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Commentaires de livres faits par machaso

Extraits de livres par machaso

Commentaires de livres appréciés par machaso

Extraits de livres appréciés par machaso

date : 17-03-2018
Elle avance la « brunette » ? J’exècre les brunettes. Dommage parce que celle-ci à un adorable postérieur. À peine moulé dans sa jupe de drap, il est ferme, rebondi juste ce qu’il faut. Idéal pour les fessées.
Reprends-toi, mon gars ! Plus de dérive pendant les heures de service ! INTERDIT !
J’aimerais la pousser pour qu’elle s’approche du comptoir au lieu de rester plantée au milieu du passage. Mais la tension raide de son dos, son air d’affolement que j’entraperçois me fait craindre qu’elle hurle au viol ou au djihadiste. Avec les attentats, l’homme à barbe devient un potentiel détraqué islamiste. Je ne tiens pas à ce qu’elle crie au terroriste et que tout le quartier me repère. Je suis en mission.
— C’est votre tour, dis-je pour ne pas la bousculer.
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date : 28-02-2018
Le poste d’Hudson clignote sur l’écran.
Il pousse un soupir.
Mon Dieu.
Il l’a lue.
Voici l’instant de vérité.
— Maria, c’est quoi, ça ?
— C’est quoi… quoi, monsieur ?
Encore un truc – vous en connaissez beaucoup, vous, des architectes de vingt-neuf ans qui exigent d’être appelés « monsieur » ?
— Cette invitation au gala Brown-Hauer ? Ça fait combien de temps que vous gardez ça sous le coude ? Il fallait répondre il y a deux semaines. Appelez et voyez s’il n’est pas trop tard, dit-il d’une voix plate.
On entend un déchirement de papier en fond sonore. Il se tait.
— Je croyais que vous aviez dit ne pas vouloir y aller ?
Je ne sais pas pourquoi j’en fais une question puisqu’il m’a bel et bien dit qu’il ne voulait pas s’y rendre. En fait, je sais que je l’ai dans un mail…
— J’ai dit ça ? demande-t-il avec un petit rire sardonique.
— Oui.
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date : 28-02-2018
Cher Mr. Rutherford,
Je vous demande humblement d’accepter ici mon préavis de deux semaines. À compter du vendredi 26 mai, je quitterai mon poste d’assistante. Je ferai tout mon possible pour assurer une transition fluide pour l’entreprise.
Cordialement,
Maribel Collins
J’enfonce mon stylo dans l'épais papier cartonné, raturant ma démission soigneusement rédigée avant de la froisser dans ma main et de la repousser dans l’angle de mon bureau. Elle est trop gentille, et Hudson Rutherford ne mérite pas la gentillesse.
Il est sept heures et demie ; je dispose donc d’une demi-heure pour trouver une meilleure formulation… qui laissera une impression durable.
Je suis sa troisième assistante cette année, et on n’est qu’en mai. Ce n’est pas pour rien que personne ne peut supporter de travailler pour lui plus d’un mois ou deux, et il serait temps que quelqu’un lui en explique la raison.
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Katerina le dévisagea sans savoir quoi dire pour le réconforter. Il avait beau essayer de faire taire sa peine, la tristesse se lisait dans ses yeux sombres. Pourtant, il n’y avait rien de honteux à montrer ses sentiments, au contraire cela prouvait son attachement et le rendait bien plus humain que son égoïste d’ami.
—       Hayden tenait à parler à Gabriel et moi non, déclara plus tard Katerina avant qu’il ne lui pose la question. Sans parler de sa foutue Camaro qu’il ne veut pas laisser toute seule là-bas. Quel homme utile !
Luther afficha un maigre sourire.
—       Encore une dispute ? (Une ombre d’inquiétude passa sur son visage.) Tu devrais lui donner du temps. Je ne peux t’en parler à sa place, il m’en voudrait et je comprendrais sa réaction. Kate, je ne lui cherche pas des excuses, simplement, sache qu’il en a bavé plus que de raison.
— Franchement, je n’en ai rien à cirer !
— Eh bien, tu ne devrais pas. Tu peux même l’aider à aller mieux, je pense.
Pantoise, Katerina lorgna Luther comme s’il avait perdu l’esprit.
—       Il ne veut pas me parler, finit-elle par dire.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 30-01-2018
Cinquième shot… à partir de combien de verres vais-je pouvoir oublier cette sensation de brûlure sur mes paumes ? Cette impression de m'être pris un tsunami en pleine face ?
