Unhappy New Year est le fruit de la collaboration de cinq des meilleures auteures de New Romance, et le résultat est une franche réussite.

Chaque autrice a pris en charge une partie du roman, se concentrant sur l’histoire d’une des sœurs de la famille Scott : Fallon, Aimée, Ivy, Taylor et Hazel. Ces cinq récits se déroulent lors d’une soirée du nouvel an, offrant aux lecteurs une palette d’émotions allant du rire aux larmes.

L’aspect le plus remarquable de ce livre est la diversité des histoires d’amour explorées. De l’amour adolescent à l’amour retrouvé, en passant par les romances ennemies-amoureux et les relations complexes entre amis, chaque récit offre une expérience unique et captivante.

Bien que les intrigues se déroulent rapidement en raison du format du roman, l’ensemble reste cohérent et engageant. Les personnages sont bien développés, chacun avec ses propres défis et aspirations, ce qui permet aux lecteurs de s’identifier à eux et de s’investir émotionnellement dans leur parcours.

Les thématiques abordées, telles que le deuil, l’amitié, la famille et l’amour, sont traitées avec sensibilité et profondeur. Chaque histoire apporte une réflexion sur ces sujets, offrant aux lecteurs une occasion de se remémorer leurs propres expériences et émotions.

En résumé, Unhappy New Year est un roman émouvant et divertissant qui saura captiver les lecteurs dès les premières pages. Avec son mélange d’humour, de romance et d’émotion, il offre une lecture inoubliable qui laisse une marque durable.

Je tiens tout d’abord à remercier Hachette Romans et NetGalley France pour l’envoi de ce roman.

Plongez dans un tourbillon d’émotions avec Avant Décembre, un roman young adult qui vous entraîne dans les méandres complexes de l’amour, de l’amitié et de la vie. Dès les premières pages, l’histoire de Jenna nous captive alors qu’elle se prépare à une nouvelle vie à l’université, loin de sa famille et de son petit ami, Monty. La proposition de ce dernier d’une relation libre laisse entrevoir les premières fissures dans leur relation, dévoilant peu à peu les aspects toxiques de leur lien.

Au fil du récit, nous découvrons les nouveaux horizons de Jenna à travers ses interactions avec ses colocataires, qui deviennent rapidement ses nouveaux amis. L’amitié chaleureuse qui se développe entre eux apporte une profondeur émotionnelle à l’histoire, nous permettant de nous attacher encore plus aux personnages.

Au cœur de ce roman se trouve la relation entre Jenna et Ross, un personnage dont la complexité et la passion nous captivent dès le début. Leur connexion tumultueuse et pleine d’émotions nous entraîne dans un tourbillon d’incertitudes et de sentiments contradictoires, jusqu’à une fin qui nous laisse haletants, avides de découvrir la suite de leur histoire.

L’auteure aborde avec sensibilité des sujets difficiles tels que les relations toxiques et la violence psychologique, offrant une réflexion profonde sur la confiance en soi et la force intérieure nécessaire pour se libérer de ces liens destructeurs. La richesse des personnages et la fluidité de l’écriture rendent la lecture addictive, nous tenant en haleine jusqu’à la dernière page.

En conclusion, Avant Décembre est un roman poignant et inspirant qui explore avec justesse les complexités des relations humaines. Une lecture incontournable pour tous ceux qui recherchent une histoire riche en émotions et en rebondissements.

Je tiens tout d’abord à remercier les éditions Slalom pour l’envoi de ce roman.

Dans ce roman captivant, l’autrice nous emmène dans une version alternative de l’Histoire, où la révolution française a échoué et où la monarchie règne en maître, orchestrant même la télé-réalité pour maintenir son pouvoir. Au cœur de cette intrigue se trouve Gabrielle, une jeune roturière sélectionnée pour participer à l’émission très prisée “Noblesse Oblige”. Mais derrière les paillettes et les belles robes se cachent de sombres secrets que Gabrielle est déterminée à révéler.

L’écriture fluide et immersive nous plonge instantanément dans cet univers dystopique où les enjeux politiques se mêlent aux intrigues télévisées. Les rebondissements inattendus et les révélations surprenantes maintiennent un suspense palpable tout au long du récit, tenant le lecteur en haleine jusqu’à la dernière page.

Malgré quelques similitudes avec d’autres œuvres du même genre, Noblesse Oblige se distingue par son originalité et la profondeur de ses personnages. Gabrielle incarne avec force le combat pour la vérité et la liberté, dans un monde où les apparences sont souvent trompeuses.

Ce qui rend ce roman particulièrement fascinant, c’est la façon dont il explore les thèmes de la manipulation, du contrôle et de la résistance. En nous plongeant dans les coulisses de l’émission de télé-réalité “Noblesse Oblige”, l’auteur nous offre un regard critique sur la société et ses mécanismes de pouvoir.

De plus, l’intrigue est soutenue par une atmosphère riche en détails historiques, qui donne vie à cette version alternative de la France. On ressent pleinement l’oppression du régime monarchique et la lutte constante des personnages pour la justice et la liberté.

En conclusion, Noblesse Oblige est un roman young adult captivant, qui offre une réflexion stimulante sur les enjeux sociaux et politiques. Une lecture à recommander à tous ceux qui aiment les intrigues palpitantes et les univers dystopiques/ucrhoniques, mais aussi à ceux qui recherchent une réflexion plus profonde sur le pouvoir et la résistance.

À travers cette histoire captivante, les autrices parviennent à mêler habilement humour, romance et engagement social, offrant ainsi aux lecteurs une expérience de lecture à la fois divertissante et enrichissante.

Dès les premières lignes, l’écriture fluide des auteurs nous entraîne dans l’univers vibrant et chaotique de Willa, notre héroïne au tempérament fougueux. Willa incarne la modernité : drôle, attachante, mais surtout, dotée d’une force intérieure inébranlable. Sa lutte contre les normes de beauté rigides et le harcèlement dont elle est victime résonne avec puissance dans un monde où l’apparence prime souvent sur la substance.

L’arrivée de Rio Delacroix, l’avocat aussi mystérieux que séduisant, ajoute une dimension de tension palpable à l’histoire. Leur relation tumultueuse, parsemée de taquineries et de chamailleries, est le cœur battant du récit. Cependant, au-delà du schéma classique du “bad boy” et de la “girl next door”, les auteurs explorent les complexités des personnages, offrant ainsi une profondeur émotionnelle et psychologique rare dans le genre.

Ce qui distingue véritablement Bien plus forte que toi, ce sont les thèmes sociaux brûlants qu’il aborde. À travers le personnage de Willa, Emma Green dénonce avec vigueur les normes de beauté irréalistes et les stigmates associés à la différence corporelle. Le roman se fait alors le porte-voix d’un message essentiel : l’importance de s’accepter tel que l’on est, en dépit des pressions sociales.

En explorant les coulisses impitoyables d’Hollywood et en exposant les mécanismes du patriarcat et du sexisme, les auteurs soulèvent des questions cruciales sur la société contemporaine. Ils défendent avec ferveur la nécessité d’un changement de mentalité et d’une plus grande inclusivité dans les médias et les industries culturelles.

Pourtant, Bien plus forte que toi n’est pas simplement un manifeste social déguisé en romance. C’est aussi un récit riche en rebondissements inattendus et en moments d’évasion pure. Les personnages, même les plus secondaires, sont vivants et authentiques, ajoutant ainsi une profondeur supplémentaire à l’histoire.

