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— J’attends des livres.

— Et peut-être qu’un Arum t’attend toi pour te tuer ! ripostai-je.

Mais Kat savait que j’avais parcouru l’État en long, en large et en travers sans trouver trace de nos ennemis.

— Tu es là, je ne risque rien, fit-elle.

— Oui, mais mieux vaut prévenir que guérir.

Lorsque j’ouvris sa portière, elle leva les yeux au ciel.

— Tu es vraiment pénible, grinçai-je sans desserrer les dents.

Elle dressa le majeur et se gratta la joue. Je haussai les sourcils.

— Très élégant, Kitten.

Elle m’adressa un sourire avant de tourner les talons. Trop occupé à reluquer ses fesses moulées dans son jean délavé, je ne la vis pas sauter à pieds joints dans une flaque d’eau de la taille du lac Michigan, m’éclaboussant de boue au passage.

— Tu as quel âge ? grondai-je.

Elle haussa les épaules sans se retourner, avant de monter la volée de marches qui menaient à la poste. J’entrai à sa suite et l’attendis près de la porte.

— Yesss ! s’exclama-t-elle.

Alors qu’elle ouvrait son casier de poste restante, son visage s’illumina. Elle rattrapa la brassée de petits colis jaunes qui avaient manqué tomber et les serra tendrement contre elle.

Trop mignonne. Elle referma la boîte d’un coup d’épaule et réussit à la verrouiller sans faire tomber ses précieux paquets. Nos regards se croisèrent quelques secondes. Ses joues prirent une charmante teinte rosée et elle baissa les paupières. Quand elle sortit, je lui emboîtai le pas. Évidemment, elle m’éclaboussa une nouvelle fois. Je bondis sur le côté mais… trop tard. Cette fois, j’étais trempé.

— Bordel, Kitten !

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— Étant donné que je sais qui vous êtes, je vous mets tous en danger. Tu pourrais très bien… me mettre le feu et Dieu sait quoi d’autre.

Je n’en croyais pas mes oreilles. Je sais que je m’étais comporté

comme un connard avec elle, mais quand même ! Elle devait sentir ce qui se passait entre nous. Bordel ! Peut-être que non, finalement. Peut-

être que j’étais tellement doué pour jouer les salauds qu’elle n’avait aucune idée de ce que je ressentais pour elle. Fallait-il que je le lui avoue ? Que je lui dise que sa seule présence me donnait envie de sourire ? Que depuis qu’elle avait emménagé à côté de chez moi, j’étais plus heureux que je ne l’avais été depuis des années ? Devais-je lui expliquer que j’admirais son insolence et son sens de la repartie, sa façon de défendre son point de vue coûte que coûte, surtout contre moi et mes conneries ? Une chaleur se répandait dans ma poitrine, que j’étouffai aussitôt.

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Extrait ajouté par LosUnivers 2019-07-20T09:38:52+02:00

Kat se dressa sur la pointe des pieds et posa les mains sur mon torse. Je penchai la tête vers elle. Nos lèvres s’effleurèrent ; nos cœurs battaient à l’unisson.

À ce moment la porte de chez moi s’ouvrit à la volée et Dawson cria :

-Hé ! Je crois que Dee a encore mis le feu au micro-ondes ! Et j’ai essayé de faire du pop-corn avec mes mains, mais ça a raté… Genre, c’est une catastrophe.

Je posai mon front contre celui de Kat en grognant.

-Et merde.

Kat éclata de rire.

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Extrait ajouté par LosUnivers 2019-07-20T09:38:12+02:00

-Dis-le moi, murmurai-je.

-Quoi ? demanda-t-elle.

-Ce que tu m’as dit tout à l’heure.

Les battements de son cœur s’accélérèrent dans sa poitrine. Elle se pencha en avant jusqu’à ce que nos nez se touchent.

-Je t’aime, chuchota-t-elle.

Je passai ma main derrière sa tête et l’attirai à moi pour l’embrasser. J’avais envie de la faire basculer dans le lit et d’oublier le lycée et tout le reste.

-C’est tout ce que j’aurai toujours besoin d’entendre.

-Ces trois petits mots ?

-Rien que ces trois mots.

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Extrait ajouté par LosUnivers 2019-07-20T09:37:05+02:00

-Daemon…

-Réponds-moi ! aboyai-je.

