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Lune froide sur Babylon



Description ajoutée par Mykado 2024-09-12T02:22:51+02:00

Résumé

À l’aube des années 1980, Babylon est une ville de Floride comme les autres, avec sa chaleur humide et ses pom-pom girls, ses rumeurs et ses superstitions, ses serpents venimeux et ses décès soudains. Mais Babylon abrite aussi une rivière ancienne et sinueuse, l’un des affluents de la Perdido : le Styx. Un cours d’eau au passé trouble qui a déjà marqué la famille Larkin d’un sceau funeste.

Alors quand la jeune Margaret Larkin se volatilise, c’est comme si la rivière se mettait à couler à l’envers, et que l’âme des morts souhaitait dévorer l’esprit des vivants. Et tandis que remonte à la surface ce qui n’aurait jamais dû se noyer, une étrange lune se lève au-dessus de la ville, immense et froide, dont la lumière blafarde envahit tout et aveugle victime comme meurtrier, les déchus de Babylon.

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Classement en biblio - 98 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par CrimsonMoon 2025-01-20T00:04:27+01:00

"Dans l'ombre d'un pont, appuyée contre un petit tas de galets et d'une pâleur éclatante, se trouvait Spoiler(cliquez pour révéler)la tête coupée de Jerry Larkin. La lumière renvoyée par le gravier blanc illuminait ses yeux vitreux. De grosses fourmis noires entraient et sortaient par sa bouche béante".

Partie VI : Les Morts sans Cercueils - Chapitre 34 (P.298)]

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par CrimsonMoon 2025-01-20T00:10:16+01:00
En train de lire

Un récit haletant, qui aux fils des pages m'a totalement accrochée. Une affaire de meurtres finit par ouvrir la gueule béante du Styx, fleuve des enfers, à Babylon, et à réveiller les morts pour une dance macabre.

Les personnages sont intrigants de lâchetés, d'avidités et de défauts. Alors que je passe à ce qu'il m'a semblait être une affaire judiciaire épineuse menée par une vieille dame en quête de vérité et de vengeance, cela se change en histoire de fantôme à cheval entre la folie et le fantastique !

J'ai apprécié les passages si cruelles aux premiers abords, mais troublant de réalité, lorsque les habitants de la villes s'extasient devant des récits macabres (le vieux commère, la jeune Belinda et sa photo au cimetière).

Pire encore, des garants de la loi et de la paix, comme l'avocat Charles, ou le Shériff Hale, finissent par tourner le dos à leurs responsabilité. L'un est attiré par l'appât du gain, et l'autre espère que l'affaire se résoudra d'elle même.

C'est tellement rageant pour la lectrice que je suis, que je finis par presque comprendre le fil de l'histoire, et laisse les morts régler cette situation. Et c'était un peu comme une destination finale enivrante !

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Commentaire ajouté par Dwargon 2024-12-29T11:19:30+01:00
Or

Dès les premières pages, Michael McDowell nous plonge dans une scène chargée de tension. Naviguant sur la rivière Styx, Jim et Jo-Ann Larkin découvrent un sac en toile de jute flottant à la surface. Lorsqu'ils le ramènent à bord, une menace inattendue surgit, bouleversant leur tranquillité. Cette scène d’ouverture, riche en tension et en symbolisme macabre, pose d’emblée les bases d’une atmosphère oppressante qui captivera le lecteur.

Le style d’écriture de Michael McDowell est direct et immersif. Ses descriptions sombres et saisissantes, comme celles de la rivière Styx, créent une atmosphère oppressante. Les chapitres courts, mêlant thriller et fantastique, maintiennent un rythme captivant et rappellent l’univers de Stephen King.

L'histoire est soigneusement construite, offrant une progression narrative rythmée et pleine de surprises. Chaque chapitre apporte son lot de mystères et de tensions, maintenant une attention constante chez le lecteur. Les rebondissements, judicieusement insérés, apportent une dimension imprévisible au récit, transformant ce roman en une expérience immersive. Cette structure fait que l'on passe d'un événement inattendu à un autre avec un plaisir renouvelé, ce qui rend le livre quasiment impossible à poser une fois entamé.

Les personnages sont variés et bien développés, chacun apportant une dimension particulière au récit. Evelyn Larkin, la matriarche de la famille, incarne la résilience et la force, tandis que Jerry, son petit-fils, impressionne par son dévouement envers sa famille. Ces personnages attachants contrastent avec des figures plus ambiguës ou antagonistes, ajoutant une tension captivante et une profondeur à l'intrigue.