En conclusion, Bien plus forte que toi est bien plus qu’une simple romance. C’est un appel à l’acceptation de soi, à la lutte contre les préjugés et à la quête de l’amour authentique. Emma Green signe ici un roman audacieux et engageant, qui marque les esprits et réchauffe les cœurs. Une lecture indispensable pour tous ceux en quête d’une romance moderne et percutante.

La Bibliothèque des Rêves Secrets, un roman feel-good à la sauce japonaise, offre une bouffée d’air frais sans tomber dans les clichés habituels du genre. Ce livre nous transporte dans une atmosphère douce et poétique, où la magie opère de manière subtile.

L’intrigue se déroule au cœur d’un quartier de Tokyo, dans un petit centre social abritant une bibliothèque pas comme les autres. Dirigée par l’énigmatique Sayuri Komachi, cette bibliothèque propose des livres et des petits cadeaux qui semblent être en parfaite adéquation avec les besoins profonds des visiteurs. Les personnages, tous à un tournant crucial de leur vie, se voient offrir des ouvrages qui les poussent à réfléchir, à remettre en question leurs choix et à envisager de nouvelles perspectives.

L’auteur, Michiko Aoyama, aborde avec finesse et sensibilité des thèmes tels que les rêves de vie, les doutes, la solitude et la mésestime de soi. Chaque personnage traverse une transformation intérieure grâce à sa rencontre avec la bibliothécaire et les livres qu’elle leur propose. Cette approche, bien que prévisible par moments, reste captivante grâce à la profondeur des émotions et à la justesse des descriptions.

Ce qui rend ce roman particulièrement attachant, c’est son ancrage dans la réalité sociale du Japon contemporain. Les personnages représentent différentes facettes de la société japonaise, de la jeune mère débordée par ses responsabilités à l’employé en quête de sens dans sa carrière. À travers leurs histoires, le lecteur découvre les défis et les aspirations de ces individus confrontés aux pressions de la vie moderne.

La plume de l’auteur est à la fois simple et élégante, empreinte de bienveillance et de sérénité. L’atmosphère qui se dégage de ces pages rappelle la douceur des cerisiers en fleurs, offrant un moment de réconfort et d’évasion à chaque lecteur.

Bien que La Bibliothèque des Rêves Secrets ne réinvente pas le genre du feel-good, il se distingue par son authenticité et sa subtilité. Ce voyage au cœur de Tokyo, ponctué de rencontres inattendues et de réflexions profondes, est une invitation à la découverte de soi et à l’espoir d’un nouveau départ.

En conclusion, ce roman est une parenthèse relaxante, pétrie de douceur et d’espoir, qui célèbre le pouvoir des livres et l’importance des rencontres humaines dans nos vies. Une lecture qui, bien que légère, laisse une empreinte durable dans l’esprit du lecteur, rappelant que chaque rencontre peut être porteuse de magie et de transformation.

Depuis ses débuts, la série à succès Stranger Things a captivé les spectateurs avec son mélange unique de nostalgie des années 80 et de suspense surnaturel. Parmi les nombreux personnages mémorables de la série, Eddie Munson a rapidement conquis le cœur des fans avec son charisme et son destin tragique. Le roman Flight of Icarus, écrit par Caitlin Schneiderhan, offre une plongée fascinante dans le passé tumultueux d’Eddie, révélant des détails inédits sur sa vie avant les événements de la saison 4.

L’histoire se déroule deux ans avant les événements fatidiques de la série, offrant aux lecteurs un aperçu approfondi de la jeunesse d’Eddie à Hawkins, Indiana. L’intrigue se concentre sur le retour d’Al Munson, le père d’Eddie, après plusieurs années d’absence. Alors qu’il tente de renouer avec son fils, Eddie se retrouve confronté à des choix déchirants qui façonneront son destin. Le roman explore les relations complexes entre Eddie et son père, ainsi que ses interactions avec d’autres personnages emblématiques de la série, tels que Reefer Rick et Paige.

L’un des aspects les plus convaincants du roman est sa capacité à approfondir le personnage d’Eddie tout en restant fidèle à l’univers établi de Stranger Things. Les lecteurs découvrent les défis auxquels Eddie est confronté en raison de son héritage familial troublé, ainsi que ses aspirations à échapper à la petite ville qui l’a vu grandir. L’auteur parvient à capturer parfaitement l’essence du personnage d’Eddie, offrant aux fans une nouvelle perspective sur ses motivations et ses luttes intérieures.

Une autre qualité remarquable du roman est sa capacité à mélanger habilement les éléments familiers de la série avec de nouveaux développements narratifs. Les fans de Stranger Things seront ravis de retrouver des références subtiles à des événements et à des personnages de la série, tout en découvrant de nouveaux détails sur l’univers étendu de Hawkins. L’intrigue bien rythmée et les rebondissements inattendus maintiennent l’intérêt du lecteur jusqu’à la dernière page, offrant une expérience de lecture captivante et immersive.

Cependant, le roman n’est pas sans défauts. Certains lecteurs pourraient être déçus par l’ajout d’une intrigue romantique jugée superflue, ainsi que par quelques incohérences mineures dans le développement du personnage d’Eddie. De plus, le manque de présence du personnage d’oncle Wayne Munson est regretté par certains, alors même qu’il offre des opportunités intéressantes pour l’exploration de la dynamique familiale d’Eddie.

En conclusion, Flight of Icarus est un ajout précieux à l’univers étendu de Stranger Things, offrant aux fans une plongée fascinante dans le passé de l’un de leurs personnages préférés. Malgré quelques défauts mineurs, le roman réussit à capturer l’essence de la série tout en offrant une histoire originale et engageante. Les fans de Stranger Things et les amateurs de romans de suspense trouveront beaucoup à apprécier dans cette exploration poignante de l’univers de Hawkins.

Dans l’océan infini de la littérature, il est parfois difficile de trouver une histoire qui captive dès les premières lignes. Cependant, Cœur Pirate, un roman de piraterie signé Erine Kova, promet une aventure immersive au cœur de l’univers pirate, mêlée à une romance enflammée. L’exploration de cette œuvre révèle à la fois ses points forts envoûtants et ses quelques défauts de navigation.

Dès les premiers instants de lecture, le lecteur est transporté à bord d’un navire pirate, plongé dans l’effervescence de la vie en mer. L’ambiance, les traditions et les croyances des marins et des pirates sont si bien dépeintes qu’il est facile de se sentir membre de l’équipage. Les 400 premières pages du récit sont une succession haletante de rebondissements et d’action, où le lecteur est embarqué dans une course effrénée contre vents et marées.

Pourtant, au milieu de cette tempête narrative, une accalmie se profile lors des passages à terre, notamment chez Morgan. Cette partie du récit, bien que nécessaire pour approfondir l’univers et les personnages, peut sembler moins palpitante comparée aux tumultes de la haute mer.

Les personnages principaux, Victoire et Morgan, sont au cœur de cette aventure tumultueuse. Si Victoire peut agacer par moments avec ses airs de girouette, son évolution tout au long de l’histoire est saluée. De jeune aristocrate immature, elle se transforme en une femme courageuse et déterminée, prête à affronter tous les défis que la mer lui réserve. Morgan, quant à lui, incarne le cliché du pirate au passé trouble, mais son charisme et son développement en font un personnage attachant malgré tout.

