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Commentaires de livres faits par maeve81

Extraits de livres par maeve81

Commentaires de livres appréciés par maeve81

Extraits de livres appréciés par maeve81

date : 20-07-2015
On n’est jamais libre. Il y a les personnes qui nous retiennent, et, quand elles ne sont plus là, il y a les fantômes. Et si par hasard on arrive à se débarrasser des fantômes, il reste les regrets….

Un mensonge de la pire espèce : celui que l’on se raconte à soi-même.

À chaque ride, un souvenir.
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date : 19-07-2015
"Résigné, comme si Dieu seul guidait maintenant ses pas et lui montrait son chemin de Croix, il avait gagné le plan des théâtres".

« Je t'ai aimée le temps de noces de sel
Un instant fugace ou une éternité
Au sablier de mon coeur s'amoncellent
Les grains de tristesse que tu y as laissés. »
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date : 16-07-2015
"En littérature, les voies du best-seller sont si impénétrables que Dieu lui-même, s'il était lecteur dans une maison d'édition, ne s'y retrouverait pas."


"Penché au-dessus de ma dernière création, je songeais, profondément troublé, au marché de l'éditeur. J'avais toujours en tête les mots de Justin Balmat, des mots qui résonnaient dans mon crâne avec une force inouïe. Un manuscrit inédit, une signature en lettres de sang et la promesse de devenir propriétaire d'une vieille demeure.Tout cela m'excitait,bien sûr, pourtant, une part de moi me poussait à me méfier de cette affaire absurde. Etait-ce bien légal ? Balma n'en était certainement pas à son premier coup tordu, sans parler de mon père. Si j'avais été encore en mesure de le faire, j'aurais refusé tout net et été tenté d'oublier toute cette histoire. Mais je savais qu'il était trop tard."
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« J'ai un grand principe, dans la vie : l'amour, ça sert à fabriquer de l'amitié. Sinon on se plaît, on couche, on se lasse, on se quitte pour aller voir ailleurs, et on s'oublie. Quel intérêt ? »

"Une femme, c'est un tissu de contradictions qui tend vers la synthèse". il m'injectait ma phrase comme on transfuse à un patient son propre sang. Dans l'intention apparente d'illustrer le propos, il a sorti ensuite de sa poche une de ses lingettes. Il l'a extraite de son sachet, l'a passée délicatement sur mon cou, ma nuque et le contour de mes oreilles, en me regardant comme son reflet dans une glace. Il y avait une espèce de tendresse machinale dans ses gestes. Un adieu à lui-même.
Moi aussi, tu vois, je lui donne un souvenir. Fais en bonne usage."
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"-la nature nous rend ce que la société nous a confisqué.
-Quoi ?
-Notre complétude.
-Euh... tu peux préciser, s'il te plaît ?
-Nous sommes des êtres complets et la nature nous amène à le ressentir profondément, alors que la société crée en nous le manque. Elle sait nous faire croire et nous faire ressentir qu'il nous manque quelque chose pour être heureux. Elle nous interdit d'être satisfaits de ce que nous avons, de ce que nous sommes. Elle ne cesse de nous faire croire que nous sommes incomplets."
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date : 11-06-2015
"je respire. Je respire presque sereinement. L'air d'altitude est plus pauvre en oxygène. Mais ça dépend de quel oxygène on parle. Ici je me shoote à l'air pur et à la paix. Une perfusion de soleil levant sur les sommets, un goutte-à-goutte de petits ruisseaux qui coulent entre les cailloux, un patch de senteurs d'animaux sauvages que le tumulte humain laisse tranquille ici. Peut-être que je redeviens sauvage. Ou peut-être que je le suis devenue ces dernières années et que je vais enfin retrouver la civilisation.
Je vais déjà retrouver les bouquetins. Ils me diront bien,eux, par où aller ....".


