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— Épouse-moi.
— Quoi ?
Elle eut l’impression que son cœur s’arrêtait de battre. Avait-elle bien entendu ?
— Parce que tu as pitié de moi ?
— Pitié de toi ? Pas vraiment, répondit-il en souriant. Épouse-moi parce qu’ensemble on tait des étincelles. Surtout sous la douche.
Afficher en entier"Pourquoi Dieu a-t-il créé l'homme avant la femme ? Parce qu'il faut toujours un brouillon avant le chef-d'oeuvre. Chloe Traeger "
Afficher en entierÊtre «multitâche», c'est juste la capacité de tout foirer en même temps.
Chloé Traeger.
Afficher en entier- Alors... un hamburger au bacon et au bleu avec un supplément fromage, des frites et une salade sans tomates, parce que les tomates c'est un légume et, bien que tu mesures un mètre quatre-vingt-dix de pure testostérone, tu as les goûts d'un petit garçon.
— Hé, la salade est un légume, protesta-t-il.
— La laitue iceberg ressemble plus à de l'eau qu'à un légume. Ça ne compte pas.
— Alors, oublie la salade. Et mets-moi deux hamburgers et une double portion de frites.
Afficher en entierSi tu ne réussis pas du premier coup, débrouille toi pour que personne ne sache que tu as essayé.
Chloé Traeger
Afficher en entier— Que puis-je pour toi, shérif ? demanda-t-elle.
Oui, Sawyer, que pourrait-elle bien faire pour toi ? Il se tritura les méninges pour trouver une réponse.
— M’expliquer ce tapage nocturne.
Lance se mit à rire.
— Quel tapage nocturne ? s’étonna Chloe. Tu veux dire que je suis coupable de tapage nocturne parce que j’ai simulé un orgasme ?
— Tu faisais autant de bruit qu’une mule engluée dans du goudron, expliqua Sawyer.
— Une mule… (Chloe manqua de s’étouffer de rire.) Personne m’ayant entendu avoir vraiment un orgasme n’oserait me comparer à une mule !
Cette information ne rendait pas service à Sawyer. Du tout.
— Vraiment ? répondit-il.
Afficher en entier— Tu t’inquiètes beaucoup pour moi ?
— Vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
— On pourrait faire un club, dit-elle en riant.
Afficher en entierSi tu es maladroite, fonce à gauche.
Chloé Traeger
Afficher en entier-Est-ce que tout est vraiment fini ?
Elle eut du mal à respirer et leva la tête pour le regarder bien en face.
-Je ne veux pas que ce soit fini.
-Qu'est-ce que tu veux ?
-Apprendre à te connaître, répondit-elle sans hésitation. Tout entier. Je veux savoir ce qui te rend heureux.
-Ton rire, répondit-il du tac au tac. Tes mains sur moi. Ta façon de me regarder quand tu penses que je suis un crétin congénital ou quand je t'ai donné du plaisir.
Elle se cacha contre lui en riant, mais il baissa la tête jusqu'à ce qu'elle relève les yeux.
-Tu veux savoir ce qui me fait le plus peur au monde ? demanda-t-il.
-Oui.
Il se pencha un peu plus et mit la main sur sa nuque.
-L'idée que je ne pourrais ne plus vivre toutes ces choses avec toi. Je suis un peu lent à la détente, mais je ne suis pas idiot, Chloe, et j'apprends de mes erreurs. (Il lui prit le visage entre ses mains.) Je t'aime, Chloe.
-Et zut !
Il cilla.
-Ce n'était pas la réaction que j'espérais.
-Non, c'est juste que je voulais le dire en premier !
-Tu peux le dire maintenant.
-Je t'aime. Si tu savais comme je t'aime ! (Elle expira.) Ouah, c'est encore plus fatiguant qu'une crise d'asthme !
Il eut un sourire lent, magnifique et terriblement sexy.
-Il faut juste que tu t'entraînes.
Elle lui rendit son sourire. Elle se sentait si heureuse et si légère qu'elle aurait pu flotter jusqu'au plafond, encore que c'était peut-être un effet secondaire des médicaments.
-Ou que je confirme.
-Que tu confirmes ?
Elle sortit son portable, et il la regarda sans comprendre.
-Tu me dis "je t'aime", et ça te rappelle que tu dois passer un coup de fil ?
-Tu savais que m'aimer allait te demander de la patience.
Elle ouvrit l'application de la boule magique.
-Alors, Sawyer et moi ? C'est oui ? demanda-t-elle à l'écran.
-Ce n'est pas vrai, Chloe, répondit Sawyer en fronçant les sourcils. Tu sais très bien ce que ça répond chaque fois qu'il s'agit de moi.
-Et elle ne s'est jamais trompée. Tu as peur ?
-Non, mais je te jure que s'il y a écrit "repose ta question plus tard", je balance le portable par la fenêtre.
"Absolument."
Afficher en entier— Chloe, ajouta-t-il doucement en la regardant avec attention, tu ne peux même pas dire à tes sœurs ce que tu ressens pour elles, alors imagine ce qui se produirait si je te disais maintenant ce que je ressens pour toi.
— Une crise d'asthme ? (Sa poitrine la faisait souffrir. Elle y porta la main.) Et merde.
— Respire, ordonna-t-il en s'approchant d'elle.
Il s'arrêta quand elle lui fit signe de rester où il était.
— Tu retiens ton souffle.
C'était vrai. Elle expira bruyamment, et ses poumons se vidèrent. Elle était incapable d'identifier ce qui avait remplacé l'air qu'elle retenait: du soulagement ou de la désolation ?
— Maintenant, inspire, lui enjoignit-il.
Elle obéit. Puis elle expira et décida de l'ignorer quand il franchit la distance qui les séparait et lui prit le visage entre les mains.
— C'est une crise d'angoisse, pas d'asthme.
— Je sais ! s'écria-t-elle en le repoussant. Je travaille dessus. Et sache que je tiens à mes sœurs.
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