La romance entre Victoire et Morgan est un autre point fort du récit, se développant progressivement au fil des pages. Leur relation, marquée par un mélange d’amour et de haine, est crédible et intense, ajoutant une dimension supplémentaire à l’histoire sans éclipser l’action principale. Les échanges entre les deux protagonistes, souvent empreints de sarcasme, apportent une touche de fraîcheur à leur relation tumultueuse.

L’univers fantasy du roman, bien que présent, semble en retrait par rapport à l’intrigue principale. Si les éléments relatifs à la piraterie sont bien développés, d’autres aspects fantastiques auraient pu être davantage explorés pour enrichir l’univers du récit.

En conclusion, Cœur Pirate offre une aventure enivrante dans l’univers captivant de la piraterie, mêlée à une romance passionnée. Malgré quelques écueils narratifs et clichés dans la construction des personnages, le roman saura séduire les amateurs de piraterie et de romances enflammées. Une lecture recommandée pour ceux en quête d’évasion et d’aventure sur les sept mers.

PS: Oublie-moi de Emma Green se démarque comme un phare de narration captivante et émotionnellement riche. Plongeant dans les dédales des relations humaines, cette histoire enivre les lecteurs avec ses personnages nuancés et son exploration profonde du pardon et de la reconstruction personnelle. Il faut savoir que je ne savais pas qu’il faisait partie d’une sorte de trilogie puisque Bien plus forte que toi et La vie en vrai sont des spin-offs de ce roman.

Dès les premières pages, les lecteurs sont emportés par une narration fluide et addictive. Emma Green maîtrise l’art de maintenir un rythme palpitant tout au long du récit, invitant les lecteurs à plonger dans l’univers complexe de Léonore et Wolf. Les personnages principaux sont dépeints avec une profondeur remarquable, chacun portant le fardeau de son passé tout en luttant pour un avenir meilleur. L’évolution des protagonistes au fil de l’histoire est un véritable tour de force, les rendant plus réels et attachants aux yeux du lecteur.

L’un des aspects les plus séduisants de PS: Oublie-moi est son exploration originale du monde du mannequinat. Au lieu de se concentrer sur les stéréotypes habituels, les auteurs mettent en lumière des physiques extraordinaires, offrant ainsi une perspective unique sur cette industrie souvent idéalisée. Cette approche innovante ajoute une dimension supplémentaire à l’intrigue, enrichissant l’expérience de lecture.

Au cœur de cette histoire se trouve un thème universellement poignant : le pardon et la reconstruction. Léonore et Wolf sont des personnages tourmentés par leur passé, mais c’est à travers leur voyage émotionnel que l’on découvre la véritable force de leur caractère. Le chemin vers la rédemption est semé d’embûches, mais c’est précisément cette lutte qui rend leur histoire si captivante et inspirante.

Bien que certains lecteurs puissent craindre la longueur apparente du roman, il est rassurant de constater que chaque page est un plaisir à lire. La prévisibilité de certaines tournures de l’histoire peut être un léger inconvénient, mais cela n’entame en rien la puissance émotionnelle de l’histoire dans son ensemble.

En conclusion, PS: Oublie-moi est bien plus qu’une simple romance. C’est une plongée profonde dans les méandres de l’âme humaine, une exploration de la douleur, du pardon et de la résilience. Emma Green a une fois de plus prouvé leur talent indéniable pour captiver les lecteurs et les transporter dans un monde où les émotions sont à fleur de peau. Pour ceux en quête d’une lecture immersive et émotionnellement gratifiante, ce roman est un incontournable.

Cette fois-ci, l’histoire s’articule autour de Winnie, une héroïne touchante qui m’a immédiatement conquise. Après une rupture difficile, elle reprend vie grâce à l’amitié de Harper et Maeve. La proposition de Wells, la doyenne de l’université, de reprendre la direction de la radio universitaire ajoute une dimension captivante à l’intrigue, explorant ainsi un univers que je n’avais encore jamais rencontré dans mes lectures.

Winnie, par sa personnalité naturelle et attachante, devient le pivot de l’histoire. Son passé marqué par la perte de sa mère apporte une profondeur émotionnelle à l’ensemble. Les petits souvenirs laissés par sa mère et sa complicité avec sa grand-mère, Nana, apportent une touche de chaleur à l’histoire.

Cade, bien que charmant et dévoué, m’a semblé légèrement en retrait par rapport à d’autres personnages de la saga. Néanmoins, il incarne le partenaire idéal, déployant des gestes romantiques dignes d’un chevalier moderne. Son point de vue en tant que capitaine de l’équipe de hockey apporte une perspective intéressante sur ses responsabilités et son amour pour le sport. La tournure inattendue à la fin du livre ajoute une dimension intrigante à son personnage.

La romance entre Cade et Winnie se développe de manière graduelle, passant de l’amitié à une relation amoureuse. Les doutes de Winnie après sa rupture avec Adam créent une tension émotionnelle palpable. La façon dont Cade s’investit pour conquérir le cœur de Winnie est à la fois attendrissante et passionnée.

Le traitement subtil de thèmes sérieux, tels que le deuil à travers le personnage de Winnie, et les messages féministes introduits par la doyenne offrent une dimension engageante à l’histoire. L’univers du hockey, bien que moins présent, reste un élément distinctif, se déroulant principalement pendant les vacances et le début de l’année scolaire.

Les interactions au sein de la colocation des Grizzlys, en particulier le duo Griffin/Hunter, ajoutent une touche humoristique, et les références cinéphiles disséminées dans l’histoire sont un plaisir pour les amateurs de cinéma.

En résumé, le troisième tome de la saga Rebel University offre une romance captivante, équilibrant habilement l’humour et l’émotion. Winnie, Cade, et les personnages secondaires contribuent à créer une histoire attachante. L’exploration du monde de la radio, les thèmes sérieux traités avec finesse et les messages féministes apportent une richesse à cette lecture. Bien que l’impatience de découvrir le dernier tome soit présente, il est difficile de dire adieu à cette joyeuse bande qui continue de marquer les esprits.

La duologie Black Blossom, avec son second tome, s’achève en apothéose, laissant derrière elle un sillage d’émotions intenses et de moments inoubliables. Après une attente “insoutenable” entre les deux tomes, le lecteur est récompensé par une histoire d’amour complexe, poignante et subtilement orchestrée.

L’auteure, avec une plume fluide et agréable, nous plonge dans les méandres des vies de Harper Tate et Riley Sutton, les protagonistes de cette romance M/M évoluant dans le monde de la musique. Dès les premières lignes, le lecteur est happé par les montagnes russes émotionnelles que traversent les personnages, et il est difficile de lâcher prise jusqu’à la dernière page.

L’intrigue, bien menée, explore les conséquences des choix désastreux faits par Harper pour le succès du groupe, mettant en lumière la trahison ressentie par Riley. Le récit s’étend sur plusieurs années, offrant une perspective complète de l’évolution des personnages et de leur relation complexe. Les rebondissements, les obstacles et les aléas de la vie ajoutent un dynamisme captivant à la lecture.

La narration à la première personne, alternant entre les points de vue de Harper et Riley, permet au lecteur de plonger profondément dans les pensées et les émotions de chaque protagoniste. Les échanges électriques, la rancœur, la solitude sont parfaitement décrits, créant une connexion émotionnelle forte avec les personnages.

