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Commentaires de livres faits par Ma_passi0n

Extraits de livres par Ma_passi0n

Commentaires de livres appréciés par Ma_passi0n

Extraits de livres appréciés par Ma_passi0n

date : 22-04
Il possédait une part de mon âme et c'était la seule, cette nuit, qui continuait d'exister.
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date : 19-04
La nuit était une prison. Je fixai le plafond, immobile, attendant le moment de me lever. J'aurais voulu m'accrocher à un bruit, n'importe lequel, et me concentrer dessus. Ce loft était trop silencieux. L'homme, allongé à mes côtés, bien plus encore. Si son souffle n'avait pas caressé mon cou, j'aurais même douté qu'il respire. Il était là, son visage souriant baigné par les rayons d'une pleine lune, si calme dans son sommeil, son bras reposait sur mon ventre, et sa joue sur mon épaule.
Beau. Satisfait. Détendu.
Je ne me souvenais plus de cette sensation. Parfois, j'avais l'impression de ne jamais l'avoir connue. La sérénité. Seulement s'endormir et se réveiller. Je ne savais plus rêver.
Le bel endormi s'écarta ; ils le faisaient tous. Ils finissaient par rouler de l'autre côté du lit, tournaient le dos et s'abandonnaient à leurs songes. Il n'y avait eu aucun homme dont l'empreinte m'ait retenu. Plus depuis mes 17 ans. Plus depuis ... Lui.
Finalement, lui aussi m'avait laissé partir.
Un léger ronflement me rappela que c'était le bon moment et je me levais. Sans bruit, je récupérai mes affaires, les passai et m'en allai en fermant la porte le plus discrètement possible.
S'éclipser était devenu un art.
Je ne dormais jamais avec personne.
Ma montre m'indiquait presque une heure du matin lorsque je m'engouffrai dans l'ascenseur. Les numéros des étages décroissaient ; en pleine nuit c'était hypnotique. Je les fixai jusqu'à être arrivé au parking, au sous-sol. rejoindre ma voiture me pris cinq minutes. Retourner chez moi, une vingtaine de plus. Je verrouillé mon appartement, et sans allumer, je posai mon téléphone sur ma vieille table basse. Je m'étirai en écoutant les cliquetis de mes horloges et je m'avancai jusqu'à la chambre en bâillant. La porte grinça quand je l'ouvris, pour la refermer à clé aussitôt. Il faisait noir obscur, à l'intérieur. Les stores étaient baissés les rideaux tirés. Il n'y avait rien à voir, de toute façon. Pas de meuble. Pas de cadre photo. Pas de chaises. Pas de télévision. Même le réveil était dans le salon. Ce n'était qu'une pièce, avec des draps éparpillés et des coussins abandonnés aux quatre coins. Un simple matelas était posé au sol ; le lit en bois n'avait pas résisté longtemps à mes "crises". Il me suffisait parfois de quelques secondes pour tout saccager. C'était impressionnant la vitesse à laquelle tout se brisait. Je m'avançai en retirant mes vêtements, les laissai traîner par terre. Nu, je m'allongeai et fermai les yeux. La fatigue me rattrapa aussitôt et je plongeais dans un vide d'où je ne contrôlais plus rien.
La nuit était ma prison.
Et, cette chambre, une cellule dans laquelle je m'enfermais, soir après soir.
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Scott n'a pas détourné le regard, mais ne me regarde plus vraiment non plus. Il est dans cette sorte de bulle de tristesse dans laquelle je l'ai déjà vu se réfugier plusieurs fois. Les autres n'ont pas l'air de le remarquer. Je ne sais pas comment ils font. Quand il est comme ça, je n'ai envie que d'une chose. Le prendre dans mes bras.
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Je passe la moitié de mon temps à avoir envie d'étrangler Valentin, un quart à essayer de cacher combien il me fait marrer, et un dernier quart a refouler mon envie de l'embrasser.
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Je n'ai pas envie de lui avouer que je suis de plus en plus troublé, que je ressens des émotions que je ne parviens pas à gérer. Que je déteste ce sentiment d'impuissance qui me prend à la gorge et m'empêche de respirer correctement.
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Je m'empare de ses poignées les maintiens le long de son corps. La tête dans son cou, je l'embrasse, le lèche, le mords. Puis, je descends un peu plus bas, toujours plus bas. Ses épaules. Ses pectoraux. Ses tétons sensibles. Ses abdominaux parfaitement dessinés. Le corps de Scott est une œuvre d'art et je me délecte de sa peau.
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Sa réponse peut signifier la fin. Elle peut signifier le commencement. Le commencement de quelque chose de plus grand, de plus profond. De complètement flippant. Et de tellement beau. Alors j'arrête de respirer, redoutant la sentence. L'espérant tout autant. Et je croise les doigts pour ne pas entendre mon cœur se fendiller.
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date : 27-03
Pendant deux étés, tu n'as parlé que de lui. De ses yeux aussi bleus que notre océan. Puis au troisième été, tu as pleuré. Silencieusement. En essayant de le cacher. En ne prononçant plus jamais son prénom. Au quatrième, tu pleurais encore. Au cinquième, aussi. Je crois que tu n'as jamais arrêté. Parfois, tu t'assois sur cette plage, tu regardes l'horizon et je sais que tu plonges de nouveau dans ses yeux.
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date : 16-03
Lentement, il se mit nu devant moi, se dépouilla de tout, s'exposa comme il ne l'avait jamais été. Vulnérable, aimant. Toutes ses caresses avouèrent ce qu'il s'était retenu de dire.
Ce que j'avais toujours refusé qu'il me dise.
Cette nuit, il érailla cet interdit.
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En regardant Silas s'avancer vers moi, je me rends compte que mon cœur a choisi ce qu'il veut. Apparemment, la peur de se retrouver brisé une fois de plus ne lui pose pas de problème, à lui.
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— Kesler, regarde-moi.

