Nous revoilà plongés dans les aventures de Cellendhyll de Cortavar avec toujours plus de mystères, de questions, de batailles.
Lors de ma première lecture, il m'avait fallu attendre 3 ans avant de pouvoir retrouver les personnages auxquels je m'étais attachée. cette attente m'avait semblé insupportable et encore pire lorsque je suis arrivée à la fin de ce tome, sur un suspens insoutenable... Ce que je ne savais pas, c'est qu'il me faudrait patienter 7 longues années avant de mettre fin à ce suspens !
Quoi qu'il en soit, je reste séduite par l'écriture, l'histoire, frustrée par toutes ces questions sans réponse en espérant les trouver dans le tome 10 tant attendu !

Enfin, après 7 ans d'attente, je retrouve un de mes personnages de fantasy préféré : Cellendhyll de Cortavar !
Une fois encore, j'ai pris énormément de plaisir à suivre ses aventures. Ma crainte que l'auteur oublie toutes les questions laissées sans réponse au fil des 9 tomes précédents s'est révélée injustifiée : tout y est, à une exception près (une suite verrait-elle le jour ?). En effet, Morion reste le Maître des Mystères !
Toujours cette écriture que j'apprécie beaucoup, ces descriptions justes, ces batailles d'une précision et d'une beauté surnaturelles, ces danses meurtrières que notre héros nous offre sans retenue.
Triste de quitter les personnages particulièrement attachants que Michel Robert nous a offerts !
Une série que je recommande à ceux qui apprécient la dark fantasy !

Mon seul bémol (mais pas des moindres) va à l'éditeur : comment peut-on vendre un livre numérique avec une augmentation de prix de 100% par rapport au tome précédent et bourré de coquilles (mot pour un autre, mots manquants ou doublés grrrrrr) ??? Autant je peux admettre l'augmentation (mais quand même...) sur le livre "papier" vu l'inflation de ces dernières années, en particulier sur le papier justement, autant rien ne justifie qu'un livre numérique voit son prix doublé pour une qualité médiocre (encore une fois, je ne parle pas de l'auteur, mais des nombreuses coquilles qui parsèment ce tome, du jamais vu auparavant !). Très grosse déception de ce côté là !

Enfin le retour du Loki !
Nouvelle aventure, quelques nouveaux personnages, nouveaux lieux et le tout sans perdre le fil de l'ensemble. Je relis avec un grand plaisir ce second cycle de l'Agent des Ombres avec ses personnages hauts en couleur, son univers particulier, les combats, les introspections, les mystères... Je me régale !

Nouvelle aventure de Cellendhyll de Cortavar (et mésaventures...) qui nous fait découvrir un passé trouble qui reste une énigme (sera-t-elle dévoilée dans le tome 10 ?).
Toujours aussi fan de cette série malgré quelques défauts d'écriture (des répétitions parfois) mais rien de bien méchant et qui finalement ne gâchent rien au plaisir de suivre ce personnage si complexe et fascinant !
Michel Robert nous transporte dans son univers qui ne ressemble à aucun autre mais qu'on imagine sans aucune difficulté grâce aux nombreuses descriptions dont il a le secret. Et c'est sans parler des combats qu'on pourrait presque voir !

Conseillé par une amie (sensible qui n'a jamais lu de Stephen King) dans le genre effrayant.
Pas de chance, j'ai quelques Stephen King dans ma bibliothèque, des Dean Koontz et ce roman de littérature jeunesse, sans être désagréable à lire ne fait clairement pas partie de mes goûts... Beaucoup trop "jeunesse" bien entendu mais convient très bien aux âmes plutôt sensible et en âge de raisonner.

Intéressant roman d'anticipation/catastrophe avec quelques incohérences logiques mais au final, ça importe peu.
L'auteur nous transporte dans son monde "d'après" avec quelques "voyages" dans le monde "d'avant" qui nous permettent d'appréhender les personnages sous un autre angle et ça c'est particulièrement stimulant.
A lire quoi qu'il en soit, ça vaut le détour !