Les relations intimes entre Harper et Riley sont traitées avec sensibilité, capturant la sensualité et l’authenticité de leur amour. Les émotions, qu’elles soient de la colère, du regret, de la solitude ou de la réconciliation, sont rendues de manière magistrale, faisant vibrer le cœur du lecteur à l’unisson de celui des personnages.

Le roman offre également des moments d’une grande intensité émotionnelle, notamment grâce à des révélations inattendues et des plot twists qui secouent le lecteur, l’obligeant à rester bien assis pour absorber chaque choc. Ces éléments apportent une dynamique nouvelle à l’histoire et témoignent du génie des autrices.

Enfin, la maturité des personnages, marqués par les épreuves des années écoulées, confère à l’histoire une profondeur supplémentaire. L’amour entre Harper et Riley, interdit et compliqué, évolue avec une beauté poignante, touchant le lecteur au plus profond de son âme.

En conclusion, la duologie Black Blossom, et en particulier son second tome, est une œuvre qui laisse une empreinte indélébile dans le cœur du lecteur. L’histoire d’amour entre Harper et Riley est une symphonie de sentiments, une expérience littéraire à découvrir absolument pour tous les amateurs de romances captivantes et émotionnellement riches.

La lecture audio de Un Palais d’épines et de roses offre une expérience immersive et captivante. Dès les premières minutes, on est plongé dans l’univers young adult de Sarah J. Maas, et la narratrice fait un travail exceptionnel pour transmettre l’intensité des émotions et l’atmosphère envoûtante du récit.

L’histoire démarre sur les chapeaux de roues, et la voix de la narratrice maintient un rythme dynamique qui rend chaque moment palpitant. La description des scènes d’action est rendue de manière vivante, permettant aux auditeurs de visualiser facilement les aventures de Feyre dans ce monde fantastique. L’intonation et l’expressivité de la narratrice renforcent la personnalité forte et déterminée de l’héroïne, Feyre.

Le passage entre les différentes parties du roman est également bien géré, aidant à saisir les nuances des changements d’ambiance tout au long de l’histoire. La voix de la narratrice accompagne habilement les évolutions des personnages, soulignant les moments de tension, de romance et d’action.

Lorsque l’histoire bascule dans le royaume des Faes, la narratrice parvient à créer une atmosphère mystérieuse et enchanteresse. Elle donne vie aux différents personnages rencontrés, des membres de la cour du printemps aux créatures maléfiques des bois. Les dialogues entre Feyre et Tamlin sont particulièrement bien interprétés, capturant l’essence de leur relation taquine et complexe.

La troisième partie du roman, avec l’introduction d’Amarantha et de Rhysand, est narrée de manière captivante, mettant en valeur l’intensité du suspense et de l’action. Les moments émotionnels, tels que les épreuves imposées par Amarantha, sont livrés avec une sensibilité qui touche profondément l’auditeur.

En résumé, la lecture audio de Un Palais d’épines et de roses est une expérience plaisante et immersive. La narratrice parvient à capturer l’essence du roman, rendant justice à l’intrigue, aux personnages et à l’univers fantastique créé par l’auteure. Cette version audio est un excellent moyen de découvrir ou redécouvrir cette pépite du genre young adult.

Ce troisième et dernier tome des aventures de Zoé nous plonge une fois de plus dans l’univers enchanté de Noël, mais cette fois avec une touche de réalisme et d’émotions plus profondes. Si les deux premiers tomes nous ont séduits avec la rencontre passionnée de Zoé et Ethan, ce troisième opus prend une tournure différente en explorant la maternité et les défis qui accompagnent cette nouvelle étape de la vie.

L’intrigue commence quelques semaines avant Noël, avec Zoé sur le point d’accoucher et chargée de décorer le fameux sapin du Rockefeller Center. Cependant, l’histoire prend un virage inattendu lorsque Zoé, d’ordinaire débordante d’énergie et d’amour pour Noël, doit faire face à des complications de santé et ralentir son rythme effréné. C’est là que l’auteure introduit un élément de réalisme touchant, montrant que même la Reine de Noël peut être vulnérable.

Malheureusement, cette transformation de Zoé en une version morose et presque Scrooge déçoit quelque peu. Le côté mélodramatique de sa détresse persiste trop longtemps, donnant l’impression que l’essence même de son personnage s’est étiolée. Cependant, la rédemption arrive, comme on peut s’y attendre dans une romance de Noël, mais le chemin pour y parvenir aurait pu être plus équilibré.

Le plus grand défi de ce troisième tome réside dans la gestion d’une romance déjà établie. Zoé et Ethan forment un couple solide depuis le début, laissant peu de place aux étapes classiques de la découverte amoureuse. Ce choix narratif peut laisser certains lecteurs sur leur faim, privés de la magie de voir un amour naissant. Cependant, la dimension émotionnelle ajoutée par l’arrivée imminente du bébé compense en grande partie cette lacune.

L’auteure parvient à maintenir l’atmosphère chaleureuse et réconfortante qui a caractérisé les deux premiers tomes. L’intrigue autour de la grossesse de Zoé offre une perspective unique dans le monde des romances de Noël, apportant une dose d’émotion supplémentaire à l’histoire. Les personnages, en particulier Zoé et Ethan, continuent d’évoluer de manière réaliste, ce qui renforce l’attachement du lecteur à leur parcours.

En conclusion, bien que ce troisième tome ne soit pas à la hauteur des deux précédents en raison de quelques choix narratifs discutables, il offre une conclusion satisfaisante à la trilogie. Les amateurs de romances de Noël trouveront toujours leur compte dans ce conte doux-amer, qui explore les nuances de la vie tout en préservant l’esprit magique des fêtes.

Le deuxième tome des aventures de Zoe Reynolds, cette passionnée de Noël, m’a offert un autre plongeon enchanteur dans l’univers festif de Snowflakes Garden. Ayant découvert le premier volet de cette saga l’an dernier, j’avais hâte de retrouver l’effervescence romantique de Zoe et Ethan à l’approche de leur mariage.

Dès les premières pages, j’ai ressenti un léger changement de ton par rapport au premier tome, attribuable à l’irritation suscitée par la mère d’Ethan. Malgré cela, la romance reste au cœur de l’intrigue, et l’esprit de Noël imprègne chaque page. Malgré un humour légèrement atténué, l’ensemble de la lecture reste agréable, me replongeant avec bonheur dans l’univers passionnant de Zoe et Ethan.

Les personnages continuent d’occuper une place centrale, avec Zoe qui demeure aussi exubérante et déterminée que dans le premier tome. Son amour pour Noël et son engagement envers ses proches ajoutent une touche chaleureuse à l’histoire. Ethan, bien que plus en retrait cette fois-ci, surprend par sa bienveillance et son romantisme, ce qui nuance son image de Scrooge.

Le style de l’auteure, toujours aussi captivant, a contribué à maintenir mon intérêt tout au long du récit. J’envisage même de découvrir d’autres œuvres de sa plume à l’avenir.

Quant à l’intrigue, centrée sur les préparatifs du mariage dans l’effervescente Snowflakes Garden, elle m’a offert un bon moment de lecture. Les émotions ont été au rendez-vous, entre rires et larmes, notamment grâce à la présence de Susan, la belle-mère antipathique d’Ethan. Son comportement m’a rappelé la méchante belle-mère de Cendrillon, suscitant une aversion bien méritée.

