Commentaires de livres faits par Luniversdeslivres85
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Commentaires de livres appréciés par Luniversdeslivres85
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Elle avait l'air gênée et triste en même temps. J'ai explosé de rire et fait un pas en arrière lorsqu'elle a laisser tomber ses mains. Elle avait dû reprendre un peu ses esprits car elle s'est mise à trembler. J'ai soupiré et ai ouvert la fermeture de mon sweat-shirt pour pouvoir le lui donner. Elle m'a regardé sans rien dire, pendant une seconde, puis elle l'a pris.
- Saint, tu peux m'attaquer avec n'importe quelle partie de ton corps quand tu veux. Je ne m'en plaindrai pas... Jamais.
(~Nash-Saint~)
[Même par sms, il faut que tu m'appelles par mon nom de famille...]
[J'aime bien t'appeler comme ça.]
[Parce que ça m'énerve ?]
[Entre autres. Aussi parce que ça me rappelle qu'on ne porte pas le même nom, toi et moi...]
J'écarquille les yeux en réalisant que c'est la vrai raison. Le fait que nous n'ayons pas le même patronyme rend notre relation moins...scandaleuse, interdite. Et cette attention de sa part, même dissimulée, me donne une envie folle de l'embrasser. Je dois cependant me contenter d'un énième texto :
[Je n'avais pas réalisé... J'aime beaucoup (passionnément) cette idée, Quinn <3 ]
Son regard s'est adouci, il me sourit enfin et une nuée de papillons s'envole au creux de mon estomac. Foutue fossette.
(Tristan & Liv)
- Comment va ma colocataire préférée ?
- Elle va très bien ! Et mon colocataire préféré, comment se porte-t-il ?
- Comme un charme, dit-il dans un sourire.
- Et moi, je ne suis pas votre préféré ? s'enquiert Cameron avec un ton théâtral.
- Non ! nous lâchons en même temps.
- Qu'est-ce qui s'est passé samedi ?
- Je ne sais pas. Je suis désolée. Mais tu étais...tu m'énervais et je ne voulais pas que tu achètes de la drogue alors je...je l'ai fait, voilà. Je ne voulais pas. Je suis désolée, d'accord ? C'est trop bizarre, je me sens mal... On n'a qu'à faire comme s'il ne s'était rien passé.
Il s'humecte les lèvres.
- J'aimerais pouvoir en dire autant.
- Quoi ?
Je me sens un peu mieux maintenant que j'ai vidé mon sac. Jusqu'à ce que je lui découvre une expression que je n'avais jamais vue. De nouveau, mon corps entier s'enflamme. Exactement comme samedi.
- Je t'ai embrassé aussi, dit-il. Je ne compte pas m'excuser.
- Pourquoi ?
Il semble hésiter. Malgré ses yeux apaisés, son ton est tranchant.
- Parce que je savais très bien ce que je faisais.
- Alors pourquoi tu l'as fait ?
Je chuchote. Toutes mes entrailles se nouent.
- Parce que je le voulais trop.
Il se détourne, une main appuyé sur le mur.
Je me sens de plus en plus mal.
-Tu le voulais ? Mais qu'est-ce que tu racontes ?
- Tu veux savoir la vérité ? (J'acquiesce mais il ne me voit pas. Il baisse la tête.) Ce que je veux dire, Eden, c'est que tu m'attires, tu piges ? (Il fait volte-face, et dans ses yeux naît une nouvelle tempête venue des profondeurs.) Et je sais que je ne devrais pas, parce que tu es ma foutue demi-soeur, mais je ne peux pas m'en empêcher. C'est débile et je sais que tu ne ressens pas la même chose, parce que tu t'excuses pour samedi, merde ! J'aurais vraiment voulu que tu ne t'excuses pas, ajoute-t-il en baissant les yeux. Ça veut dire que tu regrettes.
(~Tyler-Eden~)
- Encore une chose, dit Tyler, soudain enthousiaste.
De sa poche, il sort un marqueur noir.
- Pas d'objection, conclut-il.
