Commentaires de livres faits par Lou-Ann0219
Extraits de livres par Lou-Ann0219
Commentaires de livres appréciés par Lou-Ann0219
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Taryn déduisit qu’il s’agissait de Tao, son second ravisseur. Il avait une carrure athlétique et des cheveux couleur chocolat, et était déjà plus son genre. Malheureusement, sa louve n’était pas du tout d’accord, et avait plutôt un faible pour le Psychopathe.
— Shazi ? répéta Jalal, dont le sourire s’élargit. Tu veux connaître mon opinion sur la question ? Je plains les loups !
– Quand tu m’as posé la question il y a cinq minutes, je crois que je t’ai répondu trois heures.
– Et maintenant ?
– Je dirais… deux heures et cinquante-cinq minutes.
Roar laissa retomber sa tête et lorgna Aria à travers une frange de cheveux bruns.
– J’étais sûr qu’il répondrait ça…
– Magnifique, hein ? lança-t-il en lisant dans ses pensées. Elle lui donna un léger coup de poing dans l’épaule.
– Comme si tu ne le savais pas.
– Je n’ai pas dit ça, mais c’est toujours agréable de le constater.
– J’abandonne…, fit Soren en secouant la tête. Félicitations ! Vous êtes le premier code que je n’arrive pas à décrypter.
– Dis donc, tu as une mine atroce ! chuchota-t-il.
Dans l’étroit lit voisin, Tula et Ambre dormaient enlacées.
– Ne prends surtout pas de pincettes, Dax ! grognai-je.
Il réprima un rire et dit :
– Je me suis dit, Dax, frappe-la tant qu’elle est à terre, parce que, quand elle se relèvera et qu’elle entendra toutes les rumeurs, elle ne va plus se contenir.
Le jeune homme écarta les bras en un geste grandiloquent.
– Tu es devenue une légende !
Il y eut un moment de flottement, avant que, dans un grand bruissement, l’intégralité du Conseil ne se rasseye. Ni Essa ni Vents Sauvages ne se levèrent.
— Voilà qui est fait, commenta Reness, satisfaite.
Avec un sourire bienveillant, elle ajouta en se tournant vers nous :
— Il ne reste que la cérémonie de confirmation à préparer. Cela devrait prendre une journée.
— Il faudrait les séparer jusque-là, intervint Vents Sauvages. Xylara n’a pas encore fait son choix et…
J’entendis la lame de Keir racler son fourreau en même temps que je laissais jaillir mon poignard de ma manche.
— Plus jamais ! m’écriai-je en le brandissant devant moi. Vous ne nous séparerez plus jamais !
— Je tuerai celui qui essaiera, ajouta Keir.
L’expression farouche de son visage prouvait qu’il ne plaisantait pas.
Un grand silence se fit dans l’assemblée. Simus y mit un terme en éclatant de rire.
— Essayez donc de les séparer ! s’exclama-t-il. À vos risques et périls…
— Et du coup, c’est quoi le plan ?
— Tu dis la vérité à ta mère à propos de ton père pendant que je m’occupe de la boule de nerfs ici présente.
Ce n’est même pas une question. C’est la première fois que je peux mettre un visage sur l’homme que je méprise tellement. Même si ce n’est qu’un visage jeune et innocent.
— Mmm. Tyler s’adosse à nouveau au mur avec désinvolture et je me dis que son séjour à Portland l’a métamorphosé. — Il s’appelle Peter, au fait.
— Peter, comme… ton grand-père ?
— Comme Peter Junior. Et Peter Senior. Heureusement ma mère a refusé de poursuivre la tradition.
Ce dernier lève les yeux d’un coup. La conversation générale s’interrompt, tout le monde se tait, surpris non seulement que Tyler parle, mais surtout qu’il s’adresse à mon père. Évidemment, il ne reçoit qu’un regard dédaigneux en guise de réponse.
Ça ne le déstabilise pas pour autant. Je range mon téléphone, curieuse de la façon dont Tyler compte « purifier l’atmosphère ».
— On peut parler dehors, deux secondes ?
— On peut parler ici, rétorque mon père.
Maman manque de s’étrangler et me lance un regard horrifié avant d’éclater de rire, une main sur la bouche pour étouffer ses gloussements de gamine.
— Tu n’as pas fait ça !
— Si. (Un peu gênée, je croque une fraise en attendant qu’elle se calme.) Ce n’est pas comme si c’était impossible. Elle est encore dans sa trentaine.
— Mon Dieu, sa trentaine.
Elle émet un sifflement, puis ses traits se durcissent quand elle comprend que j’ai détourné la conversation. — Je vais quand même lui parler.
— Pour lui dire quoi ?
— Peux-tu tenir ton gosse éloigné de ma gosse avant que le type qu’on a épousé toutes les deux les tue tous les deux ?
Et donc moi.
Cent pour cent foutue.
– petit connard de profiteur.
— Lâche-moi ! hurla Abby en me donnant des coups de poing dans le dos.
— Je refuse que tu te donnes en spectacle de cette manière à cause de moi ! grognai-je en remontant l’escalier quatre à quatre.
Dans le salon, tout le monde nous regarda passer.