En conclusion, ce deuxième tome noëlesque a su me captiver et me divertir, confirmant mon attachement à l’histoire de Zoe et Ethan. La fin prometteuse annonce déjà le prochain chapitre de leur aventure que je me suis empressée de lire dans la foulée !

Le roman graphique des Gardiens des Cités Perdues était une véritable bouffée d’air frais pour moi, une fan inconditionnelle de la saga. Mon enthousiasme était à son comble en découvrant cette adaptation qui ne déçoit pas. Avec ses 330 pages, elle offre une plongée immersive dans l’univers captivant de Sophie et de ses amis.

L’histoire, reprenant la moitié du premier tome, promet une longue et excitante saga en BD. La magie opère à nouveau, et l’ajout d’images vient enrichir notre expérience de lecture. Les personnages restent aussi attachants que dans les romans, voire davantage grâce aux illustrations qui les rendent encore plus vivants.

Les illustrations, bien que parfois suscitant quelques réserves aux premiers abords, collent globalement bien à l’ambiance du roman. L’ensemble est un régal visuel, et la lecture m’a donné une envie irrésistible de me replonger dans l’univers des Gardiens des Cités Perdues.

En tant que grande admiratrice des romans, cette adaptation graphique m’a permis de redécouvrir le premier tome d’une manière nouvelle et excitante. Les graphismes, bien que légèrement différents de ce à quoi je m’attendais (j’avoue que je préfère largement ceux des couvertures des romans originaux), sont efficaces pour identifier les personnages et les lieux, et le choix des couleurs est judicieux.

Les bonus à la fin de la BD, avec les commentaires de Shannon Messenger et les pages sur le dessin des personnages, ajoutent une dimension supplémentaire à cette expérience.

En résumé, si vous êtes fan de la saga ne passez pas à côté de ce roman graphique qui est un gros plus à cette dernière et vous permets de vous replonger dans la saga et la redécouvrir et tout autant l’adorer !

J’ai adoré le tome précédent qui s’est révélé très surprenant et j’avais hâte de découvrir celui-ci. Les tomes sont assez détachés les uns des autres, le seul pont entre chaque est que l’on suit une de chaque amie du groupe. Cette fois-ci, nous suivons Lily une jeune fille qui fait du patinage artistique et qui ne rêve que d’une chose battre son modèle Orion.

Morgane Moncomble nous offre une nouvelle pépite avec son deuxième tome. Si vous recherchez une lecture qui vous emporte à travers un tourbillon d’émotions, ce roman est incontournable pour plusieurs raisons.

La dynamique “Enemies to lovers” entre Lily et Orion crée une tension captivante qui évolue de manière délicieusement inattendue. Le rapprochement forcé, imposé par les circonstances du patinage artistique de compétition, ajoute une complexité intrigante à leur relation. Les répliques cinglantes entre les deux protagonistes sont à mourir de rire, insufflant une légèreté bienvenue dans l’intensité de la compétition.

Les personnages, véritables joyaux de cette histoire, sont magnifiquement construits. Lily, l’héroïne déterminée, incarne la force et la persévérance nécessaires pour briller sur la glace. Orion, au-delà de son apparence bourrue, se révèle être un personnage profondément tourmenté, ajoutant une dimension émotionnelle poignante à l’histoire. Leur chimie est palpable, faisant de leur relation une véritable source de fascination pour les lecteurs.

Les rebondissements, révélés avec un timing parfait, maintiennent un suspense envoûtant tout au long du récit. Morgane Moncomble sait comment manipuler les émotions de ses lecteurs, les faisant passer du rire aux larmes et du sourire à la tension avec une habileté remarquable. Chaque page offre son lot de surprises, laissant les lecteurs accrochés à l’intrigue.

L’univers du patinage artistique, décrit avec une richesse de détails, ajoute une dimension unique au récit. La compétition, la passion pour le patinage et les défis auxquels sont confrontés les personnages enrichissent l’histoire d’une manière qui la distingue des romans romantiques classiques.

En ce qui concerne le style de Morgane Moncomble, sa plume fluide et immersive transporte les lecteurs au cœur de l’action. Elle sait manier les mots pour créer une ambiance enchanteresse, rendant la lecture irrésistible, ce roman est un témoignage éclatant du talent indéniable de l’autrice.

En conclusion, ce deuxième tome est un coup de cœur indéniable pour ma première lecture de 2024. Morgane Moncomble offre une romance envoûtante dans le monde du patinage artistique, mêlant habilement passion, compétition, et relations complexes. Un hiver pour te résister est une lecture incontournable pour tous les fans du genre !

Une sortie de Emma Green ça ne se rate pas parce que l’on est sûr de passer un très bon moment de lecture ! C’est le cas avec cette nouveauté : Ce qui nous rend vivants. Cléo arrive comme interne dans l’hôpital de Carter une vieille connaissance à elle mais en fait ce n’était pas une simple connaissance, il a été son meilleur ami et aussi un crush. Elle adore ce qu’elle fait, elle est à fond dans son travail et surtout elle cherche à comprendre quelque chose. On en apprend de plus en plus sur leur passé commun mais aussi son passé personnel, pourquoi elle a perdu une année, pourquoi elle a du mal à remonter la pente suite au décès de sa mère. Cléo a du mal à extérioriser ce qu’elle ressent, elle est un peu dans sa bulle, difficile de se laisser aller quand un truc l’obsède totalement, et même deux après ses retrouvailles avec Cruz. On voit les failles du système, les humains derrière un boulot qui des fois ne leur laisse le temps de rien, les erreurs qu’il peut y avoir sans que ce soit malheureusement voulu et les conséquences derrière. Pas facile de faire ce métier, et je trouve que les Emma Green l’ont vraiment bien dépeint et montré que cela n’est pas tous les jours faciles et que malheureusement des cas les touchent énormément et qu’il est impossible dans ce métier de se blinder pour ne rien ressentir suite à des drames. On aborder aussi la famille, la famille qui a perdu un de ses piliers, une autre qui ne l’a jamais eu mais qui en a trouvé un autre et qui a su grandir avec. Impossible de rester insensible à toutes ces différentes histoires du roman. C’est beau, c’est émouvant, j’ai adoré !

En résumé, Ce qui nous rend vivants est un excellent roman ! Je dois dire que l’histoire m’a énormément touché, j’ai adoré Cléo et Carter ! C’est un roman totalement addictif, une fois commencé impossible de le lâcher. Il faut dire que c’est un bon mélange des genres et j’adore tout ce qui se passe en milieu hospitalier donc je ne pouvais qu’adorer. Emma Green aborde beaucoup de thème encore dans ce roman comme la maladie, la famille, les passés difficiles, leur parcours professionnel et aussi le deuil et l’amour. Bref, un roman bien rempli que l’on dévore et pour lequel l’humour est bien présent même si il y a des passages aussi difficiles. Je ne peux que vous le conseiller !