Après sept ans depuis le dernier opus de l'Ange du Chaos, il me fallait retourner dans l'univers si particulier de Cellendhyll (je n'avais pas le même souvenir de la fin du tome 9 qu'un ami...) avant de me lancer dans la lecture du dernier tome de la série. Je reprends donc le second cycle de l'Agent des Ombres avec un plaisir immense.
Retour sur le plan du Chaos avec des personnages hors norme, un univers captivant, des aventures à chaque page... Et des méchants bien bien méchants !
J'avais adoré la première fois, c'est toujours le cas. Des personnages complexes et très bien développés, un style d'écriture auquel j'adhère totalement, un vocabulaire intéressant (l'existant et l'inventé), une imagination sans limite, des descriptions qui nous permettent de nous immerger totalement. Bref, un bijou pour moi !

La nouvelle n'est définitivement pas mon format préféré...
En dehors de la nouvelle de Robin Hobb, qui aurait pu être un chapitre du cycle de l'Assassin Royal, le reste ne pas franchement emballée... Soit c'était trop court, soit j'ai eu le sentiment que l'histoire avait été bâclée.
Peu satisfaisant en ce qui me concerne, je vais donc rester sur les romans, plus à mon goût.

Je ferme ce roman qui me laisse perplexe.
Quelle étrange mode de narration pour une telle histoire...
En effet, le mode de narration m'a très vite donné l'impression de lire un conte pour enfant, sauf que ça ne collait pas du tout avec ce qui était raconté. C'est peut-être du génie de la part de l'auteur et peut-être que je suis passée à côté de cela, mais ça a eu pour effet, sur moi, d'avoir le sentiment de lire un fait divers banal et sans conséquence, sans saveur, sans odeur (et pourtant !), sans consistance. L'antagonisme entre la noirceur de l'histoire et la légèreté du ton utilisé ne m'a pas convaincue, voire m'a donné l'impression que l'histoire a été altérée...

Je ferme ce roman qui me laisse perplexe.
Quelle étrange mode de narration pour une telle histoire...
En effet, le mode de narration m'a très vite donné l'impression de lire un conte pour enfant, sauf que ça ne collait pas du tout avec ce qui était raconté. C'est peut-être du génie de la part de l'auteur et peut-être que je suis passée à côté de cela, mais ça a eu pour effet, sur moi, d'avoir le sentiment de lire un fait divers banal et sans conséquence, sans saveur, sans odeur (et pourtant !), sans consistance. L'antagonisme entre la noirceur de l'histoire et la légèreté du ton utilisé ne m'a pas convaincue, voire m'a donné l'impression que l'histoire a été altérée...

Je ferme ce roman qui me laisse perplexe.
Quelle étrange mode de narration pour une telle histoire...
En effet, le mode de narration m'a très vite donné l'impression de lire un conte pour enfant, sauf que ça ne collait pas du tout avec ce qui était raconté. C'est peut-être du génie de la part de l'auteur et peut-être que je suis passée à côté de cela, mais ça a eu pour effet, sur moi, d'avoir le sentiment de lire un fait divers banal et sans conséquence, sans saveur, sans odeur (et pourtant !), sans consistance. L'antagonisme entre la noirceur de l'histoire et la légèreté du ton utilisé ne m'a pas convaincue, voire m'a donné l'impression que l'histoire a été altérée...

Je suis très mitigée sur ce roman. Dans la première partie du roman, le rythme haché du phrasé m'a particulièrement agacée : phrases très courtes, sèches, irritantes. J'ai bien failli abandonner ma lecture mais l'histoire et les personnages très vite attachants m'ont fait tenir bon.
Puis ce rythme a changé dans la seconde partie, il est devenu rapide, avec des phrases plus longues, moins sèches, en corrélation avec ce qui était raconté puisqu'à ce moment là, un évènement change tout ce qu'on avait pu imaginer.
La troisième partie, la fin, la danse avec les ombres, a fait retomber mon enthousiasme que la seconde partie avait éveillé. Pour une raison que je ne saurai expliquer et malgré mon attachement à tout ce qui touche l'imaginaire et plus particulièrement la fantasy, cette fin ésotérique m'a semblé hors de propos, voire déplacée. Ça n'a pas fonctionné pour moi, question de goût sans doute.

