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Extrait ajouté par Lulla-By 2012-11-03T16:52:53+01:00

- Tu me rappelles quelqu'un que j'ai connu il y a longtemps, me dit-il.

- C'est quoi ça, lâchai-je sur un ton toujours aussi hostile, la nouvelle version de "on s'est pas déjà vus quelque part?"

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Extrait ajouté par Emilia95 2012-06-11T19:00:47+02:00

Il marqua une pause et me regarda de haut en bas, comme si j’étais un appétissant bout de viande.

— Même si j’avoue que ta proximité ne me dérangeait vraiment pas tout à l’heure.

— Je vais défoncer ta pauvre gueule de con.

La colère avait parlé avant même que j’aie eu le temps de penser ce que je venais de dire. Mais c’était la vérité. J’avais envie de le vider de ses tripes, de me faire des colliers avec ses boyaux, de me curer les oreilles avec ses doigts préalablement arrachés, et de jouer au golf avec une de ses jambes et ses bijoux de famille.

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"Fais moi confiance et tout se passera bien."

C'est la dernière chose qu'il m'avait dite. Bien sur que je vais faire confiance au vampire qui m'a assommée il y'a dix minutes. Il était vraiment comique dans son genre.

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Extrait ajouté par missnany 2012-07-22T21:29:08+02:00

Deux yeux glacés m’observaient.

— Sacrebleu ! Tu m’as fait une peur d’enfer ! m’écriai-je.

Sacrebleu. Oui, bon, OK. Il faudrait peut-être que je renouvelle mon stock de gros mots passe-partout. Saperlipopette, ça pouvait être intéressant à placer dans une conversation.

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Extrait ajouté par Saph 2013-11-10T17:05:10+01:00

- Il est hors de question que je couche avec toi. Ni ce soir, ni jamais, affirmai-je catégoriquement.

- Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. J'aurais essayé, dit-il en haussant les épaules. Tu peux prendre la chambre d'ami, tout au fond. Bonne nuit.

[...]

S'il n'y avait que les imbéciles qui ne changeaient pas d'avis, je serais fière de lui prouver que j'étais la reine des connes.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-10-20T19:13:36+02:00

- Allons au lit, me dit-il en se redressant et en m'offrant une main.

Je l'ignorai et me relevai. Mon pied me faisait toujours un mal de chien.

Lukas baissa le bras qu'il avait tendu comme s'il n'avait rien remarqué et sortit de la salle de bains. Je le suivis. Une fois dans la pièce principale, il s'arrêta et me regarda avec un sourire carnassier que je n'avais pas dû voir depuis bien une heure.

- Ma chambre est ici, dit-il en me désignant la porte qu'il avait utilisée tout à l'heure.

Je ne bronchai pas.

- Et la mienne? demandai-je.

Son regard se mit à briller d'une lueur que je reconnaissais bien. Il était insistant.

- Là, fit-il en me montrant la même porte avec un air entendu.

Je levai les yeux au ciel avant de répondre, pour gagner du temps.

- Il est hors de question que je dorme dans ton cercueil, dis-je d'un ton las.

Avant que j'aie le loisir de comprendre ce qui arrivait, je me retrouvai plaquée contre le mur. Une de ses mains remontait le long de mon dos, et l'autre me caressait la joue. Des frissons me parcoururent l'échine tandis qu'il murmurait à mon oreille.

- Je ne dors pas dans un cercueil, mais dans un lit. Et tu sais ce qu'on peut faire dans un lit? Bien sûr que tu le sais, continua-t-il alors que je ne réagissais pas, j'ai vu la manière dont tu me regardais tout à l'heure.

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Extrait ajouté par x-Key 2011-06-16T15:04:47+02:00

J’étais totalement bloquée, et je ne pouvais rien faire. À côté de nous, les trois vampires étaient sur Lukas, pour ce que j’en voyais. Tout allait trop vite pour des yeux humains. Je voyais juste une masse informe, dont seul se détachait vraiment Roy grâce à la couleur de sa peau. Mon mobilier giclait dans tous les sens. Mon pauvre mobilier. J’arrivais juste à me rendre compte que Lukas leur donnait du fil à retordre, seul qu’il était contre trois. Mais il n’allait pas pouvoir prendre le temps de m’aider actuellement.

Je vis un des deux vampires bruns finir au sol en se tenant la gorge. Du sang s’en écoulait à grande vitesse. Il eut l’air d’étouffer pendant quelques secondes, durant lesquelles la masse informe en arrière fond ne s’arrêta pas. Puis sa gorge se referma sous mes yeux, comme par magie. Comme dans les films… Mais avant que j’aie eu le temps de vraiment m’amuser de cette pensée, Phil et Rickman m’encadraient.

- Salut les gars, dis-je d’une voix qui se voulait rassurée mais qui ne l’était franchement pas, tout en continuant à marteler la ceinture. Un de vous aurait la gentillesse de m’aider à me débarrasser de ce machin ? Je me fais mal aux poignets à force.