Je déglutis pour tenter de chasser la boule qui me noue la gorge et obéis. Son regard vert se rive au mien et je me perds dans cette intensité. Soudain, comme souvent lorsqu’il est question de Farrow, le reste du monde disparaît pour ne laisser que lui, que nous, dans cette bulle que nous créons ensemble.

Il saisit mon menton entre ses deux doigts comme pour s’assurer que je ne compte pas détourner les yeux. Aucune crainte, je suis bien trop hypnotisé pour pouvoir bouger. C’est à peine si j’ose cligner des paupières.

— On va sortir de cette pièce et retourner dans la salle. On va boire un coup, puis s’installer à nos places respectives. Puis on va prononcer ton nom et tu vas te lever sous les applaudissements, et monter les marches jusqu’à la scène. Et si tu flippes, si tu hésites, tu n’auras qu’à croiser mon regard, et t’y accrocher. Parce que je serai là, je te soutiendrai. OK ?

Mon cœur bat si vite tout à coup que j’ai peur qu’il n’explose. Malgré tout, je hoche la tête, ce qui ne semble pas satisfaire Farrow tout à fait.

— C’est compris ? insiste-t-il.

— D’accord, murmuré-je.
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Nous sommes si proches à présent que je sens son souffle contre mes lèvres. Je dois me faire violence pour ne pas porter mon attention sur sa bouche, pour refouler cette envie de l'embrasser. D'instinct, ma main se pose sur son visage, pour ôter une mèche blonde qui s'est égarée, en profitant pour caresser sa joue.
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Je me suis senti coupable de ne pas être capable d'accepter à cent pour cent qu'on puisse aimer quelqu'un de même sexe que soi, et à présent, je me rends compte qu'il n'est jamais trop tard pour grandir, apprendre, et faire taire ces préceptes qu'on nous a inculqués.
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Son bras se resserre autour de mes épaules et il ne reste aucun espace entre lui et moi. Ils s'empare de mes lèvres de cette façon bien à lui qui me coupe le souffle.
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date : 06-03
- On trouvera des solutions, me promit-il.
- Tu ne sais même pas de quoi tu parles.
Il cristallisa mes peurs les plus enfouies et fit renaître la flamme d'un rêve que j'avais déjà fait, une fois...
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date : 06-03
Quand on t'aime, on cherche à comprendre Ocean. On a besoin de savoir ce qu'il t'est arrivé. Et j'en suis tellement conscient parce que je t'aime. Tu es mon ami, mon frère, l'un des plus grands amours de ma vie.
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- Merci pour le câlin et le reste.
- quand tu veux dis-je avec un clin d'œil.
Honnêtement, je l'ai autant fait pour moi que pour lui. Le sentir contre moi est toujours si foutrement agréable que ça ne me dérangerait pas de l'enlacer pendant des heures entières. Je suis quelqu'un de plutôt tactile de manière générale, mais c'est encore plus vrai avec Blake. J'aime le prendre dans mes bras, comme si j'espérais le protéger du monde extérieur, comme si j'étais un bouclier empêchant qui que ce soit de le faire du mal.
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Qu'est-ce que ce serait si Blake découvrait jusqu'où mon imagination débordante m'a emmené ? Salut, on ne se connaît pas mais j'ai assumé que vu que tu aimes les mecs, et moi aussi, on pourrait baiser comme des bêtes et voir si ça matchait entre nous.
N'importe quoi. La vérité, c'est que je ne suis pas super doué pour les interactions sociales en atteste notre échange légèrement gênant de tout à l'heure. Par contre, je suis très doué pour laisser s'emballer mon imagination.
Alors certes, Blake n'est pas désagréable à regarder mais je mets la charrue avant les bœufs, sans même savoir si bœufs il y aura apparemment. Je ne suis pas super doué pour les métaphores non plus.
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« je peux t'embrasser ? »