Je dois dire que ce roman m’a fait de l’œil et je trouve que c’est top de faire quatre romans à la suite qui sortent aussi proches les uns des autres sur chaque personnage important de l’histoire. Ici nous sommes sur le tome 1, celle qui introduite tous les personnages justement même si on se focalise principalement sur Hunter et Harper ! On est ici à l’université avec une équipe de hockey dont Hunter fait parti. Harper, elle, est en étude de journalisme tandis que lui veut être kiné. On peut dire que leur rencontre est explosive ! Hunter fonce littéralement sur elle, tout nu, suite à un pari. Elle, elle colle des affiches par rapport à une agression suite à une tenue et elle veut essayer de faire changer les mentalités par rapport à cela et aux mesures prises par l’université. Ils se retrouvent alors tous les deux chez la directrice et récolte de travaux forcés comme punition. Ils vont donc commencer à passer du temps ensemble et on peut dire que leurs échanges sont fleuris ! J’ai adoré ! C’est fun entre Hunter qui est un sacré numéro et Harper qui ne se laisse pas faire. Et puis, quand la punition est finie, la directrice demande à Harper de couvrir l’équipe pendant leur championnat à son plus grand regret. Pourtant, c’est le début de leur aventure, leur relation, leur belle histoire. Forcément, tout n’est pas si simple. Les autrices nous ont écrit une belle romance comme on les aime. J’ai adoré leur style, les références pop culture, l’excellent ton et surtout des personnages excellents mais également les secondaires. Difficile de ne pas aimer. Et puis, elles abordent des thèmes importants comme le body positive mais aussi la confiance sans compter l’amitié et l’amour forcément.

En résumé, Rebel University Hot as Hell est excellent ! Même si le scénario est plutôt classique, je dois dire que le roman est efficace, très addictif, les personnages sont top et surtout les joutes verbales sont trop excellentes et on rigole bien ! J’ai adoré ce premier tome et j’ai enchaîné direct avec la suite !

J’ai adoré le 1er tome de Rebel University donc c’est avec logique que j’ai sauté sur le tome 2 à sa sortie (Un tome sort tous les mois). Il faut dire qu’en plus j’ai beaucoup aimé Maeve et Prince et que leur histoire est assez drôle vu comment elle est dépeinte dans le premier roman. Les auteures abordent des thèmes importants comme le racisme, les violences psychologiques et le cyberharcèlement avec une finesse et une profondeur remarquables.

Les deux personnages principaux sont excellents, les réparties sont absolument tordantes. Le duo tumultueux formé par Prince et Maeve, qui se détestent avec une intensité palpable, est le cœur de ce récit. La proximité entre la haine et l’amour s’exprime avec une alchimie folle entre ces deux-là.

On comprend ce qui avait été abordé légèrement dans le précédent, leur rencontre, leur première histoire qui s’est terminé un peu de façon inattendue, pourtant ces deux-là sont attirés l’un et l’autre et ils ne peuvent empêcher de s’envoyer des pics à chaque fois qu’ils se croisent et en plus le destin fait qu’ils n’arrêtent pas ! J’ai adoré découvrir les facette de ses deux personnages. Ils sont excellents et ne sont pas comme ils paraissent au premier abord. Leur histoire est belle, impossible de rester insensible dans notre lecture. Puis, on ressent clairement les choses désagréables de la vie, les pressions psychologiques folles que peuvent avoir certaines, la jalousie ou le racisme pour d’autres. Les thèmes sont abordés finement, on a envie de mettre des baffes à ceux qui le font. Bref, impossible de lâcher ce roman une fois commencé. Je l’ai littéralement dévoré !

En résumé, ce deuxième tome est une réussite éclatante. Il répond aux attentes des lecteurs et les dépasse, offrant une expérience littéraire enrichissante et immersive. La série promet de continuer à surprendre et à captiver, laissant les lecteurs impatients de découvrir les prochains chapitres de cette histoire passionnante.

Il faut savoir que je ne suis pas très fan de romance MM. Je suis tombée sur ce roman, j’ai vaguement lu le quatrième de couverture et je l’ai acheté pensant que Riley était une fille… Bref, j’aimerais que les éditeurs trouvent quelque chose pour marquer plus le genre des romans mais bon je me suis lancée dedans et j’avoue j’ai adoré !

Le dernier opus de la romance MM en deux tomes, plonge les lecteurs dans un monde vibrant de musique, d’internat et de relations tumultueuses. L’intrigue se déroule à l’Institut d’Evergreen, où le départ de Zachary pour des affaires de drogue laisse un vide que le groupe lycéen Black Blossom cherche à combler. En parallèle, Harper, musicien talentueux, se voit assigner un nouveau colocataire, Riley Sutton, dont l’apparition mystérieuse ébranle l’équilibre de sa vie.

Dès leur première rencontre, l’électricité entre Harper et Riley est palpable. Malgré les piques et les surnoms peu flatteurs, une tension intrigante et une attraction indéniable s’installent. Les protagonistes, Harper et Riley, sont des adolescents aux passés tourmentés, et leur connexion complexe évolue à travers des échanges empreints d’animosité, mais aussi d’une attirance magnétique.

L’alternance des points de vue entre Riley et Harper offre une perspective riche, permettant aux lecteurs de plonger dans les méandres émotionnels de chaque personnage. Les auteures maîtrisent la narration à la première personne, offrant une immersion totale dans les pensées et les sentiments des protagonistes.

La plume fluide et captivante d’Aimée Lou permet une entrée en douceur dans l’univers des personnages. Les idées sont bien construites, les événements s’enchaînent avec fluidité, créant une intrigue à la fois attrayante et addictive. L’humour parsemé dans le récit ajoute une touche magique, tandis que les émotions, tantôt charmentes, tantôt mouvementées, tissent une trame émotionnelle captivante.

Les personnages, Harper et Riley, sont dépeints avec profondeur et nuance. Leurs émotions deviennent un élément central de l’histoire, créant une dynamique où les frontières entre ennemis et amants deviennent floues. Les relations intimes sont parfaitement intégrées, évoluant naturellement avec l’histoire et les émotions des protagonistes.

Black Blossom : Loved you first offre un mélange surprenant de tension croissante, d’émotions poignantes et d’échanges bien rythmés. Les deux jeunes hommes, seuls et colocs, s’engagent dans une romance slow-burn captivante. L’histoire monte crescendo jusqu’à un point culminant, laissant les lecteurs impatients de découvrir la suite. Aimée Lou a réussi à créer une expérience littéraire immersive, alliant intrigue, passion et suspense, dans un cadre musical envoûtant. Vivement la suite de cette romance qui promet d’être mémorable !

Je tiens tout d’abord à remercier Nine Gorman, Marie Alhinho et les éditions Albin Michel pour l’envoi de ce roman.

Après La nuit où les étoiles se sont éteintes avec Finn et Le jour où le soleil ne s’est plus levé avec Nate, on passe au tome sur Jaeger. Il n’est pas mon préféré de la bande, peut-être trop renfermé mais aussi mystérieux sur sa vie. Jaeger rentre chez sa famille et tout se retrouve totalement chamboulé, tout s’écroule autour de lui, c’est ainsi que l’on commence à voir comment était sa vie chez ses parents. En fait, on connait Jaeger mais on ne connaissait pas Thomas et ce tome nous permet de le découvrir. On découvre sa vie, ses secrets, ses mensonges, sa foi, ses ami(e)s et surtout sa famille. Je n’ai pas envie d’en dire trop sur ce roman parce que je risque justement de spoiler et ça serait dommage. On est littéralement pris en haleine dans ce roman dès les premières pages, on vit ce que vit Thomas en même temps que lui, tout ce qui lui arrive, tout ces rebondissements mais aussi on en apprend plus sur son passé, ce qu’il revit, ce qui lui revient au fur et à mesure. C’est un livre assez dur, à ne pas mettre forcément dans toutes les mains c’est pour ça qu’il y a des triggers warnings en début de chaque paragraphe. Le personnage de Thomas n’a pas dû être simple à faire. On se rend compte de tout le travail de préparation par rapport à ce roman. C’est un roman avec une bonne part de psychologie derrière, il fait réfléchir également. J’ai adoré bien entendu retrouver tous les autres personnages de la bande mais aussi Cliff ! Et puis, j’ai trouvé le dernier chapitre génial aussi. Bref, une pépite encore !