Je tentai une ébauche d’air innocent. Le petit large me regardait avec un sale sourire, il n’y avait pas d’autre mot. Vieux pervers lubrique, pensai-je, dégoûtée.

- Si je te détache, ce ne sera pas pour ça, dit le grand blond.

Super, deux pervers.

- Et j’ai un petit creux, dit l’imitation de Vinny. Est-ce que toi tu aurais la gentillesse de m’aider avec ça ?

Ses yeux brillaient d’une lueur que je n’avais pas envie d’identifier.

- Les mecs… On peut trouver un moyen de s’entendre, discuter tranquillement, y a sûrement moyen d’arranger les choses.

C’est ce que disait Jim. Mais avec Jim, ça fonctionnait. Soit je n’avais vraiment pas de chance, soit il me manquait trente centimètres et soixante kilos de persuasion.

- Bien sûr ma jolie, dit le petit. J’ai une très bonne idée de comment je vais arranger ma soif.

Il me sourit, toutes dents dehors, tel un prédateur, et la peur m’envahit. J’eus juste le temps de penser que Lukas ne me serait d’aucune utilité avant que le petit gros ne me fonce dessus, crocs en avant, et ne me broie la jugulaire.

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Extrait ajouté par x-Key 2011-06-16T15:04:47+02:00

- Bordel de merde Brianne, tu te fous de moi ?

- Arrête de toujours jurer comme ça Maeve, c’est vraiment pas élégant.

- Élégant mon cul. C’est ton Albert qu’est pas élégant, maugréai-je.

Elle me fusilla du regard. Mais lorsqu’elle vit que celui que je lui renvoyais n’était pas moins assassin, ni près de flancher, elle se recomposa un visage charmant, puis se tourna vers le fameux Albert.

- Maeve, voici Albert. Albert, c’est Maeve, dont je t’ai tellement parlé. Bon, excusez-moi, je dois aller aux toilettes.

Et aussi vite que ça, elle m’avait larguée avec cet inconnu sautillant. Merci Brianne. Sincèrement, merci.

- Salut Maeva, me dit-il, un peu gêné, en arrêtant de gigoter pour le coup.

- Maeve, corrigeai-je machinalement, habituée à l’erreur.

Bon. Albert n’avait pas l’air méchant. C’était sûrement une grande partie du problème.

Tout comme Elliot, il était vêtu d’une simple chemise blanche, par dessus des pantalons noirs. Je n’aurais pas été étonnée d’apprendre que c’étaient ceux du smoking qu’il portait à l’enterrement de son grand-père. En tout cas, à la différence d’Elliot, sur lui l’accoutrement semblait ridicule. Il était fluet – presque autant que moi, c’est dire – et avait un visage poupin, à cela près qu’il avait les joues creusées, presque rachitiques, et qu’elles étaient parsemées d’années d’ingratitudes, l’acné ayant laissé autant de petites cicatrices rougeâtres qu’il y avait de gens bourrés dans la boîte. Ses cheveux bruns, coupés courts, étaient arrangés en pic sur le sommet, et des amas de gel étaient visibles. La coiffure jurait avec l’air d’informaticien échappé d’un sous-sol que lui conféraient ses lunettes. Brianne s’était vraiment surpassée, sur ce coup-là.

- Brianne m’a beaucoup parlé de toi, cria-t-il pour couvrir la musique.

Tu m’étonnes, je suis sûre que tu sais tout, pensai-je. De mon heure de naissance à la couleur de mes sous-vêtements.

- Ah, me contentai-je de répondre.

Je n’avais pas signé pour être sympathique non plus. Brianne avait résilié le contrat de bonne conduite lorsque son envie pressante l’avait envoyée aux toilettes plus vite que l’éclair. J’espérais qu’elle était en train de s’y laver la langue avec du savon.

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Extrait ajouté par Saph 2013-11-10T17:03:49+01:00

-Dis-moi ce qu’une petite fille comme toi vient faire ici à une heure aussi tardive, feula-t-il. Tu devrais être au lit depuis longtemps.

Ce type et moi parlions le même langage. C’était peut-être l’homme parfait.

De ma démarche la plus féline, je m’approchai de son oreille. Du bout des pieds, j’arrivais juste à l’atteindre, penché qu’il était sur le bar.

Il n’avait pas posé de question, je ne poserais pas de question.

-J’ai peur du noir. Il faut que quelqu’un me mette au lit et reste avec moi jusqu’à ce que je m’endorme, murmurai-je sensuellement.

Comme je n’ajoutai rien, mais n’avais pas non plus bougé, il tourna la tête vers la mienne, son nez venant prendre appui sur le mien. Sa respiration caressait ma lèvre supérieure, qui se trouvait qu’à une distance infime de la sienne. Et Dieu qu’il sentait bon, et qu’il était grand.

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Extrait ajouté par missnany 2012-07-22T21:28:30+02:00

— Ça sent le fauve ici, dit-elle d’un ton neutre en passant devant moi.

Ouais, et sauf erreur, un fauve, ça dévorerait une biche, pensai-je.

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