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Lorsque j'étais une oeuvre d'art est un livre sans équivalent dans l'histoire de la littérature [...]. Il raconte le calvaire d'un homme qui devient son propre corps, un corps refaçonné en oeuvre d'art au mépris de tout respect pour son humanité. Malléable, transformable, il n'est plus qu'un corps sans âme entre les mains d'un esprit diabolique dont le génie tient avant tout à son manque de scrupules.
Mon jeune ami, chacun de nous à trois existences. Une existence de chose : nous sommes un corps. Une existence d’esprit : nous sommes une conscience. Et une existence de discours : nous sommes ce dont les autres parlent. La première existence, celle du corps, ne nous doit rien, nous ne choisissons ni d’être petit ou bossu, ni de grandir ni de vieillir, pas plus que de naître que de mourir. La deuxième existence, celle de la conscience, se montre très décevante à son tour : nous ne pouvons prendre conscience que de ce qui est, de ce que nous sommes, autant dire que la conscience n’est qu’un pinceau gluant docile qui colle à la réalité. Seuls la troisième existence nous permet d’intervenir dans notre destin, elle nous offre un théâtre, une scène, un public ; nous provoquons, démentons, créons, manipulons les perceptions des autres ; pour peu que nous soyons doués, ce qu’ils disent dépend de nous.
"Lorsque j'étais une œuvre d'art" est un conte cruel contemporain. Le mal-être propre à notre société y atteint son paroxysme en la personne d'un jeune homme désespéré, candidat au suicide. Il est récupéré in extremis par un étrange Bienfaiteur, qui lui propose un marché non moins étrange : lui faire don de son corps vivant pour le transformer en œuvre d'art. Commence alors le long parcours de souffrance d'une âme qui se croyait perdue mais qui se reconstruit au fur et à mesure de la perte du corps auquel elle appartient.
On pourrait croire ce livre d'une tristesse sans borne. Il n'en est rien ! Nous sommes emportés tout au long de l'histoire par un humour cynique, jubilatoire.
Un excellent moment de lecture pour peu que l'on se laisse aller à partager sans complexe le délire de l'auteur.
Un très bon livre, qui nous captive dès les premières pages par l'étrangeté du personnage et l'originalité de l'histoire. On s'attache au fil des pages au personnage principal, allant même jusqu'à éprouver de la pitié pour lui. J'ai beaucoup aimé !
Un jour, sans date ou lieu précis, un jeune adulte décide de mourir.
Alors qu’il s’apprête à se jeter d’une falaise, apparaît sans explication un bien étrange individu venu lui faire une proposition : Vivre pendant encore 24 heures, le temps de le convaincre de rester en vie.
Un marcher que notre protagoniste acceptera, bénéficiant du meilleur avant de découvrir, et vivre, le pire.
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Ce jeune homme, cadet de jumeaux mannequins et considérés comme étant les plus beaux du monde, va devenir le plus fabuleux, le plus impressionnant et le plus adulé des hommes. Mais à quel prix ?
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Sous ses yeux défileront, entre autres, les dessous de la célébrité, les jalousies, rivalités, copinages et ententes douteuses, la vanité exacerbée, le mal-être dissimulé, les hypocrisies sur le marcher de l’art, les marionnettistes de l’ombre, les scandales préalablement mise en scène, les mensonges déclamés au publique, ainsi que la dénature humaine à grande ampleur.
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Je ne savais pas à quoi m’attendre, me préservant d’une potentielle déception, et je fus subjugué !
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La lecture est simple, voir courte à certains moments, mais semble vouloir se focaliser sur l’essentiel pour partager son histoire. Et quelle histoire.
Nous suivons notre protagoniste au cours d’un incroyable périple dans un monde ordinaire, où la folie d’un artiste mégalomane renommé et de son univers vont le bousculer dans un voyage initiatique, l’amenant à se mieux se connaître lui-même.
Une épopée grandiose, mais également terrifiante, surtout si vous n’êtes pas déjà de la haute société.
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Un petit ouvrage que je vous recommande grandement, notamment si vous vous sentez mal dans votre peau et/ou que vous admirez les grands de ce monde.
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Retrouvez toutes mes critiques à ce lien : https://black-word.over-blog.com/tag/avis%20sur%20d%27autres%20%C5%93uvres/
J'avais très envie de découvrir ce roman original et son univers quelque peu particulier.