Pourquoi a-t-il fallu que je la regarde ? Puis, merde ! Qu'est-ce qu'il m'a pris de la toucher comme ça ?
J'avale le liquide brun d'un trait et grimace en espérant que son pouvoir anesthésiant fasse enfin effet, ou au moins que l'incendie qui descend dans ma trachée me fasse oublier celui qu'elle a provoqué. Je me retourne sur mon tabouret pour m'affaler sur le bar. Mon voisin tire la gueule devant mon comportement sans-gêne, mais je m'en carre. Au pire s'il veut qu'on règle le problème, moi ça me va. Toute distraction est la bienvenue ce soir.
Je risque un œil sur la piste de danse. Ils sont toujours là.
J'enrage. J'enrage de la voir danser autour de cet abruti, de n'avoir d'yeux que pour lui quand moi, je suis là à l'observer comme un con et à ne pouvoir me détourner de son corps en mouvement. Putain, je n’ai pas rêvé tout à l'heure ! Elle aussi a ressenti cette espèce de… merde… ce truc. Ou alors j'ai juste halluciné. Elle appartient sûrement à ce genre de fille qui passe de mec en mec pour peu que celui-ci ait une belle gueule.
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date : 27-01-2018
"— On va maintenant être fixés et savoir si les joints ont tenu le choc, dit Augustin en descellant le cercueil.
Tout le monde est attroupé autour de la caisse, curieux d’observer notre réaction quand nous verrons ce qu’ils nous ont offert.
Augustin ouvre la caisse et des « Ho » et des « Ha » se font entendre. Collée à Augustin, je me penche pour contempler le trésor.
— Waouh ! Mais il y a un million de trucs à l’intérieur. Vous nous avez gâtés les copains !
— Ne parle pas trop vite Rose, tu risques d’avoir de mauvaises surprises, me prépare Axelle.
— Tu me fais peur, j’espère qu’il n’y a rien de visqueux ou de pourri à l’intérieur !
— Non, t’inquiète, c’est pire, ricane-t-elle.
Tout à l’air parfaitement intact. Malgré une année entière sous la terre humide de notre petit coin de paradis.
Alors, que nos amis nous ont-ils offert ? Je suis excitée et très curieuse. Je pioche au hasard, les yeux fermés, le premier lot. Une bouteille. J’ouvre les yeux. Du champagne. Je reconnais la patte de Magali.
— Hey Mag, merci !
— De rien, petit chat.
Je retourne à la pêche au cadeau. Une dizaine de tablettes de chocolat enrubannées entre elles.
— Ça, c’est moi, intervient Tugdual. Avec la Chine qui se met à en manger, dans trois ans, cela vaudra de l’or. Je commence juste ta réserve.
— Merci, grand frère, pour ces lingots très précieux. Tu as raison, il vaut mieux prévenir que guérir. Je vais commencer à stocker.
....
Je retourne à la pêche aux objets pour changer de sujet et au milieu de tous ces objets, je pioche une clef USB rose fuchsia.
— C’est de la part de qui, ça ? demandé-je.
Le silence.
— Bah elle vient bien de quelqu’un ! surenchérit Augustin.
Personne ne répond et, d’un coup, tout le monde réalise que cette clef est de Thomas. Thomas, celui qui manque à la fête. Thomas, mon meilleur ami, décédé il y a dix mois dans un tragique accident de moto. Je me sens submergée par l’émotion. Tenir son dernier cadeau dans les mains fait resurgir mon chagrin. Je serre contre moi l’ultime souvenir que j’ai de lui. Cet objet sur lequel est gravé À la plus douce des fleurs. Je reconnais la touche de Thomas le poétique, le romantique. Je lutte pour ne pas pleurer. Je me pince la cuisse de toutes mes forces. Résister, ne pas craquer. Pas maintenant, pas devant tout le monde."
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date : 24-01-2018
Preston me regarde, ravi d’avoir remporté la bataille. Je déteste faire une scène. C’est atrocement gênant. Et peu professionnel. Et je suis très, très professionnelle, raison pour laquelle je ne veux pas répondre au test de Preston, qui a copié et modifié le questionnaire qui nous a été distribué pour en faire ceci :
 
Merci d’assister à cette réunion barbante. Je vous prie de me distraire en répondant à ce test sexo. Merci de répondre avec franchise.
1) Sur une échelle de 1 à 5, y a-t-il dans cette salle une personne avec qui vous voudriez coucher ?
2) Qui est-ce ? (c’est anonyme, répondez honnêtement !)
3) Merci de préciser dans quelles positions vous voudriez le faire.
4) Si vous avez répondu « toutes », incluez-vous le sexe anal ?
5) Cette personne sait-elle que vous voulez coucher avec ?
 