Dans Lune froide, Michael McDowell explore plusieurs thèmes centraux : l'injustice et la vengeance, qui alimentent l'intrigue en exposant les inégalités sociales et les frustrations qui en découlent. Ces idées sont renforcées par une ambiance sombre et oppressante, évoquant l'horreur gothique et rappelant certains romans de Stephen King. Le récit mêle également des éléments surnaturels et symboliques, comme la lune froide et la rivière Styx, pour approfondir les thèmes de la fatalité et du deuil. Ce mélange donne une dimension émotionnelle et immersive au roman, tout en offrant une critique sociale subtile.

Les moments d'horreur dans Lune froide sont particulièrement bien travaillés. Michael McDowell parvient à instaurer une tension croissante et palpable à travers des descriptions précises et une montée en intensité progressive. Loin de verser dans l'excès, ces scènes offrent des frissons qui touchent autant le psychologique que le sensoriel. Ce roman séduira les lecteurs qui apprécient une horreur subtile, où la peur s'infiltre lentement mais sûrement, laissant une impression durable.

L'un des aspects qui pourrait être amélioré est l'approfondissement de l'enquête policière. Les actions des forces de l'ordre sont traitées de manière succincte, laissant parfois les déductions paraître précipitées. En développant davantage ce pan de l'histoire, le roman aurait gagné en tension et en complexité, renforçant l'impact de l'intrigue principale.

Ce roman rappelle Blackwater, une autre œuvre emblématique de Michael McDowell, notamment par son exploration du surnaturel et son atmosphère immersive. L’écriture et les thèmes abordés — comme la décadence sociale et les tensions psychologiques — évoquent également l’univers de Stephen King, en particulier dans leur capacité commune à mêler horreur et humanité.

Je recommande vivement Lune froide à tous les lecteurs qui apprécient les romans d'horreur empreints d'une ambiance lourde et captivante. Pour moi, c'est le meilleur livre de Michael McDowell : une œuvre magistrale qui mêle à la fois tension, émotion et une critique sociale subtile. C'est une histoire marquante qui reste en tête bien après avoir tourné la dernière page.

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Commentaire ajouté par Myl99 2024-12-26T13:45:56+01:00
Or

J'ai découvert cet auteur avec Blackwater, dont j'étais ressortie plutôt déçue. Mais Les aiguilles d'or et Lune froide sur Babylon m'ont réconciliée avec M. McDowell

J'ai bien aimé ce récit qui se lit vite et qui nous embarque dans son histoire maléfique ! Jai bien aimé retrouver le thème de la rivière, pregnant dans BlackWater et également dans ce roman-ci

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Commentaire ajouté par Al_reading 2024-12-22T11:43:56+01:00
Or

Ce roman est très bien écrit, et on est addict à l'histoire. En tout cas pour ma part. En effet j'ai lu plusieurs livres de cet auteur, le dernier était ''les aiguilles d'or'' mais je n'avais pas accroché, pas trop dans mon style surtout après avoir lu Katie . Mais celui-ci s'en rapproche avec les meurtres, le suspens .... Je ne voulais pas quitter l'histoire et j'ai tout fait pour ne pas le finir en peu de temps car je l'avoue j'ai beaucoup aimé. Je le recommande.

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Commentaire ajouté par mimidu0960 2024-12-06T17:18:46+01:00
Bronze

L'auteur excelle dans la construction d'une tension palpable et l'exploration des tourments humains et surnaturels.

Cependant, bien que le suspense soit efficace, ce roman est pour moi le moins appréciable parmi les œuvres de McDowell. Là où d'autres de ses livres brillent par une intensité dramatique ou des rebondissements captivants, celui-ci souffre d'un léger manque d'action. L'intrigue avance à un rythme maîtrisé mais parfois trop lent, ce qui peut frustrer ceux qui recherchent une montée en puissance plus marquée ou des scènes percutantes.

Cela dit, pour les amateurs de récits d'horreur atmosphérique et de vengeance surnaturelle, le livre reste incontournable. Même s'il n'est pas mon favori, il témoigne du talent unique de McDowell pour plonger ses lecteurs dans des récits sombres et inoubliables.

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Commentaire ajouté par Tara99 2024-11-26T14:49:45+01:00
Argent

Après avoir lu "Katie" cet été, je me suis lancée dans la nouvelle addition à la « bibliothèque MacDowell » des éditions Monsieur Toussaint Louverture, Lune froide sur Babylon.

Les prémisses brouillonnes de Blackwater

L’ambiance y est blackwateurienne, que ce soit au niveau de la toponymie (on y retrouve des endroits mentionnés dans Blackwater comme la Perdido) ou de la thématique (Spoiler(cliquez pour révéler)des créatures aquatiques vengeresses).

