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Extrait ajouté par Rayathea 2014-09-24T15:00:02+02:00

Des images avaient recommencé à affluer dans mon esprit. Nous deux. En sueur. Je me mordis les lèvres et fis de mon mieux pour ne pas laisser transparaître mon embarras. Malheureusement, à son air suffisant, je compris qu’il savait à quoi je pensais.

— Tu es une petite cochonne, Kitten.

Je clignai des paupières. Nie en bloc. Nie en bloc.

— Qu’est-ce que tu as dit ?

— Une cochonne, murmura-t-il d’une voix si basse que Dee ne pouvait pas l’avoir entendue. Tu es couverte de terre. Qu’est-ce que tu croyais que je voulais dire ?

— Rien, répondis-je en souhaitant de tout mon coeur qu’il recule. (Avoir Daemon aussi proche n’était pas vraiment rassurant.) Je suis en train de jardiner. On se salit forcément quand on fait ça.

Il eut un semblant de sourire.

— Il y a des manières beaucoup plus agréables de… se salir. Enfin, ce n’est pas comme si je comptais te les montrer un jour.

J’avais le sentiment qu’il avait de l’expérience en la matière. Mes joues s’empourprèrent, leur rougeur s’étendant à ma gorge.

— Je préférerais me rouler dans le purin plutôt que coucher avec toi.

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Extrait ajouté par Shaki 2012-07-31T12:02:16+02:00

Des pas lourds traversèrent la salle, la porte s’ouvrit soudain et j’étais face à un torse large, bronzé et très musclé. Un torse nu. Mon regard tomba et mon souffle se fit ... court. Son jeans pendait bas sur ses hanches, révélant une ligne de poils noirs sous son nombril et qui disparaissait sous la ceinture de son jeans.

Son ventre était plat. Parfait. Totalement touchable. Pas le genre de ventre auquel je m’attendais chez un garcon de dix-sept ans, âge que je me doutais qu’il avait, mais attention, je ne me plaignais pas. Je ne parlais pas non plus d’ailleurs. Je matais. Mon regard remontant finalement vers le nord, je remarquai des cils épais et noirs frôlant ses pommettes et cachant la couleur de ses yeux.

- Je peux t’aider?

Des lèvres pleines, embrassables, se baissèrent de mécontentement.

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Extrait ajouté par Rayathea 2014-09-24T14:59:34+02:00

— Tu as déjà entendu l’expression « Méfiez-vous de vos rêves, ils pourraient devenir réalité » ? C’en est l’illustration parfaite.

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Extrait ajouté par Kiiwako 2014-09-21T15:18:37+02:00

— Merci, marmonnai-je avant d’ajouter le plus bas possible : Crétin.

Il éclata d’un rire rauque.

— Ce n’est pas très distingué, Kittycat.

Je me retournai vivement.

— Ne m’appelle pas comme ça, rétorquai-je.

— C’est mieux que de traiter quelqu’un de crétin, non ? (Il s’éloigna de la porte.) C’était une visite intéressante. J’en garderai un bon souvenir.

OK. Ça suffisait.

— Tu sais quoi ? Tu as raison. Je n’aurais jamais dû t’appeler comme ça. « Crétin », c’est encore trop gentil pour toi, dis-je avec un sourire angélique. Tu es un connard.

— Un connard ? répéta-t-il. Comme c’est charmant.

Je lui fis un doigt d’honneur.

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— Pas question, rétorquai-je en le dévisageant. Pourquoi ? Donne-moi une seule bonne raison de ne pas être amie avec ta sœur !

Une seconde s’écoula. Sa mâchoire se crispa.

— Tu ne devrais pas être ici avec moi.

Les yeux grands ouverts, il inspira longuement et fit un pas en avant. Un vent chaud se leva tout à coup, soulevant les feuilles mortes et rabattant mes cheveux en arrière. Le souffle semblait venir de derrière Daemon, comme s’il était nourri par sa colère grandissante.

— Tu n’es pas comme nous. Tu n’as rien à voir avec nous. Dee mérite mieux que toi. Elle mérite des gens comme elle. Alors lâche-moi et laisse ma famille tranquille.

J’eus l’impression de me prendre une claque en pleine figure… en mille fois pire. Je m’étais attendu à encaisser, mais là, c’était le pompon. Ma respiration se bloqua dans ma gorge serrée. Reculant d’un pas, je refoulai mes larmes de déception.

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Daemon sourit. Mon Dieu, il me tapait sur les nerfs ! Deux choix s’offraient à moi : je pouvais rester ici à le regarder comme une idiote, ou me libérer. J’optai pour la deuxième solution. Mon plan était de me dégager le plus vite possible.

Je n’allai pas bien loin.

Autant se mesurer à un mur de brique. Seul un train de marchandises aurait pu le déloger. Son sourire s’élargit. Mon manque de succès semblait l’amuser.

— Connard, marmonnai-je.

Daemon éclata de rire.

— Quel vocabulaire ! Tu embrasses vraiment des garçons avec cette bouche ?

Le rouge me monta aux joues.

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Extrait ajouté par SoMiserable 2014-12-03T04:20:27+01:00

— Qu’est-ce que tu fais ici, Dee ?

Le rouge aux joues, elle s’assit sur un fauteuil à côté du grand lit.

— Je te regardais dormir.

Je grimaçai.

— Dis comme ça, c’est un peu inquiétant.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-09-14T00:04:05+02:00

— Désolée. Je ne m’attendais pas à entendre mon nom. (Je m’interrompis.) Il t’a appelée ?

— Oui. (Elle poussa son chariot avec dextérité pour l’éloigner du chemin d’un enfant qui faisait le fou entre les rayons étroits.) Je vous ai vues emménager, l’autre jour. J’avais l’intention de passer vous voir. Alors quand il m’a appris que tu étais ici, j’étais tellement excitée à l’idée de te rencontrer que je me suis précipitée vers toi. Il m’a dit à quoi tu ressemblais.

Je me doutais que sa description n’avait rien eu de flatteur.

Visiblement curieuse, elle me dévisagea avec intensité.

— Pour être franche, tu ne ressembles pas du tout à ce qu’il m’a dit, mais j’ai tout de suite su qui tu étais.

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- Salut, répondit Dee en appuyant son menton contre sa main. Qu'est-ce que tu fais ici ?

- J'avais faim, répondit-il d'une voix sèche. Ce n'est pas ici qu'on vient pour manger ?

Je fixais intensément le demi-hamburger et les frites qu'il me restait et les poussai dans mon assiette. Avec un peu de chance, j'arriverais à me fondre dans le décor rustique jusqu'à ce qu'il parte. En attendant, je me forçai à penser à autre chose : livres, émissions TV, films, Daemon, l'herbe au dehors...

- Enfin sauf toi qui viens sûrement ici pour jouer avec la nourriture.

Et merde. Je plaquai le plus grand sourire possible sur mon visage et me préparai à encaisser. Toutefois, à l'instant où je croisai son regard, je sentis mes résolutions vaciller. Il y avait une lueur d'espoir dans ses prunelles. On aurait dit qu'il savait à quoi j'étais en train de penser et qu'il me demandait de rentrer dans son jeu.

- Ouais, d'habitude ma mère m'emmène manger un Happy Meal, alors je suis un peu triste. Je n'ai pas eu ma surprise.

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Extrait ajouté par SoMiserable 2014-12-03T04:20:09+01:00

— Je sais à quoi tu penses. Je ne peux pas lire dans ton esprit, mais c’est écrit sur ton visage. Tu crois que je suis dangereux.

Et con… et très sexy. Mais il était hors de question que je l’admette.

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