En résumé, Ces prières que je fais dans le noir est encore un excellent roman de Nine Gorman et Marie Alhinho. Elles savent à la perfection manier les mots, jouer avec nos émotions, nous faire aussi bien rire que pleurer. Elles nous font vivre avec leurs personnages, on se sent happé dans l’histoire dès les premières lignes et souvent il est extrêmement difficile de lâcher notre lecture. J’ai dévoré ce roman en 24heures, pourtant Jaeger n’était pas mon préféré de la bande et elles ont su me faire retourner ma veste et l’apprécier à sa juste valeur ! J’ai trouvé cette histoire aussi dure et horrible que poignante et belle. J’ai eu le cœur serré tout au long de ce que je lisais, difficile de rester indifférente face à ce roman que l’on connaisse les thèmes abordés ou pas. C’est une pure merveille du début à la fin et ce roman est finalement devenu mon préféré des trois ! Encore félicitations pour ce roman et je lui souhaite tout le succès qu’il mérite !!

Depuis que j’ai découvert le duo Emma Green, j’essaye de rattraper mon retard sur tous les romans qu’elles ont sorti. C’est ainsi que j’attends les nouvelles sorties tout en rattrapant les anciens ! Je me suis donc lancée dans Fallait pas me chercher ! Alors il faut le dire la couverture ne m’attirait pas spécialement mais je me suis lancée quand même et j’ai bien fait parce que je l’ai adoré ! Bon faut dire, j’adore quasiment tous les romans du duo donc je n’ai pas de mal à me laisser convaincre. Valentine est une fille forte et elle n’a pas peur de grande chose, d’ailleurs elle n’a pas la langue dans sa poche mais elle a une tendance à se mettre assez souvent en danger. C’est ainsi qu’elle rencontre Nils qui a été envoyé pour la sauver. Elle le prend pour un ours mal léché au début et pense qu’il a été également embarqué avant de comprendre qu’il est là pour la sauver. Le soucis c’est que ce dernier devient son garde du corps. Après avoir rêver de lui depuis qu’elle l’a rencontré, elle ne peut pu faire comme si il n’existait plus. Elle le défie sans arrêt et lui a tendance finalement à aimer cela. Pas facile la cohabitation tout en restant éloignés et à sa place. Donc forcément les choses évoluent entre ces deux-là et la passion s’en mêle. Chacun a une vie bien marquée jusqu’ici entre Nils qui n’a pas eu la chance de vivre avec sa mère et Valentine qui elle a choisi de mettre sa vie en pause pour que sa mère soit heureuse avec ce père qu’elle n’a jusqu’ici pas vraiment connu. Pourtant ces deux-là se sont bien trouvés et réussissent à se compléter à merveille malgré tous les aléas de leur vie bien remplie.

En résumé, Fallait pas me chercher ! est encore un excellent roman du duo et je l’ai adoré. Valentine et Nils sont d’excellents personnages et j’ai adoré leur rencontre, leur histoire. Comme d’habitude c’est une histoire pleine de rebondissements mais aussi touchante avec tous les sentiments mis dans l’histoire.

En ce moment, je suis plutôt romance je dois bien l’avouer. Cette année, je n’ai pas réussi à lire énormément de livres, à me motiver pour grand chose, bref des fois ce n’est pas simple. Un peu de légèreté, pas de prise de tête c’est ce que je recherche en ce moment dans mes lectures parce qu’il n’y a que cela que j’arrive vraiment à dévorer et à absorber. Bref, moi qui adore le patinage et le hockey forcément cette romance m’a fait de l’œil. Deux grands sportifs dans cette histoire, Isaiah est hockeyeur et Maddison nageuse. Ils se rencontrent lorsque ce dernier s’est blessé et que son entraîneur l’oblige à faire un entraînement avec le coach de piscine où Maddison s’entraîne également. Autant dire que cette dernière ne l’aime pas au premier abord mais elle a un problème, elle n’arrive plus à faire les bons temps pour espérer parvenir à participer aux jeux olympiques pour la simple et bonne raison qu’elle a cassé avec son copain. Sa meilleure amie pense que la solution c’est le sexe et comme elle a un beau gosse sous la main, pourquoi ne pas devenir sexfriend avec lui ? Bien entendu nos deux protagonistes qui ne veulent rien savoir de l’amour tombent dans le piège donc pas de surprise de ce côté mais forcément il y a toujours des faits qui font qu’ils ne se parlent plus à un moment ou un autre. Donc pas trop de surprises mais j’avoue m’être laissée aller avec cette histoire qui se lit très vite.

En résumé, The Players Under the Ice est une romance sympathique, pas exceptionnelle mais elle fait le job. On sent quand même le déjà vu mais bon ça reste plaisant à lire et les personnages sont sympa. Si vous aimez les romances sous fond de sport, celle-ci est faite pour vous.

J’avais entendu des bons retours et j’avais envie de découvrir cette romance. Je dois dire que je ne m’attendais pas du tout à une histoire comme celle-là. Il faut dire que souvent je m’achète un roman sur un coup de tête après avoir vu de bons retours sans aller forcément au fond des critiques pour ne pas être spoilée. C’est ainsi que je dois dire ne pas m’être attendue à avoir ce thème dans ce roman, je pensais que c’était des colocataires. Du coup, on se retrouve avec des colocataires forcés parce qu’ils font la misère au personnel de l’hôpital (pas sûre que ça soit possible dans la vie réelle mais bon) ! Ces deux-là se sont clairement bien trouvés et c’est tant mieux vu ce que chacun a vécu. Ils ne se sont jamais vu, juste entendus de loin et vus certaines personnes venir les voir. Perle a une aversion totale pour le groupe de rock Sparkle Kiss lui rappelant de mauvais souvenirs par rapport à l’accident qu’elle a subi donc pas facile pour Kirsten de gérer le fait qu’il soit le chanteur de ce groupe. Il n’a pas le choix et doit donc lui cacher son identité, ce qui reste facile vu qu’ils sont séparés par un rideau. Le soucis c’est que chacun commence à ressentir des choses par rapport à l’autre et Kristen ne sait pas comment il va faire. Jusqu’ici c’était original mais on se doute de ce qui va arriver quand il va falloir se voir pour la première fois. Pourtant l’histoire ne s’arrête pas là et on a quelques autres surprises inattendues par rapport à l’histoire et je dois dire que même si c’est un peu déjà vu, on se prend clairement à tout cela et on adore ce genre de choses. J’ai réellement dévoré ce roman et je l’ai beaucoup aimé et surtout les deux personnages qui sont très attachants. On a également de bons personnages secondaires.

En résumé, mon coloc est une rock star est une romance originale, j’ai beaucoup aimé comment toute l’histoire a été introduite (même si c’est triste). Je ne m’attendais pas du tout à ça et j’ai été agréablement surprise je dois dire. C’est à la fois drôle, frais, triste et j’ai aimé ce côté écriture de chansons. Une très bonne découverte et un roman qui se dévore !

