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Commentaires de livres faits par Lyanaa

Extraits de livres par Lyanaa

Commentaires de livres appréciés par Lyanaa

Extraits de livres appréciés par Lyanaa

- Il arrivait même à transformer sa frêle silhouette en atout... C'était quelqu'un de libre, fier et distingué. Voilà pourquoi tant de gens étaient attirés par lui et voulaient se battre pour lui !
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- Imaginez un instant que sous votre adorable apparence sommeille un prince intrépide !
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- Ecoute ! Tu es la seule à pouvoir m'aider...
- Moi ?
- Je veux que tu prennes ma place !
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- Dis donc, Freya ! Tu t'es encore aventurée sur cette dangereuse falaise ?!
- Dé... désolée, Getty...
- Sous tes airs timides, tu caches bien ton jeu, hein ! Pas étonnant que certains t'appellent "le petit singe intrépide" !
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Ô toi, Etoile de l'Illusion ! Que ta fragile clarté éclaire cette nuit d'encre... car tes éclats, eux, sont sincères et vrais !
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Les loups détestent les métamorphes. Ces derniers ont la faculté de se transformer, comme nous, mais ils n’y sont pas obligés, et cette infime différence a suffi à les rendre presque humains, c’est-à-dire aussi corrompus et cupides qu’eux.
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« Mon loup est sur une île, et j’en habite une autre.
Il y est protégé, entouré de marais.
Des hommes assoiffés de sang ont envahi la mienne.
Ils l’opprimeraient s’il venait à eux.
Nous ne sommes pas semblables.

Loup, mon loup, je suis malade
D’avoir tellement besoin de toi. Tes trop rares visites
Rongent mon pauvre esprit, plus que les trop rares proies.
Nous ne sommes pas semblables.

Il est trop facile de briser ce qui jamais ne fut uni :
Notre chant, à nous deux.
Nous ne sommes pas semblables. »