"Je fais de mon mieux,
dans le respect de moi-même,
avec les cartes de l'instant,
le reste appartient à la vie."
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Dès lors, ma libraire aux cheveux courts devint mon dealer officiel. Chaque semaine, je revenais chercher ma dose et elle comblait méthodiquement les failles profondes creusées par une préadolescence de sportif joyeux mais illettré. Camus, Sartre, Lowry, John Fante, Flaubert, Kafka,Dostoïevski, Steinbeck.... je ne lisais plus, je suçais les os, j'aspirais la substantifique moelle, je ne dormais plus.
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"Le genre masculin est quand même sacrément compliqué....
je suis d'accord, on ne fonctionne pas du tout de la même façon. Je ne comprends pas pourquoi Olivier n'arrive toujours pas à vider ses poches avant de mettre son linge au sale alors que je le lui demandé des centaines de fois. je ne sais pas à quoi il pense lorsqu'il pose les chemises de cérémonies des gamins qui sortent du pressing sur le sac de charbon de bois. je n'arrive pas à saisir pourquoi il a les yeux qui brillent devant un assortiment de vis en promotion plus que devant un parterre de fleurs. Moi j'aime les canards parce quils sont fidèles à leur conjoint toute leur vie, et lui les aime pour leur magrets. On est différents, c'est sûr. Et je ne te dis même pas ce que je me pose comme questions depuis que j'ai découvert, voilà quinze ans, qu'il parlait à son zizi...
Tu sais Marie, la vie est loin d'être parfaite avec lui, mais je suis certaine qu'elle serait vraiment moins bien s'il n'était pas là."
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"Les arbres étaient des chênes pour la plupart. Ils avaient été plantés, les premiers, dès l'époque de Louis XIV. A mesure qu'on avance dans les allées forestières, on découvre des alignements inattendus. Le désordre des troncs fait alors place, pour un instant, à une trouée rectiligne qui semble conduire jusqu'à l'horizon. Cette éruption de la volonté humaine dans le chaos de la nature ressemble assez à la naissance de l'idée dans le magma des pensées confuses. Tout à coup, dans les deux cas, naît une perspective, un couloir de lumière qui met de l'ordre dans les choses comme dans les idées et permet de voir loin. Dans ces deux cas, ces moments lumineux ne durent pas. Dès que l'on reprend sa marche, dès que l'esprit se remet en mouvement, la vision disparaît, si l'on n'a ps pris garde de la fixer par la mémoire ou l'écriture."
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"Louise, Louise, Louise...
Ma sauvage, mon emportée, tu te cabres !
Alors c'est tout ou rien ? Louise en entier ou pas de Louise ? Feu ou cendre, tu refuses les braises...
Quelle belle folie !
Folie pourtant...
Tu as le goût de l'absolu mais cet idéalisme conduit au malheur. Tes exigences vont nourrir ta frustration.Plus tu mangeras, plus tu saliveras. Si ce que tu vis doit être parfait, exhaustif, en même temps qu'exclusif, renonce plutôt à vivre. Aucune relation ne se hissera à la hauteur de tes aspirations ; tu atteindras l'amour rêvé, jamais l'amour réel.
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date : 27-06-2014
Une petite fille mange du chocolat. Il y a plus de lumière sur le papier d'argent enveloppant le chocolat que dans les yeux des sages.

Le livre que je tiens entre les mains se met parfois à sourire.

J'apprends que je suis vivant. Je dois cette bonne nouvelle à l'air qui circule sous une phrase en faisant flotter ses mots, très légèrement, au dessus de la page.

Je ne cherche pas à vous convaincre. C'est harassant, vain et au fond un peu cruel de convaincre. Je voulais juste vous dire qu'un jour j'ai vu, planté dans un livre d'André Dhôtel, un panneau indicateur du paradis. La distance marquée ? Il n'y a pas de distance. L'Eternel est là, sous nos yeux, sous nos pieds, dans une phrase.>
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Elle sourit comme surprise par un souvenir.
"Mon père est mort il y a deux ans. L'automne dernier, en novembre, je suis allée au cimetière. Il faisait déjà froid, ce n'était pas la saison des papillons. Pourtant, un papillon blanc a volé près de moi et s'est posé sur mon genou, là où il mettait sa main. J'aime les animaux. Ils nous connaissent et nous ne savons rien d'eux."Il y avait en elle une fermeté que j'ai retrouvée dans la voix des aveugles.
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date : 12-04-2014
Peut-être n'avais-je pas assez clairement expliqué ma situation ? C'est si difficile. Qui peut réellement pratiquer l'autopsie de son échec ? Je minimisais, je contournais, je laissais des silences. On voudrait tant être compris sans avoir à utiliser le moindre mot. Je me sentais sufisamment humilié comme ça. Je n'avais pas envie de quémander. Mes perspectives d'avenir étaient sombres. Comment allais-je retrouver un emploi à mon âge ?
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"On ne parle plus d'un chômeur mais d'un sans emploi.Les clochards ont disparu, mais il y a de plus en plus de sans-abri. on ne dit plus non plus un aveugle, on dit un non-voyant. On ne devrait donc plus dire un gros connard, mais un non-pensant en surpoids."
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date : 27-10-2013
Est-ce dans les villes que l’on apprend à être semblable ?