Preston me donne un coup et je soupire, mais prends malgré tout mon stylo.
1) 5
2) Gabe Laurent
3) Toutes
4) Peut-être ?
5) Non !!!
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date : 24-01-2018
J’avance dans l’immense hall d’entrée parsemé de moulures anciennes, et même d’une statue de la Venus romaine. J’inspire profondément. La douce musique qui me parvient aux oreilles apaise mes sens. Les quelques notes proviennent d’un petit orchestre de jazz que je découvre en pénétrant dans la salle de réception. L’atmosphère intimiste de leurs chansons contraste avec l’aspect guindé des invités. Là, c’est certain, la soirée va être longue !

J’ai à peine le temps d’ôter ma veste que je vois Eva se précipiter vers moi.

– Stel’ ! Merci d’être venue !
– Comme si tu m’avais laissé le choix, répliqué-je d’une voix faussement blasée.
Elle m’embarque en me tirant par le coude sans se préoccuper de ma réponse.

– Il faut que je te présente Jo !
Eva s’approche d’un homme en costume sombre et lui tapote l’épaule pour qu’il se retourne, ce qu’il fait sans attendre.

Et là, j’ai l’impression que le sol se dérobe sous mes pieds. Comme dans un film, je me retrouve dans le néant total. Plus de sons, plus d’images. Le monde s’est brusquement arrêté de tourner. Quant à mon cerveau, c’est l’encéphalogramme plat.

Foutu destin ! Est-ce parce que je n’y crois pas qu’il se rappelle à mon bon souvenir avec une bonne claque ? Plutôt un coup de massue à vrai dire. Une tornade. Un tsunami.

Mes yeux s’accrochent aux siens, comme envoûtés et je reste sans voix, sous le choc.