Cependant, la rivière n’est ni aussi effrayante, ni aussi fascinante que dans Blackwater : qu’il s’agisse de la disparition de Jo-Anne Larkin et son mari dans le premier chapitre ou de Spoiler(cliquez pour révéler)l’assassinat de Margaret dans la rivière, les scènes ne sont pas aussi impactantes que dans BW.

Un style horrifique hilarant

Si le style se veut horrifique, force est de constater que l’horreur ne fonctionne pas vraiment : je défie quiconque de ressentir de la peur en lisant ce roman.

Pour autant, on retrouve un trait macdowellien qui sera très présent dans « Beetlejuice » : la parodie horrifique. On ne peut en effet s’empêcher de rire lors des scènes où le tueur fait ses apparitions en pantalon noir sans chemise (et l’auteur insiste sur son torse poilu) derrière un masque en cuir avec fermeture éclair.

La scène dans le cimetière où les cercueils explosent est également écrite dans la même veine.

Il y a un côté très visuel, presque cinématographique dans ces représentations outrancières de ce qui tourne autour de la mort, qui préfigure le succès du scénario de « Beetlejuice ».

Une dénonciation en filigrane de l’Amérique des années 80

La corruption est de mise à Babylon et est personnifiée par Spoiler(cliquez pour révéler)l’avocat véreux, complice des manigances de Redfield pour s’approprier les terres des Larkin riches en pétrole (à nouveau on retrouve un canvas très blackwateurien).

Ségrégation raciale et homophobie font également la paire. Avec les Noirs qui sont relégués aux confins de la ville dans des barraques en bois et contraints de travailler pour les Blancs (comme le personnage de Nina, la bonne des Redfield) et les médisances sur Nathan car il n’est pas marié se dessine le portrait d’une Amérique hostile.

Cette dénonciation plutôt subtile ancre profondément le roman dans le réel, et ce alors même que les symboles (à travers des noms mythologiques ou bibliques) et le surnaturel prennent à d’autres moments le dessus (à l’instar de ses autres romans). C’est comme si Michael McDowell voulait nous démontrer la coexistence inévitable dans notre monde des deux concepts, pourtant antinomiques.

Une foison de personnages peu développés

Il est regrettable, comme souvent chez McDowell, que les personnages ne soient pas plus développés dans leur psychologie et leurs motivations. C’est d’autant plus frustrant qu’il est aisé de percevoir à quel point les personnages auraient été intéressants. Prenons le personnage de Belinda. Une lycéenne qui cumule son activité de pom-pom girl avec son emploi comme aide-soignante chez les Redfield et qui entretient une relation intime avec l’un des fils. Ou encore la principale du lycée adepte de cartomancie, ou les scouts engagés pour la cueillette des myrtilles. On a envie d’en savoir plus sur ces personnages, et McDowell ne fait qu’effleurer leur surface, c’est dommage !

Une description des lieux en mode nature writing

On ne peut que saluer le talent de McDowell pour décrire les lieux, que ce soit les paysages (ici la rivière et la forêt) ou la ville de Babylon. Les passages les plus remarquables sont sans nul doute ceux où la nature devient la principale protagoniste : le courant de la Styx qui bouillonne, le silence des bois… Les changements de luminosité sont également extrêmement bien décrits.

Un genre littéraire peu adapté

Finalement l’on en vient à s’interroger sur le choix du genre littéraire pour narrer cette histoire : les ressources et le potentiel qu’offre le genre romanesque étant malheureusement complètement sous-exploités, on regrette presque que l’auteur n’en ait pas tiré une nouvelle plutôt qu’un roman.

A cet égard, la nouvelle Miss Mack (offerte par l’éditeur avec l’achat de Lune froide sur Babylon) est bien plus réussie : on y retrouve plusieurs thèmes de LFSB (la forêt, la perte de repères spatio-temporels) et on ne tient pas rigueur à l’auteur de ne pas avoir su développer ses personnages puisqu’il faut faire court.

En conclusion, il y a à boire et à manger dans ce bouquin : d’un côté l’absence de personnages bien campés et le déroulement de l’histoire font que le lecteur reste sur sa faim, de l’autre il force l’admiration pour la capacité de l’auteur à évoquer une ambiance et à mobiliser des ressorts comiques du genre horrifique.

Peut-être que ce n’est pas par hasard que les éditions MTL ont choisi de le faire paraitre en milieu de cycle McDowell : pas assez accrocheur comme Blackwater pour fidéliser un lectorat ni aussi drolatique que les Elémentaires, qui devrait clore la réédition des ouvrages de McDowell en 2026.