Impatiente, je pose mon pied sur le mur. Au début, je crois qu'il va écrire des paroles de chansons, comme sur mon ancienne paire. Il observe la Converse neuve avec attention et trouve un endroit sur le caoutchouc. Une fois qu'il a terminé, il se recule pour voir ma réaction.
Ce ne sont pas des paroles, mais trois mots, dans son écriture peu soignée. Trois mots en espagnol : No te Rindas.
Il anticipe ma question.
- Ça veut dire "n'abandonne pas". C'est simple : si tu n'abandonnes pas, je n'abandonnerai pas non plus.
- Je ne sais pas quoi dire.
Je n'arrive pas à le regarder. N'abandonne pas. Qu'est-ce que ça veut dire exactement ? Il veut qu'on essaye à nouveau ? Il veut que je le choisisse ?
(~Tyler-Eden~)
- Idem, soufflé-je doucement.
(Tristan & Liv)
- J'ai cru que tu ne me le demanderais jamais, grogne-t-il.
(Tristan & Liv)
- Je le sais... Mais je suis moins sûr du contraire, lâche-t-il d'une voix profonde, en me fixant intensément.
(Tristan & Liv)
La. Bonne. Personne.
- Pour les jumeaux, je ne sais pas, mais la gynécologue nous voit déjà mariés ! lancé-je à Tristan quand je le retrouve sur le banc.
- Dans tes rêves, Sawyer !
- Fais gaffe, Quinn, je peux encore changer d'avis !
- Je n'ai rien dit...
Il lève les deux mains en l'air pour preuve de son innocence, mais m'offre son irrésistible sourire coupable. Je balance un petit coup de pied sous sa chaussure, par principe, puis vais m'écrouler à côté de lui sur le banc, au creux de son épaule, soulagée que l'épreuve soit terminée. Tristan regarde furtivement autour de lui, retire ma casquette et s'en sert pour cacher nos visages, avant de m'embrasser, à l'abri des regards.
Et merde. Si je ne nous connaissais pas, je dirais que Kévin et Britney sont amoureux.
-Un mètre, hein ?
Je glissai de mon fauteuil et, à quatres pattes, allai me planter devant lui. Je le sentis se raidir quand mes mains se posèrent de part et d'autre de ses cuisses pour me pencher, et m'arrêter a quelques centimètres de sa bouche.
- T'en es si sur que ça ? Murmurai-je.
Il déglutit et d'un ton très calme, répondit :
- Arrête tout de suite ton petit jeu. Je sais très bien que te toucher serait poser le doigt sur la gâchette d'un pistolet chargé.
- Alors n'appuie pas sur la détente, soufflai-je, mes lèvres effleurant presque les siennes.
Il n'avanca pas, ne recula pas non plus, se detendit même, comme s'il s'habituait a cette proximité et la trouvait confortable.
- Je n'appuierai pas.
(~Taylor&Falyn~)
Il lève la tête vers moi, les yeux étincelants, une esquisse de sourire aux lèvres.
- Qu'est-ce qui peut marcher, Eden ?
Sa proximité me fait tourner la tête. Il sait exactement de quoi je parle, il veut me l'entendre dire.
Et c'est si facile a dire, puisque pour une fois, cette pensée ne me rend pas nerveuse et ne m'effraie pas. En fait, elle m'excite.
- Nous.
(~Tyler-Eden~)
(Salem~Rowdy)
Sa voix rauque me fait frémir. Je souris avant de me perdre dans ses yeux limpides.
- Si tu savais comme je t'aime, Liv Sawyer...
" De toute façon, la plupart des mecs ne seraient pas jugés acceptables par le gang des tatoueurs. Ils sont cent fois pires qu'un père avec un fusil de chasse."
- Je me sens ridicule, dit-il en se regardant dans le miroir.
Moi, je le trouve juste parfait...
- Qu'est-ce que tu en penses ?
Il se retourne brusquement vers moi.
- Je dirais que... ça te va très bien...
- Hé, qu'est-ce qu'il y a ? Tu es toute rouge.
Il effleure ma joue bouillante.
