Look Back

Alors j'ai bien aimé le debit de l'histoire en revanche j'ai rien compris a la fin...! Je ne pense pas être bête, mais c'est écrit et dessine ben j'ai juste pas compris, surtout que sur le fin les deux personnages de ressembles alors voila je suis passé à côté. Je suis bien contente de l'avoir pris a la bibliothèque et de ne pas l'avoir acheté

Les graphismes sont plus réalistes que ce que j'ai l'habitude de voir, mais ça ne m'a vraiment pas dérangé. Par contre, plus je lisais et plus je me disais qu'il ne restait pas beaucoup de pages pour boucler l'histoire. Je ne voyais pas où l'auteur voulait en venir. Je ne m'attendais vraiment pas à Spoiler(cliquez pour révéler)un monde alternatif lié. De la SF ici?! Intéressant, mais je ne sais toujours pas si j'aime ou non...

Chronique complète :

https://sunread26.wordpress.com/2023/12/15/look-back/

Extrait :

Aujourd’hui, je vous propose de découvrir avec moi un petit one shot qui avait fait beaucoup de bruit à sa sortie, mais pour lequel je n’avais pas craqué dès le départ. C’est lorsque j’ai vu son titre s’afficher dans une liste de vente, que je me suis dit « c’est le moment où jamais de la lire ». Visiblement, je peux déjà vous dire que j’ai bien fait. Le titre a une atmosphère bien particulière, si bien qu’on ne s’attend pas du tout à la chute. Je pense garder ce titre dans ma collection pour le moment.

De ce que j’ai pu lire, il semblerait que le titre était d’abord sorti sur la plateforme Mangaplus. Pour ma part, je ne l’ai pas lu sous cette forme, surtout qu’il devait être juste traduit en anglais. Je découvre donc réellement le titre avec sa sortie en format papier. Comme désormais Kazé n’existe plus, je suppose que la série a été réimprimée avec le nouvel éditeur Crunchyroll. J’ignore totalement à quoi peut ressembler le titre désormais, j’espère qu’ils ont moins pris de « liberté » que sur d’autres séries où c’est devenu n’importe quoi. C’est aussi pour ça que j’hésitais à prendre le titre, comme l’éditeur à changer, et que je « boycott » le nouveau. Heureusement, la version que j’ai trouvée est toujours sous logo Kazé, qui me manque déjà. Le one shot n’est pas très épais, donc je ne ferais peut-être pas une chronique aussi longue que d’habitude (et encore, c’est plus court que les chroniques d’un autre blogueur que je connais).

Au début, je pensais que l’auteur souhaitait juste « comparer » deux jeunes artistes mangaka. La première, Fujino, participe à chaque fois au journal des CE2 avec des histoires courtes qu’elle réalise elle-même. Elle reçoit alors beaucoup d’attention de ses camarades, qui la félicitent d’être aussi douée en dessin, qu’elle est un génie, etc… Bref, ça part vite dans l’exagération mais c’est normal, ce sont des jeunes. Un jour, le professeur lui demande si une de ses camarades pouvait participer aussi. C’est là que tout commence, puisque Fujino sera mise en compétition avec cette camarade, Kyômoto. Kyômoto ne sort pas de chez elle, elle passe donc beaucoup de temps à dessiner et son niveau n’est en rien comparable à celui de Fujino. Fujino finit donc un peu blessée, par ses camarades qui font de nouvelles remarques, bien moins sympathique. Je pensais qu’elle finirait donc par être jalouse, mais ce passage est vraiment bref, et c’est ce qui suit qui est à la fois beau et intéressant.

[...]

Une jolie histoire courte sur une amitié improbable et la force que l'ont peut trouver dans le regard d'autrui. J'ai beaucoup aimé la première partie, avec ces deux adolescentes en mal être, même s'il est moins évident à s'en rendre compte pour l'une que pour l'autre... La deuxième moitié m'a un peu moins plu, mais cela reste efficace.

Cette histoire nous tourne et retourne le cerveau, les personnages sont attachants et il se lit très vite. J’ai finalement été déçue que le libre soit si court, et l’histoire si peu développée, ça mérite d’être plus long !

Kyômoto, jeune lycéenne, ne veut plus sortir de sa chambre. Isolée, son seul plaisir est de lire le journal de l’école où paraissent les petits BD créées par une camarade de classe prénommée Fujino. Ces deux jeunes filles n’auraient jamais dû se rencontrer, pourtant lorsque Fujino lui apporte ses devoirs un soir, elles se découvrent une passion commune pour le dessin. Mettant en commun leur talent, elles aboutissent à la création d’un manga. Pourtant leurs caractères si différents et leurs choix de vie vont petit à petit les séparer.

Un one-shot délicat, fort en émotions, rendant un bel hommage à la puissance de l’amitié et à celle de la création.

Les circonstances, et le dessin, vont les rapprocher de manière inattendue.

Cependant, alors que cette relation particulière nous captive durant la première moitié du volume, une rupture intervient, pas banale. Pourquoi pas, et la suite se veut sans doute originale et intense, mais je la trouve un peu brouillonne. L'auteur recherche probablement une perspective un peu artistique à sa narration, mais l'histoire perd de mon point de vue en clarté, même si je comprends plus ou moins l'effet recherché.

Un manga intéressant malgré tout, même s'il me laisse un peu sur ma faim.

Très court mais fort en émotions, avec des dessins magnifiques, pour une belle histoire de deux jeunes filles qui se rencontrent à travers le dessin...

J'ai bien apprécié le récit, c'était court mais bien mené. Le dessin est typique de Fujimoto, je n'apprécie pas trop son style d'ailleurs, mais quand ce n'est qu'un one-shot ça passe.

Cela aura été une lecture très agréable. Très douce.

Les dessins sont vraiment excellents et j'y ai retrouvé la marque que j'avais aimé dans chainsaw man.

L'histoire est simple, rapide, mais efficace. Je l'ai trouvé touchante.

Je pense que je relirai certainement ce manga, il laisse un bon sentiment lorsqu'il se termine et c'est toujours agréable.