Il y a dans le monde des jardiniers invisibles qui cultivent les rêves des autres.


Le silence comme un puits.
Le silence qui vient des livres parce que ceux qui les ont écrits ont accepté de s’y enfoncer.
Habiter avec les livres, c’est habiter avec le silence des autres.
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date : 19-10-2013
"Pour entendre la musique de l'âme du monde, nous avons besoin de silence. Si notre esprit est sans cesse préoccupé, agité, actif, il ne pourra avoir accès à sa source profonde. Accordons à notre esprit chaque jour des moments de calme. De ce profond silence jailliront les plus beaux fruits de l'âme : paix, douceur, joie, amour, compréhension, lumière. Le recueillement est la respiration de l'âme. Car notre esprit a autant besoin de silence que notre corps a besoin d'air.
Combien d'âmes étouffent dans la vie moderne trépidante et ne peuvent trouver l'espace et le calme nécessaires à leur équilibre et à leur croissance !".
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date : 05-10-2013
"Avant il me semblait que tout était possible. Je n'avais qu'à me pencher sur une feuille pour que ma voix jaillisse avec aisance et fluidité, pour que mon âme brûle la page, l'envahisse, la consume, ne laissant subsister, à la fin, que la musique du langage.Mais ce n'est pas parce qu'on sait coucher des paroles sur un papier, sans fautes d'orthographe ni erreurs de syntaxe, qu'on est capable de faire entrer l'autre dans ses émotions, ses sentiments, ses pensées les plus secrètes..."


Ce qu'il y a de pire dans le silence de l'autre, c'est qu'il vous renvoie à vous-même, à vos peurs les plus profondes, à vos souffrances les plus inavouées. A-t-il rêvé ces regards chargés de promesses ? Pour lui, la rencontre de leurs deux âmes était une réalité, jusqu'au moment où cette osmose s'est muée en détresse"


"Quand un dauphin perd sa compagne, il refuse de s'alimenter. Quand dans un couple d'oies l'une meurt, l'autre divague en cacardant, la cherchant de tous côtés jusqu'à perdre le sens de l'orientation...'"
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"Carpediem, Marianne.Devise des épicuriens."cueille le jour" mais pas pour en faire des confitures. Pour le consommer, là, tout de suite. Manger le fruit sur l'arbre.C'est tellement plus sûr. J'emploie votre langage, voyez. Vous avez besoin de certitude. mais le bonheur est la seule certitude, dans la vie."

"Les plus beaux cadeaux du sort nous arrivent en général sous forme de démenti. C'est quand on a décidé de fermer sa vie qu'une porte se rouvre."
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date : 21-09-2013
"Aujourd'hui je me donne droit au doute. Un profane aussi a le droit de douter. Le doute n'est pas réservé aux croyants.
J'ai besoin d'autres êtres humains, comme moi, doutant, s'égarant, pour m'approcher de ce que c'est que la vie. Parce que je suis vieux. Les religions ne m'intéressent pas. Ceux qui sont sûrs d'un dieu ou de l'absence d'un dieu ne me sont d'aucune aide. J'ai besoin de confronter mon doute à d'autres âmes aussi imparfaites et trébuchantes que la mienne.
Je ne cherche à être sûr de rien mais je veux trouver la forme juste de mon doute. Simplement cela. Humblement. Je ne suis pas un grand philosophe. je ne cherche rien pour les autres. Juste une façon de rester vivant, ma façon."



"La souffrance est une terre silencieuse,
On y marche pieds nus."