Jonas est là, devant moi. Je sens que je vais tomber dans les pommes...
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— Que se passe-t-il, Normand ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette. Ta blonde t’a fait une scène parce que tu as oublié la Saint-Valentin, c’est ça ?
— C’était aussi notre dixième anniversaire de couple, grogna Normand, l’air accablé. Je crois que c’est surtout cet oubli-là qui a blessé Isabelle.
Richard lui adressa un sourire moqueur. Puis, il se racla la gorge avant de poursuivre :
— Ça me surprend que tu n’aies pas réussi à l’amadouer avec une quelconque promesse ! Tu ramollis, mon vieux. Tu n’as tout de même pas manqué le party du jour de l’An !
Richard se montrait au-dessus de ses affaires avec son air supérieur. Normand en ressentit de l’agacement, même s’il savait que son copain était un bon gars. Décidé à vider son sac, il déclara :
— Hier soir, à mon retour, Isabelle était enfermée dans notre chambre. Elle m’a ordonné de la laisser tranquille. Te rends-tu compte ? Je suis descendu pour manger un morceau. Ce matin, quand j’ai ouvert les yeux, j’étais couché sur le divan et Isabelle avait déjà foutu le camp ! C’est d’ailleurs le bruit de son véhicule quittant la cour qui m’a réveillé.
— Tu devais être bien fatigué pour t’endormir dans ces circonstances…
— J’avais pris une couple de verres de rhum, question de faire baisser la tension. Maudite affaire…
— Vous êtes-vous parlé plus tard ce matin ?
— Non ! ronchonna Normand. J’ai essayé de l’appeler deux fois sur son cellulaire, mais elle n’a pas répondu.
Il haussa les épaules en signe d’impuissance.
Shirley, la serveuse préférée de Richard, arriva avec les assiettes fumantes. Ce dernier s’attaqua à la nourriture aussitôt, tandis que Normand, lui, se contentait de fixer son plat. En peu de temps, Richard avala tout son repas ; pour sa part, son vis-à-vis ne prit que quelques bouchées avant de renoncer. Décidément, cette histoire me coupe l’appétit, songea Normand. Il se rabattit sur son café.
— Tu me donnes ton bacon, Normand ? demanda Richard, l’air gourmand.
L’air indifférent, l’autre acquiesça d’un signe de la tête. Quelques instants plus tard, la bouche pleine de bacon, Richard lança :
— Écoute, Normand, ne t’en fais pas avec ça. J’ai une idée.
— Quoi donc ? s’enquit-il avec intérêt.
— Les femmes aiment bien être gâtées. Il n’y a rien de mieux qu’un petit cadeau pour tout arranger. Plus la gaffe est grosse, plus le cadeau doit être somptueux.
— Je ne vais quand même pas lui acheter une autre voiture ! s’exclama Normand. Je n’ai même pas fini de payer le CR-V que je lui ai donné il y a trois ans parce que j’avais encore oublié ce maudit 14 février.
Les deux amis ne purent s’empêcher d’éclater de rire.
— Maudite Saint-Valentin ! s’écria Richard en portant un toast avec sa tasse de café.
— Oui, maudite Saint-Valentin !
Après s’être calmés, les deux hommes reprirent leur discussion.
— Voilà mon idée, Normand : la solution se trouve de l’autre côté de la rue… chez Brault & Martineau ! J’ai en magasin un frigo en acier inoxydable muni d’un écran tactile donnant accès à toutes sortes de fonctions.
— Un écran tactile sur un frigo ? s’étonna Normand. Pourquoi donc ? C’est ridicule ! Qui voudrait acheter un tel appareil ?
En fin connaisseur de sa clientèle, Richard sourit.
— Qui ? Eh bien, une femme comme Isabelle, qui aime la technologie, le progrès, le luxe aussi… C’est certain qu’avec ce genre de cadeau, tu la toucherais droit au cœur.
— Ouais ! Pas fou, comme suggestion…, approuva Normand. C’est original, en plus.
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Qu'est-ce que tu fais là ? demande-t-elle en croisant les bras sur son adorable poitrine. ? Je t'avais demandé de ne pas bouger, contré-je en lui offrant un petit sourire joueur. Elle plisse les yeux comme pour vérifier si je suis sérieux avant de me répondre :? J'avais du travail, et toi aussi visiblement. Je sens mes lèvres frémir sous son attaque. Je sais très bien ce qu'elle insinue par là. Elle me traite ni plus ni moins de gigolo. Putain ! Elle est tellement rafraîchissante ! Je déguste ses piques comme un idiot depuis le premier jour. Toute cette fougue, ce naturel, cette beauté? ? Rien que je n'aurais pu remettre à plus tard.Elle pince les lèvres, sans doute parce que je n'ai pas infirmé son sous-entendu, et je retiens un sourire de plus. Délicieuse. C'est un mot fait pour elle. Et j'en veux plus. Bien plus. ? Tu voulais quelque chose de précis ? dit-elle d'un ton tranchant. Je sens ma bouche se tordre en une moue amusée et séductrice alors que je suis des yeux les courbes de son corps avant d'ancrer mon regard dans le sien.? Toi.
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À chaque caresse qu’elle m’offre, je m’électrise un peu plus. Son souffle brûlant est aussi chaotique que le mien. J’ai de plus en plus de mal à me retenir de l’embrasser. Sa bouche est si près, je crois même que ses lèvres ont frôlé les miennes.
– Est-ce que c’est… bon ? demande-t-elle en continuant sa caresse sur ma virilité.
J’ai envie de lui dire la vérité, qu’elle me rend fou, que je suis fou d’elle, de plus en plus… Mais je ne suis que son professeur. À cet instant, je me dis que je suis foutu parce que je vais être incapable de tenir ce rôle très longtemps. Elle ne sera plus jamais mon élève dans ma tête.
– Devine, je lui réponds d’une façon que j’espère neutre. Sers-toi de tes sens.
Je remonte mes mains le long de son ventre, sa poitrine se gonfle. Je la plaque plus fort contre le mur. J’attrape sa poitrine. Elle se laisse faire. Ses seins sont petits mais fermes : ses tétons percent le tissu de sa robe. Je les taquine de mes pouces, elle gémit, cramponnée à ma nuque.
Elle se ressaisit, presse plus fort mon membre et me souffle, fidèle à elle-même :
– Tu respires de plus en plus vite, ton sang pulse fort contre ma paume, tes phrases sont de plus en plus courtes, et tes doigts vont laisser des marques sur mes seins.
– Et mes yeux ?
– Je n’en sais rien. J’ai tellement envie de t’embrasser.
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