Commentaires de livres faits par LucieP
Extraits de livres par LucieP
Commentaires de livres appréciés par LucieP
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_Maman ?
Je sanglote. Le mot même me semble étrange lorsqu'il s'échappe de mes lèvres, mais là, j'ai besoin d'êtres réconfortée par ma mère.
_Qu'es-ce-qu'il a fait ?
Le fait que tout le monde ait la même réaction montre à quel point Hardin est un danger pour l'humanité et combien j'ai été inconsciente. Je n'arrive pas à formuler la moindre phrase cohérente.
_Je...Il...Je peux rentrer à la maison ce soir ?
_Bien sûr, Tessa. Je t'attends dans deux heures.
Elle raccroche.
Elle écarta les lèvres.
_Moi, oui, dit-elle d'une voix douce. Merci de m'avoir sauvée.
Un rayon de joie le traversa au son de sa voix.
Il sourit.
Lui rendant son sourire, elle ferma les yeux, puis s'écroula mollement.
Lucy écarquilla les yeux.
_Encore plongée dans ton rêve, hein? rit-elle tandis que Robin se levait. A propos... Qui est Robert? Ton amour perdu? Tu l'as appelé toute la nuit!
Robin se raidit.
_Ne me le demande jamais plus. Ne prononce même pas son nom! répondit-elle durement.
_D'accord, fit Lucy sans se démonter. Tu peux au moins me dire pourquoi tu répétais sans cesse ton prénom à l'envers?
_Que veux-tu dire? dit Robin qui, arc et carquois à la main, était en train d'attacher l'épée à sa ceinture.
_Elle est bonne, celle-là! marmonna Lucy qui se dirigea vers l'escalier. Tu t'appelles Robin, non ? Alors, pourquoi criais-tu Nibor?
Robin, prise de vertige, dut se rasseoir sur le lit. Robert avait donné son nom à l'épée qu'il avait toujours désirée. Une chaleur intense la submergea. Puis elle eut des frissons. Elle ravala un flot de larmes, tandis que le monde alentour tourbillonnait. Elle se noyait dans un fatras où brillait une vérité qu'elle n'avait jamais comprise. Simple et grandiose, évidente mais insaisissable.
Ils étaient amoureux depuis toujours, ils s'étaient aimés sans se le dire, peut-être même sans devoir se le dire. Mais désormais, il était trop tard pour tout.
Elle toucha la poignée de son épée. Elle l'appela Trebor.
_C'est toi, qu'est-ce que tu fais à danser ? lui demanda Clara
_J'appelle un notaire pour un dossier, il m'a mise en attente, alors je profite de la musique, répondit Julie n se remettant à se trémousser.
Vlan.
Le maillot jaune s'effondra sur le côté au sol et resta immobile.
Le deuxième homme, stupéfait, regarda bouche bée son ami, puis il se tourna vers Sarah... juste comme elle balançait de nouveau la pelle.
Vlan.
Direct entre les deux yeux.
-Parce qu'il est trop gros pour disparaître par la cheminé, réplique-t-elle en soulevant le corps par son autre bras.
Ensemble, ils le soulèvent du lit.
Le duc avait l'air furieux.
-Votre humour me déplaît au plus haut point.
Ivory ne put retenir un soupir.
-Je n'en doute pas un seul instant.
Elle l'embrassa. Et l'embrassa encore. Et encore,et encore, et encore, s'immergeant dans son amour et sa tendresse. Ce n'étaient que des instants, mais ils étaient éternels. Ils restèrent dans les bras l'un de l'autre à la paisible lueur de la lune.
Oh mon dieu. C'est pas vrai !!!
Même quand
Il ne brille pas.
Je crois en l'amour,
Même quand
Il m'entoure pas.
Je crois en Dieu,
Même quand
Il se tait.
Paroles écrites sur le mur de la cellule d'un prisonnier juif à Cologne.
C'était bizarre à lire !
-Je dois faire peur.
Il ramena son attention sur ses traits et haussa les sourcils avec un sourire en coin.
-Ce n'est pas exactement ainsi que je l'aurais formulé.
elle ne fesait pas partie des clients. Elle... travaillait ici. Comment était-ce possible ? Pourquoi ?
_Cassandra.
Ce nom était sorti de sa gorge, rauque, sourd, comme si son corps avait été une grotte fermée depuis des millénaires.
_Vous arrivez à les entendre ? Oh, ce n'est pas juste !
_Il lui dit des choses très romantiques, résuma Gabriel avant de froncer les sourcils. Enfin, ce serait mieux s'il était capable de s'exprimer normalement ; on dirait une grenouille qui s'étrangle. Pour ce qui est de courtiser une femme, j'ai bien peur que son nom ne passe pas à la postérité.
Dans la lumière des bougies, il se parait de moirures précieuses et ses riches nuances sang et grenat se mouvaient, insaisissables, sur toute sa longueur. Il était large et manifestement de première qualité -un luxe que seuls les plus fortunés pouvaient s'offrir. Sur un chapeau, il aurait été superbe. Sur le décolleté d'une robe de bal, il aurait été somptueux.
Noué aux chevilles et au poignets du cadavre d'un aristocrate, il était... problématique.
Il la regarda.
-Vous ne portez pas de soutien-gorge, dit-il, une lueur d'approbation dans les yeux. C'est plus pratique.
Mortifiée, elle rétorqua.
-Je n'en porte jamais pour dormir et je pensais pas que vous viendriez à cette heure-ci et encore moins que vous me feriez une fouille en règle.
-Je ne trouvais pas cela pratique dans ce sens-là, ma chère, mais parce qu'il est très courant de cacher un micro dans une bretelle de soutien-gorge. En ne portant pas de sous-vêtement, vous me faites gagner du temps.
-''Un chaton effarouché'' ? Ce n'est pas exactement la façon dont je me rappelle les choses. En fait, je suis absolument certain de na pas avoir détalé du tout, comme vous dites.
-Mais c'était tout comme.
Seigneur même sa voix était sexy ! Grave, profonde, légèrement râpeuse.
Battant rapidement des paupières, elle émergea de sa rêverie éveillée et regarda le pousse qu'il lui présentait.
-Désolée, mais embrasser les petits bobos ne figure pas sur le descriptifs de mon poste, répondit-elle, s'efforçant de conserver un ton neutre. En revanche, vous avez raison, il vaut mieux nettoyer la plaie, si petite soit-elle
Quelque chose, dans son ton gentiment moqueur, l'incita à repasser en mode flirt et séduction
-Oui. Pourquoi ? Vous voulez me soigner, docteur ?
Elle rit, mais il nota que ses joues avaient légèrement rosi. Finalement, elle secoua la tête d'un air désabusé.
-Je ne crois pas... Un grand gaillard comme vous, inquiet pour une petite coupure de rien du tout ?
-Affreusement inquiet !
-En route, Watson ! s'écria-t-elle avec enthousiasme.
-Mais comment donc, mon cher Watson !
-Mais non, Nicky ! Sherlock, c'est moi. Toi,tu es le faire-valoir, l'assistant toujours un peu dépassé par les événements.
-Si ça t'aide à mieux dormir la nuit, chérie...
_Ça veut dire quoi C. B. ?
_Ce sont mes initiales.
_Laissez-moi deviner... Branleur Condescendant ?