Je fais un billet global sur l'ensemble du cycle parce que je n'ai pas eu le temps d'en faire entre chaque volume de cet époustouflante histoire que Robin Hobb nous amène avec brio. Je n'ai pas pu m'arrêter avant d'avoir fini le cycle. Entre les personnages tous plus intéressants (et surprenants) les uns que les autres, l'histoire qui se dévoile par petites touches et bon nombre de retournements inattendus, la plume de l'auteur particulièrement agréable, j'ai passé un moment presque magique. Juste assez sombre pour paraître crédible (bon ok, ça reste de la fantasy mais on pourrait presque y croire !), tout pour me plaire.
Je fais quelques incartades littéraires avant de me plonger dans le cycle suivant que j'ai hâte de découvrir.

Je fais un billet global sur l'ensemble du cycle parce que je n'ai pas eu le temps d'en faire entre chaque volume de cet époustouflante histoire que Robin Hobb nous amène avec brio. Je n'ai pas pu m'arrêter avant d'avoir fini le cycle. Entre les personnages tous plus intéressants (et surprenants) les uns que les autres, l'histoire qui se dévoile par petites touches et bon nombre de retournements inattendus, la plume de l'auteur particulièrement agréable, j'ai passé un moment presque magique. Juste assez sombre pour paraître crédible (bon ok, ça reste de la fantasy mais on pourrait presque y croire !), tout pour me plaire.
Je fais quelques incartades littéraires avant de me plonger dans le cycle suivant que j'ai hâte de découvrir.

Je fais un billet global sur l'ensemble du cycle parce que je n'ai pas eu le temps d'en faire entre chaque volume de cet époustouflante histoire que Robin Hobb nous amène avec brio. Je n'ai pas pu m'arrêter avant d'avoir fini le cycle. Entre les personnages tous plus intéressants (et surprenants) les uns que les autres, l'histoire qui se dévoile par petites touches et bon nombre de retournements inattendus, la plume de l'auteur particulièrement agréable, j'ai passé un moment presque magique. Juste assez sombre pour paraître crédible (bon ok, ça reste de la fantasy mais on pourrait presque y croire !), tout pour me plaire.
Je fais quelques incartades littéraires avant de me plonger dans le cycle suivant que j'ai hâte de découvrir.

Je fais un billet global sur l'ensemble du cycle parce que je n'ai pas eu le temps d'en faire entre chaque volume de cet époustouflante histoire que Robin Hobb nous amène avec brio. Je n'ai pas pu m'arrêter avant d'avoir fini le cycle. Entre les personnages tous plus intéressants (et surprenants) les uns que les autres, l'histoire qui se dévoile par petites touches et bon nombre de retournements inattendus, la plume de l'auteur particulièrement agréable, j'ai passé un moment presque magique. Juste assez sombre pour paraître crédible (bon ok, ça reste de la fantasy mais on pourrait presque y croire !), tout pour me plaire.
Je fais quelques incartades littéraires avant de me plonger dans le cycle suivant que j'ai hâte de découvrir.

Je fais un billet global sur l'ensemble du cycle parce que je n'ai pas eu le temps d'en faire entre chaque volume de cet époustouflante histoire que Robin Hobb nous amène avec brio. Je n'ai pas pu m'arrêter avant d'avoir fini le cycle. Entre les personnages tous plus intéressants (et surprenants) les uns que les autres, l'histoire qui se dévoile par petites touches et bon nombre de retournements inattendus, la plume de l'auteur particulièrement agréable, j'ai passé un moment presque magique. Juste assez sombre pour paraître crédible (bon ok, ça reste de la fantasy mais on pourrait presque y croire !), tout pour me plaire.
Je fais quelques incartades littéraires avant de me plonger dans le cycle suivant que j'ai hâte de découvrir.

J'étais très enthousiaste à l'idée de retrouver le monde d'Eragon que j'avais tant apprécié lors de la sortie du cycle de l'Héritage.
Je n'ai malheureusement pas retrouvé le plaisir que j'avais eu alors.
Une grande partie est liée au fait que plus j'en lis et plus je me rends compte que le format "nouvelles" n'est pas ce qui me plait le plus. Dans ce cadre, ça passe encore (même monde, mêmes personnages) mais j'ai toujours la sensation qu'il manque quelque chose ou que tout est allé trop vite. C'est une question de goût...
Je reste un peu sur ma faim mais j'ai tout de même été contente de retrouver Eragon et Saphira.

