Soudain, tout me paru secondaire et presque insignifiant quand un dernier alcoolique anonyme, un Noir, officier de la marine marchande américaine, se mit à conter sa dernière expérience.
Son cargo avait relâché dans un grand port de l'Afrique du Sud. Le Noir n'insista pas sur le régime de ségrégation absolue, impitoyable, qu'il dut y subir pendant l'escale. Les auditeurs étaient au courant du destin commun à tous les hommes, femmes et enfants de couleur au pays du racisme le plus bestial qui se puisse imaginer. Mais aucun de nous, dans la salle, ne pouvait prévoir la suite du récit.
La première démarche du marin Noir, une fois à terre, fut d'assister à une réunion du groupe A.A. qui existait depuis longtemps dans la ville.
C'était un secours dont il avait le plus pressant besoin. La terrible discrimination dont il était l'objet et le témoin le poussait presque invinciblement à boire. Il avait avec lui le grand annuaire des Alcoholics Anonymous qui porte les adresses de tous les groupes et même de tous les isolés àtravers le vaste monde. Il trouvait sans difficulté l'endroit qu'il cherchait.
Mais là, un fait incroyable l'attendait. A côté des Zoulous, des Hottentots, des Cafres, il y avait des Blancs. Et ce mélange, cette intégration jouissait de la tolérance officielle. Le gouvernement apartheid tenait l'oeuvre des A.A.pour si importante et féconde qu'il consentait en leur faveur l'unique dérogation aux lois inexorables qui distinguent en Afrique du Sud les hommes selon la couleur de leur peau.

Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne peut se peut exprimer, qu'en répondant: "Parce que c'était lui; parce que c'était moi."

Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie! Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier! Qu'avez vous fait pour tant de biens? Vous vous êtes donnés la peine de naitre, et rien de plus. Du reste, homme assez ordinaire!

L'amour n'a-t-il pas en soi-même sa fin? Les obstacles mêmes à l'amour, ceux qui ne se surmonteront pas, ne font-ils pas sa grandeur?

She looked over at me."Looks like you had a rough night," she said, and glanced at Justin."Is this your latest interception?"
"Actually, this is my girlfriend. Maddie Freeman. You might have heard of her."
The barista's mouth open."As Kevin Freeman's daughter?"she asked.
I smiled."That's right". I couldn't tell what surprised her the most: my scruffy appearance, my blood line or Justin's she's-my-girlfriend announcement, which had shocked me as well.
"Are you two insane?" she asked."Warring families? Haven't you ever heard of Romeo and Juliet?"
"Yeah, but there's one big difference,"Justin said.
"What's that?" she asked.
"Romeo was a pussy. Thanks for the coffee," he said.


traduction approximative

Elle me parcourra des yeux.
- Tu sembles avoir passé une dure nuit, dit-elle avant de regarder Justin,c'est ta dernière interception?
- En fait, c'est ma petite amie. Maddie Freeman. Tu dois avoir entendu parler d'elle.
La bouche de la barista s'ouvrit :
- Comme la fille de Kevin Freeman?
- C'est ça, souriais-je.
Je ne pouvais dire ce qui l'avait surpris le plus : mon apparence débraillée, mon nom de famille, ou le "elle-est-ma-petite-amie" de Justin, qui m'avait aussi choqué.
- Est-ce que vous êtes complètement fous? demanda-t-elle, des familles en guerre? Vous n'avez jamais entendu parler de Roméo et Juliette?
- Si mais il y a une grande différence entre eux et nous, dit Justin.
- Et laquelle? demanda-t-elle.
- Roméo était une chochotte*. Merci pour le café.

* désolé pour la traduction de ce mot mais j'avais du mal à le traduire dans cette phrase.

Il nous arrive à tous de lire à la va-vite un carton d'invitation. Ça ne tient à rien mais ça fait souvent tout...

-Quand vous arrivez déguisé en chien à une soirée "Beethoven"
-Quand vous arrivez déguisé en abeille à une soirée "Mayas"
-Quand vous arrivez déguisé en crotte/poubelle à une soirée "Père Noël est une ordure"
-Quand vous arrivez déguisé en empereur romain à une soirée "Moyen Age"

Elle laissa ses yeux à demi ouverts lorsqu'il tressaillit, son visage contre son cou, répétant son nom encore et encore, et lorsqu'elle ferma finalement les yeux, elle s'imagina voir la caverne s'embraser d'or et de blanc, les enveloppants tous les deux dans le feu céleste, la plus belle chose qu'elle n'avait jamais vu.

She kept her eyes wide open as he shuddered apart, his face against her neck, saying her name over and over, and when finally she closed her eyes, she thought she saw the cavern blaze up in gold and white, wrapping them both in heavenly fire, the most beautiful thing she had ever seen.

