Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 660
Membres
1 007 653

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode


Ajouter un commentaire


Liste des commentaires

Or

Heureuse d’avoir retrouvé John Grey pour de nouvelles aventures

Afficher en entier
Diamant

Le dernier journal intime écrit deux semaines avant la mort du père de John et de son frère Hal, refait surface alors que tout le monde le croyait définitivement détruit, ravivant dans les mémoires une affaire délicate qui avait entaché la réputation du duc...Ce qui n'est visiblement pas le cas puisque Hal en a trouvé un feuillet sur son bureau: "Que signifiait cette page du journal disparu? Qui l'avait envoyée? Et pourquoi leur mère avait-elle menti à Hal en lui disant que le duc avait brûlé son dernier journal?

Le ministère de la Guerre a détecté un possible complot qui, indirectement, pourrait avoir des répercussions sur la famille de John: l'ancien aide de camp du fiancé de sa mère, lord Stanley, est soupçonné d'avoir vendu des documents secrets à une puissance étrangère, sans que l'on puisse définir laquelle. John et son frère craignent qu'un tel scandale fasse resurgir de vieilles rumeurs concernant le krach boursier qui avait permis à leur père de s'enrichir alors que d'autres avaient tout perdu. Ajoutant à cela qu'il avait été perçu comme un sympathisant jacobite à cause de la famille de sa femme...

Qui pourrait avoir dérobé le journal de leur père? Et pourquoi, dix-sept années après sa mort, certaines pages réapparaissent? Serait-ce l'oeuvre d'un des trois prétendants de la comtesse après son veuvage: "Dans le mois qui a suivi mon retour à Londres, j'ai reçu trois demandes en mariage. Toutes émanaient d'hommes dont j'avais de bonnes raisons de soupçonner qu'ils étaient impliqués dans le scandale qui a provoqué le décès de mon mari. Je les ai rejetées toutes les trois, bien entendu." (Page 227).

Et si la mort du duc renfermait un secret encore plus lourd que l'enfant de douze ans que John était à l'époque gardait tout au fond de lui depuis toutes ces années? Lord Grey est bien décidé, quoiqu'il en coûte, à remonter le fil du temps afin d'éclaircir le mystère de la mort de son père. Saura-t-il préserver sa famille d'un nouveau scandale?

Actualité historique: tout au long du roman, l'auteur sème des indices historiques sous forme d'anecdotes parfaitement intégrées au récit, permettant au lecteur d'appréhender le contexte politique et social dans lequel se déroule l'histoire:

-Le contentieux toujours vivace entre les protestants et les catholiques se ressent dans les relations sociales: "Bon, au moins, ce ne sont pas des Barbares comme ceux des Highlands. En outre, les Borders n'ont pas participé au soulèvement catholique. La plupart de leurs habitants étant de fervents protestants, ils n'ont aucune sympathie pour les Stuarts ni pour les clans highlands, avec lesquels ils ne partagent aucun intérêt commun." (Page 69).

-L'ombre de Culloden, bien que douze années se soient écoulées, continue de planer sur la société anglaise: "-Puis-je en déduire que vous connaissez les noms de certains importants partisans du Prétendant en Angleterre? -De beaucoup d'entre eux, répondit calmement Fraser. Cela a-t-il une importance aujourd'hui?...-Si certains d'entre eux sont toujours de ce monde, je suppose que cela en a. Ceux qui sont restés dans l'ombre à l'époque tiennent sans doute à ce que leurs liens restent secrets, aujourd'hui encore...C'était plus que possible. L'hystérie antijacobite des années qui avaient précédé le Soulèvement s'était calmée, mais la trahison est un crime dont la tache reste indélébile." (Page 142).

=> Une reconstitution historique dépeinte avec beaucoup de naturel: les coutumes, les costumes, les décors, les différentes classes sociales, des anecdotes, les pensées et les émotions de John Grey permettent une immersion totale dans l'époque au point qu'on en oublie l'endroit où nous nous trouvons. Diana Gabaldon possède un pouvoir d'évocation quasi hypnotique, par exemple lorsqu'elle raconte  une scène de bataille: "Ils étaient tous après lui, à présent. Il entendait leur course et leurs grognements d'effort quand ils lançaient leurs grenades. La terreur lui donnait des ailes. Il zigzaguait frénétiquement entre les arbres, les éclairs et les explosions secouant les buissons et chassant les corbeaux qui s'envolaient en poussant des cris stridents...Une compagnie d'infanterie française. Les hommes tournèrent vers lui des visages surpris, puis, comprenant qui il était, entreprirent fébrilement de charger leurs mousquets. Pas moyen de passer. Derrière eux...des rangs et des rangs de soldats, tout un océan d'uniformes bleu et blanc..." (Page 406).

