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Extrait ajouté par Tiate 2016-02-04T13:05:05+01:00

Ah , et ses seins. Vous voyez comment il se penche pour frotter son visage contre sa poitrine ? Il savoure leur symétrie parfaite et leur douceur exquise.

Je lui tapote l'épaule.

- Mon grand, on en a déjà parlé, ce n'était qu'une location de courte durée. C'est fini maintenant.

Kate lui a donné le sein pendant la première année, et passer au lait en poudre a été un calvaire. Cela dit, je ne peux pas lui en vouloir : si Kate me disait que ses seins sublimes étaient désormais hors de portée, je passerais ma journée à pleurer, moi aussi.

Les traits de James se déforment et il grimace. Il saisit Kate par les épaules et se met à crier.

- A moi ! Ma maman !

J'attire Kate dans mes bras.

- Techniquement, elle est à nous deux, mon p'tit. On doit se la partager. Eux, par contre, dis-je en pointant ses seins du doigt, ils sont à moi.

- Non ! A moi ! hurle-t-il.

Sigmund Freud doit se retourner dans sa tombe.

- Je ne pense pas, non, dis-je en secouant la tête.

- Ma maman !

Se laisser aller à ce genre de dispute avec un enfant de deux ans n'est pas une bonne idée. C'est un combat que je ne pourrai jamais gagner.

Kate me met un petit coup de poing dans le torse.

- Arrête de l'énerver. Et va te doucher, on va être en retard.

Je l'embrasse sur le front puis, derrière son dos, je pointe mon pouce vers moi et j'articule en silence, "A moi". James me tire la langue, ce petit merdeux

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Extrait ajouté par nini84 2016-01-22T22:01:54+01:00

1)

Et c'est alors que James décide de se joindre à notre conversation "vagin!"

Et merde. j'ai tord, mais je me mets à rire. Comment pourrais-je ne pas rire?

Kate fronce les sourcils.

-Génial.

La plupart des enfants commencent à parler vers l'âge de onze mois. comme mon fils est un génie-forcément-, il a dit son premier mot à neuf moi. Et ce n'était ni "maman", ni "papa", ni rien de ce type. Son premier mot, c'était "merde", Kate n'était pas ravie.

De vous à moi, cependant, on s'en sort pas trop mal. Cela aurait pu être bien pire.

Elle se tourne vers James et le réprimande gentiment.

-Non, James.

Il secoue la tête, faisant de son mieux pour comprendre?

-Pas vagin?

Je ris de plus belle, et Kate à l'air furax. Elle pose ses mains sur ses hanches.

-Tout à fait. C'est le sort qui attend papa s'il n'arrête pas de rire tout de suite.

James écarquille les yeux et tente de me mettre en garde.

-Pas vagin, papa.

Je crois que je vais me pisser dessus.

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Extrait ajouté par Tiate 2016-02-05T12:50:55+01:00

- J'ai toléré ton attitude dans l'avion parce que je ne voulais pas passer les premières heures de mon week-end au poste de police. Mais on n'est plus dans l'avion désormais, dit kate en levant la main. Tu vois cette bague ? Elle signifie que je lui appartiens. Et mon prénom tatoué sur son bras signifie qu'il m'appartient. Entièrement. Sa bite est un compas, et je suis le nord. Elle ne pointe que vers moi.

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Extrait ajouté par mllemooii 2016-02-02T20:28:18+01:00

 Immédiatement, sans la moindre gêne, les filles prennent les grosses bananes qui reposaient sur leurs cuisses, et elles les enfournent dans la bouche.

Jésus, Marie, Joseph.

« Souvenez-vous, détendez vos mâchoires… inspirez en avalant, attention à vos dents… »

Mes yeux sont rivés sur la banane qui entre et ressort des lèvres parfaites de Kate. Je suis tellement excité que je pourrais planter des clous avec ma bite. Sans rire, j'ai déjà été à la place de cette banane plus d'une fois, mais il y a quelque chose d'incroyablement excitant à observer Kate en train de sucer.

C'est comme… un café-théâtre porno.

« Utilisez votre autre main, mesdames. Les testicules sont trop souvent laissées pour compte.

Palpez-les, massez-les, caressez-les, elles ont besoin de votre amour, elles aussi. »

Je ne peux qu'approuver.

Jack murmure à voix haute ce que tous les cinq nous pensons tout bas.

– Je suis le seul à être sur le point d'éjaculer dans mon maillot de bain ? C'est comme… tous les fantasmes que j'ai jamais eus, réunis en un seul. 

 – Moi aussi, je chuchote. Sans ma sœur, par contre. Ni Delores.

– Eh, ma femme est magnifique, rétorque Matthew, vexé.

Vous savez ce qui est magnifique, également ? Une panthère noire, qui avance lentement, prête à bondir sur sa proie. Pourtant, je n'ai pas du tout envie de la sauter.

Je parviens à quitter du regard la bouche de Kate, pour baisser les yeux vers Matthew.

– Ta femme est une psychopathe. Je ne la baiserais pour rien au monde. Elle serait capable de mettre des lames de rasoir dans sa chatte et de me couper la queue.

C'est trop gore ?

– C'est horrible, ce que tu dis. Vraiment, dit Matthew.

– La vérité l'est, en général.

Entre potes, il existe des limites à la moquerie que peut subir la femme de l'autre. Une ligne imaginaire. Et si j'en crois la réaction de Matthew, je viens de la franchir.