Je tiens à remercier les éditions l’Archipel pour l’envoi de ce roman.

Ce livre est une suite captivante et bourrée d’action qui plonge le lecteur dans le monde sombre et complexe de Court Gentry, un ancien agent de la CIA devenu tueur à gages légendaire. L’auteur, Mark Greaney, nous offre une histoire palpitante qui mêle intrigue géopolitique, action déchaînée et développement de personnages fascinants.

L’intrigue commence avec Court Gentry, alias “The Gray Man“, contraint de travailler avec un gangster russe peu recommandable pour accomplir une mission d’assassinat au Soudan. Cette mission compromettante le met dans une situation dangereuse, mais c’est aussi l’occasion pour l’auteur d’explorer les dilemmes moraux auxquels est confronté le protagoniste. Court, malgré sa réputation de tueur impitoyable, se révèle être un personnage complexe avec une conscience et un sens de la justice. Sa lutte contre l’addiction aux médicaments sur ordonnance ajoute une dimension supplémentaire à son personnage, le rendant d’autant plus humain et vulnérable.

L’interaction de Court avec d’autres personnages, notamment une femme canadienne travaillant pour la Cour pénale internationale, offre un contraste intéressant. Leur confrontation sur les actions de Court dans un contexte de génocide au Soudan soulève des questions morales cruciales et pousse le lecteur à réfléchir sur les compromis et les choix difficiles auxquels font face les héros de ce genre.

L’action est au rendez-vous, et Mark Greaney excelle dans la description des scènes de combat et des situations tendues. Les rebondissements inattendus maintiennent l’excitation tout au long de l’histoire, et la rapidité de l’intrigue garde le lecteur accroché à chaque page.

Cependant, bien que ce roman offre une expérience de lecture palpitante, certains lecteurs pourraient être déçus par le changement de dynamique par rapport au premier livre de la série. Court Gentry travaillant avec une équipe de la CIA limite son indépendance et son style de vie de loup solitaire, ce qui peut être un peu moins satisfaisant pour ceux qui ont aimé l’aspect “lone wolf” du personnage.

Malgré cela, le livre reste une excellente lecture pour les amateurs d’action, d’espionnage et de thrillers. Mark Greaney réussit à créer un protagoniste mémorable en Court Gentry, et son exploration des questions morales et éthiques dans un monde de violence et de complots politiques ajoute une profondeur bienvenue à l’histoire. “Le Gray Man 2 : La cible” est une aventure captivante qui vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière page, et il est fort probable que vous vous précipiterez pour lire la suite dès sa sortie dès que vous aurez tourné la dernière page.

Je tiens tout d’abord à remercier Lizzie pour l’envoi de ce livre audio. J’avais adoré la précédente trilogie Vampyria et j’avais donc hâte de découvrir cette nouvelle trilogie. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre et je dois dire que j’ai encore une fois été agréablement surprise.

Nous ne suivons pas cette fois un seul personnage principal mais six : Rafael, Waya, Archer, Annabel, Deziree et Sybil. Le plus étonnant encore c’est que nous sommes dans un huisclos ! L’initiation des jeunes Vampyres à la vie éternelle est marquée par un grand bal luxueux. Cette festivité sanglante, dédiée aux Seigneurs de la nuit, se déroule au Necropolis Palace situé sur Broadway. Cependant, un groupe de six dissidents connus sous le nom de “Desperados”, dirigés par une Sorcière énigmatique, vise à confronter le pouvoir des vampires en enlevant ces treize novices. Malheureusement, les événements ne se dérouleront pas comme prévu ! Je ne m’attendais pas du tout à ce genre de scénario et pourtant il a été très efficace. Victor Dixen sait comme toujours mener à la perfection ses scénarios et nous fait vivre tout le roman comme si on y était.

J’avoue que le fait d’écouter ce roman rajoute beaucoup pour réussir à imaginer ce dernier. Entre les musiques des chapitres et le fait qu’il soit lu par trois personnes : Marie du Bled, Maxime Van Santfoort, Aaricia Dubois. On se sent plus proche des personnages et plus au cœur de l’action en l’écoutant en livre audio. Cette version est vraiment au top, elle est très pro et très réussie.

Tout le roman est assez mystérieux, il faudra être patient pour comprendre tous les tenants et aboutissants du livre et surtout comprendre où voulait aller Victor Dixen sans compter que la fin ouvre totalement sur beaucoup de choses possibles et on en reste dans le mystère quand à cette suite justement ! J’ai réellement hâte de découvrir la suite sachant que rien de ce qui était prévu n’est réellement eu lieu on peut s’attendre à de grandes surprises.

J’ai adoré la bande de desperados qui se retrouvent dans cette histoire, sans le vouloir forcément au préalable c’est leur vie qui les a mené à cet instant. Ils se découvrent au fur et à mesure de l’intrigue comme on les découvre également mis à part Rafael que l’on connaissait déjà. On ne peut pas rester insensible à chacune de leur histoire et surtout on s’attache tous à eux par rapport à leurs forces mais aussi leurs faiblesses.

En résumé, Vampyria America commence à la perfection ! Victor Dixen a su créer un univers passionnant qui est tellement riche que toutes les possibilités s’offrent à lui et on s’en qu’il s’en amuse grandement et se fait plaisir avec ses histoires et on adore ça ! Vivement la suite clairement !

J’avoue en ce moment je suis plutôt partie dans les romances. Il y a des périodes comme ça où certaines lectures sont plus faciles que d’autres sachant que cette année, j’ai vraiment énormément de mal à lire. J’ai donc emmené cette roman lors de mes vacances au Japon sachant que j’aurais pas mal de transports là-bas et je dois dire que je l’ai littéralement dévorée ! Et puis, une romance inattendue de noël en plein été j’avoue que c’était top !

Elyssa et Zane se rencontrent sur une appli, ce dernier n’a pas envie que sa mère joue les entremetteuses avec la fille de son amie et du coup il se lance à la recherche d’une fausse petite amie tandis qu’il en va de même avec Elyssa qui n’a pas envie de supporter sa mère pendant les fêtes de noël radotant sur le fait qu’elle n’est pas mariée et tout. Pas facile au début surtout qu’Elyssa n’est pas indifférente au charme de son faux petit ami ! Forcément aucune surprise sur l’évolution de l’histoire, on se doute bien de comment tout va se terminer pourtant j’ai aimé cette relation naissante, comment elle aboutie et surtout les choses qui se dévoilent au fur et à mesure. Il y a également quelques surprises inattendue par rapport à leur travail par exemple. Les deux personnages ont des caractères bien différents et aussi un passé bien marqué pour Zane. Pourtant leur rencontre les fait s’épanouir à merveille et s’ouvrir à leur monde et entourage. C’est une belle romance et aussi une belle histoire familiale. Et puis, j’ai adoré l’humour de ce roman et l’héroïne bien Miss catastrophe !

En résumé, Fake Lovers est une romance déjà vue mais elle reste extrêmement efficace avec des personnages très attachants. J’ai adoré Elyssa qui est une miss catastrophe, elle est très drôle et la relation avec Zane est magique. Bref, impossible de ne pas tomber sous le charme de cette romance que vous allez dévorer si vous vous lancez dedans ! Une excellente découverte !