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Commentaire ajouté par Florian-7 2024-11-19T10:02:33+01:00
Diamant

Ce livre est encore une merveilleuse pépite !

Cet auteur est vraiment incroyable, il fait désormais parti de mes auteurs préférés, presque au même rang que Stephen King, on sent que c'est dans la même veine, ils se sont bien trouvés tous deux en tant qu'amis. C'est bien dommage qu'il soit décédé, car cela aurait pu sortir des œuvres absolument phénoménales de nos jours. En voyant déjà le succès qu'il a à titre posthume, imaginez s'il était encore vivant...

Ce livre m'a vraiment fichu la trouilles au moins 2 fois, au point de sursauter. L'ambiance est pesante, terriblement bien travaillée, l'horreur est presque omniprésente et ce livre se classerai bien dans ce thème pour ce qui me concerne.

J'ai eu l'impression de lire jn chair de poule que je lisais plus jeune, mais beaucoup plus travaillé et bien plus approfondi, plus flippant, gore et sordide.

Les personnages sont tous vraiment bien travaillés, il y a aussi plein de cadavres ambulants, et cette rivière, la Styx, qui rappelle forcément la Perdido et la Blackwateur de la saga du même nom que cette dernière, se pare d'une ambiance et d'une malveillance absolument exquise qui nous fait flipper à chaque fois que les personnages s'en approchent.

Vraiment, un livre absolument incroyable, palpitant du début à la fin, sans temps morts, sans longueurs, tout en action et en retournements de situation.

Michael McDowell mérite amplement sa réputation récente en France et mérite également tout le travail merveilleux et sublime qu'effectue avec brio la maison d'édition Monsieur Toussain Louverture.

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Commentaire ajouté par TiyiReader 2024-11-18T11:13:10+01:00
Bronze

Ce fut avec un empressement que je me suis plongée dans ce « nouveau » roman (qui a été écrit en 1980) publié par les éditions Monsieur Toussaint Louverture … que dire encore une fois de la magnifique illustration ! De mon expérience personnelle, il est rare que je m’attarde sur une belle couverture, bien au contraire, je m’en méfie..Mais pas ici non ! Elle va de paire avec l’œuvre. Cela mérite d’être souligné. Je suis définitivement conquise par son écriture, son univers dans lequel il parvient à disséminer de l’épouvante, du surnaturel, mais le tout avec un bel réaliste hypnotique. On ne peut qu’être d’autant plus attentif,harponné si nous avons déjà lu la saga Blackwater, lorsqu’on peut lire le nom « Perdito ». L’auteur a, un lien assez particulier avec les rivières.

On retrouve certainement dans cet œuvre, l’embryon de cette saga épique ? Qui fut écrit quant à elle en 1983. Néanmoins, au-delà du talent incontestable, on peut en sortir pas totalement satisfait de cette histoire. Le début nous prend littéralement, l’ambiance mystérieuse nous imprègne comme l’eau de la rivière..Mais l’enchaînement et surtout le focus que l’on fait sur Nathan, nous fait perdre en intérêt. Quel dommage ! Certains personnages ont peut être été négligé, et l’action manquait parfois, un peu de travail en profondeur. Néanmoins et cela, doit faire parti du charisme et le talent que l’auteur je recommande malgré tout cette lecture !

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Commentaire ajouté par josarag 2024-11-08T10:35:59+01:00
Or

Encore un très bon cru! Comme d'habitude avec les éditions Monsieur Toussaint Louverture, l'objet est magnifique, et cela rend la lecture encore plus agréable.

Amateur de fantastique horrifique, ce livre est définitivement fait pour vous. On y retrouve tous les ingrédients d'une bonne lecture du genre : la cruauté, les fantômes vengeurs effrayants et dégoulinants à souhait, les personnages à la moralité plus que douteuse.

Bizarrement, j'ai eu un peu plus de mal à entrer dans le roman, et j'ai trouvé quelques répétitions, mais je pense que je n'étais pas tout à fait dans le bon état d'esprit en commençant ce livre.

J'en garderai toutefois un très bon souvenir de lecture.

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Commentaire ajouté par MaitreMuseau 2024-11-06T16:30:34+01:00
Or

Encore un superbe roman ! On y retrouve les thèmes chers à l'auteur, l'eau, le pétrole, l'avidité et les fantômes... Le tout projeté sur des personnages magnifiquement bien écrits. On monte sans cesse dans la tension et l'horreur dans ce roman de vengeance, et il est difficile de s'arrêter de le lire ! Après avoir lu Blackwater, je suis ravie de retrouver l'univers de Michael McDowell pour une nouvelle histoire sombre et haletante.

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