J'ai hésité un temps avant de commencer ce tome vu la déception que m'avait inspiré le second tome du Monde de Meg Corbyn. Fort heureusement, j'ai tout de même tenté le coup (la curiosité l'a emporté !) et j'en suis ravie.
Non seulement je retrouve le monde particulier dans lequel Anne Bishop nous entraîne mais en plus je me suis régalée grâce à l'intrigue, les personnages dont certains que j'ai eu plaisir à retrouver, mais aussi quelques petits nouveaux. Les méchants sont toujours bien méchants, ça, ça ne change pas trop. Les Autres sont toujours aussi primaires, que ça soit dans leur vision du monde que dans leur appréhension des relations avec les Humains. Enfin, les héros de l'histoire sont comme je les aime, avec leurs failles et leur histoire, pas parfaits et parfois héroïques malgré eux.
Je ne peux m'empêcher de faire un parallèle avec notre monde. Dominé par les humains, il court à la catastrophe, mais nous continuons à vivre comme si rien ne se passait... Anne Bishop, au fil des volumes de cette série et de Meg Corbyn, joue avec notre obstination (propre à notre espèce) à trouver pertinent le fait de détruire (y compris nous même) et d'appeler ça du pouvoir, du confort et de l'intelligence.
Un bon moment de lecture.

Je suis plutôt partagée sur cet ouvrage...
Le style d'écriture et le vocabulaire m'ont enchantée et s'adaptaient particulièrement bien au narrateur.
C'est ce dernier qui a rendu ma lecture parfois un peu laborieuse et troublante...
Ce personnage semble dénué d'émotion et totalement incapable d'en comprendre même le sens. C'est à la fois agaçant, déconcertant et intéressant. Agaçant parce qu'on imagine aisément que sa vie (ou même la vie des gens autour de lui) aurait pu être très différente s'il avait été capable de percevoir les émotions de ceux avec qui il était en interaction, y compris son dernier employeur. Déconcertant parce qu'il est assez impensable (pour moi en tout cas) qu'il ait été incapable de ressentir quoi que ce soit au sujet de certains événements, ou plus précisément, d'être capable de refouler ses émotions au point de faire croire qu'il ne ressentait rien. Enfin, intéressant de voir comme certains aspects d'une vie peuvent en affecter d'autres de façon très importante, et cela par choix plus ou moins conscient. Ici, c'est l'aspect professionnel (et la dignité indispensable dans son métier) qui occulte tout le reste à tel point que notre narrateur n'est même pas conscient des blessures qu'il peut infliger à son entourage (ou à lui même), ni de l'impact qu'il peut avoir sur leur vie (notamment sur celle de Miss Kenton), ni du fait qu'il se ment à lui même au sujet de son précédent employeur. Cet aspect est assez fascinant tout en étant exaspérant.

Une romance "Harlequin" surprenante. Ayant lu quelques bouquins de cet éditeur, peu intéressants et qui avaient une fâcheuse tendance à fortement se ressembler (ne pas voir une critique dudit éditeur, juste un manque d'intérêt de ma part pour les ouvrages de ma connaissance qu'il propose), j'avoue avoir été surprise que la série Chesapeake Shores fasse partie de son catalogue.
C'est la série télévisée qui m'a donné envie de me pencher sur les livres qui l'avaient inspirée. J'ai failli abandonner lorsque j'en ai découvert l'éditeur mais grand bien m'a pris de ne rien en faire.
Le style d'écriture y est agréable, l'histoire est certes prévisible mais les écueils qui la ponctuent, crédibles à souhait, apportent un piment et un réalisme intéressants. Les personnages, bien que tous très beaux, très bons, très passionnés (etc...) présentent des faiblesses, des blessures qui les rendent sympathiques et touchants, auxquels on peut s'identifier sans difficulté.
On reste dans le thème des éditions Harlequin dans la mesure où tout fini relativement bien mais, selon moi, ce roman sort de ce qu'on peut imaginer du catalogue de l'éditeur et ça a été une agréable surprise.