— Arrête ! cria-t-elle sans cesser de frapper. C’est pas du spectacle, ça, peut-être ? Travis ! Laisse-moi descendre !
— Shepley, t’as vu Donnie, dehors ? demandai-je en vacillant tant elle remuait.
— Heu… oui.
— Lâche-la ! ordonna America en approchant.
— Mais aide-moi, Mare ! Reste pas plantée là ! dit Abby en se tortillant.
Un sourire se dessina sur les lèvres d’America, puis elle éclata de rire.
— Vous êtes complètement ridicules, tous les deux, vous le savez ? — Merci bien ! J’avais cru qu’on était amies ! s’offusqua Abby.
Y aller serait une erreur.
Ce serait gênant.
Elle va y être.
Et si quelqu’un l’invite à danser ?
Et si elle rencontre son futur mari sous mes yeux ?
Elle ne veut pas me voir.
Je risque de trop boire et de faire un truc qui la mettra en colère.
Elle risque de trop boire et de faire un truc qui me mettra en colère.
Je ferais mieux de ne pas y aller.
Il faut que j’y aille. Elle y sera.
À sa vue, il oublia ce qui l’entourait. Tous les hommes tournèrent la tête vers la porte et lorsqu’elle sourit, il réprima son envie de frapper au visage ceux qui la regardaient avec tant d’admiration. Il dut se rappeler que c’étaient ses hommes. Et qu’elle était vraiment magnifique… et qu’elle les terrifiait. Il était normal qu’ils la regardent et l’admirent.
– Mon capitaine, dit-elle, immobile sur le seuil. (La rougeur de ses pommettes faisait pétiller ses yeux et lui rappelait son visage quand ils étaient enlacés.) Le roi voudrait vous voir, ajouta-t-elle avec un signe de tête vers le couloir.
Il aurait imaginé le pire sans l’étincelle malicieuse qu’il avait entrevue dans son regard.
– Je veux dire « non, je ne suis pas d’accord ». C’est trop dangereux. Il va se faire prendre.
– Nous finirons tous par nous faire prendre, de toute façon. Autant que ce soit avec panache, dit Logan.
Anne-Jade s’est renfrognée, malgré les efforts de son frère pour l’amadouer. Mais à la raideur de ses épaules, je savais qu’elle ne changerait pas d’avis. Un Pop Cop s’est approché de nous et nous nous sommes concentrés sur notre tâche.
— Tu sais ce qu’on doit faire, dit-il d’une voix douce. Après avoir laissé tomber la bouteille à côté de nous, je passai mes bras derrière sa nuque.
— Tuer Blake. Il s’étouffa sur un éclat de rire.
— Non, Kitten. On ne va pas le tuer.
La surprise m’envahit.
— Non ? Il recula et croisa mon regard interrogateur.
— On va devoir céder à sa requête.
OK. Dire que j’étais surprise aurait été un euphémisme. J’étais estomaquée.
— Mais… mais… Un grand sourire étira ses lèvres.
— Exprime-toi, Kitten.
Je me fourre les main dans les poche de mon jean.
-Je ne sais pas. Je m'en fiche. Ça ne vous regarde pas.
- Quoi ?
- Ce sont les réponse possible à vos questions.
- Le défi, c'est moi qui me le suis donné.
Et je l'embrasse.
-Mais pas assez pour me sauver, dis-je d'une voix plus dure que je n'aurais cru.
Mon père se relève et me toise de toute sa hauteur.
-Tu as fais ton choix, Ivy.
-Oui (Je plante mes yeux dans les siens.) Et tu as fait le tien.
- Il n'en a aucune, ajouta Leif. C'est du suicide.
-Tu n'as qu^à voir ça comme le meilleur moyen de mettre fin à nos disputes, lui dis-je.
-Comment ça ?
-si nous mourons, tu as raison. Si tu meurs pas, c'est moi qui ai raison.
-Merci. Je me sens beaucoup mieux maintenant.
"ça va ?" Jin me regardait . Il se tenait toujours le flanc." Amani?"
La façon dont il dit mon nom au milieu d'une longue expiration provoqua une étincelle. Je lui lançai le poing vers sa figure.
Jin l'attrapa avant qu'il ne soit trop près de son nez, me poussa et me fit perdre l'équilibre.
"J'ai un conseil à te donner." Il était tout près de moi, aussi près que lorsque nous nous étions embrassés. " N'essaie pas de frapper un homme au visage quand il te regarde droit dans les yeux. Ton regard te trahit, Bandit."
Je lui balançai mon autre poing dans le ventre. Jin se plia en deux et toussa. " Merci pour le conseil."
— Quoi ? dis-je en même temps que Seth.
— La mort de la méchante sorcière. Il se met à siffloter une musique du Magicien d’Oz .
Je lui emboîte le pas.
— Qui est la méchante sorcière ? Luke se tourne vers Kayden en ouvrant le rideau qui mène au parcours.
— Je te laisse le lui expliquer. Je regarde Kayden par-dessus mon épaule.
— De quoi il parle ?
— Luke est de bonne humeur parce que Daisy et moi nous sommes séparés.