aux cordes qui cisaillent les mains en passant par le vent de sel qui met les chairs à nu. Tout sur ce navire semble s'acharner à faire souffrir les marins.
Misére au port, bagne sur le pont, enfer de l'au-delà, il n'existe pour ses pauvres hères aucun espoir d'une vie meilleure. La terre ferme ne leur offre rien de plus que la mer.
Afficher en entierCette petite bruine, le ronflement de la houle... C'est le moment que je préfère...
Respire cet air, La Murène, sens le bien ! Ce n'est pas le souffle de la mer...
C'est le vent de la liberté.
Afficher en entierComprenez que le pirate se sente à l'étroit sur la terre ferme. Il pourrait se contenter de sa ferme, mais non, il lui faut Maracaïbo ou Tortuga... Et de l'or ! Peu leur importe d'amasser ou de ménager, ils ne comptent que sur le jour présent, et jamais sur celui qu'ils auront à vivre...
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