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« J’aime cette femme, j'aime son rire, j'aime la petite fossette qui se forme sur sa joue lorsque je suis la seule cause de son bonheur. Je l'aime de tout mon cœur, de tout mon être… de toute ma putain d'âme meurtrie. »

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« Enfin… je crois que ça, c'était avant. Avant de le rencontrer, lui. Avant que cet homme ne fasse l'exception qui contourne la règle. Avant qu'il ne vienne chambouler toutes mes bonnes convictions. »

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- Est-ce que le connard qui a bloqué l'accès à ma voiture avec sa Dodge peut venir se pousser ? demandé-je dans un large sourire hypocrite, tout en battant des cils pour appuyer mon air exaspéré.

(...)

- Le connard arrive dans une minute, me répond finalement Logan, sans même prendre la peine de se retourner.

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Extrait ajouté par Noemie_cnt 2020-07-26T20:29:12+02:00

J'arrive donc dans ladite épicerie, et choisis aussitôt plusieurs articles certainement bourrés de glucides pour me remplir la panse. Au moment même où je passe à la caisse pour y déposer mes emplettes, un beau brun musclé me passe devant, bouteille de whisky à la main. Ses cheveux sont rasés sur les côtés, tandis que ceux du dessus sont volontairement mis en bataille. Sa peau est bronzée, me faisant donc aussitôt penser que du sang latino coule dans ses veines. Tout ce que j’aime. Ouais, certes, mais… son charme indéniable ne lui laisse absolument pas le droit de griller la file d’attente, sans même prendre la peine de présenter de brèves excuses. Sérieusement, pour qui il se prend, lui ?!

– Vous êtes pressé peut-être ? demandé-je alors, sincèrement agacée.

– Non, pas du tout, me répond-il naturellement. Je ne suis pas du genre à patienter.

Sa voix rauque me vaut un léger courant électrique dans l'estomac, mais l’air méprisant qui l’accompagne me fait rapidement revenir à la raison.

– Je ne suis pas du genre à payer mes articles le double de leur valeur, pourtant… je suis ici, parce que je n'ai pas le choix, tout simplement !

Je lance cette phrase en reprenant place devant lui -un tantinet excédée-, puis pose ensuite mes articles devant la jeune caissière qui ne sait comment agir face à cette scène ridicule. Et visiblement, ma persévérance n'a pas vraiment l'air de plaire à ce forcené.

– Madame a un complexe d’infériorité, peut-être ? me questionne-t-il alors d'un ton moqueur.

Quoi ?

– Connard, marmonné-je dans une grimace.

Ce mot m'a complètement échappé, mais je tente tout de même de rester imperturbable. Merde, il faut que je paye en vitesse pour pouvoir me sortir de cette situation gênante. L’hôtesse met un temps fou à me rendre la monnaie, mais elle a la tête d'une stagiaire complètement paumée, alors… je la pardonne aussitôt en lui offrant mon sourire le plus sympathique qui soit, puis m'empresse ensuite de prendre direction de la sortie afin de fuir le plus rapidement possible, et donc d’éviter de croiser à nouveau ce genre de gros macho sur mon passage. Bon sang… la Californie est vraiment bondée de mecs chelous ! Comment est-il possible d'être aussi mal élevé de nos jours ?!

Lorsque j'atteins le trottoir d'en face, une main m’agrippe soudainement par le coude. Je me retourne alors brusquement, prête à mordre s'il le faut. Il fait nuit noire, et seuls les néons de la supérette éclairent mon interlocuteur en contre-jour. J’aperçois une silhouette masculine que je ne distingue presque pas, et c'est seulement lorsque je m'apprête à balancer tout un tas d’injures que mon interlocuteur prend la parole dans un léger raclement de gorge :

– Je réitère ma question. Aurais-tu un petit complexe d'infériorité pour être si peu aimable envers la gent masculine ? me lance le beau connard, un brin de sourire dans la voix.

Je rêve, ou il joue les audacieux en plus de ça ?

– Visiblement, je t'intrigue assez pour que tu me coures après, rétorqué-je, tout en me libérant difficilement de son étreinte. Un conseil, laisse-moi tranquille avant que je ne te montre qui est vraiment le sexe fort dans l'histoire !

Ouais, je déconne vraiment sur la repartie, là. Je me trouve ridicule, alors… j'engage une marche rapide sans plus attendre afin de fuir le plus rapidement possible une seconde fois.

– Logan ! me hurle-t-il à travers la ruelle, certainement pour s'assurer que je l'entende convenablement. Je m'appelle Logan !

– Eh bien… va te faire foutre, Logan ! lui rétorqué-je, tout en dressant mon majeur, sans jamais me retourner.

Merde, je ne sais même pas pourquoi je prends la peine de lui répondre.

● Règle numéro un : apprends à fermer ta bouche.

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