Agréable lecture qui propose un mélange de genres sommes toutes assez intéressant. Entre légendes et fantasy, Histoire et croyances, nous partons un peu dans tous les sens pour finalement rester un peu sur notre faim. Cela dit, l'intrigue est assez bien ficelée et même si on entrevoit un peu vite vers quoi nous mènent les aventures de l’héroïne, quelques surprises viennent de temps à autres troubler nos impressions.

Un moment agréable de lecture avec ce roman policier qui nous tient en haleine jusqu'à la fin du récit.
Bien que n'étant par particulièrement experte de ce genre littéraire, j'ai beaucoup apprécié les personnages imaginés par Dominique Sylvain : imparfaits, drôles, émouvants, attachants...
L'intrigue est plutôt bien menée (on ne se doute pas du coupage dès le premier chapitre !), ce qui fait plaisir.

J'ai trouvé ce livre terrifiant ! Comme beaucoup d'entre nous, je suis de plus ou moins près l'évolution de notre monde, en particulier depuis l'épidémie qui nous a tous mis à terre. Comme beaucoup d'entre nous, j'ose l'espérer, je suis scandalisée par "le monde d'après" qu'on nous avait promis et qui finalement n'est rien d'autre que notre monde d'avant, en pire. Pourtant, les deux années qui viennent de s'écouler auraient du nous faire prendre conscience, au niveau mondial, de l'état déplorable dans lequel nous nous entêtons à mettre nos vies (puisqu'il s'agit de ça, au final) en danger grave avec une profonde insignifiance et une insouciance qui frise le crétinisme. Olivier Norek, dans son roman, pointe sévèrement les manquements inacceptables d'Etats qui refusent obstinément de prendre leurs responsabilités au profit du sacrosaint PIB. Son jugement est sévère (à la hauteur de l'incompétence de nos dirigeants depuis plusieurs décennies) et, par la violence des actes d'un de ses personnages, nous "colle une sacrée baffe" pour nous réveiller...
Terrifiant donc, ce roman et l'avenir fort probable qu'il nous présente.

J'ai découvert Reine Andrieu lorsqu'elle avait présenté L'hiver de Solveig dans le cadre d'un concours d'auteur (dont elle a d'ailleurs remporté la palme) et j'avais particulièrement aimé ce qui était son second roman.
Avec l'envol des Amazones (son premier roman donc) je retrouve la plume délicate et poétique de cet auteur, qui nous embarque sans mal dans son aventure, entre passé et présent, entre le Tarn et la Guyane, le tout empreint d'une émotion palpable. Les personnages sont particulièrement riches et évoluent au fil de l'histoire. Outre ces personnages principaux, Reine Andrieu évoque également quelques figures marquantes liées au sujet de son histoire qui, pour ma part, éveille la curiosité de pousse à faire quelques recherches qui nous font mieux comprendre certaines décisions présidentielles concernant le domaine de la Justice.
Mon seul léger bémol concerne le mode de narration, en soi particulièrement intéressant mais qui est le même que pour L'hiver de Solveig (je l'avais beaucoup aimé alors). Je l'ai apprécié ici aussi, mais je ne suis pas sûre de l'aimer encore s'il était renouvelé pour un troisième roman...
Quoi qu'il en soit, roman à lire !

Ce billet vaut pour la série.
Je vais commencer par les points négatifs :
Pour pouvoir apprécier cette série, il ne faut surtout pas s'attendre à être surpris ou à des retournements de situations spectaculaires ! Tout est prévisible et ce dès le premier tome où on comprend très vite ce qu'il va se passer dans les tomes deux et trois. Il faudra cependant attendre le tome deux pour comprendre où on va être emmené dans le tome quatre.
Des happy end de conte de fée bien propres et bien mignonnes.
Par contre, ce qui rend cette série intéressante est le soin particulier que l'auteur apporte à chacun de ses personnages, leurs histoires, leurs caractères, leurs faiblesses et leurs forces. Et c'est la grande force de cette série, ce qui la rend attractive.
Le style est soigné et chaque personnage à le sien propre, ce qui renforce le sentiment de faire "connaissance" avec chacun d'entre eux.
Globalement, la lecture reste agréable pour peu qu'on ne souhaite pas faire trop marcher ses méninges.