Lucky Luke, Tome 52 : Fingers

Pas le contrôle de ses mains, qu'il dit l'Houdini du dimanche, hein? Et mon ***, c'est du poulet?

Un tome drôle avec un personnage atypique et qui fait tourner Lucky en bourrique.

Quelques bonnes réparties, mais pas de grande originalité dans le scénario... Distrayant...

Toujours un plaisir de lire les aventures de Lucky Luke

Dans ce tome Lucky Luke fait la connaissance de Fingers, un prestidigitateur venu explorer l'Ouest américain. Il s'attire vite quelques ennuis à cause de sa fâcheuse manie de détrousser les gens qu'il rencontre. Lucky Luke le prend en pitié, et décide de demander une grâce au gouverneur pour lui. Malheureusement pour notre héros, cette histoire se retourne contre lui, et Lucky Luke se retrouve vite responsable des actes de Fingers.

Une histoire de Lucky Luke assez poussive, des gags pas vraiment drôles, les running gags qui retombent comme un soufflet, une intrigue pas très passionnante, des dialogues sans relief, bof, bof, bof.

Est-ce moi ou cette impression que l’ère Lucky Luke post-Goscinny ne vaut pas tripette ??

Est-ce moi qui me fais des idées ou bien l’impression que cet album a plus d’un dessin animé que d’une bédé, est réelle ?

Si le départ avait bien commencé et que j’avais souri devant les facéties de Fingers, cet étrange prestidigitateur qui a tout d’un pickpocket, on peut dire qu’ensuite ce fut encore plus laborieux qu’un discours d’un politicien en campagne électorale (là au moins on peut rire ou frémir).

Fingers aurait été génial en petite aventure et puis c’est tout. En longue histoire, c’est poussif, les running-gags sont répétitifs (c’est leur rôle mais là, c’était laborieux) et de ce fait, perdent ce qui faisait leur charme et nous on perd le sourire.

Pourquoi les Sioux entrent-ils sur le sentier de la guerre ? Nul ne le saura. Pourquoi leur chef, Chien Rouge, grand ami de Lucky Luke veut-il le sacrifier ? Si vous le savez, merci de me le faire savoir.

La partie avec le duel entre Lucky Luke et le sorcier des Indiens a tout d’un dessin animé et c’est pauvre scénaristiquement parlant.

La parodie du procès de Fingers reste amusante, on y retrouve l’absurdité qui faisait le sel de l’album « Le juge » sans pour autant arriver à son niveau.

C’est parce que je prends soin de mes albums bédés, sinon, ce dernier aurait valsé par la fenêtre.

Je pensais que l’album du "Klondike" était pour le moment le moins bon avec les exécrables "Bandit Manchot" et "La Fiancée de Lucky Luke", et bien, ils ont trouvés un nouveau compagnon : Fingers !

Un tome qui ne m'a pas marqué même si c'est toujours un plaisir de retrouver notre héros.

Voilà un tome intéressant... Il contient beaucoup d'humour où notre héros se retrouve même à deux doigts de la prison... Un bon scénariste...

Mon tome préféré... et l’un des premiers que j’ai lu... j’aime beaucoup le personnage de Finger, car il assez drôle...