Je suis déçue et pourtant j’attendais ce tome avec impatience.
Tout va trop vite, ils se considèrent presque comme frère et soeur et parce qu’on les incite au mariage, tout change en dix minutes.
Les ellipses sont brutales meme si utile parfois ( je n’en pouvais plus de ce voyage jusqu’à Édimbourg ) ce qui fait qu’on a l’impression de louper des choses. Je n’ai ressenti aucune alchimie entre eux mais j’ai beaucoup aimé le personnage de Nicholas.

Un couple mignon comme tout. C’est assez contemplatif mais agréable à lire.

J’avais peur qu’en changeant de continent et en ayant un personnage loin de sa famille on s’ennuie un peu et c’est ce qui m’est arrivé.
Certes il y avait des antécédents pour la romance mais je la trouve tout de même trop précipité. Peut être qu’entouré de la guerre et la mort attendre paraît futile je ne sais pas.
J’ai tout de même passé un bon moment même si j’avais parfois besoin d’une pause car c’est assez lent. Le dernier tier où on a un enchaînement d’événements permet de le finir rapidement.

Des dessins d’une beauté incroyable. L’histoire et un peu simpliste mais pour l’âge dédié cela est suffisant.

Alors que des années auparavant les Bridgerton ne m’ont pas fait grande sensation, j’ai prit un vrai plaisir à lire ce tome de ce spin off.
C’est lent et ça prend son temps mais cela sonne réel. On passe pas directement de connaissances qui ne se supportent pas à amoureux transis. On y va étape par étape et je trouve cela bien fait.

Un livre objectivement très frustrant à lire car lu durant une grippe. Alors quand le personnage a des dons de guérisons et que je peux même pas en profiter j’avoue avoir voulu du mal à cette femme.

Autrement la magie est présente mais à un effet tres naturelle, sauf la fin ou c’est un peu de trop à mon goût. La romance pas trop cucul et on a de l’adversité.

Parfois, quelques lignes, quelques chapitres suffisent à savoir si l’historie va nous plaire. Pour mon cas, trois chapitres auront suffit. La fille est agaçante et son caractère m’horripile deja, le groupe le peu que j’en ai vu à l’air plus que passable. Le style d’écriture est assez pauvre et j’ai l’impression que tout est tourné a la dérision. Vraiment rien pour moi.

J’aime cette autrice, les St John et le cercle des canailles font partis de mes romances historiques préférées mais n’ayant pas aimé spécialement les sœurs Talbot j’avais peur. Clairement c’était un mauvais démarrage, c’était long à mettre en place à mes yeux et si j’apprécie les joutes verbales entre les deux personnages je voulais un peu plus.
Alors certes il n’y a finalement peu d’action concrète mais j’ai pu ressentir les émotions des personnages donc pour moi cela revient à la palme d’or. Un peu moins « d’amour » à la fin aurait été d’élixir, c’était peut être un peu trop too much.

J’ai le chic en ce moment pour choisir des livres qui paraissent tranquille et qui au final me font pleurer sans que je sois préparé. Vraiment heureusement que cette deuxième partie est là parce que je m’ennuyais au début de ma lecture.
Tout allait trop vite, on nous dit qu’ils sont amicaux mais sans être amis et pouf deux jours après c’est l’apothéose. J’avoue que j’ai même sauté un passage au milieu car si j’avais envie de connaître les péripéties du couple la motivation pour suivre leur rapprochement été fastidieux pour moi.
C’est ainsi que la deuxième partie est arrivé et là c’était vivant, on avait de l’émotion en veux-tu en voilà c’était parfois ( au point de finir en larmes je le rappelle à nouveau).

Des mois que je retarde cette lecture car j’avais peur, 12 ans de différences en sachant que Blair n’en a que 18 ça peut très vite devenir glauque.
Finalement on oublie très vite cette différence car Luke est très respectueux et la laisse libre de ses choix.
Concernant le reste rien de nouveau sous le soleil. Le rythme reste toujours pareil livre après livre, les histoires de lien d’union incomplet qui devient complet en pleine guerre finale bref c’est très redondant. Une autre chose très redondante : « xxx fredonna. » ce mot a été utilisé plus de fois dans ce roman que l’univers l’a utilisé depuis cent ans. En plus je veux bien que ça ait du sens parfois mais là c’est constamment. Ils sont énervé ? Ils fredonnent purée de pomme de terre. Ça m’a vraiment fâché ce mot à répétition, déjà qu’on a des passages inutiles et des scènes de sexe en veux tu en voilà qui n’apportent strictement rien.
J’ai qu’une hâte : le dernier tome qui est en réalité celui que j’attend depuis le début.

Je suis un peu déçue de cette fin toute heureuse, j’aurai aimé un peu de contraste.

Un tome poignant et bouleversant. On a les points de vues de tous les protagonistes et une partie de la façon de vivre de Shoko.

Ah les non dits, l’adolescence et le regrets. Beau cocktail que ce tome.

Ce tome permet de souligner que si le porteur vit avec son handicap au quotidien et que cela peut être un fardeau et compliqué, cela va de même avec l’entourage qui ne peut tout comprendre de ce que c’est de vivre avec.

Ne jamais ce fier à un résumé de romance historique, sinon vous vous retrouvez avec une introduction de 200 pages avant d’avoir accès à ce fichu résumé. Je devrais être contente pour une fois l’univers mis en place n’est pas bâclé mais c’est long avant l’arrivé des interactions réelles entre les personnages.