Seigneur, je nage en plein délire. Je nage en plein délire. Mon esprit est en train de monter de toute pièce une scène qui n'existe pas. Dans quelques secondes je vais ouvrir les yeux et me rendre compte que j'ai laissé mes pensées dériver. Malgré tout, je hoche la tête, incapable de prononcer le moindre mot. Et quand la bouche de Carter, douce et chaude, se pose sur la mienne, je crois que j'arrête de respirer.
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Je devrais regretter. Je devrais m'en vouloir d'avoir accepté ce baiser. Mais comment le pourrais-je alors que ça bouche contre la mienne m'a filé des p****** de papillons dans le ventre et m'a donné envie de glisser ma langue entre ses lèvres pour approfondir notre baiser ?
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Je continue de déambuler dans la salle, totalement subjugué par le talent de Blake, et reste scotché en découvrant la photographie suivante.
Il s'agit d'un homme allongé sur un lit, les reins cambrés, la tête dissimulée entre ses bras. La lumière met en exergue son dos puissant, ces fesses bombées, ses cuisses musclées.
Un frisson parcourt mon échine, il est... magnifique.
"Ferme la bouche, Kesler, tu es en train de baver. Même si je comprends, je fais souvent cet effet là aux gens."
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Je crève d'envie de l'embrasser. Et au diable les conséquences. Rien que sentir ses lèvres contre les miennes suffirait à me faire tout oublier et peu importe la douleur qui s'ensuivrait immanquablement. Ça vaut le coup. Ma main posée sur son ventre, j'ai deux solutions. La plus censée serait de repousser Farrow. La plus tentante serait d'agripper sa chemise pour l'attirer à moi. Mes doigts se referment sur le tissu. J'ai déjà fait mon choix.
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Dean est en maillot de bain. Tous ces tatouages à découvert. Si Canon, bordel. Je devrais demander à Blake de les photographier pour pouvoir les mater tout mon soul, pouvoir en absorber chaque détail. Ou alors je pourrais demander à Dean de se mettre debout et de rester sans bouger pour me laisser observer chaque dessin minutieusement, mais il risquerait de douter de ma santé mentale.
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"Je veux juste que tu saches qu'à partir de l'instant où je passerai cette porte ta bouche sera plaquée contre la mienne une fois que j'aurais commencé à t'embrasser, je serai incapable de m'arrêter. Alors si ce n'est pas ce que tu veux, Kesler, c'est maintenant qu'il faut me le dire."
Seigneur, je vais défaillir.
Il se penche légèrement vers moi et ajoute :
"Dis-moi non, je comprendrais. Je ne t'en voudrais pas. Parce que je sais que tu attends de moi quelque chose que je ne peux pas te donner."
"Farrow."
"Un seul mot, Dean. Un seul mot et je fais demi-tour."
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Notre baiser déclenche un putain d'incendie qui embrase mes veines. Je j'ai mis contre lui, l'embrassant fiévreusement, attrapant ses cheveux pour approfondir notre étreinte. Les lèvres de Farrow sont fermes contre les miennes, la façon dont il m'embrasse me chamboule totalement, et m'excite encore plus. J'agrippe ses cheveux plus fort tandis qu'il fait glisser sa langue sur ma mâchoire avant de repartir à l'assaut de ma bouche.
Je n'ai jamais été embrassé comme ça, avec autant de sensualité, d'érotisme. Je n'ai jamais eu l'impression que quelqu'un me voulait comme Farrow montre qu'il me veut à cet instant.
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- Pourquoi tu éteins la lumière ?
- Magnus Mortensen aurait-il peur du noir ?
Je le chambre en revenant m'asseoir à ses côtés.
- Je te signale que j'habite dans un pays où il fait noir la moitié de l'année.
Je tapote affectueusement son épaule.
C'est OK d'avoir peur tu sais, il n'y a pas de mal à ça. Il se marre en secouant la tête comme si je disais une bêtise.
- Et toi, de quoi tu as peur Grinig ?
- Arrête avec ce surnom.
- Certainement pas Grinig.
Je l'assassine du regard.
- Méfie-toi, je sais faire des poupées vaudou.
- J'entends beaucoup de menaces, mais je vois peu d'action.
C'est ça rira bien, qui rira le dernier.
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