Autant dire que je ne suis jamais entrée dans l'histoire, bien qu'elle soit surprenante et qu'elle ouvre la voie à la réflexion, mais je me suis ennuyée. J'ai trouvé les dialogues plats, et d'une grande banalité.
Je ne me suis pas attachée aux personnages que j'ai trouvé au final assez fade.
Un conte moderne, cruel et dérangeant, qui nous ramène vers cette question bien moderne: pourquoi sommes-nous presque tous capables de signer un pacte à la Faust pour susciter reconnaissance et admiration ?
Un roman particulièrement étonnant, à l'histoire pour le moins originale, qui pousse à réfléchir sur la société de consommation dans laquelle nous vivons.
Dès la première phrase "j'ai toujours raté mes suicides", j'ai su que j'allais aimer ce livre, et je ne me suis pas trompée.
Lu pour les cours, je n'ai au début pas été très emballée. Une fois commencé je ne pouvais plus m'arrêter, ça questionne forcément sur l'étique et sur l'art. Je me suis sentie un peu mal à l'aise quand j'ai découvert Spoiler(cliquez pour révéler)ce que qu'il était en train d'advenir du personnage principal lors de l'opération forcément vu que sa questionne l'humain/l'inhumain. Vraiment un bon livre, j'ai adoré le personnage de Carlos Hannibal, sa vision du monde et de l'art.
Inlassablement à la recherche de livres d'Éric-Emmanuel Schmitt, j'ai finis par trouver mon bonheur dans un recoin de la bibliothèque de mon père.
Un roman nous portant à réfléchir sur l'importance qu'ont les apparences dans ce monde.
Car si, il est certain, elles occupent beaucoup de place, j'ignorais jusque là à quel point cette place qu'elle prennent était disproportionnée.
Au fur et à mesure de l'histoire, on se rend compte de l'absurdité de ce rôle démesuré qui est attribué tous les jours à l'apparence, à la façade. Un roman finement écrit pour parvenir à faire d'autant plus ressortir la grossièreté.
Le premier coup d’œil qu'on porte sur vous est celui qu'on retient. Celui sur lequel on se base.
On suit des modèles, on tente l'originalité, on se fond dans la masse, on se maquille; tout est bon pour tenter de tromper ce premier coup d'oeil hâtif.
Sommes-nous tous de simples images, de simples façades ?
Un livre inclassable : roman engagé qui interroge l’art et ses fondements, le génie artistique, notre humanité. Ce livre repose sur les apparences, le beau, le laid, et sur nos représentations trop souvent intolérantes et délétères.
À une époque envahie par le besoin d'être vu pour se sentir être tout simplement, le protagoniste de ce récit contemporain - comme l'art dont il s'agit - finira par prendre les pires décisions possibles, manipulé certes, mais aussi poussé par ses propres démons.
Dans une intrigue qui nous rappelle pêle-mêle le Golem, Pygmalion, la chirurgie esthétique, les diktats successifs de la mode, Dorian Gray, l'extrême maigreur - heureusement controversée - des mannequins, ou encore et surtout les scandales suscités par le "body art", l'auteur nous pousse dans nos retranchements et nous amène à nous questionner sur cette folie du paraître, et, partant, sur le sens de nos choix.
Il nous rappelle que les critères esthétiques sont aussi des enjeux de société, d'oppression, de libération ...
Qu'est-ce qui compte vraiment dans la vie ? Nous trouverons des éléments de réponse dans ce roman puissant, magistral et terrible.
Ce roman, j'ai eu énormément de mal à rentrer dedans. De bizarreries en bizarreries, j'ai décidé de ne pas le subir et de le prendre à la rigolade! Ça n'a malheureusement pas suffit. Mis à part dénoncer les «Hommes objets», les personnes perdant toute personnalités juste pour la beauté, ce roman n'apporte pas grand chose. L'auteur était-il drogué lors de l'écriture? ?
Résumé
Lorsque j'étais une oeuvre d'art est un livre sans équivalent dans l'histoire de la littérature [...]. Il raconte le calvaire d'un homme qui devient son propre corps, un corps refaçonné en oeuvre d'art au mépris de tout respect pour son humanité. Malléable, transformable, il n'est plus qu'un corps sans âme entre les mains d'un esprit diabolique dont le génie tient avant tout à son manque de scrupules.
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