Extraits

« La vie est un combat, à chaque coup du destin, tu trouveras la force de te relever et de recommencer »

Le beau temps vient toujours après la pluie, mais quoiqu’il arrive je serai le parapluie qui te protège des gouttes.

- Je peux t’appeler « mon cœur » moi aussi ?

Il me regarde, interloqué alors je m’explique :

- Parce que finalement, tu es un petit filou, Nico Bellini... chaque jour qui passe, tu voles un petit bout du mien, et tu me l’as dit tout à l’heure, je suis « ton cœur » alors comment je vais faire pour t’aimer si je n’en ai plus ! De cette façon, nous sommes à égalité, tu es « mon cœur » et je suis le tien !

- Ça se tient comme raisonnement ! Je chéris l’idée que tu en gardes en réserve pour moi. Mais tu restes quand même ma miss chieuse ! « Mon cœur » ce n’est que pour les situations d’urgences ! se deride-t-il enfin.

- Tu es forte et déterminée, tu es une guerrière, un mec comme lui n’avait pas les épaules assez solides pour être à tes côtés.

- Et toi, oui ? m’interroge-t-elle en frôlant à nouveau mes lèvres.

- Ne te l’ai-je pas assez prouvé jusqu’à présent ?

Élia, je suis fou de toi, regarde ce que tu fais de moi, tu me hurles que tu me détestes et je suis à tes pieds en te criant mon amour.

- Tes frères vont doublement me tuer...

Puis il se retourne, entoure mon visage de ses larges mains, ses paumes chaudes sur mes joues et son regard brûlant me désarçonnent, mais pas autant que les mots qui sortent de sa bouche juste après :

- Avant que tu ne me détestes trop, laisse- moi juste une fois déposer mes lèvres sur les tiennes, énonce-t-il la voix rauque.

- Je ne pourrai pas te détester, Nico... Tu es là pour moi, bien plus que n’importe qui d’autre, lui réponds-je timidement.