Commentaires de livres faits par maeva81
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On ne croirait pas, mais il est très compétent.
Même si ça me tue de l'admettre.
Après tu le largues comme une merde, puis tu reviens ! C'est la meilleure façon d'se venger d'un homme !
- Les monstres adorent gâter les petites princesses, me répond-il en posant l'assiette devant moi. Et, dis-moi, que dirais-tu d'un nouveau petit cessez-le-feu ? Deux heures de paix à partir de.....maintenant ?
Donc , j'imagine que vous êtes en train de vous rejouer l'épisode 41 de MacGyver, où il parvient à forcer une serrure avec une branche de céleri et un vieux lacet.
J'éclatai de rire. Malgré la situation, cette fille n'avait pas perdu son sens de l'humour.
Il se tourne dans ma direction. Son regard passe de mon bagage à moi. Il n'a pas l'air de comprendre.
- Il n'y a rien de vivant, là-dedans ?
Très bien, c'est un comique. Il fallait que je tombe sur le seul gars qui trouve amusant de plaisanter dans ce genre de situation.
- Pas que je sache, je grommelle.
- Approchez-vous, me dit-elle.
Je me baisse pour écouter ce qu'elle a à me dire et sans que j'aie le temps de me rendre compte de quoi que ce soit, elle m'embrasse. Oui , oui, je n'en reviens pas, ses lèvres douces sont sur les miennes. Je suis déstabilisé, m'apprête à jeter ce gâteau pour vraiment l'embrasser correctement, mais sans crier gare, le baiser s'arrête. Elle s'éloigne de moi aussi vite qu'elle s'en était approchée.
- C'était quoi, çà ?
J'ai l'air d'un con, mon gâteau tenu sur le côté et moi toujours courbé.
-Ma méthode de distraction, me répond-elle en souriant et en quittant la cuisine.
L'Ours mal léché qui a rendu ma vie plus belle.
Le lutin facétieux qui m'éblouit chaque jour.
L'ange qui me comble de se venue en cette veille de Noël.
De quoi d'autre aurais-je besoin, franchement ?
La voix grave me fait tressaillir.
Je me retourne, le visage tordu en une grimace.
Le corps appuyé sur l'arche qui donne sur l'entrée, Nick me lance un regard amusé.
- Je...hum... Vous êtes ici depuis longtemps ? déglutis-je.
- Un peu avant que ma serviette ait perdu en hauteur, déclare-t-il en tendant le doigt vers ma poitrine.
Une seconde passe.
Une deuxième.
A la troisième, il ferme les yeux, Ses doigts se cramponnent au comptoir en marbre et le temps se suspend dans la douleur de ses boyaux.
Tout le monde se retourne vers moi et j'ouvre de grands yeux, aussi surprise qu'eux et certainement bien plus mal à l'aise.
Heureusement, j'arrive à me reprendre assez vite en pointant du doigt le lac Michigan que j'aperçois derrière Matt.
- Canard ! J'ai vu un canard !