- Rien, je fais ton nœud de cravate, pour qu'on voie si ça va.
Il prend ma tête entres ses mains et continue de sourire, l'air amusé.
- Cam... Je t'en prie...
Je m'écrase encore plus contre le mur, les yeux baissés pour ne pas voir ses lèvres et ses yeux.
- Chut !... murmure-t-il.
Il fait glisser l'index le long de ma joue jusqu'au menton, qu'il relève lentement pour croiser mon regard.
Ses lèvres sont comme des aimants ; je ne peux m'empêcher de les regarder tandis qu'il se les mordille avant d'approcher son visage du mien.
- Laisse-toi aller, mon cœur. Je sais que je te manque. Arrête de feindre que tu n'en as rien à faire de moi.
Dès que nos lèvres se touchent, je perds le contrôle de moi-même.
Nos bouches se cherchent ; notre respiration devient saccadée, nos baisers sont de plus en plus intenses. Tout serait parfait si nous n'étions pas enfermés dans une cabine d'essayage...
- Mon cœur, chuchote-t-il, tu m'as manqué.
Je lâche, à bout de souffle :
- Je déteste avoir autant envie de toi.
- Bientôt, tu ne détesteras plus cela, je te le promets, dit-il en déposant un petit baiser sur mon front.
- Tu es fou !
- Oui, fou de toi.
- Au combat ?
- Avec toutes ces peintures de guerre.
- Seriez-vous en train de m'insulter ?
- Viens, "sauveuse" de minous ! ricane le sale gosse en m'attrapant par la main.
Tandis qu'il pose le chaton sur l'îlot de la cuisine et le frotte dans une serviette chaude, je reste dans l'entrée et me débarrasse de ma robe qui pèse une tonne. D'où il est, je sais qu'il peut me voir. Il prétend ne pas me regarder, mais son sourire en coin le trahit et je le surprends à deux reprises en train de me mater.
(Tristan & Liv)
Sa voix rauque, brisée, me bouleverse. Et ses yeux. Ils sont plongés dans les miens avec une émotions si crue, si sincère. J'ai tout le mal du monde à lui répondre sans pleurer, mais j'y parviens. En lui murmurant :
- Et je t'aime comme une dingue. Je crois qu'on est condamnés, toi et moi. À s'aimer. Malgré tout...
Nos verres s'entrechoquent et se renversent sur la table lorsqu'il plonge en avant pour m'embrasser brusquement. Éperdument.
(Tristan & Liv)
- Rephaïm, tu es mon fils. Tu seras toujours mon fils. Pardonne moi ma colère et ma bêtise.
- Tu me pardonnes, dit-il d'une voix tremblante.
-Oui.
-Tu m'aimes.
- Je t'aime, et je t'ai toujours aimé.
Il prit sa main dans la sienne, mais ne se releva pas.
- Nyx, déesse de la Nuit, je me donne à toi corps, coeur et âme, et te promets de t'aimer et de te protéger. Je te supplie d'accepter mon serment de combattant.
- Je l'accepte avec joie. Ce serment te liera à moi pour l'éternité.
Pendant qu'elle parlait, l'air autour de Kalona se mit à miroiter. Du pouvoir se déversa sur ses ailes noir de jais, qui prirent la couleur blanche et lumineuse de la pleine lune.
Riant joyeusement, il se leva et, juste avant que le rideau de l'Au-delà ne se referme, il prit la déesse dans ses bras et se perdit dans son baiser de bienvenue.
Il se pencha vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. Il pesait de tout son poids contre moi et sentant nos deux corps, soudain pressés l'un contre l'autre à divers endroits stratégiques, il me fallut déployer des trésors de volonté pour me reculer.
- C'est faux, je réplique dans un sourire. Tu n'es pas tombé quand tu m'as vue !
Il s'exécute sur le champs, s'écroulant littéralement à mes pieds. Mon coeur ne manque pas un mais plusieurs battements et j'entends alors les éclats de rire de notre entourage plus qu'amusé.
- Cette fois-ci, je peux le dire : Tu es complètement renversante, Liliana Wilson.