Extrait de « Le Loup et le gardien »,
Le Livre d’Exeter, Xe siècle.
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Les dessins en étaient dans le style de l’époque, bien sûr, XIIe, XIIIe siècle aurait-elle supposé si on l’avait interrogée, peints de vives couleurs avec les codes de ce temps. Rien d’étonnant ni d’exceptionnel si ce n’était leur remarquable qualité et le talent de celui qui les avaient réalisés, non. Ce qui faisait courir dans son dos ce long frisson, c’était les créatures et les éléments de décoration qui ornaient ces pages, car ils n’avaient, eux, rien de commun avec le bestiaire fantastique habituel qui hantait les ouvrages de ce temps…
Ce n’était ni des dragons, ni des loups, ni des ours, des serpents ou des diablotins grimaçants, qui rampaient, glissaient, grouillaient sur le parchemin, comme prêts à dévorer les mots qui y étaient tracés, non. Mais des silhouettes autrement plus inquiétantes, des horreurs d’encre tentaculaires, dotées de plus de bouches, de crocs, de griffes et de pattes que n’en possédaient les êtres de ce monde…
Pas de rouge ou de couleurs criardes, pour les peindre. Celui qui les avait ainsi évoquées sur les pages n’avait utilisé que le noir, un noir pur, sans partage, qui semblait presque en traverser les feuillets, tranchait sur le foisonnement des autres couleurs, semblait, à chaque page, sur le point de les dévorer…
Mais plus remarquable encore, l’artiste qui avait ainsi évoqué ces abominations, de la pointe de son pinceau, avait réussi à suggérer, avec si peu d’encre et d’eau, l’effroyable essence de son sujet.
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- [...] Nous avons fait entrer le loup, ou plutôt, devrais-je dire, la louve, dans la bergerie [...].
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Une grosse Mercedes sombre s’arrêta devant le porche. Un homme aux larges épaules, en costume noir à la coupe sobre, presque militaire, en sortit aussitôt, ouvrit un large parapluie et déverrouilla la porte arrière du côté passager.
Quelques secondes plus tard, un second personnage rejoignait le premier, s’emparait du parapluie et se dirigeait d’un pas lent et aristocratique vers le porche de la demeure, laissant son compagnon regagner l’intérieur de l’automobile.
Dans son grand pardessus de cuir noir que complétait un chapeau de même teinte dont les bords maintenaient dans l’ombre les traits de son visage, si ce n’était un menton acéré, le visiteur de son père, dans le demi-jour blafard, prenait des allures fantastiques…
Avec la pluie battante, Jade ne pouvait distinguer ses yeux, pas plus que lui ne pouvait soupçonner sa présence, pourtant elle le vit s’arrêter et lever la tête.
Elle n’aurait pu en jurer, mais elle eut l’impression que, sous l’ombre du chapeau, un regard acéré, froid et perspicace, se fixait sur elle.
Elle recula d’un pas.
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La demeure était grande, mais les reliques et antiquités, au fil des ans, avaient fini par la coloniser tout entière. Les grandes pièces du rez-dechaussée avaient perdu leurs fonctions originelles et s’étaient transformées en véritable musée miniature, avec vitrines et armoires. Les autres succombaient peu à peu à l’invasion. Même dans la cuisine, où officiait Ahar, le jeune Maghrébin muet au service de son père, s’étaient égarées quelques poteries précolombiennes ou idoles de tribus perdues.
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À pas de loup, elle s’approcha de la porte de la grande salle, souleva à son tour la crémone et, soutenant le lourd battant de chêne, le fit pivoter sans bruit avant de monter la dizaine de marches permettant d’accéder au palier supérieur pour enfin suivre le corridor menant à la tour est et au bureau de son père.
Toute concentrée qu’elle était à ne pas faire craquer les vieilles planches du parquet, elle ne sentit pas le regard acéré qui la suivait depuis le bas des escaliers.
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Dans les bois de chez moi
Un garou deux garous
Jouent à loup es-tu là
Le loup les observe amusé
Il faut préciser qu’un garou sans loup
N'est rien du tout !
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- Toi et moi sommes les esclaves d’un même maître, lui dit l’asir.
- Non, c’est faux, répondit Çeda en descendant la pente à la lumière des deux lunes. Tu m’offres la sagesse qui me permet de voir le fardeau que je porte et qui me donne la force de désobéir. Pour cela, je te suis éternellement reconnaissante.
Elle sentit la satisfaction amère de l’asir.
- Dans ce cas, va, enfant. Va et libère ton peuple.
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La nuit tomba, mais le sloop ne s’arrêta pas. L’ifin volait assez près pour que les marins puissent le voir à la lumière des lunes. Et quand les lunes se couchèrent, ils le suivirent aux claquements de ses ailes.
Lorsque le soleil se leva, le démon prit de l’altitude et disparut. Macide ordonna une halte. Il débarqua et demanda qu’on lui amène Adzin et les cinq derniers membres de son équipage. Le devin se tenait deux pas devant ses camarades alignés. Les Hôtes qui étaient parvenus à s’échapper formaient un cercle autour d’eux.
- On m’a raconté ce qui s’est passé, dit Macide. Vous avez trahi les Hôtes sans Lune.
- C’est une façon de voir les choses, répliqua Adzin.
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Ses vêtements étaient poissés de sang et la lumière des deux lunes peignait des reflets noirs et argentés sur sa peau. On distinguait à peine une pointe de rouge.
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Sukru s’arrêta et pointa le doigt vers un bosquet dense et hérissé d’épines. Davud ne comprit pas tout de suite pourquoi il avait choisi celui-là. Il n’avait rien de particulier. Et puis il s’aperçut que les arbres ne bougeaient pas comme les autres. Les branches s’agitaient comme les pattes d’un insecte renversé sur le dos qui lutte vainement en attendant la mort. Les fleurs éclairées par les lunes n’étaient pas d’un bleu délavé comme celles des arbres voisins, mais rouge clair. En outre, elles produisaient une faible lueur et leur odeur… Leur parfum fleuri avait des relents de pourriture et de charogne.