Second tome de la série consacrée à Lord John Grey, La Confrérie de l'épée est aussi réussi que le premier tome: des scènes d'anthologie racontées avec un mélange d'humour et de tension dramatique, révélant un sens aigu de la narration, une capacité à créer avec le lecteur une intimité qui l'immerge dans le récit au point de lui faire oublier son monde à lui: "Il ne savait pas nager. Ce qui ne changeait pas grand-chose, dans la mesure où il était bardé de plus de six kilos d'équipements. Il toucha le fond vaseux, fléchit les genoux et poussa, pour ne remonter que de quelques dizaines de centimètres. Il retomba, ses bottes s'enfonçant profondément dans le limon. Pris de panique, il se débattit dans l'eau boueuse, tentant frénétiquement de se débarrasser de sa veste avant de se rendre compte qu'il tenait toujours son sabre. Il le lâcha. Sa poitrine brûlait, se gonflant de l'envie vaine et irrésistible de respirer." (Page 407).

Le +: extrêmement bien documenté pour tout ce qui concerne la guerre au XVIIIe siècle, la vie au sein d'un régiment, la stratégie militaire, le maniement des canons. Le fait de raconter le conflit jacobite sous forme de conversation rend le récit plus vivant.

Le ++: les nombreux traits d'humour qui sont la marque de fabrique de Diana Gabaldon: "Le problème, avec les hommes pleins d'esprit, c'est qu'ils se sentent obligés de l'exhiber à toute occasion, ce qui peut être très pénible, le matin, à la table du petit déjeune. Dieu merci, Richard n'en a aucun." (Page 86)..."Tu parles! Vu son humeur actuelle, je ne pourrais pas lui soutirer le nom de son tailleur avec un marteau et un burin..." (Page 159)..."Grey vida une autre coupe, entendit la grande horloge dans le coin de la pièce sonner minuit et songea à quel point il serait agréable de se transformer en citrouille aux pieds d'Adams, ou en tout autre végétal inerte et sourd au verbiage de ce raseur." (Pages 238). =>Lecture hautement recommandée...

Afficher en entier
Argent

Petit retour dans la vie de John Grey, personnage secondaire de Outlander et principal dans celle-ci, avec un bond en arrière, vu mon avancée dans la série, pendant l'époque ou Jamie Fraser est prisonnier et palefrenier en Angleterre chez un Lord.

Si le premier tome était plus basé sur une intrigue policière, là on s'en éloigne.

La mort de son père est trouble et une conspiration mâtinée de traîtrise la remet au devant de la scène.

On va découvrir aussi sa relation avec Percy Wainwright, personnage que l'on rencontre dans L'écho des coeurs lointains et surtout s'imaginer la dureté d'être homosexuel à cette époque ou ils risquaient la peine de mort si ils se faisaient surprendre.

d'ailleurs si les scènes de sexe y sont décrites de façon cru parfois, Diana Gabaldon sait les faire paraître naturelles et pas spécialement érotiques.

J'ai aimé aussi découvrir la guerre des 7 ans que je ne connaissais pas du tout, dans ses livres il y a toujours la part belle à l'histoire et aux moeurs de l'époque tout en dialogues voilé, dandy et toilettes et bien sûr l'honneur si important à cette époque.

Afficher en entier
Or

Chronique de Diana : https://followthereader2016.wordpress.com/2019/09/30/la-confrerie-de-lepee-tome-2-lord-john-diana-gabaldon/

C’est toujours un bonheur que de retrouver la plume de Diana Gabaldon. Elle est unique en son genre et j’avoue que je ne boude jamais mon plaisir. En terminant je me suis dit qu’il faudrait plus de romans de ce genre, d’ailleurs j’aime autant cette saga qu’Outlander. Elles sont certes différentes dans la thématique mais toutes aussi richement documentées et travaillées.

John Grey est un personnage que j’ai apprécié avec le temps à l’instar de Jamie et Claire que j’ai adoptés à la seconde mais à présent je trouve qu’ils sont complètement différents ce qui rend peut être les sagas complémentaires. En tout cas une chose est sûre c’est à la fois du fantastique et du grand historique.

