Lux Atrée est un scribouilleur.

Quand il était petit, il aimait inventer des histoires pour sa fratrie, et ce pour une raison assez cocasse, mais chut, ça fera partie d’un roman alors il n’en dira pas plus.
Bien qu’aimant la lecture, ses aptitudes pour les sciences lui ont fait suivre un parcours scolaire qui n’a pas fait la part belle à la littérature.
Il a donc suivi un cursus scientifique puis il a trouvé un travail, il a fondé une famille et la vie s’est écoulée benoîtement.
Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais souvent la vie ressemble à une ornière, une de ces traces laissées par les tracteurs dans la boue meuble d’un champ :
La vie creuse à chacun un sillon de plus en plus profond dont il est est de moins en moins aisé de sortir et lorsqu’on a avancé assez loin, il faut un cahot bien fort pour changer d’ornière.
L’été dernier, il y a eu un cahot.
Bien sûr, il avait commencé à scribouiller quelques histoires il y a une dizaine d’années, d’abord sur un téléphone mobile puis sur un ordi.
Mais il écrivait de façon sporadique, dix minutes par ci, vingt minutes par là et à ce rythme les histoires qu’il se racontait risquaient fort de ne jamais se terminer.
L’été dernier donc, il s’est trouvé dans une situation qui lui a donné un peu de temps pour terminer la première partie d’une dilogie.
Trois mois après, B.I.A. Amazonia était né et depuis il cherche à le faire connaître, modestement, parce qu’il n’est qu’un scribouilleur.
Mais si vous êtes intéressés par la SF, la dystopie (mais pas nouvelle vague), les réflexions sur le devenir de l’humanité, l’aventure, vous pouvez vous faire une idée du roman en lisant ici même quelques citations, mais surtout sur Kobo ou Amazon qui permettent d’en lire des extraits plus importants : un chapitre et le début du deuxième sur Amazon.