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La nuit était sombre et les lunes projetaient de longues ombres sur la ville. Emre attendait près des arènes. Il comptait davantage sur son ouïe que sur sa vue, mais il distinguait cependant la fenêtre ouverte de l’appartement de Tariq, au deuxième étage. Soudain, il entendit le fracas d’une porte qu’on défonce, un cri de femme, puis des bruits de lutte. Le cri s’interrompit brusquement.
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Le Roi d’Alouette ambrée,
D’un geste de la main,
Sur le sable frais,
Dans le noir disparaît.
Le Roi peut bouger,
Entre lumière et obscurité,
Le présent du ciel d’onyx ;
Les ombres jouent et glissent,
Pendant l’obscurité,
Mais sous l’oeil de Rhia jamais.
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Elle vit une nuit éclairée par les lunes jumelles, une déesse avec une peau lumineuse et argentée qui marchait dans les rues en compagnie de sa soeur aux cheveux blonds.
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Le Roi des Sourires
Des vertes îles,
L’oeil par la lune éclairé ;
D’une caresse satinée,
Quand la mort réparera,
Son souhait, l’âme perdue pleurera.
Le cadeau de Yerinde,
Un bracelet doré,
Avec l’oeil noir et ambré,
Le Roi devra séparer,
La douce fierté de l’être aimé,
Les sombres âmes qui leur dû viennent chercher.
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Meryam l’avait préparé à cette épreuve, mais l’affronter… Le froid mordant se répandit dans sa poitrine, son ventre, ses jambes et ses pieds. Il envahit l’intégralité de son corps et une présence de plus en plus insistante émergea du néant. Le Qaimirien aurait été incapable de la décrire. C’était quelque chose de trouble, une entité qui enveloppait la cellule, une vague de ténèbres, un sentiment primal, une menace que tous les hommes craignaient ouvertement ou en secret. C’était immense. Puissant. Irréfutable. Comme les lunes qui montent au-dessus de l’horizon au milieu de la nuit.
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date : 14-05-2019
- Les loups n’ont absolument rien à voir avec les hommes, en fait. S’ils le peuvent, ils les évitent.
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- Il y a eu une série de meurtres entre 1764 et 1767 dans le Gévaudan, attribuée à une bête mystérieuse mais je ne…
Clio le coupa d’un geste sec, puis lui arracha le papier des mains et le compara avec le dossier que Remus lui avait remis.
- Je crois que tu as mis dans le mille ! s’exclama-t-elle. Au printemps 1764, une adolescente fut sauvée par son troupeau qui chargea une étrange bête l’ayant attaquée. En revenant au village, elle déclara que l’animal ressemblait à un loup mais n’en était pas un : il était roux et portait une rayure noire le long du dos. Sa tête était en outre plus grosse, plus allongée. La créature n’avait pas cherché à s’en prendre au bétail, uniquement à la bergère. Les récentes photos montraient que les trois victimes arboraient, elles aussi, des marques évoquant les crocs d’un loup, mais elles étaient deux fois plus grosses : pour avoir une telle mâchoire, l’animal devait avoir la taille
d’une vache !
- Attends ! Tu ne vas pas me dire qu’une bête ayant tué en 1764 s’est nouveau remise à assassiner deux siècles plus tard ! C’est impossible !
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Clio nota que les meurtres mentionnés dans les documents avaient eu lieu quelques semaines auparavant : deux femmes de dix-neuf et vingt-cinq ans et un petit garçon de quatre ans avaient été découverts dans une forêt, nus et à moitié dévorés. D’après les comptes-rendus, les trois personnes avaient été attaquées par des animaux, on avait supposé que des loups s’étaient échappés d’un parc animalier. Clio se doutait que cette explication avait été montée de toutes pièces, car les loups ne s’attaquaient pas à l’homme à moins de se sentir menacés. À la ride qui se formait sur son front, Hermès comprit que quelque chose n’allait pas.
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Grayson tourna le coin de la rue, à l’endroit ou un petit bistrot, pour l’heure désert, avait installé des tables et des chaises sur le trottoir. Il pila si brusquement que ses talons dérapèrent et qu’il chancela sur le côté. Il se rattrapa à une chaise, se redressa… et se retrouva nez à nez avec un loup. Pas un chien de l’enfer aux muscles n’épia et n’a la fourrure graisseuse, non, mais un loup efflanqué. Les seuls traits qui le différenciaient des autres animaux de son espèce que Grayson avait déjà vus étaient ses yeux noirs comme du charbon - sans iris, sans blanc, juste du noir insondable - et sa gueule aux mâchoires ensanglantées dont les crocs s’entrechoquaient avec un claquement sinistre.
L’estomac de Grayson se retourna. De la salive teintée de rose dégoulinait des babines du démon, et des touffes de cheveux blonds étaient coincées entre ses dents. Le loup émit un grondement féroce, ses yeux noirs rives sur Grayson. Le jeune homme empoigna le dossier en fer forge de la chaise de bistrot et la brandit devant lui en guise de bouclier. Le loup bondit en avant et broya entre ses dents l’un des pieds incurves de la chaise, comme s’il s’était agi de vulgaire papier mâché. Puis l’animal secoua la tête et arracha la chaise des mains de Grayson.
Le jeune homme se cogna contre une des tables et s’empara d’un cendrier en verre pour se défendre. Comme si l’objet avait pu servir à autre chose qu’à donner au loup de quoi se curer les dents ! Le démon se jeta sur Grayson - et s’embrasa dans une gerbe d’étincelles vertes.
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