Maclain, Tome 3 : La dame de Glengarden

un dernier tome que j’ai malheureusement laissé trainé dans ma PAL trop longtemps, j’ai eu beaucoup de mal à me replonger dans l’histoire familiale.

Sans compter que malgré le contexte historique du récit intéressant la guerre de sécession et ses blocus, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup trop de longueur.

L’histoire entre Rose et Duncan les deux personnages principaux est assez linéaire, je n’ai vu aucune étincelle…

je ne retire rien à l’autrice pour son récit, on sent les recherche, qu’elle a pu faire pour étayer son histoire, j’avoue avoir pris plus de plaisir à ma lecture une fois que Rose et Duncan sont arrivée à la plantation.

La rencontre de Duncan avec le monde de l’esclavage du Sud des Etats unis, les retrouvailles entre Rose & Maisie, esclave qui prend la vie avec philosophie.

Tit moment de lecture.

Troisème tome de la série « MacIain » La dame de Glengarden est en fait la jeune belle-sœur de Bruce MacIain –la branche américaine de la famille- Rose O’Sullivan qui se rend en Ecosse pour vendre la dernière récolte de coton de la plantation avant que la Guerre de Sécession ait fait son œuvre : les hommes sont partis à la guerre dont Bruce qui n’a plus donné signe de vie depuis un an, les esclaves ont disparu. Il ne reste plus que les femmes et si Rose ne fait rien, elles mourront de faim. D’où son départ et son espoir de vendre à Duncan le coton, dont il a tant besoin pour faire tourner sa filature. Mais en arrivant chez les MacIain, le clan la prend pour la veuve de Bruce, notamment Duncan qui décide de l’aider. N’osant pas revenir sur son mensonge, Rose et Duncan prennent le chemin périlleux de Charleston. C’est un roman qui se lit agréablement ; on retrouve les mêmes aspects positifs que dans les précédents romans de la série, à savoir une combinaison harmonieuse entre les deux protagonistes. Rose et Duncan sont attachants et leurs tête-à-tête intéressants. Surtout quand Rose évoque la vie quotidienne des esclaves sur la plantation de Bruce, (véritable brute épaisse soit dit en passant) et ses efforts pour améliorer leur sort. Par contre, je n’ai pas apprécié le fait que Karen Ranney fait resurgir un personnage qu’on avait découvert dans le premier roman de la série, Bauman, censé empêcher Duncan et Rose d’atteindre Glengarden. Il n’apporte rien à l’intrigue du roman, je trouve même sa présence ridicule même si on peut comprendre que l’auteur a voulu l’utiliser pour introduire un peu de danger dans le voyage de Rose/Duncan. Les personnages secondaires d’ailleurs ne sont pas très bien exploités, je pense à Olivia Cameron, posée là dans les pages mais dont on ne sait pas quoi faire. Enfin, au-delà de ces faiblesses, je vous conseille ce roman surtout si vous aimez la période Guerre de Sécession.

http://leslecturesdeveralice.blogspot.com

Lu en VO.

Ce titre paraîtra dans la collection Victoria (Harlequin) le 1er juillet 2017.

Pour celles qui ont envie d'en savoir plus sur Duncan MacIain... et pour clore la série.

L'histoire est riche et bien documentée, et le scénario joue habilement du contexte historique si particulier de cette année 1865. Mais la romance en elle-même reste assez tiède... J'aurais aimé plus d'étincelles entre Duncan et Rose. Planter une abolitionniste au sein d'une communauté esclavagiste est loin d'être une évidence et que cela peut conduire une auteur à trop en faire pour bien marquer son propos... Mais j'ai eu du mal à me passionner pour cette histoire qui aurait mérité un peu d'élagage et moins de répétitions.

-> Retrouvez cet avis complet sur mon blog ;)