"Le chagrin s'en va et qu'aucune consolation ne prend sa place ".
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date : 11-08-2013
"Danser c'est altérer le vide.
Pourquoi inscrire un mouvement dans le rien? Elle voudrait tant pouvoir juste contempler et habiter simplement, sans bouger. Elle envie ceux qui le peuvent. Elle, elle n'y arrive pas.
Elle est un mot étranger jeté dans une langue. Comme un mot tout seul jeté dans le silence. Elle se sent intruse. Depuis toute petite.
Alors elle danse. Il faut qu'elle trace, avec son corps, les lignes qui permettent d'intégrer l'espace. Seule la beauté du mouvement peut la sauver.
C'est sa façon de trouver place dans la vie."


"Aimer c'est juste accorder la lumière à la solitude.
Et c'est immense."


Laver les ombres, en photographie, c'est amener des visages à la lumière


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date : 11-08-2013
Les soirées étaient longues quand je restais dans le quartier à l'attendre, mais cela me semblait naturel. Je plaignais ceux qui devaient inscrire sur leurs agendas de multiples rendez-vous, dont certains deux mois à l'avance. Tout était réglé pour eux et ils n'attendraient jamais personne. Ils ne sauraient jamais que le temps palpite, se dilate, puis redevient étale, et peu à peu vous donne cette sensation de vacances et d'infini que d'autres cherchent dans la drogue, mais que moi je trouvais tout simplement dans l'attente.
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"On ne peut vraiment rêver qu'à la mesure des paumes de ses mains ?"

"Pourquoi la vie des uns ne pourrait-elle pas éclairer celle des autres ? Sinon c'est quoi une Société ?"

"A nouveau la langue, parce que je la comprenais pas, m'emportait dans ses rythmes. J'aimais ça, ne plus me soucier du sens. Juste la musique."

"ce sont ces jours de rien qui me bouleversent. Le besoin de noter la date. Quand même. Parce qu'un jour ne peut pas totalement se perdre ?"

"Comment être singuliers dans tout ce pareil qui nous mine ?"
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"-Je ne connais pas Justin mais vais vous confier un secret : les hommes fonctionnent à peu près tous de manière identiques. Nous avons beau paraître très différents et avoir des vies qui ne se ressemblent pas, ce sont les mêmes moteurs qui nous animent. Nous passons notre vie à gérer nos envies, au mieux nos devoirs, en fonction de nos moyens.

Pour vous les filles, c'est différent, Contrairement à nous vous n'agissez jamais pour vous-mêmes. Votre vie n'est pas gouvernée par ce que vous voulez ou ce que vous pouvez, mais en fonction de ceux que vous aimez. Nous faisons toujours les choses dans un but, vous les accomplissez toujours pour quelqu'un."
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date : 22-05-2013
Je m'appelle Julie Tournelle, j'ai vingt-huit ans et je flippe. Pas à cause de l'orque qui nous fonce dessus, mais parce ce que, pour le moment, cette vie ne se déroule pas vraiment comme on me l'avait décrite.
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date : 30-04-2013
Rien ne t'arrive sans que tu l'aies laissé se produire.

Nelson Algren



Ma vie, je l'ai vécue comme je voulais la vivre... Le monde réel est un vrai foutoir.

Simone de Beauvoir
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« Regardez une femme enceinte : vous croyez qu’elle traverse la rue ou qu’elle travaille ou même qu’elle vous parle. C’est faux. Elle pense à son bébé. »


"- Je... Je t'appelle parce que j'ai envie de revoir ton visage. C'est tout. C'est comme les gens qui retournent dans le village où ils ont passé leur enfance ou dans la maison de leurs parents... ou vers n'importe quel endroit qui a marqué leur vie.
- C'est comme un pèlerinage quoi.
Je me rendais compte que je n'avais plus la même voix.
- Oui exactement. C'est comme un pèlerinage. A croire que ton visage est un endroit qui a marqué ma vie."



"Elle pleure parce que son cœur s'est remis à battre aujourd'hui alors qu'elle n'y croyait plus depuis longtemps. Elle pleure pour tellement de raisons qu'elle n'a pas envie d'y penser. C'est toute sa vie qui lui revient dans la figure. Alors, pour se protéger un peu, elle se dit qu'elle pleure pour le plaisir de pleurer et c'est tout. "

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