Ajouter un extrait
Liste des extraits
Parfois, le chemin est tortueux pour trouver l’amour, mais quand on le tient, il ne faut jamais le laisser s’échapper, même si c’est le mec de votre meilleure amie.
Afficher en entierIl s’approcha près de moi pour essuyer mes sanglots, encore. Il devait penser que j’étais une chochotte, à pleurer comme une madeleine tout le temps. « C’est fini, me murmura-t-il, je suis là maintenant, plus rien de fâcheux ne t’arrivera tant que je serais avec toi ! »
Afficher en entierEmma ?
— Non, répondis-je, presque honteuse. Mais ne mets pas mon refus sur le dos de Marie. Je lui suis reconnaissante pour ce qu’elle a fait pour moi quand j’étais au plus bas, elle m’a aidée à m’en sortir, comme toi tu m’aides à me reconstruire. David, ne t’y trompe pas, j’ai envie de toi presque tout le temps, c’est même de la dépendance à ce stade-là, mais…m’arrêtai-je. Je vais le faire, tu as raison, on s’en fout de l’endroit, c’est toi et moi, et rien d’autre ne compte. Et je te fais confiance, totalement.
Afficher en entier— C’est moi qui suis partie. Il le fallait, et je ne veux plus parler de ça.
— Josy sait, à propos de vous ?
— Je ne comprends pas ?
— Que vous avez été une femme battue ?
J’avais du mal à respirer, mon cœur s’emballait. Comment pouvait- il être au courant ?
— Qui vous dit que…
— J’ai fait mon enquête sur vous avant que vous veniez. Je devais savoir qui j’invitais chez moi.
— Vous êtes un sale con ! fis-je, en me levant de table, les larmes dans les yeux.
J’étais prête à partir quand il m’attrapa par le poignet, sans force, mais juste assez pour me retenir.
— Vous comptez rentrer à la villa à la nage ?
— Ce dîner était un piège.
— Pas du tout, au contraire. Asseyez-vous. Ils vont nous servir nos plats.
Afficher en entier— David… lâchai-je, dans un soupir.
— Tu sais qui je suis, et je ne changerai pas, m’avoua-t-il, sur un ton déterminé. Je t’ai dit que je te protégerai, et c’est ce que j’ai fait. Personne ne te touche directement ou indirectement, non, personne.
Je ne voulais pas argumenter plus avec lui. Je savais qui il était, même si parfois je l’oubliais. Sa nature dominante refaisait toujours surface à un moment ou à un autre, et ce n’était pas ce que je préférais le plus chez lui, même si je savais que ce qu’il avait fait ...
Afficher en entier