Diana Gabaldon réussit à merveille les descriptions, ce qui permet une immersion facile et rapide du lecteur. Elle s’évertue à dépeindre la vie londonienne au XVIII ième siècle avec détails, humour et finesse.

Cette fois nous partons pour la guerre de sept ans et un mystère impliquant la famille de John. Il y a aussi ces moments John/Jamie que j’apprécie tant, même si on reste dans une relation à sens unique ce qui est parfois déroutant. Mais ce roman traite avant tout d’un homme de haut rang, homosexuel dans une armée pas vraiment encore ouverte à cette pratique. Si l’on rajoute à ça donc le mystère autour de la pseudo mort du père de John Grey vous avez une vue d’ensemble sur la trame.

Tout le récit montre un homme qui vit avec le poids de son rang et de ses désirs cachés, le fait qu’il doit se cacher et condamner ceux qui ont été reconnu comme gay. Ce côté hyper hypocrite mais nécessaire pour continuer à vivre en ce siècle. J’adore quand un auteur confronte le pire dans une société qui préfère ignorer que d’accepter. C’est en ça que cette lecture est passionnante, la dualité du personnage, ses choix et leurs conséquences. John est loin d’être parfait et c’est ce qui le rend particulièrement attachant même lorsqu’on pourrait le trouver pleutre ou méchant.

Après j’avoue que les descriptions des scènes sexuelles ne sont pas forcément ce que je préfère mais elles apportent plus de reliefs encore au héros.

C’est une saga à lire si on aime Diana Gabaldon, elle écrit merveilleusement bien et arrive à transmettre des messages forts et humains. Pour moi elle sait comment happer son lectorat grâce aux descriptions et détails mais aussi grâce aux forces et faiblesses de ses personnages. Une saga à absolument découvrir si vous aimez déjà Outlander.

Afficher en entier
Argent

J'ai préféré ce tome-ci au précédent. L'action, l'intrigue et le suspens débutent dès le début. Les points forts pour moi sont lorsqu'il rencontre Jamie et Percy, séparément bien sûr.

Afficher en entier
Or

J'ai beaucoup aimé ce tome 2 qui, au-delà du sujet principal (une sombre affaire remontant au décès du père de John Grey, de longues années auparavant), explore de façon approfondie la relation entre John Grey et Percy Wainwright.

En lisant Outlander 7, L'écho des cœurs lointains, j'avais eu l'impression d'avoir loupé un épisode. Qui était ce Percy Wainwright qui apparaissait subitement, et que Grey semblait connaître intimement ?

Les réponses sont dans ce tome 2 de Lord John Grey. On y découvre leur rencontre et comment leur relation se retrouve engoncée dans des sentiments troublés de ressentiment, culpabilité et attirance à la fois.

J'ai dévoré ce roman !

Afficher en entier
Bronze

Maintenant que nous sommes bien campés dans ce nouveau monde de D. Gabaldon et attachés aux nouveaux personnages, j’avoue que même s’il a été plaisant de le lire, je l’ai parfois trouvé un peu long et un peu décousu sur la résolution de l’enigme. Cependant, on accroche quand même et on veut aussi trouver le fin mot de l’histoire.

Roman intéressant par le fait que nous découvrons toujours un peu plus John dans son histoire et ses sentiments, mais aussi pour les faits historiques qui sont rapportés.

Afficher en entier
Or

Une seconde enquête de Lord John qui ne démérite pas ! J'ai beaucoup aimé la manière dont Grey partait à la recherche de son passé et de l'honneur de son père. Par ailleurs, j'ai adoré lire le récit de sa rencontre et de son aventure avec Percy (que j'avais déjà beaucoup aimé dans Le chardon et le tartan). Les scènes érotiques sont extrêmement bien écrites et, même si je ne suis pas fan des relations hommes/hommes en littérature pour adulte (surtout en raison du nombre croissant de romance de ce style qui envahissent le marché), j'ai adoré celles ci. Les personnages que ce John ou Percy sont très bien travaillés et l'auteure ne commet pas l'erreur largement répandue de leur prêter des traits et des sentiments féminins. Le contexte socio politique est toujours aussi bien détaillé et expliqué et j'ai adoré retrouver Jamie. Même si j'avoue que la mort de Geneva me fait toujours autant de peine. La relation entre John et Jamie est toujours aussi puissante. J'ai aussi apprécié les dilemmes moraux auxquels John a du faire face et je dois dire que j'ai été en accord avec ses choix tout au long du roman. Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler, j'ajouterai juste que j'ai également apprécié la description du champ de bataille et des combats, très réalistes !