Elle leva les mains au ciel.

-Très bien. Oui, j’ai des sentiments pour toi. Ce que tu as fait pour moi à Thanksgiving, ça m’a rendue…

Sa voix se brisa.

-Ca m’a rendue heureuse, reprit-elle. Tu m’as rendue heureuse. Oui, je tiens toujours à toi, OK ? J’ai des sentiments pour toi, mais je ne peux pas mettre des mots dessus parce que tout me paraît bien fade en comparaison. Je t’ai toujours désiré, même quand je te détestais. Je te voulais alors que tu me rendais dingue. Je sais que j’ai tout gâché. Pas seulement pour toi et moi. Pour Dee aussi.

Elle s’étouffa sur un sanglot, mais continua de parler.

-Je n’ai encore jamais ressenti ça pour personne. Chaque fois que tu es près de moi, j’ai l’impression de tomber, de ne plus pouvoir respirer, je me sens vivante… je ne me contente pas de regarder ma vie passer. Personne ne me fait sentir comme ça.

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Extrait ajouté par Carole94P 2016-01-02T20:10:04+01:00

"You're perfect for me," I whispered in my own language.

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Extrait ajouté par anonyme 2015-04-03T14:23:34+02:00

"So..." I drew the word, turning my cheek to hide my grin when she sighed. "How's your blog going ? Still talking about cats or something ?"

"Cats ? I don't talk about cats. I talk about books."

I totally knew that. "Huh. I thought you spent all the time on the Internet talking about cats."

"Whatever."

"It makes sense." I looked at her then.

Her gray eyes narrowed. "I cannot wait to hear this explanation. And if can't tell, that was sarcasm."

"I thought it sounded like excitement, but anyway, spending all day on the internet talking about cats is kind of like preparing to become the crazy cat lady when you're older."

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Extrait ajouté par LosUnivers 2019-07-20T09:38:39+02:00

Je mis le moteur en marche et m’engageai dans l’allée en évitant les plaques de verglas, avant de m’expliquer :

-Règle numéro un : interdiction de parler à la Défense.

Je lui jetai un regard en coin et vis qu’elle luttait pour ne pas sourire jusqu’aux oreilles.

-D’accord.

-Règle numéro deux : on ne parle pas non plus de Dawson, ni de Will. Et règle numéro trois : on se concentre sur moi, parce que je suis formidable.

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Extrait ajouté par LosUnivers 2019-07-20T09:36:34+02:00

-De l’aérobic pendant… une heure ou deux devrait faire l’affaire. (Ma proposition était sérieuse, mais mes yeux se posèrent sur son tee-shirt et j’eus soudain envie de tout autre chose.) Tu ferais peut-être mieux de te changer.

Dis non, s’il te plaît, ne va surtout pas te changer.

Elle prit une brève inspiration.

-Je refuse de sauter dans tous les sens pendant une heure.

Quel dommage ! Elle avait les joues rouges, signe qu’elle était en colère. Je ne pus m’empêcher de la provoquer encore un peu.

-Tu peux aussi courir dans la maison et monter et descendre les escaliers.

Je souris malicieusement avant d’ajouter :

-On peut aussi coucher ensemble. J’ai entendu dire que ça faisait dépenser beaucoup d’énergie.

Bouche bée, elle sembla avoir momentanément perdu l’usage de la parole. Mais elle ne tarda pas à le retrouver.

-Tu peux toujours rêver, mon pote. Même si tu étais le dernier… Hé ! Je ne peux même pas dire « le dernier homme sur Terre » !

-Kitten, murmurai-je, un peu vexé.

-Pas même si tu étais la dernière chose qui ressemble à un humain sur Terre. Compris ? Capiche ?

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Tournant la tête vers la droite, je laissai échapper un rire sombre en apercevant Simon en train de s'entraîner sur le terrain. Son casque sous le bras, il courait vers le centre de la pelouse où d'autres joueurs étaient regroupés. Je levai l'index et son casque tomba par terre. De surprise, il trébucha et s'écarta de son casque comme s'il s'agissait d'une vipère cornue. Spoiler(cliquez pour révéler)Ses coéquipiers éclatèrent de rire. Et moi, j'esquissai un sourire de triomphe. Oui, fallait vraiment que je travaille mon self-control.

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