Il me met un énorme coup de poing dans la cuisse droite, juste au-dessus du genou, et une douleur vive remonte jusque dans mon dos.

– Aïe ! Putain !

Je déplace mon poids sur ma jambe gauche pour éviter de tomber, mais je marche sur la main de Warren et je déclenche une réaction en chaîne peu discrète.

– Eh, c'est mes doigts, connard ! s'écrie cet abruti.

– Mec, arrête de me pousser !

– Bon sang, tais-toi, je n'entends rien !

– Tu es en train de tout gâcher !

– Arrête de me frapper, putain !

Vous l'avez vu venir, n'est-ce pas ? Eh oui… la porte s'ouvre, et nous tombons tous les cinq par terre, en tas.

Prévisible.

* * *

Les femmes poussent un cri à l'unisson, un peu comme le cri d'un dormeur sur la plage à qui l'on jette un seau d'eau froide. Pendant ce temps, la pile humaine que nous formons tente de se démêler.

– Ompf…

– Aïe !

– Enlève ton genou de mes couilles !

Je suis le premier à me relever en offrant aux filles mon sourire le plus ravageur.

– Bonjour, mesdames, dis-je en levant les mains, paumes vers elles. Je suis navré de vous avoir interrompues. Je vous en prie, continuez, faites comme si nous n'étions pas là.

Cependant, le charme est rompu. Delores  me jette un regard meurtrier, pèle sa banane, et en mort une énorme bouchée.

Je tressaille. 

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Extrait ajouté par toutoun 2016-01-21T10:34:30+01:00

"-Le plus beau cadeau que puisse faire une femme à l'homme qu'elle aime, répond-elle en souriant.

Je n'ai même pas besoin de réfléchir.

- Du plaisir anal ?

Kate se cache les yeux et Dee Dee grimace en fronçant les sourcils.

- Non, espèce de porc. Je lui offre une bonne santé. Mon acupunctrice a annulé tous ses rendez-vous pour pouvoir travailler sur Matthew toute la journée.

J'éclate de rire. Ça explique vraiment beaucoup de choses.

- C'est ça, ton cadeau ? Tu es sérieuse ? C'est son anniversaire, et il va passer la journée à se faire planter des aiguilles dans la tronche ? Tu lui offres quoi pour Noël, une coloscopie ?"

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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2016-01-16T13:47:03+01:00

Je l'attire à moi et caresse son visage. Ma voix rauque est lourde d'émotion :

- Je t'aime, Kate. Je vais t'aimer pour toujours. Et pour tout ce qui arrivera après, je t'aie à l'infini.

Ses yeux se voilent, et elle m'embrasse lentement, tendrement. Puis son doigt effleure mes lèvres.

- Sache bien que je t'obligerai à tenir ta promesse, Drew Evans.

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Extrait ajouté par nadoss 2016-01-28T09:44:49+01:00

Le problème, c’est qu’elle est née il y a un siècle, lorsque les femmes n’avaient le droit ni de voter ni de montrer leurs chevilles. Du coup, elle est féministe, forcément. Elle refuse donc de porter un soutien-gorge. Et ses seins sont énormes. Et lourds, comme des ballons remplis d’hélium. Ils mériteraient d’être classés comme arme de catégorie A.

Au baptême de James, Clara se déhanchait sur la piste de danse en chantant le dernier tube de Rihanna : elle lève les bras, tente une pirouette… et heurte le fils – adolescent – de mon plus ancien client dans le front avec son sein gauche.

Le gamin a perdu connaissance pendant dix minutes. Dieu merci, ses parents n’ont pas porté plainte.

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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2016-01-16T10:41:08+01:00

Kate refuse de faire l'amour pendant ses règles. Quoi que je dise, quoi que je fasse, elle n'est tout bonnement pas intéressée. Ce que je ne comprendrai jamais. L'homme est un chasseur, mesdames. Il aime le sang. C'est pour cette raison que les films d'action et de guerre en montrant autant. On ne trouve pas ça dégoûtant, ni salissant. C'est juste... davantage de lubrification.

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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2016-01-15T13:40:49+01:00

Kate lève les yeux au ciel.

Et c'est alors que James décide de se joindre à notre conversation : "Vagin!"

Et merde. J'ai tort, mais je me mets à rire. Comment pourrais-je ne pas rire ?

Kate fronce les sourcils.

- Génial.

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Extrait ajouté par LaChroniquedesPassions 2016-03-08T21:12:48+01:00

Il suce la tétine deux fois puis la rejette, tournant la tête pour ouvrir la bouche et réitérer son cri strident préféré.

Je regarde le plafond et supplie Dieu de me venir en aide.

– Qu’est-ce que tu veux, James ? je demande d’une voix pleine de tension et de frustration. Ta couche est propre, tu es dans mes bras, j’essaie de te donner à manger, qu’est-ce que tu veux, bon sang ?

Je retourne dans la cuisine et prends le chéquier sur le plan de travail.

– Est-ce qu’un chèque te ferait plaisir ?

Je sais que c’est ridicule. Par pitié, ne me jugez pas.

– Je te donne dix mille dollars pour quatre heures de sommeil. Je te fais le chèque tout de suite.

Je secoue le chéquier devant son visage, espérant que cela va le distraire, mais cela ne fait que l’énerver davantage.

– Ouiiin.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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