"Si je dors lorsque ma mère et Luke arrivent, réveille-moi," dit-elle.
"Oh, tu seras réveillée," dit Jace à demi endormi. "Ta mère pensera que je suis en train de prendre l'avantage sur toi et me chassera autour de la pièce avec un tisonnier."
Elle caressa sa joue. "Je te protégerai"

"Je t'aime, dit-il. Je ne te l'ai pas dit assez souvent. Je t'aime."

"Tu es exténuant," dit Jace
Alec haussa les épaules. "Regardez qui dit ça.'Oh je l'aime. Oh, c'est ma soeur. Oh pourquoi, pourquoi, pourquoi..."
Jace jeta une poignée de feuilles morte à Alec, le faisant bafouiller.
Isabelle riait. "Tu sais qu'il a raison, Jace."


Désolé pour ma traduction très approximative.

Teru (en train de lire les mails de Daisy) : Merci d'avoir supporté gentiment mon mauvais caractère <3

Kurosaki : Eh là ! Attends ! Qu'est-ce que tu fiches, espèce de naine !

Teru : Quoi ? Il y a un problème ? Je vis ma vie comme tu m'a dit de le faire...C'est pas toi qui vient de répondre que tu n'avais rien à me dire ?
Au passage, je donne "le top 3...des mails ultra mielleux de Daisy qu'on a envie de lire à voix haute <3 !

Kurosaki : !!! A...Arrête ! Tes moqueries me font rien...

Tu m'as manqué, dit-elle. Tu m'as tellement manqué...
Il ferma les yeux et elle vit une larme rouler sur sa joue, alors qu'il ne pleurait jamais.
- Ce n'est pas ta faute, chuchota-t-elle en l'embrassant.
Il n'avait toujours pas dit un mot, mais elle sentait les battements frénétiques de son cœur. Il la serrait fort contre lui comme s'il ne comptait jamais la lâcher.
Elle l'embrassa de nouveau mais cette fois sans la fièvre qui s'était emparée d'eux dans cette discothèque. C'était un baiser de réconfort, censé exprimer tout ce qu'ils n'avaient pas le temps de se dire. Il l'embrassa à son tour, d'abord de façon hésitante puis plus passionnément.
Elle connaissait sa force, et pourtant elle s'étonna de la facilité avec laquelle il la porta jusqu'au lit, et la déposa doucement parmi les oreillers. Puis il s'allongea sur elle d'un mouvement leste qui lui rappela à quoi servait toutes les Marques tatouées sur son corps. Force. Grâce. Légèreté.

Comme elle ne bougeait pas, il reprit dans un souffle :
- Clary, c'est moi. C'est moi.
Elle ouvrit les yeux et le vit agenouillé près d'elle, vêtu d'un long manteau noir boutonné jusqu'au col. Elle distingua sur son coup des runes de silence, d'agilité et de précision, qui formaient un collier sur sa peau. Il l'observait de ses grands yeux clairs et, en plongeant son regard dans le sien, elle vit Jace, son Jace. Celui qui l'avait sauvée du Vorace, qui l'avait regardée protéger Simon du soleil levant sur l'East River, qui lui avait raconté l'histoire d'un petit garçon dont le père avait tué l'oiseau. Le Jace qu'elle aimait.
Son Coeur bondit dans sa poitrine.

- Tu ne regrettes même pas, souffla-t-il.
- Non, répondis-je d'une voix étranglée. Parce que l'idée qu'ils te briseraient jour après jour, te dépouilleraient de ta personnalité, puis te confieraient une mission dont tu ne reviendrais pas était plus insupportable que ton absence.
- Mais c'est ce qu'ils t'ont fait ! protesta Liam. Et, maintenant, je suis obligée d'accepter? Tu as décidé à ma place, Ruby...Pourquoi ? Parce que tu ne me croyais pas assez fort pour résister à la ligue ?
- Parce que JE n'aurais pas supporter que tu appartiennes à la Ligue. Parce que je voulais que tu puisses retrouver tes parents et vivre ta vie.
- Mais c'était TOI que je voulais ! s'écria-t-il, saisissant mes bras et serrant, comme si la douleur pouvait me faire partager sa souffrance. Plus que tout ! Et tu...tu es entrée dans mon esprit, tu as tout effacé, comme si tu en avais le droit, comme si je n'avais pas BESOIN de toi. Ce qui me tue, c'est que j'avais confiance en toi...et j'étais absolument certain que tu le savais. Il ne me serait rien arrivé, parce qu'on aurait été ensemble !

Il me fixa et, pour la première fois depuis longtemps, son regard fut vif, lucide. L'instant où il comprit ce que je lui avais fait fut clairement visible. Il secoua la tête et ses cheveux cachèrent son visage ; Il voulut parler, mais en fut incapable. Je ne pus me forcer à prononcer un mot.