Je suis fière d’être française quand pour la première fois de ma vie je lis dans un livre l’expression «  je m’en tamponne le coquillart ! ». Ça c’est de l’expression que j’affectionne plus que tout.
Blague à part, je suis mitigé. Le côté tout le monde se mêle des histoires des autres, que tout le monde parle dès le début d’une possible romance à peine les deux personnages se rencontrent me gêne même si finalement c’est vraiment dans le style comédie romantique de noël.
Tout va vite et les réactions sont parfois étranges et pas réalistes du tout.
Après je reste satisfaite dans l’ensemble, royauté + romance + noël = moi heureuse.

Merci à Méroé de rattraper le niveau qu’on a perdu pendant l’histoire de Circé.

Oui c’est rempli de facilités scenaristiques, ce qui rend les choses trop simple. En vérité je vois seulement que j’ai été accroché à ma lecture du début à la fin, on rigole suffisamment et la romance tien le coup.
J’aurai aimé moins de scènes de sexe ou alors pas aussi détaillées mais bon on peut pas tout avoir.
Vive Hephaïstos !

Vraiment rien de nouveau sous le soleil, c’est long pour rien et je n’ai mais vraiment rien eu de positif ou négatif sur ce couple.

Dans la lignée du premier opus. On se déteste mais on baise toutes les dix secondes, on trahi l’autre mais on demande une confiance mutuelle.
Par pitié que les auteurs apprennent le développement de l’enfant et tout ce qui le concerne parce que le gamin qui parle comme un enfant de 2-3 ans a 15 mois grand max c’est juste pas possible, tout comme son comportement et son sommeil. J’ai l’impression d’être dans les sims.

Ce fut long et fastidieux, au point où j’ai du faire une pause de quatre mois pour le finir. Mise à part une alchimie entre les deux personnages, la trahison est visible à dix kilomètres, il ne se passe pas grand chose au final et c’est long.
Je vais continuer pour voir où on veut nous amener mais j’ai largement préféré une autre saga de cette autrice.
La traduction laisse d’ailleurs à désirer.

Agréable à lire, personnages sympathiques et qui changent un peu des standards. La thématique annoncée n’était cependant pas une de mes préférées donc je suis restée un peu de côté sur cette romance.

Il y a de ces histoires qui nous interpellent, nous heurtent et nous détruisent à petit feu tellement elles raisonnent en nous. Je peux vous dire que j’ai pris une sacrée claque tout du long.
Les thématiques abordées sont bien représentées, la psychologie est plus poussée dans ce tome à mon sens.
L’histoire de Jace avait peut être plus de piquant mais celle de Colton plus de profondeur, mêlant psychologie et fait de société. Le dernier tier du livre l’aura fait verser toutes les larmes de mon corps, il m’a détruite pour mieux me redonner vie.

Mon seul point négatif reste une histoire trop longue. Je pense réellement que des événements auraient pu être raccourcis même s’ils sont importants pour la construction des personnages et de l’univers.

Maintenant je n’ai plus qu’à attendre la sortie du tome 3 en vf.

Ok je comprend l’engouement.

Cela fait des mois et des mois que j’entend parler de ce livre donc forcément j’ai du satisfaire ma curiosité, ce qui me pousse à reconnaître l’additivité de ce roman. En y repensant c’est vraiment tout ce que j’aime et j’aime pas dans une histoire : c’est trash, peu vraisemblable, des ado de 18 ans qui se comportent comme des adultes mais il y a ce truc qui nous pousse à tourner les pages. Dans mon cas je l’aurai lu d’une traite de 0h à 8h du matin on peut donc dire que la mission est réussie.

Si je devais vraiment émettre des points négatifs c’est qu’on s’attend à ce qui va se passer et les réactions des personnages. J’aime Dylan elle est franche et a du caractère mais bon sang que parfois elle est stupide et ne réfléchi qu’à l’aide de ses hormones en présence de Jace. Le concernant lui, mon ressenti final n’ai pas encore fait ( j’ai finit le livre il y a quinze minutes en même temps ) car s’il est cruel et détestable avec des gestes horribles envers Dylan et parfois les autres, on sait le pourquoi du comment. Cependant devons-nous accepter ces actes pour autant ? Notre niveau de moralité propre rentre en jeu dans ce cas là.

En tout cas j’ai hâte de lire le tome 2 car celui-ci a été dévoré. D’ailleurs en le lisant j’étais obligé de faire un petit comparatif avec la saga Les Héritiers de l’édition Hugo roman car c’est le même genre, trash avec des gosses de riches et une fille avec du caractère et je me souviens d’avoir aimer la saga pour les meme raisons que My cruel prince.

A mon sens, ce livre a deux parties. Une première plutôt palpitante avec des retrouvailles de la tension et tout ce qui se doit avec, et une deuxième plus mature et adulte d’une certaine façon.
C’est plus calme et réfléchie mais quand on passe de la première partie à la deuxième il manque un truc, une passion. Cela devient un peu monotone et si j’aime la relation des personnages et qu’en soit elle est tout à fait normal et agréable je me suis un peu ennuyé. Je pense que si on avait eu le même sentiment du début à la fin j’aurai été moins perturbé mais cela reste une très bonne lecture dans l’ensemble.

Je m’attendais à du palpitant et au final c’est assez lent et niais. Thea change d’avis comme de chemise et les événements ne m’ont pas tant intéressé que ça, au vu de la manière dont c’est amené.

Une bonne romance de noël comme on les apprécies. Le couple reste probable et ne sort pas complètement de nul part.