Ce que j'aime : Lord Grey, très attachant et bien construit. Ses relations familiales. Son histoire avec Percy et Jamie. Les descriptions, très riches

Ce que j'aime moins : La mort du capitaine (celui qui est pendu), au final, j'aurais bien aimé revoir ce personnages

En bref : Une intrigue riche et des personnages attachants ! Le contexte historique est maitrisé, les scènes sexuelles sont bien menées et l'enquête est passionnante. Une excellent lecture

Ma note

8,5/10

Afficher en entier
Argent

Un roman d'introspection plutôt qu'un roman de genre d'où la déception de certains lecteurs. La seule question du roman qui traverse tout le livre c'est la question de John Grey posera à Jamie Fraser à la fin du livre "Vaut-il mieux conserver la vie ou l'honneur de ceux qui nous sont proches? "

John réfléchi beaucoup sur son homosexualité et ses conséquences. L'histoire policière est un peu emberlificotée mais cette intrigue n'est pas complètement le fil conducteur du livre, d'où le s n'aiment de lenteur. Une description interessante d'une bataille de la Guerre de Sept Ans, les fameuses Guerres en Dentelle.

Afficher en entier
Argent

Je rappelle que la série des lord John Grey est un "spinoff", une série dérivée de la très célèbre série Le Chardon et le Tartan/Le Cercle de Pierre/Outlander (tv), de Diana Gabaldon. C'est dans le tome "Le Voyage" que le personnage secondaire de lord John Grey fait son apparition. C'est donc pour lui principalement, sa psychologie et ses relations, tendues et tumultueuses, avec Jamie Fraser que je me suis engagée dans cette lecture, et non pour l'intrigue policière, aspect qui m'intéressait moins. Lord John Grey est un personnage complexe et tout aussi attachant que Jamie Fraser. Au travers du contexte historique de la Guerre de Sept ans et les lendemains des guerres Jacobites, on le voit vivre secrètement une belle histoire d'amour avec un jeune homme, Percy, et essayer d'élucider un crime qui a jeté l'opprobre sur sa famille. Tout en se battant vaillamment contre les Français et les Autrichiens. Le fil conducteur de sa psychologie est la quête de l'honneur, d’autant plus difficile pour un homosexuel à cette époque, crime passible de mort. Au début, j'étais frustrée, des apparitions de Jamie Fraser, très intermittentes (tout au plus sur une vingtaine de pages), bien que très denses. Et comme le point de vue est celui de Grey, Fraser m'a paru souvent très fruste - ce qu'il n'est pas. Mais au fil du livre, je me suis détachée de Jamie et lord John prenait vraiment corps comme un personnage à part entière avec sa part d'ombre et de lumière. Il suffit de voir comment il traite son ultime ennemi, à la toute fin ! J'avais oublié Jamie.

Et puis D. Gabaldon évoque avec beaucoup de délicatesse et de justesse la relation homosexuelle de Grey et de Percy, que j’ai trouvée très émouvante Spoiler(cliquez pour révéler), même si sa fin est trop abrupte à mon goût. J'ai été très déçue de l'attitude de Grey vis-à-vis de Percy à partir de son emprisonnement et ses tergiversations sans fin, son refus de lui écrire ou de le visiter.

Mais la finesse de l'introspection de Grey compense un peu cette attitude.

----

J'ai depuis lu "L'écho des cœurs lointains", tome 8 d'Outlander, où Percy refait une apparition plus de vingt ans après "La confrérie de l'épée". Et je n'ai rien compris à la psychologie de Grey lorsqu'ils se retrouvent. Ou bien c'est un problème de raccord de Gabaldon. Ou bien elle a prévu un opus intermédiaire des aventures de Grey qui expliquerait son attitude. Cela m'a vraiment déçue.

J'ai beaucoup apprécié également les nombreuses notes d'humour qui émaillent le livre. Humour sur les personnages, les mœurs, les conditions de vie, etc.

En définitive, après avoir lu toute la saga de Gabaldon, spin-off inclus, lord John est devenu mon personnage préféré, avant Jamie Fraser. Mais l'un ne peut exister sans l'autre, leurs vies sont inextricablement liées, au point de rendre Claire, au début, jalouse et suspicieuse.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode